tu as vu ces images sur quelle chaine ,et quelle émission ?Its_me a écrit :Je viens de voir la roulette de Farnerud à la 94ème
S'il l'avait marqué ça aurait été "zidanesque"
[05/06] 18ème J: Nancy / RCS - 1/2
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SO a écrit :Il a donc fallu attendre la 18e journée de la Ligue 1 pour voir le Racing s'imposer enfin cette saison en championnat. Les hommes de Jacky Duguépéroux sont allés chercher leur premier succès sur le terrain de Nancy (1-2), ce samedi.
Trois points qui leur offrent de nouvelles perspectives. Ils n'égaleront donc pas le record de Brest, datant de la saison 1979-80.
Depuis le temps qu'il l'attendait. Voilà cinq mois que ce championnat de France 2005-06 a débuté sans qu'aucune victoire ne vienne alimenter le compteur du Racing. Il a fallu patienter longtemps, quasiment jusqu'à ce que le Père Noël n'arrive, pour voir les Strasbourgeois remporter ce premier succès dans ce championnat.
Le Stade Brestois 1979-80 restera donc, pour au moins une saison encore, comme la seule formation française n'ayant pas gagné un seul de ces dix-huit premiers matches. Le Racing a choisi de ne pas égaler ce triste record. Et de s'offrir de nouvelles perspectives.
« Ca fait tout drôle »
Car avec ces trois points, il compte désormais onze unités. De quoi repasser devant Metz et n'être plus qu'à une longueur d'Ajaccio, battu à Nice (1-0), ce samedi soir. Troyes, qui possédait dix points d'avance avant cette journée, n'en a plus que sept. En un week-end, et grâce à ce premier succès de la saison, beaucoup de choses ont changé pour le Racing.
« Ca fait tout drôle de gagner, sourira même Jacky Duguépéroux à l'issue de cette rencontre qu'il n'a pu terminer sur le banc de touche après son expulsion (62e). Nous avons été solides et costauds défensivement. Les joueurs étaient bien, ce soir. Cette première victoire est méritée car cela faisait longtemps que nous aurions dû l'obtenir. »
Diané à la conclusion
Ce succès a été acquis dans la douleur. Parce qu'il a fallu le chercher avec les tripes quand Nancy a poussé pour égaliser en fin de partie. Contrairement au match à Nantes (4-3) il y a quinze jours, le Racing a tenu cette fois. Parce que, encore, il a évolué à dix tout au long de la dernière demi-heure, après l'expulsion d'Yves Deroff (62e), malheureux sur la blessure d'Adailton.
Enfin, parce que les joueurs ont su trouver les ressources pour reprendre l'avantage alors que Zerka avait égalisé en début de seconde période (48e). Quelques minutes après, en effet, Amara Diané inscrivait le second but strasbourgeois (54e), le premier ayant été l'oeuvre de Mickaël Pagis sur penalty (37e).
Le 10 décembre 2005, date de la 18e journée, restera peut-être comme un moment crucial dans la saison du Racing. Ce soir-là , le déclic s'est peut-être enfin produit pour une équipe qui l'attendait depuis longtemps et qui commençait peut-être à ne plus espérer. Mais, outre ce premier succès, l'information essentielle du week-end est que le club strasbourgeois continuer d'espérer.
ASNL.fr a écrit :Victime d'un mauvais choc après un contact avec Deroff, le Brésilien Adailton souffre d'une fracture ouverte à la cheville. Il sera opéré dans la soirée à la polyclinique de Gentilly par les professeurs Jacques et Nicolas Hummer et sera indisponible entre six mois et un an. Frédéric Thiriez, le président de la LFP, a téléphoné à Gérard Parentin pour prendre des nouvelles du Brésilien et lui souhaiter un prompt rétablissement.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Pinon a écrit :ASNL.fr a écrit :Victime d'un mauvais choc après un contact avec Deroff, le Brésilien Adailton souffre d'une fracture ouverte à la cheville. Il sera opéré dans la soirée à la polyclinique de Gentilly par les professeurs Jacques et Nicolas Hummer et sera indisponible entre six mois et un an. Frédéric Thiriez, le président de la LFP, a téléphoné à Gérard Parentin pour prendre des nouvelles du Brésilien et lui souhaiter un prompt rétablissement.
