30 bornes depuis chez moi.. Je vais les voir, ou quand même pas ?Alsacien2 a écrit :Marseille (5e) : Stage à Capbreton (Landes) du 28 au 31 décembre.
[04/05] Championnat de Ligue 1 2004/2005
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Je trouve ça dommage que le stage soit annulé pour cause de CdF
cela aurait pu être bénéfique pour l'équipe pour se retrouver un peu loin de la Meinau après avoir passer les fëtes 
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Lyon
1er (39 points). - Cette saison plus que jamais, on sent les Lyonnais intouchables. Certes, leur avance au classement (même +9 par rapport à Monaco) ne les autorise pas à musarder en route, mais la richesse de leur effectif, l'expérience emmagasinée en Ligue des Champions, un collectif bien au point et le feeling de Paul Le Guen en font incontestablement le favori pour un 4e titre d'affilée.
Lille
2e (36 points). - C'est la pochette surprise de cette mi-championnat. Sans star, ni paillette, le LOSC est façonné à l'image de son entraîneur Claude Puel. Un roc sans n'Roll, une pugnacité de tous les instants, un rejet de la défaite. Et quand on sait que l'ancien Monégasque est un partisan du turn-over, sans que cela ne nuise à la bonne marche lilloise, on se dit que les Nordistes peuvent très bien aller au bout de leurs idées.
Auxerre
3e (32 points). - Boumsong, Mexes, Kapo et Cissé sont partis, mais l'AJA reste. Les joueurs de Guy Roux prennent un malin plaisir à venir jouer les trouble-fête. Encore une dizaine de points et le maintien sera acquis. Ça, c'est pour faire rire dans les chaumières bourguignonnes, car pour le reste, Auxerre au fond de jeu bien léché a les moyens de garder le contact avec les sommets. Même si elle semble parfois sujette à des trous d'air inexplicables.
Monaco
4e (30 points). - Avec un recrutement haut de gamme (Maicon, Kallon, Chevanton, Saviola), on attendait mieux du finaliste de la Ligue des Champions, malgré la perte de joueurs clés. Capable du meilleur comme du pire, l'ASM n'a pas encore abdiqué. Mais si Didier Deschamps a déjà exploré plusieurs schémas tactiques, le déclic tarde à venir. A moins que le Rocher ne redevienne princier dans cette seconde partie de saison.
Marseille
5e (29 points). - Incorrigible OM ! Après les soubresauts Anigo, Bouchet et la grogne des supporteurs, Troussier va devoir se retrousser les manches. Et pourtant, la Ligue des Champions est loin de constituer un mirage. Mais sur la Canebière, on ne cultive pas la patience. Pape Diouf cherche un électrochoc en attaque (Koller, McCarthy, Ljuboja) pour que ça fasse tilt. Pas facile !
Toulouse
6e (28 points). - Les Toulousains ont fini en trombe le cycle aller. Pourtant privés de Dalmat depuis plusieurs journées, ils parviennent à se mêler aux grosses cylindrées. Avec peut-être le renfort de Grégory Lacombe jamais utilisé par Deschamps, les « Violets » sont en mesure de maintenir leur standing.
Bordeaux
7e (27 points, +11). - Avec seulement deux défaites, les Girondins sont solides au poste. C'est sans doute l'équipe la plus difficile à manoeuvrer et à déstabiliser de ce championnat de L1. En fin de saison dernière, on sentait déjà que ce Bordeaux avait du corps et du goût. Dommage que ses 12 matches nuls en 19 journées "bouchonnent" un peu la saveur de ce millésime.
Sochaux
8e (27 points, +5). - La trêve tombe à pic pour des « Lionceaux » exténués en championnat et en Coupe de l'UEFA. Malgré les départs de Pedretti, Frau, Pagis, la saison de transition annoncée se passe mieux que prévu. Et même si Sochaux a perdu de son autorité à Bonal (déjà 4 défaites), les hommes de Guy Lacombe semblent suffisamment armés collectivement pour éviter tout désagrément.
Saint-Etienne
9e (26 points, +7). - Le promu stéphanois a, semble-t-il, trouvé son rythme de croisière. Meilleure attaque du championnat avec Auxerre, l'ASSE devrait réussir son objectif : le maintien. Elie Baup est en train de travailler sur la durée dans le Forez, les sponsors et les médias revisitent St-Etienne. Tous les voyants sont à nouveau au vert à Geoffroy-Guichard.
Paris St-Germain
10e (26 points,). - L'autre déception du championnat. Les départs controversés de Dehu et Fiorèse ont plombé l'ambiance, le discours de Halilhodzic n'a pas toujours un gros taux d'écoute, le divorce est consommé entre les supporteurs et le Président Graille. Et sur la pelouse, tout cela se ressent. Trois joueurs devraient débarquer au mercato. Suffisant pour faire pencher à nouveau la balance du bon côté ?
Nice
11e (25 points). - A l'image de José Cobos et de Gernot Rohr, les « Aiglons » ne meurent jamais. Après une entame de championnat très laborieuse, ils naviguent dans des eaux plus calmes, tout en continuant à faire du Yo-Yo en milieu de tableau. En gardant encore un oeil sur Martin Djetou, l'OGCN va s'attacher à réussir quelques jolis coups jusqu'à la fin de saison.
Lens
12e (24 points). - Les « Sang et Or » nous ont un peu laissé sur notre faim dans cette première partie. Avec l'image d'une équipe polie et bien élevée, mais qui ne parvient pas à se rebeller dans les moments difficiles, Lens doit pouvoir passer à la vitesse supérieure. Sinon, Joël Muller aura du souci à se faire...
