[06/07] 24ème J: Strasbourg / Tours : 2-1
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Franchement, si j'étais tourangeau, je serais dégoûté d'abord du résultat, et surtout de la prestation de l'arbitre. On ne peut nier qu'il nous a largement aidés hier soir ! Entre le but refusé à Tours sur une faute pas évidente à mon avis et la main de Lacour non sifflée dans la surface, il y a de quoi être énervé.
- enzy
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Ouah, rien vu ni entendu hier soir, une fois de plus, quel scénario.
Certainement que Pinon a quitté le stade à 1/4 d'heure de la fin pour que le raçing plante 2 buts
On dit que la réussite s'équilibre sur l'ensemble de la saison, on va plus en gagner beaucoup des matchs alors .
Autre scénario possible pour cette fin de saison, l'équipe va "enfin" trouver un fond de jeu avec des actions construites et du coup on ne gagnera plus un match.
Moralité, on continue comme ça en gagnant des matchs par un but d'écart en développant un jeu de merde .
Certainement que Pinon a quitté le stade à 1/4 d'heure de la fin pour que le raçing plante 2 buts
On dit que la réussite s'équilibre sur l'ensemble de la saison, on va plus en gagner beaucoup des matchs alors .
Autre scénario possible pour cette fin de saison, l'équipe va "enfin" trouver un fond de jeu avec des actions construites et du coup on ne gagnera plus un match.
Moralité, on continue comme ça en gagnant des matchs par un but d'écart en développant un jeu de merde .
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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- Pinon
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Pour tout vous dire, à la 35e j'ai voulu partir mais ma copine m'a dit "encore une action et on y va" ... on a donc attendu et quelques minutes plus tard Joao Paulo mis son 1er but avec le Racing puis Tum enchaine avec un second but qui apporte la victoire ...
@ Nérik : 1.35 sur Bwin, j'ai gagné 13 € hier soir
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C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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- argueti
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L'Alsace a écrit :Sauvé par le gong
Longtemps en difficulté face à une lanterne rouge tourangelle qui avait ouvert le score, le Racing a inversé la tendance hier soir à la Meinau en inscrivant deux buts en trois minutes en toute fin de match (2-1). Il en profite pour reprendre place sur le podium.
Il y a des saisons comme ça où tout vous sourit. Auteur d'une prestation assez piteuse hier à la Meinau contre Tours, le Racing, qui comptait trois points de retard sur Le Havre après une heure de jeu – il était alors mené et les Havrais avaient ouvert le score à Caen –, a rétabli une situation qui lui échappait. En trois minutes (82e et 85e), il a renversé la vapeur face à des Tourangeaux qui peuvent à juste titre s'estimer maudits. Ils ont aussi profité de l'égalisation caennaise pour retrouver le podium et repousser le HAC à deux points après la 24e journée. Un épilogue inespéré. Car alors que l'arbitre renvoie tout le monde aux vestiaires à la mi-temps, une bronca nourrie descend des tribunes. Le public, au sein duquel le kop avait déployé une banderole sans équivoque avant le coup d'envoi (« La montée, vous y pensez ? »), n'a que modérément apprécié le « spectacle » proposé. Une fois de plus, le Racing ne s'est montré dangereux que sur coups de pied arrêtés. D'abord sur un corner de Johansen prolongé par Tum de la tête, par Bellaïd, en embuscade au second. Mais le sauveur contre Niort ne trouve cette fois pas le cadre (10e). Ensuite sur un coup franc de 30 m de Cohade claqué en corner par Catherine (18e). Enfin par Mouloungui dont le coup franc est péniblement repoussé par un Catherine obligé de s'employer du pied sur la reprise à 20 m de Johansen (29e). Sans distiller un jeu lumineux de nature à éblouir la petite chambrée de la Meinau, la lanterne rouge tourangelle a, elle, éclairé son jeu de quelques étincelles. Grâce, surtout, à la vivacité de son unique attaquant. Ce matin, Ghislain Gimbert, qui avait subtilisé le ballon dans une lutte avec Stéphane Cassard, puis l'avait poussé dans le but vide, doit se demander pourquoi ce but lui a été refusé (23e). Un avertissement qui ne restera pas sans frais : 9 minutes plus tard, Gimbert inscrit un but qui ne doit rien à personne, d'une superbe tête décroisée après un centre de Mareval (32e). Il sortira à 10 minutes de la fin sous les applaudissements de la Meinau, d'ordinaire peu encline à saluer la performance des visiteurs. C'est tout dire. A une demi-heure de la fin, Devaux remplace Deroff et le schéma strasbourgeois opère une mutation en 3-5-2. Sans effet immédiat. La banderole «La montée, vous y pensez ? » fait sa réapparition. Elle est de saison. Les minutes passent et n'augurent rien de bon. Mais Joao va provoquer la réussite en arrachant un ballon improbable aux 16 m pour ajuster d'une superbe frappe enveloppée la lucarne d'un Catherine scotché sur ses appuis (82e). Le premier but du Brésilien depuis son arrivée.
Joao, première !
Le RCS peut s'estimer heureux d'avoir résisté au vent de la défaite qui commençait à défriser son public. Et comme il est dit que la réussite lui colle aux crampons cette saison, il va, trois minutes plus tard, assommer des Tourangeaux bien malheureux. Yachir, entré un peu plus tôt et sorti juste après sur blessure, centre fort devant le but. Tout le monde rate le ballon, sauf Tum, tout seul au second poteau et qui hérite de l'offrande pour marquer sans opposition son 5e but. Un but qui vaut de l'or, tout comme le sauvetage de Bellaïd sur sa ligne, après un tir à bout portant de Vairelles (84e), entre les deux buts strasbourgeois. Une fois encore, les Bleus sont passés par un trou de souris. Le proverbe dit que la chance sourit aux audacieux. Pas seulement…