 Faut croire qu'on la voulait cette victoire. Bon retablissement au joueur.
 Faut croire qu'on la voulait cette victoire. Bon retablissement au joueur.Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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Et la passe de Johanssen au milieu de terrain à Pontusbaskath a écrit :mais il faut aussi souligner le penalty de Pagis super bien tiré
Et la touche mais quelle touche faite par Boka en fin de match
Et surtout ce degagement au pied de Puydebois
Mais j oubliais la facon dont Bellaid sert la main à ses adversaires est sublime...
Bref tout le monde il est beau tout le monde il est gentil... On en arrive à se demander si on peut pas jouer l intertoto dorenavant...
 
 Bien sur que cela fait du bien de gagner mais la situation demeure toujours catastrophique...Ne nous emflammons pas !!
Allez Racing
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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L'Alsace a écrit :Une première dans la douleur
Enfin ! Le Racing a signé hier à Nancy sa première victoire de la saison. Un derby marqué par la très grave blessure du Brésilien de l'ASNL, Adailton, victime d'une fracture ouverte du tibia-péroné.
Le Racing n'entrera pas dans le livre des records de la Ligue 1. En 1979-80, Brest avait attendu la 19e journée pour remporter son premier succès de la saison. Le RCS 2005-2006 n'a patienté « que » jusqu'à la 18e pour le décrocher enfin. Une bouffée d'oxygène pour un club au bord de l'asphyxie et qui réalise une superbe opération en reprenant des points à tous ses rivaux dans la course au maintien. Quand un match sent la poudre comme ce derby d'hier, il suffit parfois d'une étincelle pour l'enflammer. Alors, lorsque l'arbitre, censé jouer les pompiers du jeu, se plaît à camper les pyromanes d'entrée, le feu se propage très vite aux quatre coins du terrain. Le cap des 20 minutes n'est pas franchi que M. Lannoy a déjà sorti trois avertissements, dans un match où il ne s'est pourtant pas passé grand-chose. À tous points de vue d'ailleurs. Logiquement, la fébrilité de l'homme au sifflet finit par gagner les 22 acteurs. Le Racing, plutôt en place jusque-là , se déconcentre et recule. Pagis doit ainsi détourner sur sa ligne une reprise de Lécluse, à la réception d'un coup franc de Sarkisian prolongé par Puygrenier (26e). Puis Puydebois s'emploie à son tour pour claquer en corner une tête du même Lécluse (31e). Paradoxalement, c'est au moment où ils subissent le plus que les Bleus vont trouver l'ouverture. Alerté dans la surface, Gmamdia mystifie Diakhaté qui le sèche. Le penalty, indiscutable, est transformé sans frémir par un Mickaël Pagis qui, en cette première période, a réalisé un festival technique de très haute volée (37e). Le 6e but officiel du buteur alsacien (le 4e en L 1, dont deux penalties). Malheureusement pour lui, « Pagistral » devra céder sa place au repos, touché à la cheville (voir ci-dessous), alors qu'en face, Kim quittera lui aussi ses partenaires sur blessure.
