ils posent de très bonnes prothèses du genou

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DNA a écrit :Que des incertitudes
Alors que la liste des blessés s'allonge de jour en jour, le Racing reprend ce matin le collier dans la perspective de la venue de Sochaux, samedi soir. Dans les bureaux de la direction, ça s'agite aussi.
C'est ce jeudi que Philippe Ginestet devrait céder les parts qu'il détient encore dans la société Sporinvest. Si tel est le cas, Alain Afflelou prendra rapidement la présidence du Racing.
On a tendance à l'oublier, mais le lunetier n'est encore qu'un président « fictif ». Même si Egon Gindorf s'est mis volontairement en retrait et qu'Afflelou occupe depuis deux semaines le devant de la scène, seul un accord de principe lie les deux parties.
Pour l'heure, Afflelou n'est pas encore entré dans le capital de Sporinvest, la holding qui gère les affaires du Racing. Ça devrait être chose faite d'ici à vendredi, ou au plus tard en début de semaine prochaine.
Encore faut-il qu'il y ait des actions à vendre
A condition, toutefois, que les conditions pour racheter 51% des parts et devenir ainsi actionnaire principal du club soient réunies. Car pour acheter, encore faut-il qu'il y ait des actions à vendre. Voilà tout l'enjeu de l'assemblée générale extraordinaire, convoquée au terme du délai légal, qui se tiendra jeudi soir.
Les cinq sociétaires majoritaires de Sporinvest - Marc Keller, Patrick Adler, Egon Gindorf, Pierre Schmidt et Thierry Wendling - retrouveront le sixième associé, en la personne de Philippe Ginestet. L'ex-futur président du Racing, qui détient encore 20% des parts de Sporinvest, devrait a priori les céder.
A la veille du 11 novembre, l'homme d'affaires alsacien s'est en tout cas entretenu avec Gindorf et Keller, histoire de renouer un contact rompu depuis mai dernier. De là à dire que la cession des parts passera comme une lettre à la poste, il est un pas que personne n'ose encore franchir. La force de l'habitude, certainement...
DECHIRURE POUR JOHANSEN. - Annoncé forfait à la veille du déplacement à Nantes, Pascal Johansen est finalement indisponible pour une durée de quinze jours. Le milieu de terrain, rentré de Rome avec une douleur au fessier, a passé une IRM qui a révélé une déchirure musculaire. Pour les deux « derbies » de l'Est, samedi contre Sochaux et la semaine suivante à Nancy, Duguépéroux devra composer sans lui. Galère.
PAGIS INCERTAIN. - Touché à la hanche droite, dimanche à la Beaujoire peu avant l'heure de jeu et l'égalisation nantaise, Mickaël Pagis n'est pas encore fixé sur son sort. Son entraîneur redoutait même une « blessure sérieuse » après le coup de sifflet final. Ce matin, l'auteur du doublé passera des examens avant de consulter le Dr Boixel, à Paris, le lendemain. Là aussi, un forfait pour la venue de Sochaux est à craindre. Galère, galère.
KANTE ET FATY A L'ARRàŠT. - Les nouvelles ne sont guère plus rassurantes quant aux blessures de Kanté et de Faty, révélées après le match de Rome. Le premier, dont la cuisse est bien enflée, souffre des adducteurs et passera une IRM demain à Haguenau. On ne le reverra pas de si tôt. Le second, en proie à des douleurs au mollet droit, accompagnera son coéquipier sur la table d'examen. Galère, galère galère.
Seule bonne nouvelle dans la grisaille strasbourgeoise, le retour programmé de Karim Haggui, absent des terrains depuis plus d'un mois.
L'ETOILE EPINGLEE. - L'Etoile Rouge de Belgrade, dernier adversaire du Racing en phase de poules de la Coupe UEFA - mercredi 14 décembre à la Meinau -, a été battue ce week-end par Vojvodina (1-0). En championnat, les Serbes voient revenir dans leur retro l'autre club de la capitale, le Partizan, à trois longueurs.
A NANCY. - Les supporters gardent la foi. Malgré les résultats, ils continuent de se mobiliser pour suivre leur équipe à l'extérieur. Le kop ciel et blanc sera ainsi à Nancy, le 10 décembre (25€). Renseignements auprès de Muriel au Tél: 06 78 76 15 28.
Le CCS sera aussi de la partie (20 et 25€). Renseignements au Tél: 0662 19 78 45.
AUJOURD'HUI. - Séance unique à 10h.
L'Alsace a écrit :Racing : les raisons d'y croire
Les Strasbourgeois pointent à 8 longueurs du premier non-relégable Troyes. Au rythme auquel avancent les quatre derniers, la barre théorique du maintien, à 40 ou 42 points, ne sera pas atteinte. Suffisant pour s'en sortir ?
Quand on est noir, on l'est jusqu'au bout. Après avoir raté son décollage au classement avant-hier à Nantes où il menait 2-0, puis 3-1, avant de s'incliner 4-3, le Racing a bien failli ne pas décoller ensuite à l'aéroport de Nantes-Atlantique. Un problème d'arrivée d'essence a cloué au sol pendant une bonne demi-heure l'appareil privé des Bleus. Mercredi, ces derniers étaient déjà restés coincés dans les embouteillages du « Grande Raccordo Anulare », l'immense périphérique (l'équivalent de la Francilienne à Paris en fait) qui ceinture Rome. Le lendemain, ils avaient dû annuler leur stage à Carquefou par la faute d'une grève générale des transports italiens, aviation comprise, et étaient rentrés à Strasbourg sitôt leur exploit face à La Roma (1-1). C'est dire si jusque dans leurs déplacements, les Bleus sont poursuivis par la scoumoune. Le genre de déveine qui, en général, vous mène tout droit à la Ligue 2. Surtout quand on ne compte que 7 points après 16 journées et que la barre théorique du maintien se situe, à en croire tous les entraîneurs en début de saison, à 40 ou 42 points. Seulement voilà , le quatuor de bas de tableau avance depuis quelque temps à un rythme tellement lent que toutes ces projections ne valent guère plus qu'une poignée de cacahuètes. Inutile de revenir sur les parcours de Strasbourg et Metz, « nantis » respectivement de 7 et 9 points. Ceux d'Ajaccio et Troyes sont plus riches d'enseignements. Avec leurs 12 points, les Corses, qui étaient, rappelons-le, invaincus après six journées (2 succès, 4 nuls), restent sur une série de 10 matches sans victoire (2 nuls, 8 défaites) et n'ont donc récolté que 2 points sur les 30 derniers mis en jeu.