Rennes
13e (23 points, -4). - Alertes et conquérants à la maison, les Rennais ne sont pas équipés de l'ADSL quand ils voyagent. En compagnie d'Istres, de Bastia et de Strasbourg, ils n'ont toujours pas remporté la moindre victoire à l'extérieur. Et s'ils ne veulent pas continuer à faire du surplace, une métamorphose s'impose.
Metz
14e (23 points, -9). - Parti sur les chapeaux de roues avec un bel effet de surprise (Ribery, Thum, Renouard, Pompière), le FCM lorrain est en train de s'essouffler. Même si Maoulida devrait renforcer l'attaque au mercato, les joueurs de Jean Fernandez semblent condamnés à jouer le maintien jusqu'au bout.
Strasbourg
15e (19 points, -7). - Jacky Duguépéroux a réussi la première partie de sa mission : ne plus être relégable à la trêve. Avec le retour des blessés (Le Pen, Mouloungui, Hagui), le Racing devrait s'aménager des heures plus clémentes, surtout si le club alsacien continue sur sa lancée à la Meinau. La différence se fera peut-être sur sa capacité à mieux voyager.
Caen
16e (19 points, -15). - C'est la dégringolade pour une équipe caennaise qui a conservé son ossature de L2. Un costume sans doute trop étriqué dans la jet society de l'étage supérieur. La probable venue de Benachour (PSG) pourrait apporter ce grain de folie et de lucidité qui manque parfois aux joueurs de Patrick Rémy.
Nantes
17e (18 points). - Le fiasco de cette première phase. Si Loïc Amisse a pour l'instant sauvé sa tête, la Beaujoire est en colère. L'école nantaise ne nous avait pas habitué à un (gros) risque de redoublement. Il va falloir que les « Canaris » se fassent violence pour ne pas exploser en vol...
Bastia
18e (17 points). - Rien ne va plus à Furiani. Pas d'âme, pas d'envie, pas de révolte. L'effet Cicollini n'a pas eu lieu. Petit à petit, Bastia s'enfonce au classement. Et on ne voit pas comment l'équipe corse pourrait se sortir de ces sables mouvants. Y a-t-il un patron sur la pelouse ?
Ajaccio
19e (16 points). - Guère mieux lotie, l'autre équipe corse est, elle aussi, à la dérive. L'antidote Courbis a du mal à faire son effet. Mais contrairement à son voisin bastiais, Ajaccio a acquis depuis son arrivée en L1 une culture du maintien. Et c'est une vertu qui devrait bigrement lui servir.
Istres
20e (12 points). - Istres, qui pourrait perdre Courtois annoncé à Nantes, n'y arrive pas. Aucune équipe n'ayant engrangé qu'une victoire à la fin du cycle aller n'est parvenue à se maintenir. Et on voit mal comment l'équipe de Bazdarevic, qui continuera à jouer à Nîmes jusque fin février, peut retourner une situation qui semble irréversible.
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J'ai vraiment plus d'estime pour ce joueurElber en CFA, au mieux
Giovane Elber était attendu à Lyon dimanche. Lundi, il devrait enfin s'entretenir avec ses dirigeants, dont l'impatience a manifestement trouvé ses limites. Jean-Michel Aulas prévient ce lundi dans "L'Equipe" : le Brésilien « ne rejouera plus avec les pros ». Absent à la reprise de l'entraînement le 29 décembre, opéré une deuxième fois contre l'avis de son club en novembre dernier, il fera par ailleurs l'objet d'une procédure judiciaire en diffamation pour avoir publiquement critiqué le service médical des triples champions de France.
« Si Giovane est aujourd'hui en position difficile, c'est essentiellement par rapport à cette deuxième opération dont il doit assumer aujourd'hui la responsabilité. Il l'a décidée sans consulter ni son manager ni son épouse », déclare Jean-Michel Aulas, qui n'a manifestement pas goûté les récentes déclarations de son joueur. Vendredi, celui-ci décrivait ainsi sa situation, dans "France Football" : « Il y a eu une erreur médicale lors de ma première opération en France, c'est sûr. » Une version contredite par son président : « Dernièrement, j'ai lu qu'il allait bien, qu'il comptait rejouer début février, mais j'entends aussi nos médecins dire que l'état de sa cheville s'est plutôt aggravé depuis qu'il s'est fait réopérer. »
Vers une rupture de contrat ?
Agacé par ces « actes et déclarations », et mal informé sur la situation de son joueur, l'OL a donc décidé de reclasser le contrat d'Elber en amateurs, le règlement l'obligeant à ne pas déclarer plus de quatre extra-communautaires dans son effectif pro. Il s'agira donc de Juninho, Caçapa, Cris et Nilmar. « Elber reste dans l'effectif ! Il est donc faux de parler de divorce, précise Aulas. Simplement, réglementairement parlant, il ne pourra plus jouer avec les pros. »
La tournure prise par les événements semble s'orienter vers une rupture de contrat à l'amiable pour celui qui est « de loin le plus gros salaire du club » relève Aulas dans "L'Equipe". Le président lyonnais indique cependant qu'il n'a « pas le droit », pour l'instant, de se projeter sur une telle éventualité. Son discours trahit pourtant un véritable ras-le-bol : « Il s'ingénie à envenimer les choses à distance alors qu'il s'est mis tout seul en situation de rupture de contrat en n'étant pas revenu à temps du Brésil. Il fait ce qu'il veut, comme il veut, quand il veut. Avec lui, tout devient un problème. »
L'histoire est en marche ...
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domes
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