[04/05] 35ème J: Sochaux / RCS - 1/2

[Alex Barotchais]

mort de rire, la premiere chose que j'ai vu c'est la position involontaire des 2 de gauches

bref petit délire perso..

PS: on ta reconnu manu pas la peine de cacher tes yeux..

[fernie]

lol ! je croyais que c'étaient les sochaliens les e...... ? remarque, il habite là  bas lui !! vos papiers s'il vous plait ?

[Manu]

Tu es en forme Fernie la pluie te réussit...

[fernie]

bah ouais ! le we de 4 jours y est pour beaucoup ! et le fait d'avoir vu des gens que j'apprécie ! hé hé !

la pluie, ça fait pousser les belles plantes !! lol

bon ok, les mauvaises herbes aussi ...

[argueti]

Revenu de nulle part

Lanterne rouge en octobre dernier le Racing a su inverser le cours des événements. En l'espace de six mois, l'équipe de Duguépéroux s'est forgée un moral de conquérant. Le succès à  Sochaux, certainement celui qui scelle le maintien, en est la parfaite illustration. Retour sur images.

A trois journées du baisser de rideau, le Racing est quasiment tiré d'affaire. Jacky Duguépéroux l'a bien compris, lui qui a pour la première fois laissé éclater sa joie - ou afficher son soulagement, c'est selon - de manière aussi expressive. Sur la pelouse du stade Bonal, samedi soir, il a frénétiquement serré ses poings et crié sa joie.

« Le challenge ne me fait pas peur »

C'est que le technicien strasbourgeois sait mieux que personne que son équipe revient de loin. Peut-être même de nulle part, tant les Bleus étaient en perdition quand le Breton en a pris les rênes. Pourtant, le redressement n'a rien d'un miracle.
DEBACLE. - C'est la défaite de trop. Sans âme ni ressort, le Racing se liquéfie à  la Meinau face à  une faible équipe de Nantes (2-0), Au soir de la 9e journée, les Bleus sont derniers. Antoine Kombouaré plie bagages dans les heures qui suivent et c'est Jacky Duguépéroux qui endosse le costume de sauveur.
« Je sais que ça va être difficile, dit celui qui retrouve le devant de la scène sept ans après son éviction. Mais je suis têtu. Le challenge ne me fait pas peur. » L'homme à  poigne entre en action. Le Racing est 20e (4 pts) à  trois longueurs de Saint-Etienne, premier non-relégable.
PREMIÈRE. - Tout n'est pas encore parfait, loin s'en faut, mais Pagis et les siens avancent enfin en rang serré. Une semaine après avoir accroché le point du nul à  Ajaccio, les Bleus signent leur premier succès de la saison en venant à  bout de Nice (3-1). « On vient de monter une petite marche, il en reste beaucoup d'autres », prévient le patron. Après la 11e journée, le Racing est 19e (8 pts), à  une longueur de Saint-Etienne, premier non relégable.

La désillusion du Vélodrome

FRUSTRATION. - C'est au stade Vélodrome que les Strasbourgeois connaissent leur plus grosse désillusion de la saison. Auteurs d'une première période du feu de dieu, ils ne parviennent pas à  trouver la faille aux dépens de Marseillais mal en point et finissent par rompre contre le cours du jeu (2-0). Abasourdis, ils prennent doucement conscience de la difficulté de la tâche. Après la 14e journée, le Racing est 18e (11 pts) à  trois longueurs de Bastia.
SATISFACTION. - Une semaine plus tard, contre Auxerre, les Bleus signent leur troisième succès consécutif à  la Meinau (3-1). Surtout, ils y mettent la manière. Pour la première fois de la saison, ils quittent la zone de relégation « On sera crédible si on parvient à  bonifier ce résultat par une victoire à  l'extérieur », tempère l'entraîneur. A ce sujet, il faudra encore s'armer de patience. Beaucoup de patience. Après la 15e journée, le Racing est 17e (14 pts) à  égalité avec Bastia.

