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En tout cas, c'est son anniv' aujourd'hui, alors Bon Anniversaire à lui également
[Ex] Yann Schneider
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Pinon
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Serait-ce un petit oubli d'InfosRacing ?
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C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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matt57
Le bleu qui lève
Yann Schneider (en mailllot bleu) de Schoenbourg au Racing, un rêve qui peut devenir réalité.(Photo DNA)
Six ans déjà qu'il porte le maillot bleu du Racing-Club de Strasbourg, qu'il mûrit au sein du centre de formation. Yann Schneider, le gamin de Schoenbourg, symbolise cette nouvelle vague qui frappe aux portes de l'effectif professionnel.
« C'est sûr que maintenant je vois le football d'un autre oeil, dans la meure où je suis tout près d'en faire mon métier », avoue ce garçon de 19 ans, discret, discipliné et intelligent, qui compte déjà trois sélections en équipe de France des moins de 19 ans, contre l'Italie, la Croatie et la Turquie, sous les couleurs d'un autre maillot bleu, frappé du coq et de l'étoile en or celui-là . « C'est un autre niveau, poursuit Yann Schneider, il faut une rigueur extrême, la moindre erreur est fatale ».
Né à Phalsbourg en janvier 1986, l'aventure de Yann Schneider commence avec les débutants des SR Rehthal, où son père, Rémi, est entraîneur en D2. « J'ai toujours adoré jouer au foot. Les matches à la télé ne me passionnaient pas du tout. » Saint-Etienne, l'OM, Monaco ou le PSG, équipes en vogue durant sa jeunesse, ne le fascinent pas plus que cela. Pas plus que Papin, Boli ou Anderson.
Déniché par le FC Obermodern
Après une année en benjamins, Yann Schneider est déniché par le FC Obermodern. Il va évoluer aux côtés de son frère Steve. « De beaux souvenirs, des idées plein la tête, une sorte de bonheur qui se répétait tous les week-ends », déclare-t-il, le sourire aux lèvres.
Et c'est au cours d'un match de championnat avec les 13 ans DH du FC Obermodern contre le Racing, qu'il tape dans l'oeil d'un certain Jacky Duguépéroux, alors responsable du centre de formation. Et le voilà qui débarque, à l'âge de 12 ans et demi, à la Meinau. « Je quittais un environnement, un noyau qui m'était familier. Au début c'était l'inconnu, reconnaît, avec une grande lucidité, le jeune homme qui garde bien la tête sur les épaules. Je vivais autre chose, et à 13 ans ou 14 ans, ne pensais pas du tout à devenir professionnel. »
Mais au fur et à mesure que ses copains quittent un à un le club de la Meinau, Yann Schneider s'accroche, « sûr que cela faisait un peu peur, mais cela forge aussi le caractère, te rend plus fort ». Aujourd'hui, il est le dernier survivant de sa promotion à toucher son rêve du doigt, « oui, maintenant je veux devenir footballeur professionnel ».
Devenir footballeur professionnel
Et quand, en juin dernier, Jacky Duguépéroux lui renouvelle son contrat (de deux ans) de stagiaire et que le même jour Antoine Kombouaré l'invite à rejoindre le groupe des « pros » pour la reprise de l'entraînement, le gamin est aux anges. « Se retrouver avec Niang, Pagis, Johansen, Bassila, j'avais une petite appréhension, mais au bout de cinq minutes, on oublie. Le ballon efface les différences et les pros ont été sympas ».
Les apparitions dans l'équipe du CFA se multiplient, il fera même une apparition sur le banc de touche de l'équipe professionnelle en Coupe de la ligue à Troyes, « on espère à ce moment-là un signe de l'entraîneur, pour entrer en jeu ».
La Coupe Gambardella samedi dernier, et une victoire 0-1 à Auxerre sur les terres de l'une des meilleures écoles du football français, cet après-midi au stade Saint-Symphorien de Metz, dans quelques jours à Lens en 1/16e de finale de la Gambardella. Tout en ne négligeant pas les études de marketing et de gestion (il est en première année de FAC à l'ISEG), au cas où... Et en guettant ce concours de circonstances indispensable au grand baptême du feu, son premier match en ligue 1.
Le rêve en bleu se poursuit pour Yann Schneider qui sera peut-être le prochain Alsacien à passer professionnel.
