
[Ex] Mamadou Niang
- argueti
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C'est ce que je pense aussi, quand Marco parle "d'offre mirobolante pour Niang", je ne pense qu'il parle de 5 ou 6 millions d'euros, avec l'UEFA, le championnat etc, Niang sera indispensable, de plus, son talent sera visible en Europe, et sa côte explosera en juin prochain...urotsukidogi a écrit :Sur RMC (ca fait 4 fois que je le marque dans plein de topics différents, j'ai l'impression de radoter) Marco lorsqu'on lui a demandé quel était son chantier majeur a répondu le milieu de terrain en estimant que l'attaque était très bien ainsi que la défense. D'après lui on n'engagera peut êtr equelqu'un si c'est une bonne occase, mais il n'y a pas du tout d'urgence étant donné nos jeunes.
A moins d'un gros pipeau, ça pourrait vouloir dire que Niang et Pagis seront encore à la Meinau l'année prochaine.
S'il part, ce sera pour 8 à 9 millions minimum, vous verrez, Duguépéroux aura besoin d'un effectif conséquent et talentueux pour faire face aux objectifs, et puis, c'est fini de vendre pour vendre...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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Premier buteur du Racing, samedi soir en finale de la coupe de la Ligue, Mamadou Niang a remporté le tout premier trophée de sa carrière.
A 25 ans, celui qui a marqué 13 buts toutes compétitions confondues cette saison, savoure ce succès. Qui, espère-t-il, en appelera d'autres.
Un peu plus de 48 heures après votre victoire en finale de la coupe de la Ligue, quelle image gardez-vous ?
Celle où nous soulevons la coupe. C'était la première fois pour la plupart d'entre nous et nous ne l'oublierons jamais. Au coup de sifflet final, il y a eu du soulagement. Mais quand nous avons soulevé la coupe, nous savions qu'elle était à nous, désormais.
Quelle analyse faites-vous de ce match ?
Nous avions beaucoup de pression. Les deux équipes étaient crispées, tendues. Il n'y a pas eu beaucoup de jeu car c'était difficile des deux côtés. Heureusement pour nous, nous avons eu un brin de chance en plus avec ce coup-franc de « Jeannot ».
Justement, que se passe-t-il sur ce coup-franc ? On a l'impression que vous vouliez le tirer ?
Avant le match, le coach avait désigné Micka Pagis, « Jeannot » ou moi pour tirer les coup-francs. Là , nous ne savions pas trop qui voulait tirer. Mais Jean-Christophe s'est imposé car il avait une grosse détermination. Donc, je me suis poussé et Micka est resté pour lui décaler le ballon.
Vous avez ouvert le score en première période. Marquer dans une finale, ça restera comme un grand moment de votre carrière ?
Il était surtout important de gagner. C'est certain que c'est un plaisir de marquer au Stade de France, qui plus est. D'autant qu'il y avait beaucoup de monde pour moi: ma femme, ma famille, des amis. Ce but, je le savoure encore plus car il y a la victoire au bout. Si nous avions perdu, ça aurait été complétement différent.
Que représente cette victoire en finale ?
Il est primordial pour le club, pour le groupe, pour les dirigeants et pour les supporters. Notre début de saison a été catastrophique. Nous nous sommes sortis la tête de l'eau. C'est un beau cadeau pour la région et ceux qui nous soutiennent. Mais je crois que ce trophée aura plus de saveur une fois le maintien en poche.
Est-ce aussi une récompense pour le groupe après avoir cravaché pour se sortir d'une situation difficile ?
Oui, c'est une récompense car nous avons connu beaucoup de galères. Nous avons eu des hauts et des bas, tout au long de la saison mais nous n'avons jamais rien lâché dans nos têtes. Nous nous sommes serrés les coudes, toujours. Nous avons tiré dans le même sens.
Réalisez-vous avoir remporté la coupe de la Ligue ?
Personnellement, j'ai réalisé quand je l'ai eue dans les mains. C'est un grand moment de bonheur. Après, ce sont des bons moments aussi, avec la famille, ma femme, les partenaires du club, le coach. C'était une bonne soirée, vraiment.
