[04/05] 30ème J: RCS / Lyon - 0/1

[Alex Barotchais]

moi j'esepere un guichet fermé dans le cas inverse je serais tres déçu du public alsacien...

[Nico]

Clair que un guichet fermer sa devrait etre normal contre le triple champion de france
Et bon j'y serait j'ai chopper des billets hier

[Alex Barotchais]

et tu as^pu voir le taux de remplissage approximatif hier??

[Nico]

Heu ... Je les aient pas cherchés a la Meinau
Mais au super u a hoehneim
Et bon chui passez devant le stade en tram en allant en cours et bon y'avait du monde

[Its_me]

moi j'esepere un guichet fermé dans le cas inverse je serais tres déçu du public alsacien...

Oui moi aussi, mais mieux vaut 15000 supporters ou 25000 spectateurs?

[L'homme de la vallée]

moi j'esepere un guichet fermé dans le cas inverse je serais tres déçu du public alsacien...

Oui moi aussi, mais mieux vaut 15000 supporters ou 25000 spectateurs?

L'éternel débat sur le public dont à  mon avis on ne pourra jamais trouver de réponses...

[Manu]

Mobilisation généraleeeeeeeeeeeeeeeeee

[L'homme de la vallée]

C'est l'apéro

ALLEZZZZZZZZZZZZZZZZZZ RACINGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG





Et bon'ap a ceux qui vont manger

[argueti]

La nuit des étoiles

Trois jours après la venue de Monaco, c'est Lyon qui débarque ce soir à  la Meinau. Sur le chemin d'un quatrième titre de champion de France, l'armada de Paul Le Guen paraît invincible. Le Racing veut pourtant y croire. A juste titre.

Au lendemain de la venue de Monaco (0-0), Jacky Duguépéroux avait définitivement cerné le problème. « Là , on n'a eu qu'un avant-goût, explique le technicien alsacien. Lyon, c'est encore une taille au-dessus. Quand on voit ce que l'OL a passé au Werder de Brême... »
Bon, à  ce stade de la réflexion, avec les images des dix buts contre le champion d'Allemagne qui défilent, il faut bien reconnaître que le Racing avance dans ses petits souliers. Que peuvent donc bien espérer les Bleus, eux les besogneux dont le seul objectif est de valider leur maintien, face à  cette constellation d'étoiles ?

« Se révéler à  nous-mêmes »

« On peut se révéler à  nous-mêmes, avance Duguépéroux, dont l'oeil malicieux trahit la petite idée gonflée qui galope dans son cerveau. Si on perd, personne ne nous en voudra. Si on gagne, ce serait un retentissant exploit. »
L'idée directrice du champion de France 1979 est donc de désinhiber les siens. Que ces joueurs considèrent cette rencontre de gala comme telle et se laissent transporter par l'événement. Au risque de prendre une dérouillée si l'excès de générosité venait à  se retourner contre eux pour profiter aux flèches lyonnaises.
Soit dit en passant, Duguépéroux prône rarement une attitude plus « sécuritaire ». Tout au plus est-il obligé de s'adapter aux circonstances, comme quand Ajaccio est venu redonner vie au bon vieux Catenaccio des familles, alors que son attaque privée de Pagis tournait en rond. De sa chasse gardée, Devaux était monté et avait détendu l'atmosphère, autrement plus pesante que celle de ce soir.

« Danger permanent »

Pagis ne sera toujours pas là , Le Pen non plus. En outre, il s'agira de récupérer des gros efforts consentis mercredi soir contre la troupe de Deschamps. D'autant que Lyon n'avait pas de match en retard au programme et se présentera à  la Meinau frais comme un gardon.
« L'erreur serait de privilégier la défense parce qu'on joue contre Lyon, assure Duguépéroux. Si, à  l'aller, on n'a pas pu attaquer, ce n'est pas de notre fait ! Lyon ne nous en pas laissé les moyens. Avec onze joueurs capables de participer au festival offensif, le danger est permanent. »

Pas d'erreurs

Bref, les Strasbourgeois n'auront pas le droit à  la moindre erreur. Ce qui leur est rarement arrivé cette saison. Réduite à  la portion congrue contre Monaco, la marge a tout de même permis à  Chevanton de donner à  trois reprises de belles sueurs au public alsacien.
Ce soir, la moindre parcelle de terrain laissée à  l'abandon, le plus petit relâchement dans le marquage, la faute stupide à  l'approche de la surface de Cassard seront autant d'écueils à  dépasser. Sous peine de se voir asséner un coup de bambou rédhibitoire.

