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Pas d'entraineur en vue ...
Plus le temps passe et plus la candidature Gress semble prendre du plomb dans l'aile. Et plus le temps passe, plus celles de Laszlo Boloni, que Marc Keller a reçu mardi, et d'Antoine Kombouaré montent en puissance.
--------------------------------------------------------------------------------On avance à petits pas. « Nous prenons notre temps », répète à l'envi Marc Keller, le directeur général du Racing, désireux de ne pas se tromper. Mardi après-midi, il a (très) longuement reçu Laszlo Boloni, le futur-ex entraîneur roumain du Sporting du Portugal. En fin de contrat avec le club lisboète, le technicien (dont nous évoquions les contacts avec le Racing dès le 25 avril dernier), passé par le centre de formation de Nancy avant d'être nommé responsable de l'équipe première, s'est dit « très intéressé par le défi à relever en Alsace » selon nos confrères roumains. Seul hic, ses prétentions financières actuelles...
Gress, le deuxième choix ?
Mais beaucoup d'indices plaident en sa faveur. « Nous voulons quelqu'un de respecté en Alsace, formateur de plus », indiquait Marc Keller avant le match de Lyon. Et si ce portrait-robot pouvait alors coller aux basques de Gilbert Gress et de Raymond Domenech, le deuxième avait vite opposé un « niet » sur sa possible désignation comme successeur d'Ivan Hasek. Quant au premier, tout près de signer son contrat en début de semaine dernière, il semble être en passe de payer des déclarations peu amènes pour Patrick Proisy. Aujourd'hui, il pourrait ne plus être que le deuxième choix pour le trio Adler, Gindorf et Keller. Son indépendance de caractère et de parole aurait fait grincer quelques dents du côté du siège du Racing.
Un formateur
Depuis, la cote de Laszlo Boloni monte. Mythe dans son pays, l'homme aux 108 sélections, vainqueur de la Coupe d'Europe des Clubs Champions avec le Steaua Bucarest en 1986 (aux tirs au but face à Barcelone), est un formateur. Pendant deux saisons (1992 à 1994), il avait d'abord été responsable de la formation à Nancy avant de passer le relais à Jacky Bonnevay, un proche de... Marc Keller. Ensuite, pendant six ans, il s'était occupé de l'équipe première de l'ASNL connaissant deux montées en division 1 et deux descentes en division 2. La dernière à la fin de la saison 1999-2000 pour un goal-average défavorable de... deux buts. Laszlo Boloni présente aussi l'avantage d'être francophile. Il a terminé sa carrière de joueur à Créteil, puis à Orléans. Sa femme et sa fille résidant toujours à Nancy. De plus, à son époque lorraine, le Roumain multipliait les stages du côté de Munster. D'où un lien assez ténu avec l'Alsace.
Kombouaré, l'invité-surprise
Si la cote de Laszlo Boloni est en hausse, celle d'Antoine Kombouaré (voir DNL du 12/5) est réelle. Le responsable du centre de formation du Paris SG depuis quatre saisons, où il a notamment sorti Ogbèche et, plus récemment, Cana et Lucau, était pressenti pour succéder à Luis Fernandez. C'était le souhait de Laurent Perpère, futur ex président du club de la capitale. Son remplacement par Francis Graille a changé la donne. A 39 ans, l'ex-joueur du PSG, de Sion et d'Aberdeen, a émis le souhait d'évoluer dans sa profession, de prendre en charge une équipe première donc. Doté d'une grosse force de caractère selon ses propres dirigeants, il allie poigne de fer et discrétion tout en détestant voir s'éterniser les conflits au sein de son effectif. En fin de contrat avec le club parisien - qui lui aurait proposé un poste d'adjoint à Vahid Halilhodzic - il devrait toutefois rapidement rencontrer Marc Keller. Un premier contact téléphonique aurait même eu lieu en début de semaine...
Giresse dans l'attente
Quant à Alain Giresse, il en est toujours au stade de l'attente. « Je suis toujours intéressé par Strasbourg, mais c'est le club alsacien qui décide s'il a envie de me recevoir et quand », se borne-t-il à déclarer. L'entraîneur de Rabat reste, lui aussi, en course pour la succession d'Ivan Hasek. D'autres pistes, évoquées du bout des lèvres par Marc Keller la semaine passée, restent encore d'actualité : celles qui mèneraient à Philippe Bergeroo, Jacky Bonnevay ou à Christian Gourcuff. Mais aucune annonce officielle ne devrait intervenir avant le milieu de la semaine prochaine...
