[Ex] Benjamin Genghini

[silex57]

Ouais sinon ça reviendrait à dire que les joueurs de Barcelone sont des chèvres vu qu'ils sont tributaires de Messi. .

Franchement sur ce que l'on a vu hier j'irais pas a chevre mais moyens pour certains.

[Tenor]

ce qui équivaut à dire que le joueur moyen, donc pas titulaire et assis sur le banc en CFA est de niveau CFA2, voir de DH

[Gotcha]

bien content de l'avoir vu entrer en jeu ce soir après cette grosse blessure, c'était une surprise pour moi je ne le savais pas rétabli !

[RACING1906]

Il figurait déjà sur la liste des remplaçants pour le premier match...

[RACING1906]

SORTI DE L'ENFER

Accablé par les blessures la saison passée, Benjamin Genghini a enfin fait son retour, vendredi dernier, à la Meinau. Et le milieu de terrain compte poursuivre sur sa lancée…

Pour Benjamin Genghini, la saison 2012/2013 a tout d’une blague. Mais une très, très mauvaise blague. Alors même s’il n’a joué que quatre petites minutes, vendredi dernier, face à Uzès, le milieu offensif a la “banane”. « Retrouver le groupe, le vestiaire et revenir à la Meinau… Ça fait vraiment du bien », lance le joueur, sans bouder son plaisir.

Il faut dire que Benjamin Genghini, 27 ans, revient de l’enfer, ou presque. Après un été 2012 plutôt réussi, le joueur a en effet quasiment connu une saison blanche en CFA. La faute à une poisse tenace, qui lui a collé aux crampons toute la saison.

Lors de la 5e journée, face à Nancy II, le milieu de terrain se blesse au pouce. Il doit ensuite patienter deux mois avant de retrouver les terrains. Et le sort s’acharne : à peine revenu de blessure, il voit rouge face à Auxerre II et écope de trois matches de suspension.

« J’ai ensuite fait beaucoup d’efforts pour retrouver le rythme. J’ai bien bossé pendant la trêve de Noël », raconte le milieu de terrain. Il retrouve finalement une place de titulaire en janvier et inscrit notamment le but de la victoire face à La Duchère (1-0). Une joie de courte durée, le milieu se blessant quelques jours plus tard au tendon d’Achille.

« C’était très dur à vivre, soupire le milieu de terrain. Après la rupture du tendon d’Achille, j’ai pris un gros coup au moral. J’avais fait tellement d’efforts pour revenir… ».

« Le CFA 2 et le CFA, ça nous a fait grandir »
Aidé par sa copine et sa famille, Benjamin Genghini remonte lentement la pente. « Je me suis soigné correctement, j’ai fait les choses dans l’ordre », raconte encore celui qui dit n’avoir aujourd’hui « plus aucune douleur ni aucune appréhension ».

Mais pas question, pour autant, de s’emballer outre mesure. « Redevenir titulaire ? Chaque chose en son temps, tempère-t-il. Forcément, j’ai très envie de jouer, mais il reste beaucoup de boulot. Et puis, tant que l’équipe tourne et gagne, ça me convient », lance-t-il. On l’aura compris, celui qui fait désormais partie des “anciens” de la maison Racing (avec Sikimic, Ledy ou Kéhi) se sent bien en Alsace.

« Je pense qu’on a tous grandi, évoque-t-il en parlant de l’équipe. Jouer en CFA 2, puis en CFA, c’était très compliqué et ça nous a fait mûrir ».

Tout en créant une dynamique positive, qui a permis d’enchaîner deux montées successives. « On est content, bien sûr. On a fait une grosse partie du boulot, mais on ne veut pas rester là-dessus. Le National c’est bien, mais ce n’est pas la place du Racing. On est tous ambitieux et on rêve de toucher la Ligue 2 », ajoute encore Genghini.

Mais la route est encore très longue pour un Racing en reconstruction, comme le reconnaît aussi le milieu de terrain.

« On revient de loin et on est un outsider dans ce championnat. D’abord, il faut assurer le maintien et ensuite on verra… Si dans quelques mois on est bien classé et que la montée reste jouable, pourquoi ne pas y croire ? On dit bien “Jamais deux sans trois” », se marre le Strasbourgeois.

Mais avant de penser au verdict du mois de mai, la prochaine échéance qui attend les Alsaciens est ce déplacement à Fréjus.