Un geste involontaire
À Nantes voici 15 jours, le RCS, qui menait 2-0, avait encaissé un but à la 48e. À Picot, son avantage d'un but va être annihilé exactement à la même minute. D'une frappe molle du droit en pivot, Zerka trompe un Puydebois surpris et scotché sur ses appuis. Mais comme à la Beaujoire où Pagis avait aussitôt ajouté un 3e but, les Alsaciens vont instantanément reprendre les devants, grâce à Diané, efficace suppléant du buteur blessé. Sur une jolie balle piquée de Lacour, l'Ivoirien enchaîne un contrôle et un extérieur du droit qui ne laisse aucune chance à Bracigliano (54e). Un but magnifique. Malheureusement, la rencontre va alors être gâchée par un terrible accident. Sur une chevauchée au long cours, Adailton s'en va défier Deroff qui roule sur le ballon et lui assène un violent coup de genou au visage. Mais sa cheville, en porte-à -faux sous la hanche de l'ex-Nantais, rompt net. L'image est insoutenable pour Biancalani et Bellaïd qui se prennent le visage à deux mains. Verdict : fracture ouverte du tibia-péroné droit (59e). Impressionné par la blessure, le dépassé M. Lannoy exclut Deroff qui se remet à peine de son K-O. Une expulsion doublée d'une autre, celle de Jacky Duguépéroux, qui a vainement tenté d'expliquer à l'homme en jaune toute l'iniquité de sa décision. Sous le choc, les deux équipes vont mettre un moment à retrouver leurs esprits. Peut-être Diané est-il encore traumatisé, lorsque, seul à 6 m du but sur un centre de Boka entré pour rééquilibrer la défense alsacienne, il gaspille la balle de match. Lors des 20 dernières minutes, Nancy va jeter ses ultimes forces dans la bataille. Par deux fois, Zerka, promu avant-centre, va rater d'un cheveu l'égalisation. D'abord en croisant trop sa frappe (89e), ensuite en butant sur Puydebois alors qu'il était absolument seul (90e + 2). À Nantes, le Racing, déjà réduit à dix, avait lâché prise dans les arrêts de jeu. Là , il ne lâchera rien. Surtout pas trois points qui lui permettent d'abandonner la lanterne rouge à Metz et de reprendre 3 points à Ajaccio et Troyes, premier non-relégable dont l'avance n'est plus ce matin que de 7 longueurs, contre 10 hier.
« Une grosse lueur d'espoir »
Jacky Duguépéroux : « Cette première victoire après 17 matches d'insuccès a été acquise chèrement, mais durement, dans un match émaillé de beaucoup d'arrêts de jeu, d'incidents et d'une grave blessure que je déplore (Ndlr : Adailton devait être opéré la nuit dernière), mais totalement involontaire. C'est ce que j'ai tenté d'expliquer à l'arbitre qui a jugé bon de m'expulser à mon tour. Après l'exclusion d'Yves, nous avons beaucoup souffert, beaucoup subi, mais nous nous sommes montrés vaillants. À 2-1, nous avons même eu une balle de 3-1 par Amara que nous n'avons pas mise. A Nantes, nous étions passés tout près du succès, mais nous n'avions pas tenu. Cette fois, la victoire ne me paraît pas imméritée. Nous entrevoyons une grosse lueur d'espoir, d'autant que nous recevrons encore Metz, Ajaccio, Troyes et beaucoup d'autres rivaux classés devant nous et que nous revenons à sept points du premier non-relégable. Il faudra bonifier ce succès contre Marseille. Grâce à ce succès, nous ne rentrerons pas dans le livre des records et j'en suis assez fier, même si rien n'est évidemment acquis. Cette série était un fardeau très lourd à porter. J'espère que cette première victoire va en engendrer d'autres. Mickaël Pagis souffre d'une entaille sur la malléole droite, mais c'est a priori plus spectaculaire que grave. Mercredi contre l'Etoile Rouge en Coupe UEFA, je ferai tourner, parce que nous sommes déjà qualifiés et que l'objectif premier reste le maintien. » Yves Deroff : « Mon expulsion n'est évidemment pas le plus grave. La blessure d'Adailton me touche d'autant plus que je sais la galère que constitue une blessure comme celle-là , puisqu'en 1999, j'avais été victime d'une double fracture tibia – péroné, certes pas ouverte, contre Marseille. Je vais appeler Adailton pour m'excuser, même si je ne l'ai pas fait exprès. En prenant le ballon, j'ai roulé dessus et je suis retombé de tout mon poids sur lui. Avec quelle partie du corps ? Je n'en sais rien, parce que j'ai été sonné par le coup de genou qui m'a éclaté le nez. Quand mes coéquipiers ont poussé le cri de la victoire dans le vestiaire, j'avoue que j'étais ailleurs, car cette grave blessure m'ennuie. Mais bon, c'est bien d'avoir gagné dans notre situation. »
DNA a écrit :Enfin l'espoir !