--------------------------------------------------------------------------------On avance à petits pas. « Nous prenons notre temps », répète à l'envi Marc Keller, le directeur général du Racing, désireux de ne pas se tromper. Mardi après-midi, il a (très) longuement reçu Laszlo Boloni, le futur-ex entraîneur roumain du Sporting du Portugal. En fin de contrat avec le club lisboète, le technicien (dont nous évoquions les contacts avec le Racing dès le 25 avril dernier), passé par le centre de formation de Nancy avant d'être nommé responsable de l'équipe première, s'est dit « très intéressé par le défi à relever en Alsace » selon nos confrères roumains. Seul hic, ses prétentions financières actuelles...
Gress, le deuxième choix ?
Mais beaucoup d'indices plaident en sa faveur. « Nous voulons quelqu'un de respecté en Alsace, formateur de plus », indiquait Marc Keller avant le match de Lyon. Et si ce portrait-robot pouvait alors coller aux basques de Gilbert Gress et de Raymond Domenech, le deuxième avait vite opposé un « niet » sur sa possible désignation comme successeur d'Ivan Hasek. Quant au premier, tout près de signer son contrat en début de semaine dernière, il semble être en passe de payer des déclarations peu amènes pour Patrick Proisy. Aujourd'hui, il pourrait ne plus être que le deuxième choix pour le trio Adler, Gindorf et Keller. Son indépendance de caractère et de parole aurait fait grincer quelques dents du côté du siège du Racing.
Un formateur
Depuis, la cote de Laszlo Boloni monte. Mythe dans son pays, l'homme aux 108 sélections, vainqueur de la Coupe d'Europe des Clubs Champions avec le Steaua Bucarest en 1986 (aux tirs au but face à Barcelone), est un formateur. Pendant deux saisons (1992 à 1994), il avait d'abord été responsable de la formation à Nancy avant de passer le relais à Jacky Bonnevay, un proche de... Marc Keller. Ensuite, pendant six ans, il s'était occupé de l'équipe première de l'ASNL connaissant deux montées en division 1 et deux descentes en division 2. La dernière à la fin de la saison 1999-2000 pour un goal-average défavorable de... deux buts. Laszlo Boloni présente aussi l'avantage d'être francophile. Il a terminé sa carrière de joueur à Créteil, puis à Orléans. Sa femme et sa fille résidant toujours à Nancy. De plus, à son époque lorraine, le Roumain multipliait les stages du côté de Munster. D'où un lien assez ténu avec l'Alsace.
Kombouaré, l'invité-surprise
Si la cote de Laszlo Boloni est en hausse, celle d'Antoine Kombouaré (voir DNL du 12/5) est réelle. Le responsable du centre de formation du Paris SG depuis quatre saisons, où il a notamment sorti Ogbèche et, plus récemment, Cana et Lucau, était pressenti pour succéder à Luis Fernandez. C'était le souhait de Laurent Perpère, futur ex président du club de la capitale. Son remplacement par Francis Graille a changé la donne. A 39 ans, l'ex-joueur du PSG, de Sion et d'Aberdeen, a émis le souhait d'évoluer dans sa profession, de prendre en charge une équipe première donc. Doté d'une grosse force de caractère selon ses propres dirigeants, il allie poigne de fer et discrétion tout en détestant voir s'éterniser les conflits au sein de son effectif. En fin de contrat avec le club parisien - qui lui aurait proposé un poste d'adjoint à Vahid Halilhodzic - il devrait toutefois rapidement rencontrer Marc Keller. Un premier contact téléphonique aurait même eu lieu en début de semaine...
Giresse dans l'attente
Quant à Alain Giresse, il en est toujours au stade de l'attente. « Je suis toujours intéressé par Strasbourg, mais c'est le club alsacien qui décide s'il a envie de me recevoir et quand », se borne-t-il à déclarer. L'entraîneur de Rabat reste, lui aussi, en course pour la succession d'Ivan Hasek. D'autres pistes, évoquées du bout des lèvres par Marc Keller la semaine passée, restent encore d'actualité : celles qui mèneraient à Philippe Bergeroo, Jacky Bonnevay ou à Christian Gourcuff. Mais aucune annonce officielle ne devrait intervenir avant le milieu de la semaine prochaine...
- Sam.
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bah, honntement, apres wenger et gress, je pense que koumbare serait p etre le choix le moins pire... j'entends par la qu'etant un parfait inconnu, il part avec un handicap certain et ne peut donc qu'etre une bonne surprise...en plus il pourrait prendre ogbeche dans ses valises
Sam.
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Viva Gonzalo "El Buffalo" Belloso !!!
Le plus grand numero 13 de tout les temps !!!
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- Maneo
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