« Ce sera un test, bien entendu, mais ça reste un match comme les autres. On est serein et on y va pour prendre des points », expose simplement le joueur formé à Sochaux. Et s’il peut contribuer à ramener quelque chose de Fréjus – ne serait-ce qu’en jouant cinq minutes – Benjamin Genghini ne dira pas non…

DNA

[Kaniber]

S'il revient en forme comme avant sa blessure , il fera un grand bien a l'équipe

[Kaniber]

Genghini voit le bout…

Gravement blessé il y a tout juste un an, Benjamin Genghini a connu un début de saison délicat. Revenu en forme après la trêve, le milieu de terrain espère faire bien mieux en cette année 2014.

L’année 2013 ne restera pas dans les annales personnelles de Benjamin Genghini. Hormis – peut-être – ces deux matches disputés en janvier (face à Lyon-Duchère, puis Grenoble), où le lutin du milieu de terrain avait fait du bon “taf”. Mais la suite avait ensuite été compliquée : gravement blessé à l’entraînement (rupture du tendon d’Achille), Genghini avait passé de long mois à se soigner et se rééduquer, avant de reprendre le foot en juillet.

«Je me suis posé pas mal de questions»

Après des matches de préparation plutôt encourageants, “Benji” avait réintégré le groupe. D’abord en tant que remplaçant, puis comme titulaire, face à Vannes, début septembre. Et puis… rien, ou presque. « Après ce match à Vannes (où Genghini avait marqué, ndlr) , je pensais que ça irait, j’étais bien. Mais j’ai eu un contrecoup. Je pense que j’ai payé tous les efforts fournis pour revenir », explique l’intéressé.

S’en suivent des mois compliqués, où Benjamin Genghini disparaît des feuilles de matches de National. « Ce n’était pas facile à vivre. J’ai eu des coups de moins bien, mais j’ai bossé et je suis revenu peu à peu », raconte le n° 10 alsacien. Avant de concéder : « À un moment donné, je n’étais plus du tout dans le groupe et je me suis posé pas mal de questions ».

Mais François Keller sait alors trouver les mots pour relancer le milieu de terrain. « Il m’a dit qu’il avait toujours confiance en moi, mais que je devais retrouver mon niveau affiché lors des six premiers mois en CFA, précise Benjamin Genghini. Du coup, je savais ce qu’on attendait de moi, ça m’a rassuré ».

Reste que le milieu offensif vit mal le début de l’hiver, quand l’équipe strasbourgeoise accumule les contre-performances. « On veut aider, mais on n’y arrive pas. Voir les copains perdre en restant à la maison, c’était dur », souffle le joueur de 28 ans. Mais la roue a finalement tourné, pour le Racing comme pour Genghini.

Titulaire – pour la 4e fois de la saison – lors de la réception de Colomiers, le milieu de terrain se rappelle au bon souvenir de la Meinau en réalisant un match plus que correct, ponctué d’une victoire précieuse.

« C’était ma première titularisation depuis le match face à Luçon (le 20 septembre, ndlr). Je me suis senti en forme, ça va… J’ai bien travaillé depuis la reprise et je sens que ça revient, souligne-t-il. Et j’étais heureux que le coach me refasse confiance ».

Mais Benjamin Genghini sait que le chemin est encore long en cette année 2014. « Personnellement, ça m’a fait plaisir de retrouver le groupe, le terrain, mais il faut prouver à chaque match », lâche Genghini, conscient de pouvoir faire encore mieux. « J’aime évoluer côté droit, côté gauche, pour pouvoir repiquer et provoquer. Mais ces derniers temps il me manquait de la vivacité, je n’étais pas encore à 100 % », reconnaît aussi le milieu de terrain formé à Sochaux.

Reste que Genghini l’affirme haut et fort : ses objectifs sont avant tout collectifs. « Être maintenu le plus vite possible c’est le seul objectif, lance-t-il quand on évoque cette deuxième partie de saison. Après, mon but personnel est de jouer le plus possible, en essayant d’être décisif… Mais l’essentiel, ça reste de décrocher la victoire ».

[RACING1906]

"BEN" A LA BONNE HEURE

Aligné d’entrée le 10 janvier contre Colomiers, quatre mois après sa précédente titularisation, Benjamin Genghini a justifié la confiance de son entraîneur. Un retour en forme un an pile après sa rupture du tendon d’Achille, qui ne lui garantit cependant pas de démarrer demain (19 h) à Uzès pour la 18e journée de National.

