[Ex] Pierre Ducrocq

[supppourtjs]

Prochain match sur la banc et Damour titulaire.

[fab]

Soit Ducrocq est pas au niveau en milieu, mais rien ne montre que damour soit meilleur. ça sent le jeune surcoté!

[fan_racing]

Ducrocq est moyen à  médiocre dans l'axe de la défense, ridicule en latéral droit et mauvais en milieu défensif. Pour un mec qui se dit pote du coach, et qui n'avait par ailleurs pas l'air d'un guignol en Ligue 1, je trouve ça un peu gros. Il veut pas aller voir ailleurs, ou alors il a compris que personne ne voulait de lui ?

[Keating]

« On va régler le problème »

Pierre Ducrocq, installé dans l'équipe de base du Racing de manière ininterrompue depuis plus d'un mois, décrypte les clés du match au sommet de cette dix-huitième journée de L 2. Le joueur à  vocation défensive veut croire que la venue de Boulogne, lundi à  la Meinau, permettra aux siens de boucler l'année en beauté, sur la deuxième marche du podium.

ENJEU. - Quand le troisième du Championnat accueille le deuxième, avec la perspective de lui ravir son fauteuil de dauphin, les longs discours ne sont pas nécessaires. Pierre Ducrocq, qui n'a pas manqué un rendez-vous strasbourgeois depuis le 17 novembre et le déplacement à  Metz, connaît toute l'importance de ce choc.

« Il est important de clôturer la première partie de saison sur une bonne note et de partir en vacances avec le sentiment du devoir accompli, dit le Parisien. Si on gagne, on totalise 33 points et on reste dans le sillage de Lens. En août dernier, on aurait tous signé - entraîneur, joueurs, dirigeants et supporteurs - pour ce scénario. »
Ducrocq se refuse toutefois à  dramatiser, même si la rencontre venait à  tourner en sa défaveur : « On n'est pas idiot. On ne va pas passer d'un excellent début de championnat, en cas de victoire, à  une demi-saison moyenne si l'on perd, même si une contre-performance nous laisserait un goût amer. »

ETAT D'ESPRIT. - En mal de victoire en L 2 depuis le 7 novembre et la venue de Tours (4-0), le Racing n'a pas souvent été à  la hauteur en termes d'engagement et de volonté. Ducrocq veut croire que lui-même et ses coéquipiers sont repartis sur de bons rails.
« Le nul ramené d'Amiens (1-1, 17e journée) nous a permis de repartir de l'avant, assure-t-il. Après, il est vrai que nous avons été défaillants contre Sedan (2-4, 8e tour de la Coupe de France). Cette élimination est peut-être un mal pour un bien. Sans vouloir porter la scoumoune, l'amour-propre et la fierté permettent généralement de réaliser un bon match après une grosse désillusion. »
Cette semaine à  l'entraînement, le numéro 23 du Racing croit avoir décelé « beaucoup de gnac et d'envie. »

POIDS DES ABSENTS. - Même si Bah et Gargorov sont jugés aptes, quatre joueurs restent toujours à  l'infirmerie. Aux forfaits de Shereni, Pelé, Othon et Marcos s'ajoute la suspension de Cohade.
« Notre coup de moins bien n'est pas le fait du hasard, poursuit-il. L'absence d'autant de joueurs ne peut être palliée aussi facilement. A ceux qui rentrent, il faudrait laisser du temps. Mais en Championnat, tu n'en as pas. Là , nous enregistrons deux retours. Et à  la reprise, tout le monde devrait être opérationnel. »

FRIABILITE DE LA DEFENSE. - Trois buts à  Metz, deux contre Guingamp et encore trois aux dépens de Sedan : l'arrière-garde alsacienne, gage de sécurité l'été dernier, a du plomb dans l'aile. « On en a beaucoup parlé entre nous cette semaine, c'est un des points sur lesquels il faut appuyer, reconnaît l'actuelle sentinelle devant la défense. On en est conscient, on est prévenu, on va régler le problème. »