Réduits à dix après l'heure de jeu, avec l'expulsion de Deroff, les Strasbourgeois ont résisté à la pression nancéienne au terme d'un match heurté. Ils laissent la dernière place à Metz et reprennent un peu pied.
Au moins, l'espoir n'est pas totalement mort. En allant chercher hier soir à Nancy leurs trois premiers points groupés, les hommes de Duguépéroux l'entretiennent encore un peu. Surtout, ils ont brisé cette infernale spirale qui les entraînait par le fond.
Pour la première fois depuis une éternité, ils ont aussi abandonné la lanterne rouge aux voisins messins. Et puis, ils ont sensiblement réduit l'écart qui les séparait de Troyes, premier non relégable et battu à Toulouse.
De dix points de retard, ils sont ainsi passés à sept. Ce qui n'est pas accessoire comme décompte et qui a évidemment son importance sur le plan psychologique.
Pas disposés à se laisser marcher dessus et encore moins à baisser la tête
Pour ça, il aura fallu, comme prévu, souffrir. Mais souffrir bien plus que prévu, bien plus profondément, dans les chairs. Souffrir physiquement face à une équipe de Nancy habituée à "mettre le pied", comme ont dit d'une équipe qui effectivement met le pied et qui est tombée sur des Strasbourgeois remontés.
Pas disposés en tout cas à se laisser marcher dessus et encore moins à baisser la tête ou ne serait-ce que le regard. Ce qui tranchait un peu avec ce qui avait été vu auparavant, quand le moindre grain de sable déréglait l'ensemble et que la sentence était acceptée avec fatalité.
« On a joué à la nancéienne », dira plus tard Duguépéroux. Il en avait fait un exemple avant la rencontre de cette mentalité-là et demandait aux siens plus de caractère. Il aura été entendu.
« On a été vaillants et conquérants »
Résultat, un match âpre, d'une assez faible qualité technique c'est vrai, mais engagé, heurté et accroché. Avec pas moins de huit cartons jaunes, deux expulsions et un blessé grave. L'instant dramatique de la rencontre.
On jouait alors la 61e' et Adaïlton se heurtait à Deroff. Le Brésilien chutait lourdement sur l'action sans que le Strasbourgeois y soit pour grand chose, mais vu la gravité de la blessure (fracture ouverte tibia-péroné), M. Lannoy appliquait strictement le règlement et sortait le carton rouge pour Deroff.
Dans la foulée, il renvoyait Duguépéroux, jugé trop véhément, dans les tribunes. Strasbourg se retrouvait menant au score, mais en infériorité numérique. Privé de Pagis, blessé à la cheville et sorti à la mi-temps. Privé de son coach aussi.
Acculé sur son but forcément par des Lorrains eux-mêmes privés de Kim (cheville), d'Adaïlton et de la totalité de leurs forces offensives. Maladroits et brouillons. Vaincus au final. Et qui auront perdu plus que trois points.
Car dans ce genre de match, le vaincu laisse forcément d'autres illusions que celles liées à son classement du jour. D'autres forces aussi. Il arrive que le vainqueur en sorte fortifié plus que de raison. Parfois on appelle ça un déclic, mais il faut attendre pour voir.
« C'est la première victoire, ça a été très très long d'attendre, dira Jacky Duguépéroux. Elle a été acquise durement et chèrement au cours d'un match émaillé d'incidents avec une grave blessure que je déplore ».
