[Ex] Mamadou Niang
-
alphons
- Responsable marketing @Directoire

- Messages : 4683
- Enregistré le : 10 juin 2003 16:41
- Localisation : WIEN
notez que j'écris maintenant.... dans le plus pur....style....alphons....)
copieur....
au fait ca fait 1400 posts que j ecris comme ca .....
peut etre que vous n avez pas lu mes postes avant.......
Code : Tout sélectionner
La L1 j y crois encore- argueti
- Sélectionneur@InfosRacing

- Messages : 37462
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
SO a écrit :Niang: « Micka nous a manqués »
Auteur de son huitième but de la saison en championnat, samedi à Bordeaux, Mamadou Niang était muet depuis le 26 février et son but à Nantes (2-1). Face à Marseille, il entend faire fructifier les trois ramenés de Gironde.
D'autant qu'il va pouvoir retrouver son compère de l'attaque, Mickaël Pagis qui a repris l'entraînement avec le groupe ce mercredi.
Gagner à l'extérieur, ça change tout de suite beaucoup de choses pour le Racing…
Oui, d'autant que nous l'attendions depuis longtemps cette victoire. Mais il ne faut déjà plus y penser. Désormais, ce sont les trois points face à Marseille qui comptent. Ce succès à l'extérieur sera surtout utile si nous nous imposons samedi à la Meinau. Là , nous serons vraiment soulagés.
Que retiendrez-vous de ce premier succès en déplacement ?
Nous avons été soudés et très solidaires. Il faut s'inspirer de ça pour les derniers déplacements de la saison. C'est dommage de ne pas avoir eu la même réussite avant, cela nous aurait permis d'être encore plus près du maintien, aujourd'hui.
A titre personnel, vous avez enfin retrouver le chemin des filets. Est-ce un soulagement ?
Le plus important, c'est que l'équipe gagne. Pour ma confiance, c'est vrai que c'est positif mais, même quand je ne marquais pas, je donnais toujours le maximum sur le terrain. Je n'ai jamais triché. A titre personnel, je suis soulagé mais mon unique objectif c'est le Racing se maintienne en Ligue 1 à l'issue du championnat.
Face à Marseille, samedi, le duo avec Mickaël Pagis pourrait être reformé. Il vous a manqué, Pagis ?
C'est quelqu'un qui a beaucoup manqué au groupe, pas qu'à moi. Mickaël a un rôle essentiel dans notre système de jeu. Il nous a manqués face à Monaco et Lyon, notamment. Mais ce n'est pas respectueux non plus de s'appesantir autant sur cette absence car les joueurs qui l'ont remplacé ont réalisé un bon travail aussi. Nous sommes tous contents de son retour au sein du groupe. Moi aussi, car avant qu'il ne se blesse, notre association fonctionnait bien.
Son retour est une garantie pour vous d'avoir de bons ballons ?
Je crois qu'il ne faudra pas trop lui en demander au début. Il revient après un mois et demi d'absence. Et puis, quand il n'était pas là , je n'ai pas été privé de ballons. Nous n'avons pas eu de si mauvais résultats que ça, me semble-t-il. Et puis, il n'y a pas que Micka et moi. A Bordeaux, si nous gagnons, c'est grâce au collectif.
L'histoire est en marche ...
- argueti
- Sélectionneur@InfosRacing