Il avait disparu des écrans radar. Après sa rupture du tendon d’Achille gauche, le 12 janvier 2013 contre Grenoble, Benjamin Genghini, qui avait repris avec le groupe à l’été, puis peu à peu gagné du temps de jeu jusqu’à aligner trois titularisations (contre Vannes où il avait inscrit le premier des deux buts du succès strasbourgeois, puis au Paris FC et face à Luçon), avait subi un vilain contrecoup. Celui-là même auquel sont souvent confrontés à leur retour les blessés longue durée.

Pendant plus de deux mois, après le nul 1-1 contre Luçon le 20 septembre, le Riedisheimois n’est pratiquement plus apparu sur une feuille de match, sauf pour y jouer les utilités. Mais il a fini par refaire surface. Auteur d’entrées prometteuses face au Poiré-sur-Vie le 13 décembre (1-3), puis à Dunkerque le 20 (0-0), il a honoré sa 4e titularisation le 10 janvier contre Colomiers (2-0). Impliqué sur le premier but de Dimitri Lienard, il a retrouvé les dribbles qui sont sa marque de fabrique. « J’aime évoluer sur les côtés pour repiquer à l’intérieur et ouvrir des espaces pour mes latéraux. »

Loin de s’enflammer après cette embellie, « Ben » reconnaît avoir traversé des moments douloureux. « J’ai eu des coups de moins bien. Je sentais bien que je manquais de vivacité. Lorsque j’ai été titularisé contre Vannes le 7 septembre, j’ai cru que mes ennuis étaient finis après ma rupture du tendon d’Achille. Mais c’était loin d’être le cas. J’ai eu un contrecoup. Je n’étais pas au mieux. »

« Travailler avec des joueurs comme ça, c’est un régal »

François Keller, qui n’a pourtant pas à s’en plaindre, choisit alors de l’écarter. « Travailler avec des joueurs comme ça, c’est un régal. Benjamin est très respectueux, peut-être parce que son père est entraîneur. Mais à l’époque, il faisait partie, comme Omar Hassidou et Robin Binder, des joueurs que je faisais redescendre en DH et qui y étaient inexistants. Il a un profil pour être titulaire dans une équipe qui maîtrise le ballon, en particulier à domicile. Le match contre Colomiers lui a rappelé qu’il était capable de ce genre de prestation. Ça ne veut pas dire qu’il sera aligné d’entrée à Uzès. Mais il est de nouveau postulant aux 13 ou 14 premières places. »

Lorsqu’il était au creux de la vague, le milieu droit a sollicité une entrevue à son entraîneur. Il voulait être certain de n’être pas placardisé. « Le coach m’a éclairé, m’a dit qu’il me faisait confiance et attendait juste que je revienne au niveau. Christophe (Rempp, l’actionnaire conseiller sportif) m’a tenu le même discours. Je n’ai jamais senti que le club n’avait plus confiance en moi. Si je n’étais pas dans le groupe, c’est juste que je n’étais pas bon. Pour moi, c’était une période très dure, d’autant que l’équipe ne tournait pas. J’aurais voulu aider, mais même si j’avais été sur le terrain, je n’étais pas sûr de pouvoir apporter. Comme tout joueur qui ne joue pas, je me posais des tas de questions. Alors, quand j’ai su que le club comptait toujours sur moi, j’ai été soulagé. Plus posé aussi. J’ai compris que je ne travaillais pas pour rien. Le coach m’a progressivement remis dans le groupe. Ça fait plaisir de retrouver le terrain. À moi de bien me comporter à chaque fois qu’on fait appel à moi. »

Le temps a joué pour lui et remis dans la lumière les qualités qu’apprécie François Keller. « Ben est un joueur adroit, souvent décisif, qui a généralement de bonnes stats. » À défaut d’être le pur attaquant que le club recherche cet hiver, le Haut-Rhinois fait - surtout s’il reste sur cette dynamique - incontestablement partie des renforts hivernaux, comme les autres « revenants » Ludovic Golliard, Pacho Donzelot et Stanislas Oliveira, mais aussi les deux recrues Ali Bamba et Mamadou Bah.

L'ALSACE

[Gotcha]

absent de la feuille de match, il est à nouveau blessé ????

[PoY]

D'après MCS oui