[05/06] 22ème J: RCS / Metz : 2-1

[Barwadel]

si je souhaite une victoire du racing pour que nous puissions y croire encore un peu , il ne faut pas se voiler la face : il faudrait en plus un effondrement des 2 ou 3 équipes qui sont devant . . . . . . .

Demain soir sera le grand soir dans un sens ou dans l'autre !

[Manu]

De toute façon si on perd avec le bordel que l'on a pu lire cette semaine dans le journal c'est le feu à  la Meinau...à  force d'exciter les gens.

Ca me rappelle Strasbourg Metz avec nelly Viennot on devait absolument gagner... on marque 1-0 et bordel ce satané pétard !

Demain rien sur le terrain... du moins si on gagne

[Pinon]

Des nouvelles concernant le nombre de billets vendus

[Manu]

Un bus de ces abrutis de génération grenat est prévu demain...

[Manu]

Aujourd'hui est un grand jour, victoire à  la Meinau !

suprématie footballistique régionale !

Elsasssssssssssssssssssssssssssss

Il paraitrait que c est le chant de ce soir à  apprendre par coeur

Je vous rappelle que ce soir, tout bon supporter du racing doit chanter sous l'air de "emmenez-moi" :

"Emmenez moi à  St Symphorien
Emmenez-moi au pays des vauriens
Il me semble que la tristesse
Serait d'être supporter de Metz !"

[Manu]

Match de la peur, dans le congélateur de la Meinau où Strasbourg et Metz abattent leur dernière carte. Des condamnations pourraient tomber...

NANCY. On va grelotter, ce soir, dans un stade de la Meinau peuplé de supporters apeurés sous leur harnachement anti-froid. La cause de ces tremblements ne sera pas uniquement la météo sibérienne qui prend chaque hiver ses quartiers dans l'enceinte alsacienne. Mais bel et bien une affiche qui pourrait avoir de sinistres conséquences. Placés sous respiration artificielle depuis de longues semaines et voués pour beaucoup à  une relégation certaine, Strasbourg et Metz abattent en effet leur dernière carte, à  l'occasion d'un derby de l'Est au parfum macabre.

Pour les Messins, qui pointent à  huit longueurs de Sochaux, premier non-reléguable, tout comme pour les Strasbourgeois, rejetés à  dix points des Franc-Comtois, tout autre résultat qu'une victoire équivaudrait à  un probable arrêt de mort. Car le trou béant qui les sépare du « gruppetto » s'est encore agrandi, suite aux récents succès de Nantes, Troyes et Toulouse. N'en déplaise aux mathématiciens, prolonger le surplace serait donc rédhibitoire. Bonjour la tension sur le terrain !

Les deux malades ne vont pas aborder ce match de la peur dans les mêmes conditions psychologiques. Metz, dont la température était un peu retombée avant les Fêtes, a connu une terrible rechute en subissant la loi d'une juvénile équipe stéphanoise à  Saint-Symphorien. Ce revers a mis en lumière une scission dans l'effectif de Joël Muller - maintenu dans ses fonctions, tout comme Jacky Duguépéroux (curieux mimétisme, compte tenu de leur bilan... ) - entre ceux dont l'implication demeure intacte et les autres, incapables de lutter. Le Polonais Zewlakow a ainsi été prié d'aller voir ailleurs. Il fera un essai dans un club anglais la semaine prochaine.

Funeste statistique

Le FC Metz s'est toutefois trouvé un ultime motif d'y croire en recrutant le milieu russe Ruslan Pimenov et l'attaquant guinéen Souleymane Youla (qualifiés en urgence et alignés dans le groupe ce soir). Deux jeunes joueurs choisis afin de redorer le blason d'une attaque trop souvent muette. L'entraîneur messin attend qu'ils soient des « locomotives » pour le groupe. A l'image d'un Nasser Ouadah qui fera beaucoup défaut ce soir aux Grenats, en raison d'une élongation, mais dont les vérités ont peut-être fait mouche : « Nous avons entre nos mains l'avenir de certaines personnes du club qui iront peut-être pointer au chômage si nous descendons ». Joueurs compris...

