[04/05] 37ème J: Rennes / RCS - 4/0

[NianKaRud]

Rohh, certes on perds 4-0 score assez incomprehensible au vue de nos derniers matchs, mais ils nous ont donnés tant de plaisir ces derniers temps qu'on ne peut pas leur en vouloir. La fête se sera samedi à  la Meinau. C'est certain que quelques joueurs n'avaient pas envi de jouer au vue de leur fatigue avec les énormes efforts donnés ces derniers temps. Mais bon faut pas leur en vouloir autant !! Allez Racing .

[télésupporteur]

ce match a mid en évidence, dès la 1e mi-temps, les secteurs à  renforcer
deux milieux offensifs et un arrière central
des joueurs ont montré, ou plutôt confirmé leurs limites
je cite farnerud, kanté et lacour en milieu de terrain
l'attitude de pagis, logiquement expulsé ne reflèterait-elle pas des tensions avec la direction
agression inadmissible de keita qui méritait une expulsion
keita, meilleur joueur de la 1e mi-temps
niang a plus joué pour les recruteurs que pour le racing
le pen très loin de son niveau de l'année dernière
session de rattrapage face à  bastia

[Supporters]

Moi je ne pleure pas et je ne rigole pas.

Mais je m'en gratte de la défaite contre Rennes le 4-0.
L'importance et le maintien et fait, et on est qualifié pour L'UEFA


Mais allez Racing

PS: je demande juste une victoire contre Bastia et J'éspére qu'un club Corse déscend en L2 ou voir les 2.

[Matt]

Le Racing et sa Dark Vadrouille en Bretagne ?

[Supporters]

les gallettes sauscisse écrase les Cigognes

[argueti]

Une valise bien lourde...

Le Racing, qui voulait confirmer son nouveau statut de bon voyageur, est reparti de Rennes la valise chargée de buts. Pour son dernier déplacement de la saison, il a sombré en deuxième période.

On avait tellement vanté la solidité retrouvée du Racing que la brutale sortie de route subie peut n'être qu'un accident. Au premier accident de l'ère Duguépéroux. Hier soir, ses joueurs sont passés au travers, avec une deuxième période calamiteuse. Ils ont également encaissé leur plus lourde défaite de la saison.
Ce sont les détails qui font les différences, Jacky Duguépéroux le répète souvent. Prenez cette action où Abdessadki remonte le ballon, avec trois équipiers (Pagis, Niang et Deroff) à  ses côtés face à  deux Rennais. Au bout de l'action, le milieu du Racing fera le mauvais choix - passe mal ajustée pour Deroff - et il n'obtiendra qu'un corner tiré par les cheveux.

Une réussite qui change tout

Sur le contre, ou presque, Maoulida, servi par Frei, se jouera facilement de la défense du Racing et viendra réveiller un stade de la Route de Lorient plein comme un oeuf, sans être forcément très enthousiaste alors. Donc, Jacky Duguépéroux, qui signera son contrat de deux ans mercredi prochain, a dû « apprécier ».
Jusque là , jusqu'à  cette 43e minute, le Racing avait tenu, sans vraiment souffrir, les Rennais ayant toutes les peines du monde à  mettre leurs attaquants dans les meilleures conditions, à  les servir dans la profondeur.
Exceptée cette tête de... Kanté sur le poteau de Cassard, il avait même eu, surtout sur le côté gauche des Rennais où Sorlin se plaçait haut, des occasions d'être dangereux. Mais la réussite de Maoulida allait tout changer.

Nervosité mal placée

Contrairement à  leur match de Sochaux, où ils avaient su relever la tête, revenir au score pour l'emporter finalement, les joueurs de Jacky Duguépéroux allaient sombrer. Nerveusement d'abord, à  l'image d'un Pagis très remonté depuis le début de la partie. Au tableau d'affichage ensuite.
En deux coups de cuiller à  pot, ils encaissaient deux buts supplémentaires en deux petites minutes.
Surtout, ils perdaient totalement les pédales, Pagis se faisant logiquement expulser (80e') après une multitude de fautes et de gestes d'irritation alors que Keita aurait sûrement mérité le même sort quelques minutes plus tôt sur un tacle plus que dangereux sur Jeunechamp. M. Garibian se montrant clément, ne lui désignant qu'un simple avertissement.

Démission collective

Les Rennais ajouteront un quatrième but, auraient même pu en inscrire deux ou trois autres supplémentaires. Hier soir, après une entame de match pourtant intéressante, le Racing a démissionné. Il ne nous avait pas habitués à  un tel comportement depuis longtemps, depuis le mois d'octobre.
« Les joueurs ont perdu leurs nerfs en deuxième période. Il s'est produit une décompression après tous les efforts que je leur ai demandés. Il n'y a pas grand chose à  dire, expliquera Jacky Duguépéroux qui préférera terminer par un sourire. « J'ai reçu un courrier anonyme et curieux venant de Rennes qui m'avertissait de ce qui allait nous arriver ici tout en souhaitant notre victoire. »
Il va falloir réparer cet affront, ce non match. Et il ne reste qu'une session de rattrapage - face à  Bastia qui jouera son maintien -pour ça et pour aller chercher une éventuelle onzième voire dixième place. Le Racing en était très loin à  Rennes...