Le bon esprit de la Meinau

TRAVERS. - Au sortir de la courte trêve de fin d'année, les Alsaciens repiquent du nez. Deux nuls consécutifs, suivis d'une défaite à  Lens (2-1) les font repasser sous la ligne de flottaison. Il n'y a pas le feu en la demeure, mais le moindre travers peut s'avérer fatale. « Il va vite falloir trouver un remède parce que ça ne peut pas continuer comme ça », peste Duguépéroux, lassé par l'inconstance des siens à  l'extérieur. Après la 24e journée, le Racing est 19e (21 pts), à  trois longueurs de Caen, avec un match en retard contre Monaco à  disputer.
FESTIVAL. - Comme d'habitude, c'est à  domicile que l'équipe retrouve ses esprits. Contre Caen (5-0) puis contre Paris (3-1), les Bleus passent la vitesse supérieure et régalent leur public. Un feu d'artifice nécessaire en cette période sombre. Après la 26e journée, le Racing est 15e (28 pts) avec trois longueurs d'avance sur Caen et un match en retard à  disputer.

« On savoure enfin »

DELIVRANCE. - Tout vient à  point à  qui sait attendre. Dans le cas de Strasbourg, on avait fini par en douter. C'est pourtant à  Bordeaux, au soir de la 31e journée, qu'Abdessadki et Niang scellent le premier succès de la saison hors de la Meinau (0-2). Une véritable délivrance pour une équipe devenue joueuse et terriblement efficace. Après la 31e journée, le Racing est 14e (35 pts) avec trois longueurs d'avance sur Ajaccio.
CONFIRMATION. - Guy Lacombe, le coach sochalien, verse peut-être dans la flagornerie en estimant que « Strasbourg est actuellement la plus belle équipe à  voir jouer en France », il n'empêche que tout réussit aux Alsaciens. Hormis le faux pas contre Lille, rien ni personne ne lui résiste. Marseille tombe à  la Meinau en encaissant un but de Pagis dans les arrêts de jeu (1-0), Caen plie au Stade de France en finale de la Coupe de la Ligue, Sochaux craque samedi soir en fin de rencontre. Avec 42 points à  trois journées de la fin, les Bleus ont rempli leur contrat. Dans les vestiaires de Bonal, ils laissent éclater leur joie. « Ils l'ont bien mérité, dit Duguépéroux. On a assez dû baisser la tête cette saison pour enfin savourer. »

Les larmes de « Dugué »

Plus encore qu'au Stade de France, l'entraîneur du Racing et ses joueurs se sont « lâchés » à  Sochaux. Ils peuvent finir le boulot samedi contre Metz.

Il est un peu plus de 22 h avant-hier dans la salle de presse de Sochaux. Par l'entrebâillement de la porte jaillit un immense cri de bonheur. Le Racing fête avec une joie démonstrative son 2e succès à  l'extérieur dans le derby alsaco-franc-comtois. « Président, président, président ! », chantent les joueurs à  l'intention d'Egon Gindorf qui vient d'augmenter la prime de victoire. « On aime bien le chambrer, l'allumer gentiment », racontait Pascal Johansen hier matin après un bref décrassage, « C'est un mec que nous apprécions tous. Dans les pires moments de la saison, il a su rester positif, toujours derrière nous. Ce que nous réalisons ces temps-ci, c'est bien pour lui qui s'apprête à  passer la main. Il a beaucoup donné. Egon Gindorf est une personne de coeur, un homme sincère et droit, qui défend certaines valeurs et aime ce club et cette région. » Sincères, les larmes de Jacky Duguépéroux le sont alors tout autant. L'entraîneur strasbourgeois apparaît pourtant en zone d'interviews l'oeil sec. Mais quelques instants plus tôt, les images télé l'ont « trahi ». Déjà  noué par une forte émotion l'autre samedi au Stade de France, l'entraîneur strasbourgeois confesse que ses joueurs « ont pété une soupape », en omettant évidemment de signaler que la sienne, de soupape, a elle aussi sauté. Mais l'inquisitrice caméra n'a rien raté de la scène. Les Strasbourgeois non plus, touchés, à  l'image de Pascal Johansen, de voir leur coach verser de chaudes larmes. « Lors de la Coupe de la Ligue, nous l'avions déjà  senti vachement sensible. Cette victoire à  Sochaux survenant après une semaine durant laquelle beaucoup de gens lui ont rendu hommage a sans doute libéré un trop-plein d'émotion. En ce moment, le coach prend une revanche à  laquelle il ne croyait peut-être plus durant toutes ces années passées dans l'ombre. »