« L'exemple de Caen »

Maintenant, Lyon n'est pas non plus infaillible. Tout à  son 'affaire en Ligue des champions, où il a hérité du « prenable » PSV Eindhoven en quarts, il pourrait peut-être inconsciemment desserrer l'étau. « On a l'exemple de Caen récemment ou de Grenoble en Coupe de France, rappelle « Dugué ». Pourquoi pas nous ? »
Le tout reste de s'en convaincre. Pas une mince affaire. Ah ! ça non.

C'est où le danger ?



Face au premier de la classe toutes catégories confondues, le Racing a tout à  gagner ce soir.
CUMULARDS. - Les Lyonnais sont cumulards. Ils sont premiers de la L1, mais aussi sa meilleure défense (17 buts) et sa meilleure attaque (41 buts). C'est également l'équipe qui voyage le mieux en L 1 où elle ne s'est inclinée qu'à  deux reprises pour sept victoires et six nuls. Le point positif, si l'on ose dire, c'est que les Lyonnais ont concédé leurs deux seules défaites cette année : à  Lille le 22 janvier (2-1) et à  Caen le 5 mars (1-0).
De plus, les Lyonnais sont les seuls à  représenter la France en Ligue des Champions où, là  aussi, ils possèdent la meilleure attaque de la compétition (27 buts en 8 matches).
LYON - RACING : 24-1. - Si le tableau d'affichage avait été clément à  Gerland pour les Strasbourgeois (1-0), les Lyonnais les avaient surclassés dans le jeu. C'est le seul match de l'ère Duguépéroux où ses joueurs étaient passés au travers. Une statistique pour le prouver : 24 tirs pour l'OL, 1 seul pour le Racing.
JUNINHO, BIEN SUR. - A Lyon, les dangers sont multiples. Au premier rang desquels, on croise forcément la route de Juninho et de ses coup-francs. « Rémi Garde a dû lui montrer le positionnement de notre mur, qui est l'homme de base, explique Rémy Vercoutre. De toute façon, ça ne change rien. Il est tellement redoutable que la seule solution est de ne pas commettre de faute dans les 30 mètres. » CQDF.
Le Lyonnais en est à  48 buts depuis son arrivée à  Lyon, dont 19 coup-francs et 7 pénalties, mais Stéphane Cassard ne figure pas parmi ses victimes. Il n'a pas (encore) inscrit de but face au Racing.
DANGERS MULTIPLES. - On parle donc de Juninho, mais on peut parler de Govou, qui avait ridiculisé Boka à  l'aller, de Wiltord, de Frau, d'Essien, de Diarra, de Malouda, de Bergougnoux, de Nilmar, d'Abidal, de...
DISPOSITIF. - Côté Racing, la rentrée de Devaux devrait pousser Kanté sur le banc à  moins qu'il soit préféré à  Boka sur le côté gauche. Un Boka qui (pourquoi pas ?) pourrait lui être préféré à  Arrache au milieu du terrain.
MILIEU. - Plus que jamais, c'est au milieu de terrain que le Racing a intérêt à  tenir la maison. Aux Johansen, Bassila, Abdessadki, Arrache principalement, mais aussi à  Niang et à  Farnerud d'empêcher les remontées de balle lyonnaises faciles. A eux de ralentir le jeu de l'OL.
INVINCIBILITE. - Hormis défier le plus beau jeu de l'hexagone, les Strasbourgeois ont une série d'invincibilité à  prolonger. S'ils sont invaincus depuis trois rencontres en L 1, ils le sont depuis 13 matches toutes compétitions confondues à  la Meinau (10 en L 1, 3 en Coupe de la Ligue). En cas de succès, Jacky Duguépéroux offrirait quatre jours de congés à  ses joueurs. A eux d'être présents, voire omniprésents, ce soir.

A Lyon c'est l'équipe type

Sinon moi je viens bien Kanté en ARG et Boka au milieu

[Manu]

environ de 18 h 30... petit verre de l'amitié à  la couronne...

19 h .... récupération de la fameuse merguez ketchup...

19 h 25/30 : arrivée dans le stade en folieeeeeeeeee

20 h : coup d'envoi

20 h 45 : mi temps déjà  2-0 pour le racing...

21 h 30 : 10 eme ola de la soirée...

21 h 50 : Racing 3 - Lyon 0

21 h 55 : la fameuse banderole...

22 h 15 : nouveau pot de l'amitié mais pas de merguez cette fois...

Belle soirée non ?