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Bah et les 2poteaux, c'est pas de la chance ?tom krrr a écrit : Cassard: Son statut de dieu vivant est entrain de s'effriter lentement, néanmoins il fait son boulot, mais il n'y a plus la petite touche de chance qui le rendait si magique l'an passé.
tom krrr a écrit :Farnerud.A: "Gromanche? Rien. On reste chez nous comme des gromanches"
power
Ca confirme l'analyse que nous avonsTrop rarement dangereux, par manque de percussion et de spontanéité, les Strasbourgeois, également fébriles défensivement, se sont logiquement inclinés face à des Monégasques plus réalistes.
CASSARD () : Il a commencé son match par une superbe intervention sur cette échappée d'Adebayor. Solide sur un tir de Sorlin (40e'). Malheureusement, sa faute de main sur ce corner provoque l'ouverture du score.
LACOUR () : Une première période parfaitement maîtrisée. Personne n'a pu venir l'embêter sur son côté. De plus, il a très souvent proposé des solutions dans la construction du jeu. Une très grosse débauche d'énergie, toujours au service du collectif. Avec lui, on se répète : ses productions sont intelligentes et grandissent ses capacités physiques, pourtant pas vraiment au dessus de la moyenne.
Son replacement, comme milieu récupérateur, après la sortie de Sidi Yaya Keita, n'a rien changé à l'affaire ou presque. Il est à l'origine du deuxième but, assurant mal une passe. Sur cette action de quelques dixièmes de seconde, il perd sa quatrième étoile. Et c'est vraiment dommage au vu de sa production.
DEVAUX () : Face à Adebayor, il s'est beaucoup battu, mais il a souffert. Il a connu également quelques soucis dans sa relance. Et comme tout le secteur défensif, il a souvent laissé les attaquants monégasques partir dans son dos.
HAGUI () : Des tacles efficaces, à l'image de celui (décisif) sur Adebayor après 12 minutes de jeu, des jaillissements intéressants et un jeu de tête précieux. Il a du talent, on le savait, mais il a parfois pêché dans son placement, face au jeu percutant et en profondeur des joueurs de Didier Deschamps. Une sortie en demi-teinte.
BOKA () : Adebayor, dès la 25e seconde, et Maoulida, quelques minutes plus tard, ont profité des largesses de son placement, heureusement sans conséquence. Après la pause, si on l'a davantage vu se démener, il n'a pas donné l'impression de jouer sur sa valeur.
P. FARNERUD () : Son entente et sa complémentarité avec Lacour vont crescendo. Malheureusement, après 45 minutes plutôt prometteuses, il a baissé de pied. Son jeu a été trop stéréotypé pour surprendre.
KEITA () : Fidèle à ses bonnes habitudes, il a récupéré une quantité industrielle de ballons dans les pieds des Monégasques. Il a également su alterner jeu court et jeu long, le plus souvent avec réussite. Vraiment précieux. Blessé dans un choc aérien avec Maoulida (petite commotion cérébrale), il est remplacé par DEROFF (45e'+1, ).
JOHANSEN () : Il a été beaucoup moins rayonnant que d'habitude, englué par le milieu de terrain adverse. Remplacé par GMAMDIA (76e').
A. FARNERUD () : Il est soit très bon, soit vraiment médiocre. Hier soir, il nous a « offert » le deuxième scénario, sa part d'ombre donc. Il a perdu l'essentiel des ballons qu'il a négociés. Il a manqué de discernement, de gnac aussi. A son actif, une seule belle remise en retrait pour Johansen. On jouait depuis 57 minutes. Trop peu. Remplacé par DIANE (64e', ). Dans un contexte difficile, il a tenté des choses intéressantes. Il obtient le coup-franc qui amènera la réduction du score.
LE PEN () : Trop longtemps, il a été le seul Strasbourgeois à jouer dans la profondeur. Très disponible, on l'a vu partout en attaque : à droite, à gauche et au centre. Il a été trop rare. Récompensé par un but resté inutile.
PAGIS () : On ne peut pas lui reprocher de ne pas s'être battu. Et s'il a souvent été pris au piège du hors-jeu, c'est aussi et surtout que ses coéquipiers ont manqué de spontanéité dans la dernière passe.