L'exemple de Toulouse
Pour les Troyens, 17e s avec 15 unités au compteur, le bilan est pratiquement aussi détestable, leur succès sur Rennes (2-1) voici 3 semaines leur ayant tout de même permis de se refaire quelque peu la cerise. Mais après leur joli début de saison (9e s avec 9 points en 6 journées), les coéquipiers du Mulhousien Gharib Amzine n'en ont pris que 6 sur les 10 derniers matches. D'où un écart « limité » - énorme tout de même – à huit longueurs avec le RCS. En clair, pour espérer se maintenir, le Racing va devoir, lors des 22 dernières journées, remporter trois succès de plus que l'ESTAC, deux de plus que l'ACA et un de plus que le FC Metz. Trois clubs où, entre parenthèses, il est allé chercher le nul et qu'il recevra à la Meinau lors de la phase retour. « Trois victoires d'écart, c'est largement faisable », maintient Jacky Duguépéroux, « Jeter l'éponge serait indigne. Pour mémoire, je rappellerai qu'en 2003-2004, Toulouse est venu se sauver chez nous lors de la dernière journée, grâce à un nul 0-0, alors qu'il ne comptait que 12 points à la trêve de Noël. L'objectif, sur nos trois prochains matches (Sochaux, à Nancy, Marseille), est de prendre sept points. » Plus facile à dire qu'à faire, surtout lorsque l'on sait que l'infirmerie ne désemplit pas. Samedi, Keita, Kanté, Faty, Le Pen, Devaux et Johansen seront toujours sur le flanc. Et Mickaël Pagis pourrait bien l'être aussi. Des blessés du week-end dernier, seul Karim Hagui devrait être opérationnel (voir par ailleurs). Avant-hier à Nantes, le RCS a ainsi évolué sans ses trois défenseurs centraux de « métier » (Hagui, Kanté, Devaux) et sans sa tour habituelle en libero de l'entrejeu (Keita et Faty blessés, Bassila transféré à Sunderland en début de saison pour avoir été pris à partie par le public de la Meinau). Bref, toute une épine dorsale. « C'est sûr que nous avons commis beaucoup de péchés de jeunesse », souligne « Dugué », « et que nous avons manqué de lucidité par manque d'expérience. Mais je ne jette pas la pierre aux jeunes. Ils ont donné le maximum. Je pense plus à un Boka qui a été dans tous les mauvais coups, y compris dans ceux qu'il a donnés (Ndlr : avant d'être expulsé pour un second tacle dangereux, l'Ivoirien avait asséné un violent coup de coude à la face de Diallo). L'arbitre l'avait averti plusieurs fois, moi aussi. Je ne croyais pas qu'il disjoncterait comme ça à 60 m de nos buts. Son expulsion nous a fait très mal. L'équipe peut lui dire merci. Mais bon, en ce moment, il n'y a rien pour nous aider. Quand on est dans la m… tout est contraire.» Sauf, on l'a dit, le surplace des trois concurrents directs. La dernière bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher.
Pagis : les dessous d'un brassard rendu
Jacky Duguépéroux et Mickaël Pagis se sont expliqués dimanche matin à Nantes. Le capitaine strasbourgeois, à l'évidence vexé, avait décidé de rendre son brassard après sa non-sélection pour Rome jeudi. « J'avoue que je n'ai pas trop compris sa réaction », indique l'entraîneur, « nous étions d'accord. Micka ne s'était entraîné que deux fois avant de jouer contre Nice et je tenais à ce qu'il travaille physiquement toute la semaine avec Michel Dufour pour être au top à Nantes. Disons qu'il a rendu son brassard après un arrangement amiable. A l'évidence, il avait les boules de n'être pas allé en Italie. Mais si c'était à refaire, je referais la même chose. Je lui ai dit que ça ne changeait rien à ma façon de voir le joueur qu'il est. La preuve, je l'ai fait jouer. Moi, un Pagis sans brassard qui joue comme à Nantes en marquant deux buts, ça me va très bien. Je n'ai aucun problème avec lui. » Pourquoi Deroff n'est-il pas entré plus tôt ? D'aucuns se sont étonnés dimanche qu'Yves Deroff ne soit pas entré en jeu plus tôt à Nantes (87e). « La veille du match, le petit défenseur du centre, Steve Celestini, était venu dans les vestiaires », raconte Jacky Duguépéroux, « Il ne s'était pas entraîné avec nous, puisqu'il avait joué le matin avec la réserve contre Schiltigheim en match d'entraînement. Mais je l'aurais emmené si Yves avait dû renoncer à la séance de l'après-midi. J'ai pris le risque de le prendre, contre l'avis du staff médical, pour pouvoir bénéficier de son expérience en cas de besoin. Mais j'espérais ne pas avoir à le faire entrer. Depuis sa blessure la veille de Nice, il ne s'était entraîné que 35 minutes et je ne voulais pas qu'il risque de rechuter. Qu'aurais-je fait s'il s'était de nouveau blessé alors que Boka sera suspendu samedi après son expulsion ? Yves jouera contre Sochaux. » Johansen out quinze jours. Rentré de Rome avec une douleur au fessier droit, Pascal Johansen a passé hier une IRM qui a révélé une lésion musculaire. Il sera indisponible au moins quinze jours. Eux aussi blessé en Italie, Ricardo Faty (mollet) et Cédric Kanté (adducteur droit) passeront une IRM ce mercredi, mais pourraient être absents jusqu'à la trêve. « Cédric Kanté a passé ce lundi une échographie pas très bonne », indique le médecin du RCS, François Piétra, « quant à Ricardo, il semble souffrir d'une lésion au mollet. Je ne le sens bien ni pour l'un ni pour l'autre. Si ça se confirme, ils ne rejoueront pas avant la trêve. » Pagis : entorse de la hanche droite. Remplacé à l'heure de jeu avant-hier à Nantes, Mickaël Pagis souffre d'une entorse de la hanche droite. Il passera une IRM samedi et consultera mercredi Philippe Boixel, l'ex-ostéopathe de l'équipe de France. « Le rendez-vous avec Boixel était prévu de longue date », reprend F. Piétra, « c'est l'occasion de faire un bilan complet. Nous en saurons plus alors. Sur ses chances d'être rétabli contre Sochaux, impossible de s'avancer pour l'instant. » Hagui : le retour. Victime d'une fissure du 5e métatarse avant le déplacement à Bâle le 20 octobre, Karim Hagui reprendra l'entraînement avec le groupe ce matin. Un retour anticipé pour le Tunisien qui sera aligné contre Sochaux si sa semaine d'entraînement se déroule sans anicroche. Enfin une bonne nouvelle.