« Les mecs ont fait les fous »

En fait, ces larmes sont surtout celles du soulagement. « À part Istres, tout le monde derrière nous a pris des points », faisait observer l'entraîneur bas-rhinois, tranquillement installé dans les tribunes de la Meinau, hier après-midi, pour suivre le derby de la réserve contre Nancy, « Gagner à  Bonal dans le contexte actuel, c'était formidable. Je l'espérais en secret. En plus, je n'ai pas les stats en tête, mais je crois que nous sommes rarement revenus au score à  l'extérieur cette saison (1). A 39 points, nous nous pensions sauvés. Aujourd'hui, à  42, nous ne le sommes pas encore. Mais nous arrivons doucement aux objectifs que nous nous étions fixés. Samedi, les mecs ont fait les fous à  Bonal beaucoup plus qu'au Stade de France. Les voir ainsi m'a ému. J'ai regardé ce matin (hier) les photos de Rémy Vercoutre et Salim Arrache dans " L'Alsace ". Elles sont symboliques. J'ai le sentiment que même ceux qui ne participent pas directement aux victoires, parce qu'ils sont sur le banc ou en tribunes, sont sincères lorsqu'ils partagent le bonheur des autres. Ça signifie beaucoup pour moi. » Reste désormais à  achever un travail commencé le 4 octobre lors de sa nomination. En 26 matches sous sa direction, le Racing a récolté 28 points (1,46 de moyenne) et pointe tout simplement sur cette période au 6e rang (devant l'OM, Auxerre, le PSG, Toulouse, Lens et Sochaux notamment). « Le derby contre Metz s'annonce très chaud, très musclé », prédit « Dugué » qui lance un appel au peuple. « Nos supporters ont été très bons à  Bonal. J'espère que le stade sera plein samedi pour nous booster. Car dans ce match, le maintien est en jeu pour les deux clubs. »

Nez cassé pour Abdessadki ?

Contraint, durant le derby, de faire soigner son nez en sang, le milieu de terrain du Racing Yacine Abdessadki souffre selon toute vraisemblance d'une fracture. L'international marocain passera une radio ce matin pour en avoir le coeur net. « De toute façon, ça ne l'empêchera pas de jouer », estime un Jacky Duguépéroux qui, comme joueur, a toujours été un dur au mal. Boka reprend. Préservé avant-hier à  Sochaux après avoir ressenti une tension au mollet droit lors de la finale de la Coupe de la Ligue contre Caen, le latéral gauche ivoirien Arthur Boka reprendra normalement avec le groupe demain matin. En principe, deux séances sont programmées ce mardi. Comme d'habitude, les Strasbourgeois s'entraîneront le matin cette semaine, excepté vendredi, veille de match. La séance se déroulera l'après-midi. Petite entorse pour Arrache. Sur une volée mal assurée hier après-midi lors du match entre les stagiaires du RCS et la réserve de Nancy (0-1), l'ailier Salim Arrache s'est donné une petite entorse du cou-de-pied gauche. Touché en début de rencontre, il a tenu sa place jusqu'à  la pause, avant de la céder au néo-pro originaire de Sentheim, Gaëtan Krebs.