Beaucoup de monde accablent Lacour ce soir, mais personnellement je suis du même avis que le mec des DNA, mais c'est vrai que son erreur de débutant nous coute très cherDNA a écrit : L'impuissance se prolonge
Trop rarement dangereux, par manque de percussion et de spontanéité, les Strasbourgeois, également fébriles défensivement, se sont logiquement inclinés face à des Monégasques plus réalistes.
CASSARD : Il a commencé son match par une superbe intervention sur cette échappée d'Adebayor. Solide sur un tir de Sorlin (40e'). Malheureusement, sa faute de main sur ce corner provoque l'ouverture du score.
LACOUR () : Une première période parfaitement maîtrisée. Personne n'a pu venir l'embêter sur son côté. De plus, il a très souvent proposé des solutions dans la construction du jeu. Une très grosse débauche d'énergie, toujours au service du collectif. Avec lui, on se répète : ses productions sont intelligentes et grandissent ses capacités physiques, pourtant pas vraiment au dessus de la moyenne.
Son replacement, comme milieu récupérateur, après la sortie de Sidi Yaya Keita, n'a rien changé à l'affaire ou presque. Il est à l'origine du deuxième but, assurant mal une passe. Sur cette action de quelques dixièmes de seconde, il perd sa quatrième étoile. Et c'est vraiment dommage au vu de sa production.
DEVAUX () : Face à Adebayor, il s'est beaucoup battu, mais il a souffert. Il a connu également quelques soucis dans sa relance. Et comme tout le secteur défensif, il a souvent laissé les attaquants monégasques partir dans son dos.
HAGUI () : Des tacles efficaces, à l'image de celui (décisif) sur Adebayor après 12 minutes de jeu, des jaillissements intéressants et un jeu de tête précieux. Il a du talent, on le savait, mais il a parfois pêché dans son placement, face au jeu percutant et en profondeur des joueurs de Didier Deschamps. Une sortie en demi-teinte.
BOKA () : Adebayor, dès la 25e seconde, et Maoulida, quelques minutes plus tard, ont profité des largesses de son placement, heureusement sans conséquence. Après la pause, si on l'a davantage vu se démener, il n'a pas donné l'impression de jouer sur sa valeur. (note de moi
P. FARNERUD () : Son entente et sa complémentarité avec Lacour vont crescendo. Malheureusement, après 45 minutes plutôt prometteuses, il a baissé de pied. Son jeu a été trop stéréotypé pour surprendre.
KEITA () : Fidèle à ses bonnes habitudes, il a récupéré une quantité industrielle de ballons dans les pieds des Monégasques. Il a également su alterner jeu court et jeu long, le plus souvent avec réussite. Vraiment précieux. Blessé dans un choc aérien avec Maoulida (petite commotion cérébrale), il est remplacé par DEROFF (45e'+1, ).
JOHANSEN () : Il a été beaucoup moins rayonnant que d'habitude, englué par le milieu de terrain adverse. Remplacé par GMAMDIA (76e').
A. FARNERUD () : Il est soit très bon, soit vraiment médiocre. Hier soir, il nous a « offert » le deuxième scénario, sa part d'ombre donc. Il a perdu l'essentiel des ballons qu'il a négociés. Il a manqué de discernement, de gnac aussi. A son actif, une seule belle remise en retrait pour Johansen. On jouait depuis 57 minutes. Trop peu. Remplacé par DIANE (64e', ). Dans un contexte difficile, il a tenté des choses intéressantes. Il obtient le coup-franc qui amènera la réduction du score.
LE PEN () : Trop longtemps, il a été le seul Strasbourgeois à jouer dans la profondeur. Très disponible, on l'a vu partout en attaque : à droite, à gauche et au centre. Il a été trop rare. Récompensé par un but resté inutile.
PAGIS () : On ne peut pas lui reprocher de ne pas s'être battu. Et s'il a souvent été pris au piège du hors-jeu, c'est aussi et surtout que ses coéquipiers ont manqué de spontanéité dans la dernière passe. (note de moi : et à cause de la juge de ligne)
DNA a écrit :Là , ça se gâte...
Logiquement battu par une espiègle équipe monégasque, hier soir à la Meinau, le Racing se trouve déjà dans une situation inconfortable. La force de l'habitude ?