La situation des Strasbourgeois est quelque peu différente. La qualification en Coupe de France face à  Nancy, qui confirme la paradoxale aptitude des Alsaciens à  bien mener leur barque dans ces compétitions, et le match nul rapporté du Stade Louis-II, ont ravivé la flamme de la lanterne rouge. Il faudrait malgré tout un miracle au Racing pour revenir à  la surface, mais Jacky Duguépéroux s'accroche : « Sur le cycle retour, nous recevons six équipes concernées par la lutte pour le maintien. Il est impératif de gagner ces matchs ». Le jeune buteur Kevin Gameiro et ses coéquipiers devront toutefois briser une funeste statistique : aucune victoire à  domicile !

Si l'entraîneur alsacien ne renonce pas, il a pourtant donné son accord à  Philippe Ginestet, son président, pour laisser partir Mickaël Pagis dans le Vieux-Port. Un curieux plan de sauvetage qui semble transformer la mort naturelle en suicide. Et qui déplace le problème en coulisses où les décisions du nouvel actionnaire majoritaire du Racing ne font pas l'unanimité. Le nouveau président pourrait même se retrouver seul aux commandes du club ce lundi. Avec une équipe condamnée sur les bras ? Verdict en soirée.

[Pinon]

Entre âmes chancelantes

Ragaillardi par le solide point du match nul ramené mercredi de Monaco, le Racing espère se relancer dans la course au maintien. Ce soir, face au FC Metz, seule compte la victoire. Encore ne faut-il pas se laisser inhiber par la peur du vide.

Personne ne peut le voir, mais il est là , tout au bord de pelouse de la Meinau. Profond, lugubre et froid, le précipice menace les âmes chancelantes. Ce soir, forcément, l'une des équipes y sera engloutie. De gré ou de force. Peut-être même que les deux seront aspirées, si elles ne parviennent pas à  se départager au terme de ce derby à  l'odeur sulfureuse.

Cette saison, Metz et Strasbourg semblent marcher, main dans la main, vers le néant. Inséparables compagnons de galère, les voisins du grand Est voient leurs pas illuminés par les feux de la lanterne rouge. Et ce depuis le début de saison, ou presque.

« Au regard du classement nous ne sommes supérieurs à  personne »

Certes, les amoureux du football, qu'ils viennent d'Alsace ou de Moselle - pour peu qu'ils ne soient pas de mauvaise foi -, s'accordent à  dire que le fonds de jeu du Racing est bien plus chatoyant que celui de Metz. A Strasbourg, on joue au ballon, monsieur. A Saint-Symphorien, on se montre besogneux. Sauf que ce matin, les Bleus sont bons derniers et les Grenats dix-huitièmes. A portée de fusil, toutefois.

« On n'est pas plus forts qu'eux, martèle Jacky Duguépéroux. Au regard du classement, nous ne sommes supérieurs à  personne. Demain soir (aujourd'hui), si on gagne et que les autres résultats nous sont pour une fois favorables, on pourra peut-être parler autrement. »

Claire sur le papier, l'affaire s'annonce bien plus périlleuse sur le terrain. Contre Metz, il ne faut jamais s'attendre à  une partie de plaisir. Le fameux beau jeu « à  l'alsacienne » n'aura pas droit de cité. Pas contre les « poètes » que sont Meniri, Borbiconi et associés...

« J'ai ressenti un élan de solidarité nouveau »

C'est tant mieux, serait-on tenté d'ajouter. Le désastre lyonnais (0-4), encore ancré dans toutes les mémoires de ceux qui ont bravé le froid de la Meinau en début d'année, suffit à  rappeler les limites d'un système jusque-là  inefficace.