[PoY]

Marseille tombe à  la Meinau en encaissant un but de Pagis dans les arrêts de jeu (1-0)

Je veux bien qu'on ne fasse pas de différence entre un blanc et un noir, mais bon, me semble quand même que c'est Niang qui a marqué contre l'OM

[Manu]

L'ivresse du… foot

Un jeune supporteur strasbourgeois, âgé de 13 ans, a dû être évacué de la tribune des visiteurs, samedi, peu avant le match qui allait opposer les « Jaune et Bleu » aux joueurs alsaciens du Racing en raison de son état d'ivresse manifeste. Mais surtout car il était sur le point de faire un malaise. Il a été évacué par les sapeurs-pompiers sur le centre hospitalier de Montbéliard, où il a passé la nuit sans que personne de sa famille ni de ses proches ne s'inquiète de son état de santé. Ce qui n'a pas laissé de surprendre l'officier de police judiciaire de permanence hier.

Source : Le pays

[Blue_Angel]

Concernant la banderole des supporters sochaliens, la direction du club doubiste devrait envoyer aujourd'hui une lettre d'excuse au Racing.

Eh ben ils sont même obligés de réparer les dégâts de leurs supporters, ça va vraiment plus à  Sochaux...qu'ils en profitent pendant longtemps de cette crise, nous on en a asez eu à  eux de pâtir maintenant bande de ...

[Manu]

Stade Bonal : supporter interpellé

À la suite des incidents qui se sont produits samedi soir aux environs du stade Bonal, à  l'issue de la rencontre opposant les Jaune et Bleu aux joueurs du Racing Club de Strasbourg, et qui ont vu quelques supporters doubistes, mécontents de la défaite du club local, s'en prendre aux vitres des vestiaires ainsi qu'aux voitures de certains joueurs, un jeune habitant de Bretagne, dans le Territoire-de-Belfort, âgé de 22 ans, a été interpellé par la police. Il lui est reproché d'avoir introduit de la boisson alcoolisée dans l'enceinte du stade ainsi qu'un fumigène. Il devra répondre de ce délit le 24 juin devant le tribunal correctionnel de Montbéliard. Ces incidents seront à  l'ordre du jour de la réunion qui sera animée ce matin par le procureur de la République, François Pucheus, en présence des commissaires montbéliardais. Il déplore le nombre impressionnant de fumigènes qui ont pu être introduits dans le stade. « Il y a manifestement une carence du côté des stadiers », commente le procureur, qui regrette qu'« on finisse la saison avec des incidents de cette nature ». Il rappelle qu'il a saisi à  plusieurs reprises les dirigeants du FCSM du problème de la sécurité dans les stades et des mesures concrètes à  mettre en oeuvre pour éviter la montée de la violence dans les stades. « Il s'agit de donner une réponse forte à  ce qui s'est passé samedi. Nous allons tout faire pour identifier les auteurs, savoir comment il est possible que des supporters aient pu déployer une banderole au goût douteux hors champ des caméras de télévision. Nous n'accusons personne, ni l'organisation, ni les services de police. Mais une banderole et 50 fumigènes, c'est beaucoup trop ! », conclut le représentant du Ministère public.

Le club dépose plainte

MONTBELIARD. Le FC Sochaux a décidé de déposer plainte contre X suite aux problèmes rencontrés avec une petite partie du public pendant et à  l'issue de Sochaux-Strasbourg. Si le club a décidé de faire preuve de tolérance en ce qui concerne les échauffourées d'après match aux abords des vestiaires, il a confirmé son intention d'être moins conciliant en ce qui concerne le banderole jugée injurieuse pour les visiteurs alsaciens déployée en fin de match et tribune Nord. Une façon également de marquer le coup face à  la Ligue qui aura à  se prononcer à  la suite du rapport du délégué et des images reçues.

[fernie]

L'ivresse du… foot

Un jeune supporteur strasbourgeois, âgé de 13 ans, a dû être évacué de la tribune des visiteurs, samedi, peu avant le match qui allait opposer les « Jaune et Bleu » aux joueurs alsaciens du Racing en raison de son état d'ivresse manifeste. Mais surtout car il était sur le point de faire un malaise. Il a été évacué par les sapeurs-pompiers sur le centre hospitalier de Montbéliard, où il a passé la nuit sans que personne de sa famille ni de ses proches ne s'inquiète de son état de santé. Ce qui n'a pas laissé de surprendre l'officier de police judiciaire de permanence hier.

Source : Le pays

hallucinant ...