ou jpeut en trouvé svp j'habite mulhouse et je c pas ou il en vente
[Alsacien2] Un effort pour l'écriture. merci (sinon dans les magasins SUPER U)
			
			
									
									
						[04/05] 30ème J: RCS / Lyon - 0/1
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				boss683
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Evidement que c'est plein non ?
D'ailleurs je serais aussi dans le KOP normalement, mais je suis sur qu'a 95% : c'est mon pote qui a es billets. 
 
Sinon ben les 6 pts c'est déjà raté et franchement si on en prend 3 contre Lyon ce serait un sacré exploit !!!
Mais bon Caen l'a fait alors croyons-y et

			
			
									
									D'ailleurs je serais aussi dans le KOP normalement, mais je suis sur qu'a 95% : c'est mon pote qui a es billets.
 
 Sinon ben les 6 pts c'est déjà raté et franchement si on en prend 3 contre Lyon ce serait un sacré exploit !!!
Mais bon Caen l'a fait alors croyons-y et

- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
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Je crois que maintenant sauf retournement de situation, Vercoutre ne restera pas.Choeur de Lyon
Vercoutre, Lacour, Bassila et Devaux (de g. à dr.) sont Gones de naissance ou de coeur. Gones avant tout.(Photo DNA - Laurent Réa)
Le Racing compte dans ses rangs quatre garçons venus de Lyon. Des enfants de la balle formés ou appelés sur la plaine de Tola Vologe, là où le ballon semble tourner plus rond qu'ailleurs. Explications.
« Moi, je suis du IVe. De la Croix-rousse, quoi... » Jean-Cristophe Devaux, dit Jeannot, en est un vrai, un pur, un authentique. Un Lyonnais pur jus, quoi, qui a grandi entre Rhône et Saône, dans ce quartier populaire aux pentes abruptes, véritable pouls de la ville.
Des quatre Strasbourgeois à avoir porté le maillot du club triple champion de France, Devaux est le seul issu du sérail. « J'ai porté le maillot de l'OL dès l'âge de cinq ans, annonce fièrement le défenseur central. J'y suis resté dix-huit ans, soit plus de la moitié de ma vie. J'y ai fait toutes mes classes, j'ai tout appris là -bas. »
« Père spirituel »
Comme beaucoup de Gones, Jean-Christophe Devaux est placé sous la coupe de l'inénarrable José Broissart. Un mentor, celui-là , au talent de formateur reconnu à travers toute la France du ballon rond.
« C'est mon père spirituel, poursuit Devaux. Il a "sorti" des générations de footballeurs. Parfois, je quittais la pelouse en pleurs, parce qu'il me mettait plus bas que terre. C'est l'école lyonnaise. Tout petit, on cultive ton caractère de compétiteur. Mais ça porte ses fruits. Pour ma première année en pro (1995), on était huit joueurs issus du centre de formation ! »
« Devenu footballeur et homme »
Broissart, c'est aussi le premier nom qui vient à l'esprit de Christian Bassila quand il s'agit d'évoquer les jeunes années lyonnaises. « C'est lui qui est à la base de la réussite de l'OL, affirme le Parisien. Il nous a inculqué l'envie et la passion. Bernard Lacombe a aussi énormément compté. Lui a eu le courage de lancer les jeunes. Il m'a fait confiance, comme à Govou ou Bréchet par la suite. »
Titi de naissance mais Gone de coeur, le longiligne milieu de terrain est intarissable sur le sujet. « Je suis arrivé à Lyon à l'âge de 14 ans, poursuit-il. J'y ai passé mon adolescence. Ça compte, quand tu vis toutes tes "premières fois" dans une ville. C'est là que je suis devenu footballeur mais aussi un homme. Ma famille est à Paris, mais mon coeur à Lyon. J'y construis d'ailleurs une maison. »
Lacour désenchanté
Viscéralement attachés à leur ville, Devaux et Bassila ne gardent que des bons souvenirs de leur passage sous le maillot rhodanien, eux qui ont participé à la reconstruction du club avant de migrer vers d'autres cieux. Guillaume Lacour, lui, ne s'inscrit pas dans la même logique.