Ce trophée vous permet d'inaugurer votre palmarès. Est-ce important à vos yeux ?
Cette ligne à mon palmarès, personne ne me l'enlèvera. C'est mon premier trophée, c'est vrai. J'espère que j'en gagnerai beaucoup d'autres et que je disputerai beaucoup d'autres finales. Je suis très content de l'avoir gagnée et de garnir un palmarès qui était vierge jusqu'à samedi.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Et moi l'inverse ! Il a envie de voir plus grand !NianKaRud a écrit :Moi j'ai comme un préssentiment qu'il va ....... rester.
Après s'il n'y a pas d'offre conséquante... il devrait rester mais...... avec quelle envie ?
- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
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- Moi ? Oh rien..
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Niang: « A fond avec Strasbourg »
Messin pendant six mois, Mamadou Niang va retrouver, ce samedi soir à l'occasion du derby de l'Est, son ancien club. Pas question de faire de sentiment car le Racing doit assurer définitivement le maintien.
L'attaquant Sénégalais, qui vient de fêter son centième match en L1, évoque aussi son futur, qui fait beaucoup parler en ce moment.
Jouer face à Metz, cela représente quoi pour vous ?
C'est toujours spécial. Samedi, cela le sera moins que l'an dernier. Mais j'ai gardé de mes six mois là -bas d'excellents souvenirs.
Comment s'était passé votre départ de ce club ?
Quand j'étais parti, à la fin de mon prêt, j'étais déçu car je pensais continuer au sein de ce club. Mais aujourd'hui, je ne regrette plus car je vis de bons moments au Racing. J'ai d'ailleurs retrouvé ici, à Strasbourg, des choses que j'avais connues à Metz.
A titre personnel, vous avez retrouvé, depuis quelques semaines maintenant, un bel élan.
Oui, et il est important de faire plaisir aux supporters et aux dirigeants qui ont confiance en nous. Moi, quand ça se passe comme ça, je suis content.
Le Racing, avec 42 points, est-il maintenu ?
Pas encore. Il reste trois journées et donc 9 points à prendre. L'avantage c'est que nous avons notre sort entre nos mains. Tout va dépendre, finalement, des résultats des uns et des autres ce week-end.
On sent que quelque chose s'est passé au sein du groupe. A Sochaux, par exemple, vous avez été capable d'inverser la tendance après avoir été mené au score.
Avant, quand nous étions menés, nous étions nerveux. On bafouait notre jeu et, à l'approche de la surface, nous étions stressés. A Sochaux, nous avons su prendre notre temps. Nous sentions que, sur le terrain, nous avions l'ascendant malgré ce but encaissé. Nous avons fait tourner la balle et su trouver les décalages. C'est une victoire importante qui nous fait beaucoup de bien aujourd'hui.
Depuis que le Racing lutte pour son maintien, il n'a cessé de jouer. Est-ce ça la force du groupe, de vouloir se maintenir par le jeu ?
Dès le début, nous savions que cela allait être diffiicile pour nous. Nous avons très mal débuté, nous étions au plus mal. Jacky Duguépéroux, quand il est arrivé, nous a dit que nous n'avions rien à perdre et il voulait nous voir jouer, surtout. De toute façon, nous savions tous que nous n'avions pas les moyens de défendre pendant tout un match. La défense est même dévenu, dernièrement, une arme du Racing...
La première mission du coach était de nous faire reprendre confiance défensivement. Car après, nous savions tous que nous étions capables de nous créer des occasions contre n'importe qui. Et puis, nous avons vu que nous pouvions faire jeu égal avec tout le monde, hormis peut-être Lyon. Même si nous ne sommes que 13es, il n'y a pas beaucoup d'équipes qui nous ont surclassés cette année.
Avec un maintien et une qualification en UEFA pour la saison prochaine, l'avenir du Racing s'annonce ensoleillé.
Cela prouve, tout simplement, qu'il y a de la qualité à Strasbourg. Y compris au niveau de la formation puisqu'on voit des garçons comme Kanté, Lacour ou Keita qui sortent du centre. Lacour est impressionnant match après match. Sidi est en train de prendre une autre dimension, en ce moment. Il y a d'autres très bons joueurs, comme Salim Arrache. Et puis, il y a aussi de l'expérience, avec des garçons comme Pagis, Devaux, etc. L'équipe est équilibrée. C'est prometteur, oui.
