[05/06] 4ème J: Metz / RCS - 0/0

lolo · Message par **lolo** » 17 août 2005 16:45

Keating a écrit : Bref si vous n'avez pas de billet par les assoces de supporters, vous irez avec les MEssins

C'est comme quand ma fille est punie: "si tu n'es pas sage, tu iras au coin"...

FM17 · Message par **FM17** » 17 août 2005 19:34

"si t es pas bon tu iras en L2"...je dis ca à mon fils moi...

Michel · Message par **Michel** » 17 août 2005 19:50

seb a écrit :Je vous rappelle simplement que l'UEFA par le championnat... c'est être 4e...

Et là sincèrement, faut arrêter de rêver ou de se prendre pour ce qu'on est pas !

Se fixer l'intertoto comme objectif, je veux bien... finir 4e est tout simplement largement au dessus de nos moyens.

Oui c'est de ma faute en disant "UEFA" je pensais à l'Intertoto

Manu · Message par **Manu** » 17 août 2005 20:30

Pour le déplacement à Metz, le Racing informe ses supporters que le secteur visiteur ne sera accessible que pour les déplacements organisés par les associations de supporters. Il n'y aura pas de guichet ouvert pour la zone visiteurs du stade messin

Supporters · Message par **Supporters** » 17 août 2005 20:43

alphons a écrit :le racing a besoin d au moins 1 point......

Plutot 3pts

Alors sinon rien.

Supporters · Message par **Supporters** » 17 août 2005 20:45

Gotcha a écrit :
Keating a écrit :
SO a écrit :Déplacement à Metz: communiqué

Les personnes qui se déplaceront à Metz le samedi 20 août 2005 à l'occasion de la rencontre METZ- STRASBOURG n'auront pas accès au secteur réservé aux supporters de Strasbourg.

Aucun billet ne leur sera délivré par le FC METZ par souci de sécurité.

Il n'y aura pas de guichet ouvert pour la zone visiteurs.

Seuls les déplacements organisés par les associations de supporters et sous leur contrôle seront pris en compte pour la délivrance de billets dans la zone réservée aux supporters Strasbourgeois.

Le Racing Club de Strasbourg se chargera des réservations pour ses associations de supporters.
Bref si vous n'avez pas de billet par les assoces de supporters, vous irez avec les MEssins
sachant que les UB y vont tous en bagnole, ca laisse présager un beau bordel

MAIS NON MAIS NON

matt57 · Message par **matt57** » 17 août 2005 20:50

Blessé avec les Espoirs français contre l'Italie (2-2) mardi soir, le défenseur messin Carl Medjani est très incertain pour le match de championnat contre Strasbourg, samedi.

Souffrant d'une lésion musculaire suite au match amical entre les Espoirs français et italiens mardi soir, le défenseur messin Carl Medjani est très incertain pour le match contre Strasbourg, samedi, comptant pour la 4eme journée de Ligue 1.

Manu · Message par **Manu** » 18 août 2005 9:35

Vu sur le stub fait ID (excellent)

Sus aux pleutres !

Oyez Oyez jeunes demoiselles et damoiseaux ! En l'an de Grâce 1305, l'excitation atteint son paroxysme : le derby en terre messoise se précise et les chaumières alsaciennes sont en émoi à l'idée d'aller mener croisade en terre infidèle au pays des gueux.

Des années que le royaume de Saint-Symphorien, sous la tutelle du baron local Sieur Molinari, n'a réservé de sort favorable aux assaillants d'un soir mais ennemis de toujours : la Confrérie Club de Strosbury. Messois et Strasbourgeois ont l'occasion de régler leur différend autour d'un tournoi de L1 (alias Louis 1er) , le gagnant remportant la main de la princesse Trouapoin (au pire il y aura son frère Mahatchenul mais dont la compagnie est rarement appréciée, question de pilosité sans doute...). Tous les sorciers ont été sollicités depuis des lunes, la magie noire bat son plein, les chouettes sont clouées aux portes et les vÅ“ux de chasteté sont de mise (bon j'en connais bien un ou deux qui… mais bon dans l'ensemble ça a été respecté).