L'Alsace a écrit : Pour mémoire, je rappellerai qu'en 2003-2004, Toulouse est venu se sauver chez nous lors de la dernière journée, grâce à un nul 0-0, alors qu'il ne comptait que 12 points à la trêve de Noël.
Bref, comme quoi, pour ceux qui ralent encore contre les choix de JackyL'Alsace a écrit : Pourquoi Deroff n'est-il pas entré plus tôt ? D'aucuns se sont étonnés dimanche qu'Yves Deroff ne soit pas entré en jeu plus tôt à Nantes (87e). « La veille du match, le petit défenseur du centre, Steve Celestini, était venu dans les vestiaires », raconte Jacky Duguépéroux, « Il ne s'était pas entraîné avec nous, puisqu'il avait joué le matin avec la réserve contre Schiltigheim en match d'entraînement. Mais je l'aurais emmené si Yves avait dû renoncer à la séance de l'après-midi. J'ai pris le risque de le prendre, contre l'avis du staff médical, pour pouvoir bénéficier de son expérience en cas de besoin. Mais j'espérais ne pas avoir à le faire entrer. Depuis sa blessure la veille de Nice, il ne s'était entraîné que 35 minutes et je ne voulais pas qu'il risque de rechuter. Qu'aurais-je fait s'il s'était de nouveau blessé alors que Boka sera suspendu samedi après son expulsion ?
 
   
   
 L'Alsace a écrit : « Cédric Kanté a passé ce lundi une échographie pas très bonne », indique le médecin du RCS, François Piétra, « quant à Ricardo, il semble souffrir d'une lésion au mollet. Je ne le sens bien ni pour l'un ni pour l'autre. Si ça se confirme, ils ne rejoueront pas avant la trêve. »
 
   
   
   BORDEL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour les 7points va falloir s'accrocher alors
 BORDEL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour les 7points va falloir s'accrocher alors   
   
 