L'ADVERSAIRE. - Installé dans une spirale positive, Boulogne - qui compte deux longueurs d'avance sur le Racing - est la meilleure équipe à  l'extérieur en L 2. Ducrocq s'en méfie. « J'ai beaucoup de respect pour eux, dit-il. Cela me fait penser au parcours de Nancy en L1. On pense que ça ne va pas durer et il continue de taquiner les gros. Les Boulonnais se reposent sur un vécu commun, qu'ils se sont forgé lors de la montée en L 2 puis du maintien l'an dernier. Sur ce plan-là , ils sont en avance sur nous. »

Pierre Ducrocq estime que si son équipe parvient « à  être irréprochable et à  afficher la même volonté que Boulogne », l'année alsacienne ne devrait pas se terminer en eau de boudin. « C'est ancré dans nos têtes, on veut bien finir », conclut-il. Puisse-t-il être entendu par tous.

[argueti]

Ducrocq dans le tempo

Le triste match nul concédé samedi à  la Meinau face à  une vaillante équipe dijonnaise ne fait pas forcément les affaires du Racing. Reste quelques satisfactions individuelles, dont la prestation rassurante de Pierre Ducrocq en défense centrale.

Pas toujours titulaire, souvent critiqué et régulièrement ballotté au gré des postes défensifs, Pierre Ducrocq n'avait pas forcément donné sa pleine mesure depuis son arrivée au Racing, à  la fin du mercato de l'été 2007. Samedi, dans le marasme d'une froide après-midi un peu tristounette, il a été l'une des rares satisfactions strasbourgeoises en faisant plus que proprement « le métier » en défense centrale.

« Avec ce terrain, tu as peur de te jeter dans la bataille »

Quelques tacles bien sentis, l'une ou l'autre interceptions judicieuses et des relances correctes, Pierre Ducrocq a plutôt maîtrisé son sujet. A côté d'un Grégory Paisley rapidement diminué - « il a pris un coup à  la tempe. C'était risqué de le laisser aller au bout parce qu'il n'avait pas toute sa lucidité », avouera Furlan à  la fin du match » -, Ducrocq a fait preuve de beaucoup de présence, surtout quand il a fallu parer au plus pressé. « Avec ce terrain, techniquement, c'était très dur. Les attaquants n'ont pas d'appuis et hésitent à  déclencher leur frappe et, en défense, tu as un peu peur de te jeter dans la bataille. Si le mec fait un crochet et que tu glisses, tu ne reviens plus. Du coup, tu penses plus à  assurer, à  gérer », expose le joueur formé au PSG. Le défenseur ne cherche pas pour autant des excuses après la décevante prestation de son équipe. Il sait qu'une pelouse gelée n'explique pas tout dans la contre-performance alsacienne. « C'est un non match, je pense qu'on n'a pas réussi à  se transcender. Mentalement, il nous manquait ce petit plus », reconnaît-il. Contrairement au reste du collectif alsacien, Ducrocq semble toutefois plus à  l'aise actuellement qu'il ne l'était en début de saison, quand il était parfois passé à  côté de son sujet, notamment sur le flanc droit en lieu et place de Szelesi. « Le fait de changer de poste, c'est dur, mais c'est très enrichissant. Après quand tu ne joues pas à  ton poste habituel, il te manque forcément des compétences. Mais c'est comme ça, je pallie à  chaque fois qu'il y a des manques », explique simplement l'intéressé.

« Le championnat sera serré jusqu'au bout »

Malgré sa formation de milieu défensif, Pierre Ducrocq pense que son poste de prédilection, actuellement, est celui de défenseur central. Un poste où il avoue « prendre du plaisir », surtout à  côté d'un Paisley qu'il « connaît par coeur ». Et il n'est pas question pour lui de baisser la tête, surtout que se profilent à  l'horizon deux déplacements périlleux à  Reims, puis à  Bastia. « De toutes façons, le championnat sera serré jusqu'au bout, estime le Strasbourgeois d'adoption, et ce point décroché face à  Dijon sera peut être utile en fin de compte ».

Barbara Schuster

[Bou]

Il n'avait pas joue depuis janvier ?

[télésupporteur]

peut'on appeler sa prestation d'hier jouer

[argueti]

Archi nul et archi lent !

[Keating]

peut'on appeler sa prestation d'hier jouer

bis répétita ....

[Hans]

Impressionnant de voir à  quel point il est nul ...