- Messages : 37462
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
L'Alsace a écrit :La bombe Mamadou
Il est le héros strasbourgeois du week-end. Harcelant infatigablement la défense phocéenne, Mamadou Niang a finalement été récompensé de ses multiples efforts. Et il en est le premier heureux.
Dans le jargon, Mamadou Niang est ce que l'on appelle un bon client. Malgré ses 25 ans, malgré ses plus de quatre années de professionnalisme, ses désormais 97 matches et 26 buts en L1, l'international sénégalais reste spontané dans l'art de l'interview. Son penchant pour le chambrage le classe parmi les joueurs les plus demandés après chaque match du Racing. Le problème, c'est que le garçon, à la manière de son compère du duo offensif reconstitué depuis samedi, Mickael Pagis, n'apprécie guère l'exercice des questions-réponses. Mais samedi, comme vous pouvez vous en douter, l'international sénégalais n'y a pas coupé. Et c'est sur une multitude de fronts médiatiques qu'il a dû s'employer après avoir harcelé pendant 90 minutes la défense marseillaise. Objet des louanges d'Eugène Saccomano sur RTL, promu annonceur de publicité pour le Téléfoot dominical, Mamadou Niang a subi un marquage aussi serré de la part des journalistes, après le match, que d'Habib Beye et d'Abdoulaye Meïté pendant. A chaque fois, il en est sorti vainqueur.
Le duel « propre » selon Beye
D'abord, parce que le numéro 11 ne s'est pas découragé lorsque Fabien Barthez a progressivement pris la forme d'un mur infranchissable à mesure que les minutes défilaient. Ensuite, parce que dans l'expression de son bonheur, l'enfant de Matam, au Sénégal, mais aussi de Coqueville, la banlieue havraise où il a grandi, a fait plaisir à voir. « On a su ne pas se décourager », a-t-il d'abord lâché. « Ce sont trois points qui font du bien. Je suis heureux pour moi, pour le public et pour tout le monde ». Voilà , il est comme ça. Prêt à impliquer « tout le monde » dans le sillage d'un but arraché au bout des arrêts de jeu, en même temps qu'à un tacle désespéré de Meïté, alors que dans le camp d'en face a sonné, au même instant, l'heure de la soupe à la grimace. « L'action sur le corner s'est déroulée très rapidement », a-t-il analysé la tête un peu plus froide. « Cela devenait physiquement difficile pour tout le monde. On savait que c'était la dernière action du match. Marseille a lâché le marquage. J'ai contrôlé et puis c'est rentré », sans trop savoir comment. « Le duel propre » évoqué par Habib Beye, quittant le vestiaire adverse, a tourné à l'avantage du plus strasbourgeois des deux Sénégalais. « C'est un soulagement », a fini par évoquer le joueur qui a étrenné à domicile ses chaussures rouges, après avoir connu la réussite, chaussé de la même manière, à Bordeaux. « Mais le maintien n'est pas acquis, car il reste encore beaucoup de points à prendre ».
Le sourire de Luyindula
Pouvant compter sur une doublette Niang-Pagis de maîtres artificiers — 21 buts à eux deux depuis le début de saison — Jacky Duguépéroux peut afficher un large sourire. « Les retrouvailles entre Mickaël et Mamadou sont ce qui peut arriver de mieux pour le Racing », s'enthousiasme le coach avant d'évoquer les qualités de son buteur du week-end. « Il est clair qu'avec lui, c'est au niveau de la qualité physique qu'il impressionne le plus. Ensuite, il lui manque parfois un peu de lucidité devant le but ». « Le coach, qui me connaît bien, oublie d'évoquer mon sale caractère », lui rétorque immédiatement son protégé. Finalement, c'est au niveau de la fraîcheur affichée dans sa réussite qu'il aura donc dominé ce week-end. Autour de la main courante qui entoure le stade Jean-Nicolas Muller où a évolué hier la réserve, les retrouvailles entre Johansen et Niang ont pris un tour humoristique des plus désopilants hier. « J'ai un scoop à vous donner, Niang va signer à Arsenal », a lâché dans un clin d'oeil le Colmarien. « Pour toi, visiblement, c'est plutôt vers Portsmouth que ça se passera », lui a répondu Niang, sous-entendant que la récente nomination d'Alain Perrin au poste d'entraîneur de ce club anglais est susceptible de faire évoluer la carrière de l'Alsacien. Non loin de là , Peguy Luyindula, de retour sur ses anciennes terres, a intercepté les bribes du dialogue. Et Niang a même réussi à redonner le sourire à l'un de ses vaincus.
L'histoire est en marche ...
- argueti
- Sélectionneur@InfosRacing