Yann Schneider (en mailllot bleu) de Schoenbourg au Racing, un rêve qui peut devenir réalité.(Photo DNA)
Six ans déjà qu'il porte le maillot bleu du Racing-Club de Strasbourg, qu'il mûrit au sein du centre de formation. Yann Schneider, le gamin de Schoenbourg, symbolise cette nouvelle vague qui frappe aux portes de l'effectif professionnel.
« C'est sûr que maintenant je vois le football d'un autre oeil, dans la meure où je suis tout près d'en faire mon métier », avoue ce garçon de 19 ans, discret, discipliné et intelligent, qui compte déjà trois sélections en équipe de France des moins de 19 ans, contre l'Italie, la Croatie et la Turquie, sous les couleurs d'un autre maillot bleu, frappé du coq et de l'étoile en or celui-là . « C'est un autre niveau, poursuit Yann Schneider, il faut une rigueur extrême, la moindre erreur est fatale ».
Né à Phalsbourg en janvier 1986, l'aventure de Yann Schneider commence avec les débutants des SR Rehthal, où son père, Rémi, est entraîneur en D2. « J'ai toujours adoré jouer au foot. Les matches à la télé ne me passionnaient pas du tout. » Saint-Etienne, l'OM, Monaco ou le PSG, équipes en vogue durant sa jeunesse, ne le fascinent pas plus que cela. Pas plus que Papin, Boli ou Anderson.
Déniché par le FC Obermodern
Après une année en benjamins, Yann Schneider est déniché par le FC Obermodern. Il va évoluer aux côtés de son frère Steve. « De beaux souvenirs, des idées plein la tête, une sorte de bonheur qui se répétait tous les week-ends », déclare-t-il, le sourire aux lèvres.
Et c'est au cours d'un match de championnat avec les 13 ans DH du FC Obermodern contre le Racing, qu'il tape dans l'oeil d'un certain Jacky Duguépéroux, alors responsable du centre de formation. Et le voilà qui débarque, à l'âge de 12 ans et demi, à la Meinau. « Je quittais un environnement, un noyau qui m'était familier. Au début c'était l'inconnu, reconnaît, avec une grande lucidité, le jeune homme qui garde bien la tête sur les épaules. Je vivais autre chose, et à 13 ans ou 14 ans, ne pensais pas du tout à devenir professionnel. »
Mais au fur et à mesure que ses copains quittent un à un le club de la Meinau, Yann Schneider s'accroche, « sûr que cela faisait un peu peur, mais cela forge aussi le caractère, te rend plus fort ». Aujourd'hui, il est le dernier survivant de sa promotion à toucher son rêve du doigt, « oui, maintenant je veux devenir footballeur professionnel ».
Devenir footballeur professionnel
Et quand, en juin dernier, Jacky Duguépéroux lui renouvelle son contrat (de deux ans) de stagiaire et que le même jour Antoine Kombouaré l'invite à rejoindre le groupe des « pros » pour la reprise de l'entraînement, le gamin est aux anges. « Se retrouver avec Niang, Pagis, Johansen, Bassila, j'avais une petite appréhension, mais au bout de cinq minutes, on oublie. Le ballon efface les différences et les pros ont été sympas ».
Les apparitions dans l'équipe du CFA se multiplient, il fera même une apparition sur le banc de touche de l'équipe professionnelle en Coupe de la ligue à Troyes, « on espère à ce moment-là un signe de l'entraîneur, pour entrer en jeu ».
La Coupe Gambardella samedi dernier, et une victoire 0-1 à Auxerre sur les terres de l'une des meilleures écoles du football français, cet après-midi au stade Saint-Symphorien de Metz, dans quelques jours à Lens en 1/16e de finale de la Gambardella. Tout en ne négligeant pas les études de marketing et de gestion (il est en première année de FAC à l'ISEG), au cas où... Et en guettant ce concours de circonstances indispensable au grand baptême du feu, son premier match en ligue 1.
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Maneo
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Il n'a jamais joué que je sache !Placebo19 a écrit :Serait-ce un petit oubli d'InfosRacing ?
En tout cas, c'est son anniv' aujourd'hui, alors Bon Anniversaire à lui également
Le plus dur reste devant lui. Il est ptet le seul rescapé de sa génération. Mais y a encore 90% des stagiaires qui ne deviendront pas pros. Alors qu'il ne se laisse pas griser par ses sélections en edf. C'est toujours une réussite un alsacien qui passe pro !