20 Août 1305 : le jour tant attendu est enfin arrivé ! Les hommes disent adieu à leur bien aimée, embrassent leurs enfants, s'arment de victuailles et de divins breuvages pour le court périple en terre lorraine. Moultes calèches font escale au sanctuaire de la Meinau, lieu saint vénéré par les peuplades autochtones et visité toutes les deux semaines par des hordes de pèlerins venus des quatre coins de Francie. Les fidèles hommes de troupe embarquent alors à leur bord pour une chevauchée massive vers le fief ennemi. Les bonnes gens se remplissent la panse, ouïssent de la musique métallique médiévale, s'égosillent en de vertueuses ritournelles et mélopées, certains s'abandonnent même dans les bras de femmes quelque peu libertines. Les icônes sont sorties et bénies par les représentants de Dieu venus prêter main forte (quand on vous dit qu'on fait vraiment tout pour inverser la tendance !), et le cortège est couvert d'insignes et de tentures aux couleurs de la confrérie.

Arrivée en terre gueuse. Les chants à la gloire des idoles en mailles bleues et blanches se font entendre et les serments de loyauté se font plus forts. Après s'être fait violentés et fouillés la besace par des légions de barbares casqués, harnachés de bleu et bardés de fer (plus communément appelés CRS : Carnassier Rustre et Sauvage), les visiteurs investissent la partie orientale du temple maudit où déjà moults oriflammes et étendards ont fait leur apparition. Non loin d'eux a campé une milice concurrente aux couleurs grenats, des hérétiques à n'en point douter ! L'écartèlement serait un supplice encore trop doux pour ces félons. Les deux partis signifient leur velléité et leur volonté de livrer bataille mais c'est sur le champs de patates que se fera la joute.

Les chevaliers aux tenues aux couleurs de chaque contrée font alors leur entrée. La confrérie des artificiers alsaciens montre tout son talent avec leurs poudres miracles enflammant l'enclos où résident les preux vassaux de la Confrérie Club de Strosbury au milieu des drapeaux et étendards et sous l'Å“il désabusé de la noblesse LFP (Laissez-nous Fortune et Pécule) qui voit d'un mauvais Å“il cette jeunesse agitée et revendicatrice. Non mais ils ne veulent pas non plus qu'on supprime la dime, la gabelle, et tous les autres privilèges tant quand on y est ?… Sous les chants des deux assemblées, les téméraires chevaliers des deux camps s'affrontent. Les tuniques grenats sont loin d'être agréables à regarder jouer (à regarder tout court d'ailleurs) mais leur druide Muller, grand adepte de magie vaudou et poudre de perlimpinpin, use à outrance ses viles compétences pour faire jeu égal avec les fiers et combatifs Strasbourgeois. Peu d'occasions mais diantre c'est un derby ne l'oublions pas ! Et la pause est vite sifflée par le maître de jeu dans sa magnifique vésicule de porcelet (modèle porcelet certifié alcoolique, disponible dans tous les bons marchés du royaume).

Les chevaliers se font sermonnés par leur druide respectif. Les gibets sont sortis : les moins valeureux seront châtiés sur la place publique , il en est quand même de l'honneur de la royauté et de tout un peuple ! Sa Sainteté Egon Gindorf 1er lui-même est descendu de son trône pour affirmer sa suzeraineté auprès de ses vassaux. Les intrépides chevaliers se sentent alors revigorés par cette présence, ils se jurent mutuellement loyauté et veulent témoigner de leur fraternité et de leur honneur avec l'envie de remporter ce tournoi.

La joute reprend et les bleus et blancs montrent plus d'audace, de mordant et de talent. Les chants redoublent d'intensité dans les enclos, les ouailles reprennent confiance. C'est alors que Michel Pagis, dit le fougueux, décoche un tir en plein…sur le bâton droit des cages de Grégoire Wimbée (dit le pouilleux). L'assemblée est silencieuse, même les scribes spécialisés retiennent leur souffle et n'osent plus tremper leur plume d'oie dans l'encrier (rien à voir avec le vÅ“u de chasteté du début…). Certains Alsaciens y voient la marque du démon et en ont appel aux autorités pontificales pour encourir à l'excommunion de ce lieu. Mais les vaillants bleus et blancs continuent leurs attaques dans le camp adverse.

Hélas, le temps imparti est écoulé et ils s'apprêtent à arrêter la joute mais c'est sans compter sur Sieur Molinari, grand fellateur du maître de jeu, qui obtient 4 minutes de temps de joute supplémentaire. Les Strasbourgeois sont éreintés devant tant d'assauts infructueux et un veule assaillant en tunique grenat en profite pour s'en aller seul face aux buts et envoyer la pelote en plein dans la cible. Le parcage visiteur est furibond, on crie à l'infamie, on hurle au complot ! Mais rien n'y fait : les manants ont une fois de plus vaincu sur leur sol et la princesse Trouapoin ne connaîtra toujours pas les charmes alsaciens d'une autre sorte de joute. Les plus fervents martyrs de la foie bleue et blanche font grise mine en quittant le parcage en ce samedi 20 Août 1305, même si l'imprimerie royale le lendemain ne tarissait pas d'éloges sur cette vénérable joute. Rien n'y fait, les Strasbourgeois semblent maudits à jamais.

