Bon pour la confiance de Carlier, peut-être moins pour celle de Gmom ; mais au vu de ses prestations, je ne trouve pas ça tellement étonnant Bonne chance à Carlier
Carlier ne démérite pas en CFA, et surtout, il a planté en amical contre Nancy, donc, il mérite de faire parti du grouoe. Pour Gmom, c'est un peu la même logique que pour Pedretti et Frau écartés de Lyon, il lui faut du temps de jeu, du rythme, je pense.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Ou alors, peut-être montre t-il des choses intéressantes à l'entraînement? En tout cas, je suis content de le revoir. Il peut pas être pire qu'un Guemandia hors de forme.
Oui on retourne à une formation classique qui je le pense est la solution à nos problèmes ! Le duo Alex-Pagis demande à être revu. Il faudra faire attention à la percussion des lensois qui comme Monaco a de quoi mettre des buts sans mener le jeu. A nous de dominer et surtout de marquer !
Revigorés par leur victoire en coupe de l'UEFA, les Strasbourgeois vont vite être fixés sur leurs réelles capacités. Ce soir (18h), ils replongent les mains dans le cambouis du championnat. En recevant Lens, 3e et belle machine à jouer.
Trop tôt pour dire si c'est un pas vers la guérison qui a été fait sur la pelouse du Arnold Schwarzenegger Stadion (on ne s'en lasse pas de ce nom de baptême) ou une simple rémission avant la rechute. La lumière du jour est pour l'instant encore incertaine. Elle existe, c'est déjà ça.
Il faut être clair, jeudi, le Racing n'a ébloui personne. On ne le lui demandait d'ailleurs pas. Il a simplement rejoué au football, contrôlé la balle sans trop de difficultés avant de se porter vers l'avant et s'est créé des occasions, ce qui ne lui était plus arrivé depuis la réception de Monaco.
Et ce qui pourrait largement suffire à son bonheur du moment, s'il n'était pas, en plus, reparti avec une victoire nette et sans trop de bavures (2-0), pour la première fois depuis le début de la saison on ne le sait que trop.
D'où le rai de lumière évoqué plus haut et l'espoir en un déclic psychologique que chacun appelait de ses voeux au soir de la piteuse prestation au Parc des Princes et qui a peut-être bien eu lieu là , dans la capitale de la Styrie.
C'est que jeudi, avec les retours conjugués de Pagis, Le Pen ou Deroff et le repositionnement au milieu de terrain d'un Lacour à la justesse de passe précieuse, les Strasbourgeois ont retrouvé un niveau proche de celui attendu en début de saison.
Si on n'avait pas peur de se vautrer dans le cliché sportif galvaudé à en devenir horripilant, on oserait écrire que les hommes de Duguépéroux ont retrouvé leurs valeurs. Mais on le sait, ça ne veut rien dire « retrouver ses valeurs ».
Quelles valeurs ? Celles du jeu ? De l'effort ? De solidarité ? Elles sont celles de tout le monde en L1.
Non, à Graz le Racing était une équipe sur le terrain, dans le sens premier du terme. Un groupe équilibré donc, avec ce qu'il faut de talents individuels complémentaires pour faire basculer la rencontre.
Une formation portée vers l'avant aussi, qui avait su raisonner l'angoisse qui commençait à sourdre pour abandonner la fausse sécurité de sa moitié de terrain. C'est tout, c'est suffisant pour expliquer tout le reste.
En fait, les rentrées d'un Pagis au niveau qui doit être le sien, le réveil d'Alex Farnerud et le retour de Le Pen dans le rôle de l'empêcheur de relancer en rond ont été déterminantes. En recouvrant une vraie force de frappe, les Strasbourgeois ont inversé le rapport de force.
Sans solution offensive depuis trois matches, ils se recroquevillaient en défense. Consciemment ou pas. Du coup, ils devenaient une proie facile. A la merci de l'équipe adverse qui n'avait plus qu'à mener un siège plus ou moins cohérent pour finir par emporter le morceau ou à tout le moins par repartir avec une partie du butin.
En pouvant à nouveau s'appuyer sur un duo d'attaque (Pagis/Farnerud ) performant épaulé par Le Pen, le Racing a mis fin à ce gîte. Il a "évité", comme on dit d'un navire qui "évite", qui change bout pour bout, à la longueur de son câble, et se remet dans le bon sens.
Justement, jeudi, le Racing a retrouvé du sens. Reste à savoir si c'est durable. La venue de Lens tombe à point pour ça.
Question billetterie qu'en pensez vous stade plein après la victoire en UEFA ?
Je pense pas que l'on atteigne le gichet fermé quoique qu'avec déja 10000 abonnés ca fait peu de place à prendre en plus.