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matt57
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matt57
Edit: Mettez en forme SVP c'est plus lisibleSO a écrit :17-05-2005 : France -19 ans: Schneider en renfort
Deux pensionnaires du centre de formation seront avec l'équipe de France des moins de 19 ans la semaine prochaine pour le match amical face au Bénin. Après Ricardo Faty, appelé dans le groupe de départ, c'est Yann Schneider (photo) qui a reçu, ce mardi, sa convocation pour ce rendez-vous international. Le jeune défenseur du groupe CFA profite du forfait du Messin Mihoubi pour faire son retour au sein de l'équipe de France.
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Blue_Angel
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matt57
CFA: Schneider forfait
Mauvaise nouvelle pour François Keller. Avant le déplacement à Feignies pour la deuxième journée du CFA, ce samedi, l'entraîneur de la réserve du Racing a vu un de ses joueurs quitté l'entraînement avant les autres. Yann Schneider a en effet reçu un coup sur le genou gauche lors d'un duel et doit déclarer forfait pour ce premier match de la saison à l'extérieur. Déjà privé de Kevin Gameiro et Ricardo Faty (cheville), François Keller devra compter sans un troisième élément d'expérience pour jouer à Feignies.
Mauvaise nouvelle pour François Keller. Avant le déplacement à Feignies pour la deuxième journée du CFA, ce samedi, l'entraîneur de la réserve du Racing a vu un de ses joueurs quitté l'entraînement avant les autres. Yann Schneider a en effet reçu un coup sur le genou gauche lors d'un duel et doit déclarer forfait pour ce premier match de la saison à l'extérieur. Déjà privé de Kevin Gameiro et Ricardo Faty (cheville), François Keller devra compter sans un troisième élément d'expérience pour jouer à Feignies.
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Capitaine de la réserve du Racing, Yann Schneider attend avec impatience le rendez-vous de ce dimanche face au Sporting Schiltigheim, pour le derby de la journée en CFA. Le milieu défensif alsacien a déjà disputé quatre derbies dans sa jeune carrière. Il parle de matches engagés, où l'aspect physique est primordial. Et comme les stagiaires veulent rester invaincus à domicile, cela promet un beau duel, ce dimanche.
Comment juges-tu le début de saison du groupe ?
L'équipe ressemble à celle de l'an dernier. Nous sommes donc habitués aux matches de CFA. C'est un bon début de saison avec notamment une invincibilité à domicile. Il faut croire d'ailleurs que nous faisons peur à la maison quand on voit comment Calais a joué face à nous le week-end dernier (0-0). La différence, par rapport à la saison passée, c'est que nous découvrons un nouveau groupe, donc de nouvelles équipes.
L'invincibilité à domicile est-elle un challenge pour le groupe ?
Oui et le coach met l'accent dessus régulièrement. Il nous dit que nous n'avons pas le droit de nous faire bouger à la maison. Il faut gagner et produire du jeu.
Quel est l'objectif du groupe ?
D'assurer le maintien le plus vite possible pour être libéré ensuite. Nous allons essayer de faire aussi bien que l'an dernier où nous avions réalisé une bonne saison. Ca faisait d'ailleurs longtemps que la réserve du Racing n'avait pas été aussi bien classée. Si nous réalisons les mêmes choses cette saison, ce ne sera pas mal du tout.
A titre personnel, tu as commencé la saison au poste d'arrière gauche avant d'être replacé au milieu du terrain. Comment cela se passe ?
Je ne pensais pas débuter la saison sur la gauche de la défense. Ensuite, le coach m'a replacé dans l'axe du milieu et ça va mieux, je trouve. Tant qu'il y a la victoire, ça va toujours.
« S'imposer physiquement »
Comment le groupe aborde-t-il le derby de ce week-end face au Sporting Schiltigheim ?
Personnellement, je l'ai déjà disputé quatre fois, ce derby. Il a toujours une odeur particulière. Schiltigheim possède beaucoup d'anciens dans on équipe, ils viennent toujours avec un esprit revanchard. Il y a de la motivation des deux côtés. Ce n'est pas un match comme les autres. Il y a toujours un enjeu dans ces matches : montrer qui est la référence sur Strasbourg.
Est-ce physiquement que la différence se fait lors de ce derby ?
Oui, c'est la première des choses. Il faut s'imposer physiquement si on veut gagner, dans ce genre de match. Mais Schiltigheim est une équipe qui produit du jeu et qui possède beaucoup de qualités. C'est toujours difficile de les affronter.
Avez-vous préparé ce rendez-vous d'une certaine manière ?
Non, il n'y a rien eu de spécial dans la semaine. Nous savons juste que pour nous imposer, il faudra remporter les duels. Mais c'est vrai pour n'importe quel match.
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