Et pourtant, la légende raconte qu'un vieux sage habitant sur un site lointain nommé Racingstub (certains prétendent même qu'il se trouve sur une toile d'araignée…) aurait annoncé que dans 700 ans, un soir de demi-lune, la Confrérie Club de Strosbury remporterait brillamment une victoire contre son ennemi séculaire. Mais bon les légendes vous savez…

argueti · Message par **argueti** » 18 août 2005 10:14

L'Alsace a écrit : « Le Racing mérite mieux »

Avant le derby à Saint-Symphorien samedi, Michel Ettorre, l'entraîneur des gardiens de Metz qui fut celui du RCS en 1997 à 2001, estime le club alsacien mal récompensé en ce début de saison.

C'était le 18 décembre 1996. Le président Roland Weller avait convié la presse à un déjeuner à la Meinau pour faire le point juste avant la trêve. Dans l'assistance, un nouveau visage s'était détaché : à l'initiative du coach de l'époque, un certain Jacky Duguépéroux, Michel Ettorre, l'ex-double vainqueur de la Coupe de France (1984 et 1988) avec Metz, s'apprêtait à devenir son entraîneur de gardiens après avoir été celui de Joël Muller en Lorraine de 1992 à 1996. Durant un an, jusqu'au limogeage de « Dugué » par Patrick Proisy le 22 janvier 1998, les deux hommes ont travaillé ensemble. Depuis, ils ne se sont jamais perdus de vue. Entre respect mutuel et amitié, ils s'appellent régulièrement. Le soir de la victoire en Coupe de la Ligue le 30 avril dernier, le premier appel sur le portable du technicien strasbourgeois émane de celui qui, trois mois plus tôt, a démissionné de sa fonction d'entraîneur des gardiens de Lens, par solidarité avec son inséparable â€“ ou presque â€“ ami, Joël Muller, remercié par Lens (Ndlr : en 2001, M. Ettorre, plus vraiment en phase avec l'équipe Mc Cormack, avait quitté le RCS à un an du terme de son contrat pour le suivre en Artois).

â€œ La qualité du jeu strasbourgeoisâ€

Ce samedi (20 h) à Saint-Symphorien, pour la première fois depuis leur expérience commune en Alsace, Jacky Duguépéroux et Michel Ettorre se retrouveront face à face sur un terrain de L 1. « À l'époque où Jacky venait « espionner » en sa qualité de recruteur du Racing, nous nous sommes souvent croisés dans les tribunes », se remémore ce dernier. « Nous entretenons vraiment de très bonnes relations et ça va me faire tout drôle de me retrouver face à lui. J'ai toujours un grand plaisir à revoir les amis. De mes presque cinq ans à Strasbourg, j'oublie les mauvais souvenirs et je ne retiens que les bons. Il y en a eu beaucoup. » Ces retrouvailles pour un derby alsaco-lorrain doivent beaucoup à un improbable concours de circonstances. En fait, à un retour tout aussi improbable du duo Muller â€“ Ettorre à Metz. « Pour Joël et moi, revenir chez nous était impensable et inespéré seulement quelques jours avant. Nous étions en contact avec Sochaux où Guy Lacombe faisait traîner les choses. Nous avions aussi été approchés par un club étranger, mais c'était risqué et ça ne nous intéressait guère. C'est alors que Jean Fernandez a été sollicité par Marseille. Le président du FC Metz, Carlo Molinari, a alors contacté Joël. Et mon prédécesseur à Metz comme entraîneur des gardiens, Patrick Barth, a subi une grave blessure et dû se faire poser une prothèse à un genou. La place s'est libérée. Et alors que pendant quatre mois et demi, nous n'avions pas eu de propositions, nous avons pu revenir à Metz d'où nous étions partis dans des circonstances différentes : moi, volontairement en 1996, Joël contraint et forcé en 2000. Notre ambition est de nous faire plaisir, de rebâtir. Même si nous ne comptons qu'un point en trois matches, je reste optimiste malgré ce début de saison médiocre. Nos garçons sont de qualité. Quand ils seront à 100 % et auront trouvé la complémentarité qui leur fait encore défaut, ils seront capables de belles choses. » Ce constat, Joël Muller et Michel Ettorre l'ont aussi dressé à propos du club alsacien. « Strasbourg nous avait déjà prouvé la qualité de son jeu lors du match amical remporté contre nous le 14 juillet à Weyersheim, chez l'ami Max Hild (Ndlr : 3-2, buts de Le Pen, Pagis et Diané contre des buts de Borbiconi et Racki) », reprend l'entraîneur des gardiens lorrains. « Depuis, le Racing continue d'afficher sa volonté de bien jouer. Il aurait mérité un point à Lyon et de battre Monaco. En ce début de saison, il est mal récompensé. Si les Strasbourgeois développent samedi à Metz cette qualité de jeu et si nous parvenons à en faire autant, ça devrait donner un beau derby. »