Un point en trois journées. Voilà le bilan que le Racing affichait au soir de son nul à Saint-Etienne, l'été dernier. Tel est, ce matin, le même état comptable après le passage de Monaco à la Meinau.
Comme l'an dernier, les Bleus sont donc restés à quai quand d'autres, comme Paris ou Auxerre, ont déjà pris le large.
Les causes divergent peut-être, mais le résultat est finalement le même. « Ce qui est important, dans le premier mois, c'est de prendre des points. On n'est pas encore très solides, mais on a su se montrer réalistes. C'est bien l'essentiel. »
Ce constat, Jacky Duguépéroux aurait bien voulu le dresser hier soir. Mais ces mots sont sortis de la bouche de Didier Deschamps, entraîneur monégasque soulagé au sortir d'une semaine délicate.
Le fait est que le Racing n'est ni solide ni réaliste. Contrairement à leurs deux premières sorties, contre Auxerre (0-0) et à Lyon (1-0), les Strasbourgeois ont paru bien fébriles et trop inconsistants. Ce qui ne pardonne pas.
« On a connu une bonne heure, tempère Jacky Duguépéroux. La sortie de Sidi Keita nous a aussi fait du mal. Et on n'a pas bien réagi au premier but monégasque. » Il est vrai que la blessure du jeune Malien, à l'abattage impressionnant avant d'être sérieusement sonné dans un duel aérien, a déstabilisé le fragile équilibre entrevu jusque-là .
A vrai dire, Strasbourg n'a jamais affiché les gages de solidité défensive que Duguépéroux s'échine à mettre en place. Après vingt-deux secondes de jeu, Adebayor se présentait déjà seul devant Cassard. Le gardien remportait là l'un de ses seuls duels de la soirée.
Le Racing s'épargne une entame pénible mais n'est pas au bout de ses peines. Malgré les envolées de Le Pen et de Lacour dans les couloirs, l'ensemble manque cruellement de fluidité. Les frères Farnerud n'apportent rien, Pagis est trop souvent livré à lui-même.
Surtout, les courses du capitaine strasbourgeois sont régulièrement interrompues par un drapeau qui s'agite. De sa ligne, Corinne Lagrange voit des positions de hors jeu qui finissent par agacer le public. Peut-être même que l'arbitre assistante a coupé l'herbe sous les pieds strasbourgeois, quand Lacour place une tête victorieuse et au moment où Pagis s'en va battre Roma, dans les arrêts de jeu de la première mi-temps.
« Ce but est peut-être valable, dit Duguépéroux sans s'énerver. Ça fait partie du jeu. Tout comme la balle dégagée par Cassard qui engendre l'ouverture du score. Il faut accepter d'être mené sur sa pelouse. Le problème, c'est que la réaction n'est pas venue. C'était alors la soirée des cadeaux. »
Désarçonnés par ce coup du sort, les Alsaciens perdent alors complètement leur lucidité. Monaco s'en pourlèche les babines et s'amuse dans la surface strasbourgeoise. Sans l'aide des poteaux ou la maladresse de Camara, la partie aurait même pu se terminer en bonne vieille dérouillée.
Le Racing n'a pas eu à subir pareil scénario. Tant mieux pour le moral. « S'il faut trouver un motif de satisfaction, c'est le but de Le Pen en fin de match, ajoute Duguépéroux. Peut-être avions-nous besoin de ça pour nous décrisper. »
C'est souhaitable en effet. Car ce matin, le Racing n'a toujours qu'un seul point en magasin. Et samedi prochain, c'est Metz qui se dressera sur son chemin pour une bonne partie de manivelles entre galériens du bas de tableau.
Va falloir souquer ferme.
C'est pour ça qu'elle levait tout le temps le bras pour la remettre en place. Mais bon, ça nous a quand même couté 2 buts. Qu'elle retourne à des tâches plus ménagères !!!Alsacien2 a écrit :Alsacien2 a écrit :Je me suis emmerdé ce soir mais d'un pointtttttttttttttttttttt....
Allez je ferais mon résumé demain ça vaut mieux
Un arbitrage lamentable, Mme Lagrange devait avoit la bretelle de son soutien gorge qui l a gênait...