- Messages : 37462
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
http://fr.allafrica.com/stories/200504110623.html a écrit :Temps de jeu des "Senefs" : Niang, le "neuf" du maintien
L'attaquant sénégalais de Strasbourg, Mamadou Niang, a inscrit samedi dernier contre Marseille l'unique but de la victoire de son équipe. Son neuvième cette saison. Quel but ! Il a été marqué à la dernière seconde des trois minutes d'arrêt de jeu et maintient, presque, les Alsaciens en Ligue 1.
Qui arrêtera Mamadou Niang, l'attaquant de Strasbourg, auteur, samedi dernier, de l'unique but de la victoire de son équipe face à Marseille, pour le compte de la 32e journée de Ligue 1 ? L'international sénégalais qui avait trouvé le chemin des filets lors du précédent tour, a récidivé à la dernière seconde des arrêts de jeu (+3), portant ainsi son total buts à neuf. Symbolique pour un... 9 !
En prime, il a réussi à tromper la vigilance de l'un des défenseurs les plus redoutés de la Ligue 1, son compatriote Habib Bèye, en l'occurrence. Pourtant, au coup d'envoi du match à la Mainau, d'aucuns le classaient partant pour un péril sans aucune issue victorieuse possible face au meilleur footballeur sénégalais de la saison 2003-2004. La suite, on la connaît : l'attaquant "alsacien" s'en est tiré avec la meilleure note de la rencontre (7,5) attribuée par L'Equipe. Son équipe, Strasbourg (13e, 38 pts), du coup, s'assure presque le maintien en Ligue 1, à six journées de la fin du championnat.
L'histoire est en marche ...
- Seb T.
- Responsable marketing @Directoire

- Messages : 4957
- Enregistré le : 21 avr. 2003 16:44
- Localisation : Bangkok - Luxembourg
Une chose est sûre, il va y avoir de la concurence pour enrôler notre Mamadou, il est en train de faire une très belle fin de saison...
Et puis en devant verser 40% futur transfert à Troyes, je peux vous dire que les enchères vont grimper, surtout si on gagne la coupe de la ligue et que Niang marque...
Et puis en devant verser 40% futur transfert à Troyes, je peux vous dire que les enchères vont grimper, surtout si on gagne la coupe de la ligue et que Niang marque...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
- argueti
- Sélectionneur@InfosRacing