En pleine tempête

Après avoir fait front jusqu'à  la 43e minute, le Racing s'est effondré hier soir à  Rennes où il a subi sa plus sévère défaite de la saison (4-0). Il peut savourer de s'être mis à  l'abri l'autre samedi contre Metz.

«Si nous ne sommes pas concentrés à  100 % dans toutes les zones, nous risquons la correction.» Stéphane Cassard, qui tenait ces propos vendredi, a sans doute joué les oiseaux de mauvais augure pour le Racing. Hier soir, dans l'antre d'un Stade rennais euphorique et installé ce matin dans le fauteuil de quatrième, les hommes de Jacky Duguépéroux ont encaissé leur plus humiliant revers. Ils sont redescendus du nuage où les avaient fait monter leur triomphe en Coupe de la Ligue et les deux derbies remportés à  Sochaux et contre Metz. Ils ont pourtant réalisé une entrée en matière plutôt correcte. D'ailleurs, entre une formation rennaise avide d'Europe et un Racing bien décidé à  grappiller encore un ou deux rangs, on pouvait s'attendre à  une rencontre débridée. De fait, sans atteindre un nirvana technique, cet avant-dernier rendez-vous de la saison vaut par son rythme échevelé, même si les occasions sont rares en début de partie. Mais ce calme relatif sur le front offensif est de ceux qui annoncent la tempête. Pire, c'est une tornade qui va dévaster la défense strasbourgeoise après la demi-heure de jeu. Il y a belle lurette que le Racing n'avait plus autant été ballotté. Il cède parfois à  la panique, comme sur cette tête de Kanté qui trouve l'angle du but de... Cassard sur un coup franc rentrant de Monterrubio (31e). Et sur le corner qui suit, Boka doit sauver sur sa ligne une tête du meilleur buteur de L 1, Frei. Ceci étant, même sous pression, les Strasbourgeois tentent encore de ressortir proprement le ballon. Niang sème ainsi la panique dans l'arrière-garde rennaise et sert Farnerud sur un plateau. Mais la reprise sans conviction du Suédois se perd dans les nuages (31e). Pas plus heureux, Abdessadki, qui emmène un 4 contre 2, gaspille un ballon en or en assurant mal sa passe pour Deroff (35e). C'est là  l'ultime réplique ou presque d'un Racing qui va ensuite essuyer un grain digne de la Bretagne. Les vagues rennaises déferlent maintenant. Et comme on le pressentait, les hommes de Bà¶là¶ni vont finir par être payés de retour. Sur un ballon involontaire, mais judicieux de Frei, passeur cette fois, Maoulida, couvert par Deroff, élimine Cassard d'un double contact et ouvre logiquement le score avant la pause (43e).

Deux buts en une minute

Ce but achève de lancer la machine de guerre rennaise, inarrêtable ou presque à  domicile depuis 14 matches (10 victoires, 4 nuls). En une minute, le vaisseau bleu, qui tangue dangereusement, va sombrer corps et âme. Le «serial» passeur du Stade rennais, Olivier Monterrubio, en est le torpilleur. A la 59e, il offre au jeune Etienne Didot, plus prompt que Devaux, le premier but de sa carrière en L 1. Soixante secondes plus tard, c'est le néo-Monégasque Olivier Sorlin qui dépose sur la tête de Frei le 20e but du Suisse et le couronne définitivement goleador n°1 en 2004-2005. Pour le Racing, c'est la Berezina. Monterrubio, à  lui seul, aurait pu le punir. Mais entre une reprise trop croisée (67e), un tir à  peine assez enveloppé (71e) et une frappe du gauche sur le poteau (87e), l'ancien Nantais n'aura pas le bonheur de marquer. Sauf par procuration, puisque dans l'intervalle, il a servi un nouveau caviar (son 13e) à  Kà¤llstrà¶m qui s'est goinfré de l'offrande (85e). Quatre buts encaissés, deux poteaux: les Bleus boivent le calice jusqu'à  la lie. Pagis, «récompensé» pour l'ensemble de son oeuvre, a même été expulsé par M. Garibian (79e). Keita aurait pu l'être aussi pour un attentat sur Jeunechamp à  la 65e, dans la lignée de celui commis à  Lyon sur Caçapa le 30 octobre. Il s'en est sorti avec un simple avertissement. Le stade de la Route de Lorient peut alors tirer un feu d'artifice après celui de ses joueurs sur la pelouse. La tempête bretonne a fait chavirer le public. Elle a surtout coulé l'embarcation alsacienne.

Meme analyse que D520

[pena]

Le coté rennais de la force.

[urotsukidogi]

Le racing laminé dans l'aRennnes

[NéRiK]

Un vrai raz de marée...Laborieuse défense hier soir.

[Seb T.]

Les joueurs sont en vacances...

Après ce qu'ils ont donné depuis janvier, la dixième place me paraissait de toute façon hors de portée...

Alors, tant pis pour ce non-match, le championnat éatait de toute façon joué pour nous et la coupe remportée...