[DNA] François Namur

[mérinos]

Ne trouvez-vous pas que, surfant sur la vague de morosité ambiante (crise financière), Mr Namur en rajoute un peu beaucoup en écrivant son compte rendu de la soirée d'hier ?? Quel catastrophisme ! C'est une constante chez les DNA, mais dés qu'une victoire sanctionne un match, on crie au génie, et dés qu'une défaite surgit, on casse, on se moque, on s'alarme outrancièrement. Pour ma part, j'en ai assez. Comment donner du crédit à  ce genre d'article, quand on sait qu'une équipe traverse toujours des trous d'air au cours d'une saison (même le grand Nantes d'il y a quelques années où la 1ère équipe à  l'avoir battu était le RCS au bout de, je crois, une vingtaine de journées : qu'aurait écrit Mr Namur, ce jour là  ? Mostovoï, président ??).
Et vous, qu'en pensez-vous ?

[Keating]

Je remets l'article ici, ça pourra aider

Le Racing tombe de haut
Invaincus jusqu'alors, les Strasbourgeois ont complètement naufragé sur le terrain de l'un des petits poucets de la L 2. Sans anéantir un début de saison qui le maintient dans le trio de tête, l'échec pose les limites d'une équipe impuissante, hier, à  Angers.

Il ne s'agit pas de brûler ce matin ce que l'on a pu porter aux nues depuis le 1er août. Mais le leader strasbourgeois a présenté un visage bigrement vilain, hier, au stade Jean Bouin, face à  un adversaire angevin qui n'avait rien d'un foudre de guerre.
Incapable de marquer un but à  une défense construite de bric et de broc - en raison d'une douzaine d'absences - concédant trois buts à  une équipe qui n'avait pas marqué depuis trois matches, le Racing n'est plus invaincu au terme de la 10e journée. On pourrait se contenter du bilan méritoire alors que s'est achevé, hier, le premier quart du championnat.
On est obligé de retenir les images assez pathétiques d'un onze sans âme avant la pause, emporté dans le tourbillon au retour des vestiaires, ayant vaguement tenté de réagir pendant dix minutes à  2-0. Pour le reste, c'est rideau, néant et inquiétant.

Jean-Marc Furlan a préféré retenir la constance dans la médiocrité de son équipe en déplacement. « On a toujours souffert à  l'extérieur, on a arraché des points jusqu'ici, a-t-il souligné, un étonnant sourire au coin des lèvres. Si on peut s'appuyer sur de réelles qualités à  domicile, en déplacement, on se retrouve avec une équipe qui réagit. On n'a pas encore trouvé la bonne formule. On va peut-être devoir lutter à  l'extérieur jusqu'au bout de la saison. »
Assurément, il faudra s'y prendre autrement pour envisager une remontée sans trop d'angoisse. Car, ayant pris le match à  l'envers, se contentant de tricoter un jeu chatoyant, mais sans aucune efficacité, le Racing livrait le flanc aux morts-de-faim angevins.
Et le souci de densifier les rangs des combattants se révélait à  ce moment assez surprenant, avec Jean-Alain Fanchone en lieu et place de son cousin James, meilleur buteur de la L 2 cantonné au banc, ce qui a de quoi surprendre vous en conviendrez.
Le trio Cohade-Shereni-Othon apparaissait bien permissif et les latéraux en difficulté à  chaque fois que Diers et Brunel se lançaient à  l'offensive. La 1re mi-temps se passait sans encombre pour le visiteur et le SCO d'Angers n'avait pas vraiment obtenu ce qu'il méritait.

Il ne tardait pas à  le récolter après le passage aux vestiaires, dont le Racing revenait avec le même encéphalogramme plat. Brunel tirait le premier sur un service parfait d'Alo'o Efoulou. Diers, sur une frappe surpuissante, lui emboîtait le pas. Et les Strasbourgeois ne parvenaient alors à  exister qu'une dizaine de minutes, histoire de faire illusion et de rappeler qu'ils portaient le maillot jaune du championnat de L 2.
La tunique dorée ne tient plus qu'à  un fil ce matin. Ou tout du moins jusqu'à  lundi soir. Car si Boulogne, tenu en échec à  Vannes, et Metz, qui a ramené le nul de Châteauroux, n'ont pas complètement profité de l'échec alsacien, Lens a la place de leader dans le viseur.
Les Sang et Or reçoivent Guingamp, un mal loti, et, en cas de victoire, chiperaient aux Strasbourgeois la place de leader occupé depuis le 8 août. Dans le fond, ce ne serait que mérité pour le Racing. L'humiliation angevine ne peut décemment rester sans conséquence.