- Messages : 37462
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
DNA a écrit :La dynamique Niang
Irrésistible ces dernières semaines, Mamadou Niang termine sa saison en boulet de canon. C'est du Sénégalais que pourrait jaillir la flamme, samedi contre Caen. Fonce, « Mama », fonce.
Mamadou Niang marche au super. Et ça ce voit. Le Sénégalais trimbale sa bonne humeur sur les terrains d'entraînement. Ses éclats de rire font trembler portes et parois des vestiaires de la Meinau. Disert et amène, l'actuel homme fort des Bleus répond aux sollicitions sans rechigner ni maugréer.
Autant dire que l'image est diamétralement opposée à celle que l'international sénégalais laissait apparaître à la fin de l'été dernier. Ronchon et renfrogné, l'ex-Troyen traînait alors les pieds sur le terrain et affichait un embonpoint peu en adéquation avec les exigences d'un sportif de haut-niveau.
Episode rocambolesque
Si prometteur la saison passée, au côté d'un Danijel Ljuboja au faîte de son art, Niang s'était laissé aller. Bêtement, sans trop penser aux conséquences de ses manquements.
Hors de forme, « Mama » a été invité par Kombouaré à subir une petite cure d'amincissement à Mérano, station italienne d'où il est rentré délesté de huit bons kilos... Un épisode rocambolesque sur lequel l'intéressé ne tient pas forcément à s'épancher, lui qui préfère resituer ses mésaventures dans un contexte défavorable.
« Serrer les dents »
« En août et en septembre, on était clairement au fond du trou, assène-t-il d'une voix grave et rocailleuse. Quand rien ne va, que tu ne trouves pas le chemin des filets et que la balle t'échappe des pieds, il n'y a qu'une chose à faire : serrer les dents et se remettre au boulot. » Pris par la patrouille, replacé comme un enfant devant ses responsabilités, Niang aurait pu partir en « sucette ».
Sa force, finalement, est de ne jamais avoir douté. Question de philosophie personnelle. « Vous savez, je ne suis pas né dans les beaux quartiers, explique-t-il posément. Mes parents n'avaient pas beaucoup de sous, mais ils m'ont donné une bonne éducation. Je me suis remis au boulot. »
Doté de qualités footballistiques hors pair mais arrivé à maturité par le chemin des écoliers - « avant d'être repéré par Troyes, je jouais en DHR et je travaillais dans un supermarché pour gagner ma croûte » -, Mamadou Niang avait simplement besoin d'être remis sur de bons rails.
Boule d'énergie
A Metz, c'est Jean Fernandez, son père spirituel, qui avait su canaliser cette incroyable boule d'énergie.
Sa chance, à Strasbourg, c'est d'être tombé sur Duguépéroux. Un entraîneur intransigeant et exigeant qui a su lui redonner confiance. Dès le premier match du champion de France 1979 sur le banc, en octobre à Ajaccio, Niang a trouvé le chemin des filets. Près de dix mois après avoir inscrit son dernier but, le félin retrouve enfin l'usage de ses griffes.
Déclic salvateur
Ce déclic s'avère salvateur. Comme par enchantement, toute la belle mécanique se remet en place. A Troyes, pour la première apparition du Racing en Coupe de la Ligue, Niang signe un doublé - à ce jour le seul de la saison - dans un stade de l'Aube qui l'a révélé en l'an 2000.
En proie à l'inertie, il redevient ce joueur racé et instinctif, à la pointe de vitesse désarçonnante, qui s'engouffre inlassablement dans les brèches en quête de grands espaces. Ce qui, dans le jargon, se définit comme un joueur de « profondeur. »
Rythme accéléré
De le profondeur, justement, le Racing revient lui petit à petit à la surface. Associé à Pagis, le Sénégalais s'épanouit pleinement. Le rythme commence alors à s'accélérer. Depuis février, Niang a inscrit six buts en Ligue 1, contre quatre depuis le début de saison. Surtout, les performances de premier choix s'enchaînent de manière régulière. Le signe clair d'un retour aux affaires...
« Tout me sourit, oui, oui, répète-t-il d'un ton perplexe. Si tel était le cas, on aurait battu Lille samedi soir (défaite 1-2). Et puis je ne joue pas tout seul. Tout dépend de mes coéquipiers qui parviennent à me mettre en situation. Sans eux, rien ne serait possible. »
« Ça ne fait que commencer »
Certes, mais les fulgurances de « Mama » suffisent parfois à déchirer violemment le rideau défensif. Comme à Nantes, en février dernier, où il était parvenu à égaliser - finalement en vain - sur une inspiration toute personnelle.
Le genre de geste qui peut suffire, samedi soir, à débloquer une situation qui s'annonce verrouillée. L'envie est en tout cas immense pour celui qui va disputer sa toute première finale. « J'ai échoué à deux reprises en demies, rappelle-t-il. La première fois en Coupe de France avec Troyes, la seconde en Coupe de la Ligue avec Metz. »
Et si cette fois le plus dur était fait ? « Oh ! que non... Ça ne fait que commencer », assure Niang dans un grand sourire. Au regard des avatars subis, on aurait plus tendance à penser que ce commencement s'apparente à une fin en soi. Histoire de sauver « une saison vraiment mal partie. » Mais comme « Mama » marche au super...
L'histoire est en marche ...
- urotsukidogi
- Trésorier@Directoire

- Messages : 6474
- Enregistré le : 27 oct. 2003 1:44
- Localisation : La Garenne Colombes (92)
- Contact :
Sur RMC (ca fait 4 fois que je le marque dans plein de topics différents, j'ai l'impression de radoter) Marco lorsqu'on lui a demandé quel était son chantier majeur a répondu le milieu de terrain en estimant que l'attaque était très bien ainsi que la défense. D'après lui on n'engagera peut êtr equelqu'un si c'est une bonne occase, mais il n'y a pas du tout d'urgence étant donné nos jeunes.
A moins d'un gros pipeau, ça pourrait vouloir dire que Niang et Pagis seront encore à la Meinau l'année prochaine.
A moins d'un gros pipeau, ça pourrait vouloir dire que Niang et Pagis seront encore à la Meinau l'année prochaine.
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Les inscriptions au forum sont rouvertes