Metz : l'infirmerie est bien remplie.

Stéphane Morisot (cuisse), Alexandre Frutos (déchirure à l'aine), Christophe Walter (opération du genou) et Bruno Pompière (lui aussi en rééducation après une opération du genou) sont d'ores et déjà out pour le derby. Plusieurs incertitudes planent également sur l'effectif lorrain : l'ex-Sochalien Grégory Paisley (douleur à la cuisse) et Carl Medjani (sorti à la mi-temps mardi lors du France â€“ Italie espoirs pour une douleur à la cuisse â€“ 2-2) sont les plus douteux. Le gardien Grégory Wimbée, qui s'est planté l'auriculaire dans le sol mardi après-midi à l'entraînement, a « un doigt qui a doublé de volume », selon Michel Ettorre. Enfin, le Camerounais et ex-Bâlois Hervé Tum, qui a recommencé à courir mardi pour la première fois depuis des semaines, sera forcément trop court pour intégrer le groupe. Victime d'un coup à Saint-Etienne, l'attaquant russe Marcin Zewlakow a trottiné hier et devrait être opérationnel. Des retours quand même. Mehdi Meniri (intervention au genou) a rejoué en CFA le week-end passé et participe normalement aux oppositions depuis le début de semaine. Le pilier de la défense messine pourrait intégrer le groupe. Même chose pour les attaquants sénégalais Babacar Gueye (enfin remis de la pubalgie qui l'avait privé de toute la fin de saison dernière) et Momar N'Diaye (absent à Saint-Etienne pour une entorse acromio-claviculaire). Quatre internationaux sur le pont. Le latéral Szalbocs Huszti (qui affrontait l'Argentine hier soir à Budapest avec la Hongrie), le gardien Kossi Agassa et le milieu Chérif Touré (appelés avec le Togo face au Maroc à Rouen, hier également) seront de retour aujourd'hui en Lorraine. Leur condition physique engendre moins d'inquiétude que celui de la vedette sud-coréenne Ahn Jung-Hwan, parti à Séoul disputer un match éliminatoire du Mondial 2006 face à l'Arabie saoudite, alors que sa sélection a déjà son billet pour l'Allemagne. L'attaquant asiatique ne regagnera Metz que vendredi. Mais dans quel état, compte tenu du voyage (près de 24 heures) et du décalage horaire (7 heures) ?

matt57 · Message par **matt57** » 18 août 2005 19:18

Voici les dernières news de Metz
Source SO Zewlakow forfait
Les spectateurs présents ce matin ont pu apercevoir Marcin Zewlakow sur le terrain d'entraînement en compagnie de Jeremy Moureaux. Malheureusement, le Polonais ne pourra pas tenir sa place contre le voisin alsacien. Il ne s'est toujours pas remis de sa contusion osseuse. Sur le front de l'attaque messine, Momar N'Diaye s'est entraîné normalement toute la semaine et pourrait être aligné d'entrée. Il sera peut-être épaulé par Ahn, qui sera de retour dès demain. Sa sélection a subi une défaite 1 à 0 face à l'Arabie Saoudite hier.
Les deux Togolais Mamam Chérif Touré et Kossi Agassa, qui sont venus à bout du Maroc 1-0, se sont entraînés normalement. Grégory Wimbée, bien qu'exempté de toute prise de balle ce matin, pourra tenir sa place dans le but messin. Mehdi Méniri continue sa convalescence, son retour eu sein de l'arrière garde messine n'est pas encore d'actualité.
Par contre, le forfait de l'international espoir Carl Medjani ne fait plus aucun doute. Il ne s'est pas encore remis de la blessure contractée avec les Bleuets et en saura plus sur la gravité de sa blessure en fin de semaine.
Par ailleurs, les examens réalisés hier par Stéphane Morisot se sont révélés rassurants. Le milieu de terrain, qui souffre d'une élongation à la cuisse droite, reprendra progressivement l'entraînement