François Namur

Je ne trouve pas cet article alarmiste, car je trouve que cela fait beaucoup de matchs que le Racing est sur la corde raide à  l'extérieur ... On contraire, on a surement trop encensé la victoire de lundi. Cet article met bien en avant les défauts de cet équipe, le manque d'envie pratiqué à  l'extérieur qu'on retrouve à  chaque match ...

[Roswell Man]

Il en rajoute un peu sans doute, mais tous les journalistes sportifs réagissent ainsi quand ils écrivent sur leur équipe favorite (je connais, j'ai fréquenté le milieu pendant 8 ans)....

[Tenor]

J'apprécie ce genre de résumé.
Le journaliste est bien là  pour relater au lecteur ce qu'il a vu, en rajoutant une petite touche personnelle.
Pourquoi l'en priver ?

[NéRiK]

Pareil, rien de choquant, c'est juste une réalité.

[Phapha]

Je ne trouve pas qu'il en rajoute trop. Ne demandons pas aux journalistes d'être moins sévères que nous...

[Roswell Man]

"Pathétiques", "encéphalogramme plat"... On ne peut pas dire qu'il fasse dans la nuance quand même. Entre parenthèses on n'aurait jamais lu des trucs comme ça dans un article de Jean-Pierre Meyer il y a 20 ans

[Tenor]

[Seb T.]

Ne trouvez-vous pas que, surfant sur la vague de morosité ambiante (crise financière), Mr Namur en rajoute un peu beaucoup en écrivant son compte rendu de la soirée d'hier ?? Quel catastrophisme ! C'est une constante chez les DNA, mais dés qu'une victoire sanctionne un match, on crie au génie, et dés qu'une défaite surgit, on casse, on se moque, on s'alarme outrancièrement. Pour ma part, j'en ai assez. Comment donner du crédit à  ce genre d'article, quand on sait qu'une équipe traverse toujours des trous d'air au cours d'une saison (même le grand Nantes d'il y a quelques années où la 1ère équipe à  l'avoir battu était le RCS au bout de, je crois, une vingtaine de journées : qu'aurait écrit Mr Namur, ce jour là  ? Mostovoï, président ??).
Et vous, qu'en pensez-vous ?

Ca reste les DNA, dès qu'ils parlent du Racing, celà  reste des articles moyens écrits par des journalistes moyens qui connaissent le foot comme ma grand mère, c'est pas très nouveau et celà  dure depuis des années...

Je ne suis pas surpris...

[Seb T.]

Ne trouvez-vous pas que, surfant sur la vague de morosité ambiante (crise financière), Mr Namur en rajoute un peu beaucoup en écrivant son compte rendu de la soirée d'hier ?? Quel catastrophisme ! C'est une constante chez les DNA, mais dés qu'une victoire sanctionne un match, on crie au génie, et dés qu'une défaite surgit, on casse, on se moque, on s'alarme outrancièrement. Pour ma part, j'en ai assez. Comment donner du crédit à  ce genre d'article, quand on sait qu'une équipe traverse toujours des trous d'air au cours d'une saison (même le grand Nantes d'il y a quelques années où la 1ère équipe à  l'avoir battu était le RCS au bout de, je crois, une vingtaine de journées : qu'aurait écrit Mr Namur, ce jour là  ? Mostovoï, président ??).
Et vous, qu'en pensez-vous ?

Ca reste les DNA, dès qu'ils parlent du Racing, celà  reste des articles moyens écrits par des journalistes moyens qui connaissent le foot comme ma grand mère, c'est pas très nouveau et celà  dure depuis des années...

Je ne suis pas surpris mais j'apprécie le fait que l'on soigne pas une fois de plus le mal du Racing avec une vielle pommade...

A la limite, je trouve celà  bon de leur rentrer une peu dedans...