« On ne va pas se cacher, c'est la vérité et on l'assume, convient l'entraîneur strasbourgeois. Mais j'ai ressenti un élan de solidarité nouveau cette semaine. Ça s'est matérialisé par notre point pris à  Monaco. Personne n'a lâché, ni les titulaires, ni ceux qui sont entrés en jeu. C'est encourageant. »

Dans la continuité de la balade en coupe contre Nancy (4-0) et du nul ramené de Louis-II (1-1), les Bleus espèrent aborder cette rencontre l'esprit libéré. Une riche idée, puisqu'ils ne peuvent de toute façon pas tomber plus bas. Enfin si, en Ligue 2. Mais ceci n'est pas - encore - le débat.

Ce soir, il reviendra, quoi qu'il en soit, sur la table des vestiaires. « Si on gagne, l'espoir du maintien sera ravivé, conclut Duguépéroux. Si on perd... ça sera bien plus compliqué. » Non, « Dugué », ce sera mort. Définitivement mort. Au bord du précipice, le Racing va basculer. Pourvu que ce soit du bon côté.

Ce derby « à  la vie, à  la mort » sera l'occasion pour le public strasbourgeois de découvrir l'attaquant international guinéen Souleymane Youla, que le Racing convoitait au mercato, et qui portera pour la première fois ce soir les couleurs messines.

YOULA. - Souleymane Youla, attaquant guinéen de 24 ans (1,80 m, 76 kilos), a débarqué mardi en Moselle. Il n'a pas été complètement dépaysé à  son arrivée au FC Metz, puisqu'il avait jadis fréquenté le centre de formation du club grenat (avec les « 15 ans »). Youla a ensuite entamé une carrière professionnelle qui l'a conduit en Guinée, en Côte d'Ivoire, en Belgique (Lokeren, Anderlecht) et en Turquie (Genclerbirligi, Besiktas), d'où il arrive en droite ligne. Pressenti à  Strasbourg et à  Nantes en début de mercato, Youla a donc préféré se poser en pays de connaissance. Impressionnant cette semaine à  l'entraînement, il devrait être titularisé ce soir.

AHN. - Curiosité du marché estival des transferts, le Coréen Ahn n'a pas pleinement convaincu à  Metz. Titulaire à  dix reprises en 21 journées, il a inscrit deux buts en championnat : un à  Paris en juillet, un autre à  Sochaux en décembre. Rideau. D'où une présence discrète sur le marché hivernal. Un club japonais vient d'ailleurs de s'intéresser à  lui, sans donner suite. Remplaçant mercredi contre Saint-Etienne, Ahn devrait néanmoins profiter des absences, et des velléités offensives de son entraîneur, pour débuter la rencontre.

OUADAH. - C'est la tuile pour le FC Metz. Sorti à  la 34e' mercredi contre Saint-Etienne, Abdelnasser Ouadah sera forfait ce soir à  Strasbourg. Artisan de la bonne série réussie par les Mosellans (6 matches consécutifs sans défaite entre le 5 novembre et le 17 décembre), le meneur de jeu mosellan risque de faire cruellement défaut à  son équipe.

ALLER. - Le match aller, disputé le 20 août au stade Saint-Symphorien par un beau soir d'été, n'avait pas donné lieu à  une partie très enlevée, c'est le moins que l'on puisse dire (0-0). Le FC Metz s'était néanmoins créé quelques occasions franches en 2e mi-temps, toutes enrayées par un Cassard des grands soirs. Après une traversée du désert en novembre-décembre, le héros de la saison 2004/2005 vient justement de retrouver mercredi à  Monaco sa place de titulaire dans le but strasbourgeois.

FARAG. - Le latéral gauche Abou Mosalem Farag, dit Moslim, est à  Strasbourg depuis une semaine. Le Racing l'a bel et bien engagé, mais hier soir, en l'absence de la lettre de sortie de la Fédération égyptienne, il n'était toujours pas qualifié. Toujours pas de nouvel attaquant en vue par ailleurs.