On parle beaucoup de vous dans la rubrique des transferts. Quelle est votre position actuellement ?
Je ne me soucie pas trop de ça car nous venons d'avoir une série de matches importants, avec cette finale et un maintien à assurer. Pour l'instant, je suis ici et il me reste deux ans de contrat. Strasbourg a son mot à dire. Et, de toute façon, le choix sera difficile car je me retrouve dans la même position qu'au moment où je suis parti de Metz. Je me sens bien ici, je suis accepté. Il est difficile de m'imaginer partir. Pour l'instant, je me vois à Strasbourg la saison prochaine. Mais j'attends d'avoir une discussion avec Marc Keller pour connaître les ambitions du club.
Cette situation ne vous perturbe-t-elle pas ?
Non car je suis à fond avec Strasbourg. Et, tant qu'il n'y aura pas de maintien, je n'y penserai pas. Toutes mes pensées sont orientées vers cet objectif. J'ai d'ailleurs demané à mon agent de ne rien me dire quant à d'éventuelles sollicitations car c'est une période décisive pour le club. Je n'ai pas la tête ailleurs.
A quel match vous attendez-vous samedi face à Metz ?
Je vais retrouver mon père spirituel, Jean Fernandez, qui est quelqu'un de malin. Je suis sûr qu'il trouvera quelque chose pour nous bloquer. Cela risque d'être fermé défensivement. A nous de gérer cette situation et d'être patient surtout.
Messin pendant six mois, Mamadou Niang va retrouver, ce samedi soir à l'occasion du derby de l'Est, son ancien club. Pas question de faire de sentiment car le Racing doit assurer définitivement le maintien.
L'attaquant Sénégalais, qui vient de fêter son centième match en L1, évoque aussi son futur, qui fait beaucoup parler en ce moment.
Jouer face à Metz, cela représente quoi pour vous ?
C'est toujours spécial. Samedi, cela le sera moins que l'an dernier. Mais j'ai gardé de mes six mois là -bas d'excellents souvenirs.
Comment s'était passé votre départ de ce club ?
Quand j'étais parti, à la fin de mon prêt, j'étais déçu car je pensais continuer au sein de ce club. Mais aujourd'hui, je ne regrette plus car je vis de bons moments au Racing. J'ai d'ailleurs retrouvé ici, à Strasbourg, des choses que j'avais connues à Metz.
A titre personnel, vous avez retrouvé, depuis quelques semaines maintenant, un bel élan.
Oui, et il est important de faire plaisir aux supporters et aux dirigeants qui ont confiance en nous. Moi, quand ça se passe comme ça, je suis content.
Le Racing, avec 42 points, est-il maintenu ?
Pas encore. Il reste trois journées et donc 9 points à prendre. L'avantage c'est que nous avons notre sort entre nos mains. Tout va dépendre, finalement, des résultats des uns et des autres ce week-end.
On sent que quelque chose s'est passé au sein du groupe. A Sochaux, par exemple, vous avez été capable d'inverser la tendance après avoir été mené au score.
Avant, quand nous étions menés, nous étions nerveux. On bafouait notre jeu et, à l'approche de la surface, nous étions stressés. A Sochaux, nous avons su prendre notre temps. Nous sentions que, sur le terrain, nous avions l'ascendant malgré ce but encaissé. Nous avons fait tourner la balle et su trouver les décalages. C'est une victoire importante qui nous fait beaucoup de bien aujourd'hui.
Depuis que le Racing lutte pour son maintien, il n'a cessé de jouer. Est-ce ça la force du groupe, de vouloir se maintenir par le jeu ?
Dès le début, nous savions que cela allait être diffiicile pour nous. Nous avons très mal débuté, nous étions au plus mal. Jacky Duguépéroux, quand il est arrivé, nous a dit que nous n'avions rien à perdre et il voulait nous voir jouer, surtout. De toute façon, nous savions tous que nous n'avions pas les moyens de défendre pendant tout un match. La défense est même dévenu, dernièrement, une arme du Racing...