Pourtant, celui qui a grandi à Tassin La Demi Lune se serait bien vu emboîter le pas de ses aînés. Passé dans le même moule formateur, promu grand espoir du club, Lacour n'a pourtant pas réussi à franchir le pas.
C'est qu'à la fin des années 1990, la politique de la maison a changé. Sous l'impulsion de Jean-Michel Aulas, le club naît aux grandes ambitions et met le paquet sur le recrutement. Lacour voit la porte entrouverte se refermer sous son nez. .« Ça fait mal au début, mais on digère rapidement, assure le petit latéral droit. J'ai été formé à Lyon, dans ce qui était certainement le meilleur centre de France, mais j'ai eu ma chance à Strasbourg. C'est le foot, voilà . »
« Club magique »
Si Lacour a tourné la page, il est un Strasbourgeois qui lorgne avec envie sur le club auquel il appartient toujours. Rémy Vercoutre, prêté par l'OL l'été dernier et confiné au banc alsacien, ne s'en cache pas. « Je ne rate rien de ce qu'ils font, assure le gardien. J'y ai passé deux belles années. Lyon est un club magique. Et sans vouloir préjuger de mon avenir ici, je m'attends à reprendre l'entraînement là -bas en juin prochain. »
Des hauteurs de la Croix-rousse à la plaine de Tola Vologe, en passant par Tassin La Demi Lune, les quatre Strasbourgeois ont gardé une partie de leur âme d'enfant, d'adolescent et de jeune adulte à Lyon. Là -bas, entre Rhône et Saône. Leur petit coin de paradis.
Roma et le couteau
Le Racing devrait être sanctionné par la Ligue de Football Professionnel, Roma ayant ramassé un couteau suisse sur la pelouse de la Meinau.
On avait pensé que Flavio Roma cherchait à gagner du temps, mais si le gardien de l'ASM n'était pas pressé pour effectuer un dégagement aux six mètres, c'est qu'il venait de ramasser un couteau suisse. « Le couteau était fermé. Ce genre de choses arrive malheureusement sur beaucoup de pelouses, explique Serge Cayen, responsable de la sécurité du Racing. C'est la première fois que ça nous arrive, mais c'est un geste de trop. »
Visiblement lancé depuis la tribune Ouest, l'objet aurait atterri derrière le gardien monégasque. « On ne sait pas exactement ce qui s'est passé, mais ce couteau n'a pas été lancé depuis la tribune de nos supporters les plus fervents. Nous avons visionné les images réalisées par notre système de vidé-surveillance sans rien voir de précis. »
A l'issue de la rencontre, les Monégasques ont demandé le retrait de l'avertissement donné à Roma. Quant au Racing, il en sera quitte pour une amende.
LE PEN INCERTAIN. - Le Pen, forfait contre Monaco, a écourté sa séance de reprise hier matin en raison d'une gêne persistante à la cuisse. Sa participation au match de Lyon est désormais indécise. Fahmi (genou) a lui réintégré le groupe. Quant à Abdessadki, il était marqué d'un hématome à la cuisse gauche, vestige d'un choc avec Evra. Rien de bien inquiétant toutefois.
SELECTIONS. - Pas moins de neuf Strasbourgeois sont retenus avec leur sélection respective la semaine prochaine. Il s'agit d'Abdessadki (Maroc), Mphela (Afrique du Sud), Arrache (Algérie), Boka (Côte d'Ivoire), Kanté (Mali), Hagui (Tunisie), Mouloungui (Gabon), Niang (Sénégal) et Farnerud (Suède espoirs).
LE GROUPE LYONNAIS. - Paul Le Guen a retenu un groupe de 17 joueurs pour le déplacement en Alsace : Coupet, Puydebois, Réveillère, Cris, Abidal, Berthod, Essien, Juninho, Govou, Wiltord, Malouda, Nilmar, Frau, Clément, Bergougnoux, Diatta et Diarra.
A noter que l'adversaire de l'OL en quart de finale de la Ligue des champions sera connu ce midi. Les matches se disputeront les 5-6 et 12-13 avril et concerneront, outre Lyon, les équipes du Bayern, du PSV Eindhoven, de l'Inter, du Milan AC, de la Juventus, de Chelsea et de Liverpool.
L'histoire est en marche ...
						
 
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