hagui pourrait glisser a droite.................
par contre fahmi.........va avoir du mal a reprendre une place
[Ex] Jean-Christophe Devaux
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Vous l'avez aussi vu sur France 3 Alsace ce soir ? Il a recours à des séances avec un préparateur mental. Je trouve celà très professionnel de sa part. S'il a eu des hauts et des bas dans sa carrière c'est en grande partie dû à un mental fragile. J'espère qu'ainsi il pourra se maintenir à son niveau actuel. C'est un élément majeur du racing, c'est tout de même sa 5e saison sous le maillot bleu !
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Devaux aux soins
Sorti peu après la demi-heure de jeu à Toulouse, Jean-Christophe Devaux a dû se faire poser deux points de suture au niveau du coup de pied droit. Pendant que le reste du groupe effectuait un décrassage, ce jeudi matin, le défenseur central est resté aux soins. Il pourrait courir vendredi, mais sans toucher le ballon.
Sorti peu après la demi-heure de jeu à Toulouse, Jean-Christophe Devaux a dû se faire poser deux points de suture au niveau du coup de pied droit. Pendant que le reste du groupe effectuait un décrassage, ce jeudi matin, le défenseur central est resté aux soins. Il pourrait courir vendredi, mais sans toucher le ballon.
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Je comprends pas quand meme le pourquoi du comment Hagui n'a pas été titulaire ... Menagé en vue de RCS - ASM ?DNA a écrit :Devaux le généreux
Bousculée, chahutée par des dizaines de ballons en profondeur, la défense du Racing a tenu bon à Istres. Et Jean-Christophe Devaux, qui avait été préféré à Karim Hagui, n'a pas été ingrat.
« Sur ce match, il faut remercier notre défense. Elle a fait du bon boulot. A nous de lui rendre la monnaie de sa pièce. » Dans le rôle du distributeur de bons points, Mamadou Niang a été bavard, élogieux même, samedi soir.
Le lendemain, avant de satisfaire à la traditionnelle sieste d'après décrassage, Jean-Christophe Devaux est contrarié. « On avait un bon coup à jouer face à Istres, et rapporter enfin une victoire d'un déplacement. Mais c'est plus l'état du terrain que la manière dont nous avons joué qui m'irrite. »
Carotte et coup franc
Même si on a senti le Racing fébrile, un peu timide en deuxième période, il avance d'abord d'autres explications. « Les rares fois où nous avons pu jouer, où nous avons pu faire tourner le ballon, nous les sentions inquiets, mis en danger. Mais sur cette pelouse, il était impossible de jouer, s'emporte presque Jean-Christophe Devaux. Eux se sont contentés de longs ballons en profondeur. Ils ont joué la "carotte", en espérant un coup sort, un mauvais rebond pour nous surprendre. »
Sur le but égalisateur des Istréens dont il est à l'origine - M. Coué décidant de le sanctionner pour une intervention sur Bakayoko -, il s'énerverait presque. « Je suis au duel et je lui prends le ballon à la régulière. Il n'y a pas faute, assure-t-il. En plus, ils ont eu la chance que nous n'avons pas avec ce ballon contré. C'est rageant. »
« Je ne doute plus »
Un coup-franc d'autant plus rageant que Jean-Christophe Devaux, qui avait appris une heure avant le coup d'envoi qu'il serait titularisé, a réussi son match. A fait le métier. « Je m'attendais à ne pas jouer. Karim Hagui avait été bon. Cette marque de confiance du coach m'a touché, m'a vraiment fait plaisir. Il est bon de sentir la confiance autour de soi. Mais la concurrence ne me fait pas peur, elle me motive. »
Mais lui dont on disait qu'il était un roc sur le terrain, mais parfois friable mentalement en dehors, a changé. « J'ai plus confiance en moi, je sais mes qualités. Je ne me pose plus des tonnes de questions comme avant. Je ne doute plus. »
Même pas peur
La raison de ce brusque changement est douce. « Il y a quelques mois, la naissance de mon fils m'a changé. Je suis devenu quelqu'un d'autre. Et ça se ressent sur le terrain et dans la vie », avoue-t-il sans avoir à le forcer.
Sur le terrain, Jean-Christophe Devaux se dit heureux même si les points tombent au compte-gouttes dans l'escarcelle strasbourgeoise. « Le chemin est encore long pour le maintien, mais j'ai envie de l'accomplir. On y arrivera. »
La perspective d'affronter Monaco, sa série de cinq victoires d'affilée et de douze matches sans défaite toutes compétitions confondues, ne l'effraie pas vraiment. « On aime bien jouer les grosses équipes. » Quant à ses futurs opposants directs, il répond d'une phrase. « On saura s'en occuper », dit-il sur un ton décidé.
« Je ne me vois pas partir »
Le seul truc qui l'a titillé samedi soir, c'est sa relance. « J'ai perdu un ou deux ballons faciles. » Ce qu'il n'a pas envie de perdre, c'est aussi et surtout son identité strasbourgeoise.
« J'arrive en fin de contrat et je ne me vois pas partir d'ici. En plus, avec la naissance de mon fils, je n'ai pas la bougeotte. Et puis, un groupe est en train d'éclore. »
Plus mature, plus réfléchi, plus sûr de lui, le Jeannot nouveau est arrivé. Et ça date de quelques mois, donc. Il lui arrive encore et toujours d'écouter les conseils de Jacky Duguépéroux. « Il me demande surtout d'être sérieux, d'être appliqué. » Et, bien sûr, il les entend...
L'histoire est en marche ...

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