ENJEU. - Dans le meilleur des cas (une victoire strasbourgeoise), le Racing pourrait gagner deux places ce soir et se hisser au 18e rang de la L1, position qu'il n'a plus occupée depuis septembre. Condition sine qua non : que Le Mans batte Ajaccio. Si par-dessus le marché, Sochaux (17e) s'incline à  Lille, le Racing reviendra à  7 points du premier non-relégable. Allez, on y croit.

[argueti]

Stop ou encore ?

Pour entretenir son mince espoir de maintien, le Racing n'a d'autre alternative que de signer son deuxième succès de la saison dans le derby de la peur contre Metz ce soir (20 h) à  la Meinau.

Personne, officiellement, ne le concède. Mais tout le monde, sous le sceau de la confidence, excepté un Jacky Duguépéroux obligé d'entretenir la flamme, l'avoue volontiers : s'il ne bat pas Metz ce soir (20 h) à  la Meinau, le Racing pourra dire adieu à  la Ligue 1. Sa bonne dernière semaine (tonitruant succès 4-0 contre Nancy en Coupe de France samedi dernier et nul convaincant à  Monaco mercredi) n'aura servi à  rien en cas de nul, pire d'échec, face à  des Messins eux aussi au fond du gouffre. En soirée, Strasbourg, 20e et dernier avec 12 points, et Metz, 18e avec 14, seront sur un pied d'égalité. « Un nul n'arrangerait personne », annonce l'entraîneur strasbourgeois. « Celui qui gagnera pourra nourrir beaucoup d'espoir. Le vaincu, s'il y en a un, devra réaliser un plus grand exploit encore pour se maintenir. Nous venons de récolter un bon point à  Monaco, même si nous aurions pu espérer mieux. Nous avions tablé sur quatre cette semaine. Nous savons ce qu'il nous reste à  faire. Mon problème va être de dédramatiser l'enjeu du derby auprès de mes joueurs. En gagnant, nous enchaînerions un troisième match sans défaite (Ndlr : ce serait la troisième fois seulement cette saison). Nous confirmerions surtout un état d'esprit qui me semble avoir changé. J'ai décelé contre Nancy et Monaco un nouvel élan, senti beaucoup d'abnégation et de solidarité, y compris chez ceux qui étaient sur le banc, ce qui n'est jamais évident. Notre situation ne peut pas être pire. Et si contrairement à  la dernière journée, les résultats voulaient bien nous être favorables, nous pourrions revenir à  sept points du premier non-relégable. » Une prédiction qui va devoir réunir deux conditions : que le RCS batte Metz et que, dans le même temps, Sochaux s'incline à  Lille. L'hypothèse n'est pas totalement irréaliste. A la faveur d'un succès sur le voisin lorrain, le RCS pourrait même « se hisser » à  la 18e place, à  condition qu'Ajaccio ne l'emporte pas au Mans. Une telle issue ce soir pourrait doper le moral des Bleus. « Après la victoire de Toulouse sur la fin contre le PSG et celle de Troyes contre Lille, la lutte pour le maintien semble devoir se résumer à  un match à  quatre, entre Strasbourg, Ajaccio, Metz et Sochaux », poursuit « Dugué ». « Dans ce mini-championnat, nous ne sommes pas les plus mauvais. Je m'accroche à  ça. Je veux que l'équipe s'y accroche aussi.»

Youla, fossoyeur des illusions alsaciennes ?