La première mission du coach était de nous faire reprendre confiance défensivement. Car après, nous savions tous que nous étions capables de nous créer des occasions contre n'importe qui. Et puis, nous avons vu que nous pouvions faire jeu égal avec tout le monde, hormis peut-être Lyon. Même si nous ne sommes que 13es, il n'y a pas beaucoup d'équipes qui nous ont surclassés cette année.
Avec un maintien et une qualification en UEFA pour la saison prochaine, l'avenir du Racing s'annonce ensoleillé.
Cela prouve, tout simplement, qu'il y a de la qualité à Strasbourg. Y compris au niveau de la formation puisqu'on voit des garçons comme Kanté, Lacour ou Keita qui sortent du centre. Lacour est impressionnant match après match. Sidi est en train de prendre une autre dimension, en ce moment. Il y a d'autres très bons joueurs, comme Salim Arrache. Et puis, il y a aussi de l'expérience, avec des garçons comme Pagis, Devaux, etc. L'équipe est équilibrée. C'est prometteur, oui.
On parle beaucoup de vous dans la rubrique des transferts. Quelle est votre position actuellement ?
Je ne me soucie pas trop de ça car nous venons d'avoir une série de matches importants, avec cette finale et un maintien à assurer. Pour l'instant, je suis ici et il me reste deux ans de contrat. Strasbourg a son mot à dire. Et, de toute façon, le choix sera difficile car je me retrouve dans la même position qu'au moment où je suis parti de Metz. Je me sens bien ici, je suis accepté. Il est difficile de m'imaginer partir. Pour l'instant, je me vois à Strasbourg la saison prochaine. Mais j'attends d'avoir une discussion avec Marc Keller pour connaître les ambitions du club.
Cette situation ne vous perturbe-t-elle pas ?
Non car je suis à fond avec Strasbourg. Et, tant qu'il n'y aura pas de maintien, je n'y penserai pas. Toutes mes pensées sont orientées vers cet objectif. J'ai d'ailleurs demané à mon agent de ne rien me dire quant à d'éventuelles sollicitations car c'est une période décisive pour le club. Je n'ai pas la tête ailleurs.
A quel match vous attendez-vous samedi face à Metz ?
Je vais retrouver mon père spirituel, Jean Fernandez, qui est quelqu'un de malin. Je suis sûr qu'il trouvera quelque chose pour nous bloquer. Cela risque d'être fermé défensivement. A nous de gérer cette situation et d'être patient surtout.
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Encore une fois, je ne suis pas certain d'un départ de Mamadou...
Les offres sont une chose, la sécurité en est une autre...
En choisissant de rester une saison de plus, Niang sait qu'il pourra bénéficier d'un statut de titulaire indiscutable dans une équipe qui commence à bien tourner, il jouera l'UEFA, il sait qu'il pourra compter sur l'ossature de cette équipe complétée par des joueurs de qualité tels que Pontus Farnerud, il sait que le club lui laissera récupérer tranquillement après la CAN et préparer sa coupe du monde etc... etc... sans oublier que les offres seront encore plus intéressantes en fin de saison 2006 car je ne pense pas du tout que cette équipe va déjouer la saison prochaine, au contraire...
Alors franchement, partir dans un gros club sans avoir l'assurance de jouer et de sefaire remarquer des médias avec une CAN & une coupe du monde dans moins de 12 mois...
Les offres sont une chose, la sécurité en est une autre...
En choisissant de rester une saison de plus, Niang sait qu'il pourra bénéficier d'un statut de titulaire indiscutable dans une équipe qui commence à bien tourner, il jouera l'UEFA, il sait qu'il pourra compter sur l'ossature de cette équipe complétée par des joueurs de qualité tels que Pontus Farnerud, il sait que le club lui laissera récupérer tranquillement après la CAN et préparer sa coupe du monde etc... etc... sans oublier que les offres seront encore plus intéressantes en fin de saison 2006 car je ne pense pas du tout que cette équipe va déjouer la saison prochaine, au contraire...
Alors franchement, partir dans un gros club sans avoir l'assurance de jouer et de sefaire remarquer des médias avec une CAN & une coupe du monde dans moins de 12 mois...
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