Après avoir repris son souffle, l'entraîneur strasbourgeois dira, « j'ai eu peur que l'égalisation nancéienne nous rappelle ce que nous avions vécu à Nantes, mais on a su reprendre l'avantage très rapidement. C'est un match où on a beaucoup souffert, où on a subi, mais on a été vaillants, conquérants. Cette victoire va nous permettre d'entrevoir une bonne grosse lueur d'espoir. A nous de bonifier ça lors de la réception de Marseille ».
Alors, on pourra peut-être parler de déclic. Pour l'heure, il reste à savourer. Ça n'arrive pas si souvent en championnat.
Des hommes de caractère
Dans un match très heurté, les joueurs strasbourgeois ont fait front. Ont plié, mais pas cédé.
PUYDEBOIS () : Un match solide. Il ne peut rien sur le but de Zerka. Il s'oppose d'une main ferme au coup de tête de Lécluse (31e'), sort bien dans les pieds de Kim (45e'), se détend sur cette frappe de Chrétien (50e') et est décisif devant Zerka (90e'+2). Dans les airs, il a été rassurant.
DEROFF () : Un match musclé face à Sarkisian. Il lui a rendu coup pour coup, aux sens propre et figuré. L'action sur Adailton (double fracture ouverte tibia-péroné droit), impressionnante, mais involontaire surtout, lui vaut d'être expulsé (61e'). Il sera suspendu face à Marseille.
BELLAID () : Une première période fébrile où il a eu du mal face à Kim et aux percussions de Zerka. Dans la relance, il a préféré ne prendre aucun risque, balançant de longs ballons. Il a ensuite pris confiance. Averti, il sera suspendu face à Lyon.
HAGGUI () : S'il se laisse manoeuvrer par Zerka sur l'égalisation nancéienne, il a été très présent quand il le fallait, coupant souvent la route du but aux Nancéiens.
LACOUR () : Présent dans les duels face à Adailton parfois, à Zerka le plus souvent, le capitaine strasbourgeois a donné l'exemple. Il donne un bijou de ballon à Diané sur le deuxième but du Racing.
JOHANSEN () : Il a essayé, sans trop de réussite - faute de solutions aussi - d'ordonnancer le jeu du Racing. Il s'est battu comme un chien dans la récupération, même s'il a baissé d'un cran en fin de rencontre.
HOSNI () : Même remarque que pour le précédent. Il s'est battu, et c'est ce qu'il fallait hier.
P. FARNERUD () : Dans un contexte difficile, puis houleux, il a tenu son rang, essayant de bonifier le moindre des ballons en sa possession. Il est à l'origine du deuxième but strasbourgeois.
A. FARNERUD () : On peut lui reprocher quelques pertes de balles « faciles », mais il a eu des éclaircies comme ce ballon donné à Gmamdia et qui provoquera le penalty de l'ouverture du score.
PAGIS () : Du moyen, mais aussi du très bon comme lorsqu'il élimine Biancalani et Duchemin sur un seul geste (29e'). Ses contacts avec la défense adverse ont été physiques. A le mérite de repousser devant sa ligne de but cette frappe de Lécluse (26e'). Blessé à la cheville, il est remplacé par DIANE (46e', ) : Très inspiré sur son but, trop facile sur le ballon du 1-3 qu'il vendange.
GMAMDIA () : S'il a perdu quelques ballons, il a eu le mérite de constamment les appeler. Et puis son crochet, qui déstabilise totalement Diakhate, provoque le penalty (36e'). Remplacé par BOKA (63e', ). Une grosse activité, un coup franc bien tiré que Diané aurait dû convertir (69e').
L'histoire est en marche ...
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merci pour tes encouragements et bonne chance à Corte en coupe de France !l'exilé a écrit :bravo les copains. c'est mérité.
votre championnat démarre, et votre objectif, c'est la monté en l1, pas le maintien.
bravo et tapez l'om maintenant.
ps: en plus, corte est en 32 eme de finale, je suis aussi tres content


 
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