Après six matches sans défaite qui leur avaient permis de redresser la tête, les Messins de Joël Muller viennent de leur côté d'essuyer deux revers, dont le dernier, mercredi contre Saint-Etienne (0-1), a laissé des traces. Fâché par le rendement proche du néant de ses attaquants, Joël Muller alignera tout à  l'heure ses deux recrues de la semaine: le Russe Ruslan Pimenov et le Guinéen Souleymane Youla (qualifié depuis hier). Alors que le prêt de ce dernier au Racing semblait prendre forme, le FCM a profité des tergiversations alsaciennes pour attirer l'international africain du Besiktas Istanbul. Sur les coups de 20 h, les dirigeants alsaciens prieront pour que Youla ne devienne pas le fossoyeur de leurs dernières illusions. Pour l'heure, tant qu'il y a de la vie, les Strasbourgeois entendent entretenir l'espoir, à  l'image de Stéphane Cassard, de retour dans les buts depuis le déplacement de mercredi en Principauté. « L'an dernier, nous nous en sommes tirés grâce à  l'investissement de chacun à  200 %. De nos deux derniers matches, tout le monde est sorti vidé, carbonisé, après avoir donné tout ce qu'il avait. Ça m'a rappelé la saison passée. En gardant cet état d'esprit, nous pourrons garder espoir. » En décrochant un résultat positif aussi. Un succès contre Metz est en effet la dernière bouée de sauvetage à  portée des Strasbourgeois s'ils veulent garder la tête hors de l'eau.

Arrache rechute

Salim Arrache n'est décidément pas verni. Victime le 3 décembre contre Sochaux d'un sévère claquage à  la cuisse gauche, l'international algérien du Racing espérait faire son retour dans le groupe lors du déplacement à  Bordeaux samedi prochain. Ces derniers jours, il avait entamé un programme de reprise progressive et devait reprendre l'entraînement avec ses partenaires en début de semaine. Mais il vient de rechuter et souffre cette fois d'une importante lésion de l'ischiojambier gauche. L'ailier gauche du RCS devra observer un repos supplémentaire de quatre semaines. Abou n'est pas qualifié. Jacky Duguépéroux espérait pouvoir en disposer dès ce soir contre Metz. Mais l'entraîneur strasbourgeois a dû se faire une raison : sa recrue égyptienne, Ahmed Abou Mosalem Farag, dit Abou (Ndlr : il portera ce nom au dos de son maillot), n'est pas qualifiée pour le derby. La lettre de sortie de la Fédération égyptienne n'est en effet pas parvenue en temps et heure à  son homologue française. Le document est attendu ce matin, hors des délais autorisés. Gameiro titulaire. Le coach du RCS n'en a pas fait mystère hier après l'entraînement : Kevin Gameiro, auteur d'un doublé samedi dernier en Coupe de France contre Nancy et d'une bonne rentrée mercredi à  Monaco, débutera tout à  l'heure en pointe aux côtés d'Alexander Farnerud. « Je l'ai ménagé en Principauté pour pouvoir l'aligner d'emblée contre Metz. » Sa titularisation compensera l'absence de Pontus Farnerud, blessé sans gravité à  la hanche droite et qui devrait reprendre avec le groupe dès mardi. Le schéma en 4-1-4-1 expérimenté à  Louis II devrait se muer en un classique 4-4-2. Jean-Christophe Devaux, qui avait remplacé Habib Bellaïd, victime d'une entorse de la cheville dès la 17e à  Monaco, retrouvera le onze de départ. Metz: des départs en vue. L'attaquant polonais du FC Metz Marcin Zewlakow effectuera en début de semaine prochaine un essai dans un club de la L2 anglaise, a-t-on appris auprès du club de football lorrain hier. Selon la même source, le défenseur (qui évoluait l'an passé encore à  Sochaux) Grégory Paisley est en contact avec le Betar Jérusalem, club entraîné par le Français Luis Fernandez.

[Maneo]

Perdre ou condéder un match nul face à  l'avant-dernier qui plus est le plus gros rival du racing, serait la honte complète. Le divorce entre le public et son club serait complet ... Mais attention Metz s'est donné les moyens de nous battre lors du mercato, nous de ne pas perdre ! Bref que peut-on espérer ce soir ?

[télésupporteur]

FAUDRA M'EXPLIQUER
je lis partout qu'un match nul condamnerait les deux équipes, mais q'une victoire permettrait d'espérer
sachant qu'une victoire du racing donnerait à  cette équipe le même nombre de points qu'un match nul de metz
élémentaire, mon cher W.....