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Le problème est que sur ce point là il sort beaucoup trop tard et surtout pas assez vite !! C'est Pimenov a un peu plus d'expèrience il fait une passe en arrière et les messins n'ont plus qu'à tirer dans le but videfan_racing a écrit :D'après ce que j'ai ouïe à la radio, il en a eu 2 :
- face à Pimenov mais la c'était plutôt du pied puisqu'il était loin de ses cages
L'Alsace a écrit :Cassard fait bien les choses
Hasard ou relation de cause à effet : Stéphane Cassard a retrouvé ses buts contre Nancy en Coupe de France il y a près de deux semaines. Depuis, le Racing ne perd plus.
Lui d'ordinaire si disponible avait refusé toute interview. Ecarté des buts du Racing au lendemain d'une défaite à Lille (0-2 le 6 novembre) qui avait failli coûter sa place à Jacky Duguépéroux, Stéphane Cassard s'était réfugié dans le silence et le travail. À l'époque, il avait avoué avoir vécu une semaine très difficile durant laquelle il n'avait « pas éprouvé beaucoup de joie de vivre à l'entraînement. » Le choc passé, il a peu à peu remonté la pente. Il a d'abord assuré l'intérim de Nicolas Puydebois le 14 décembre contre l'Etoile rouge de Belgrade (2-2). Il a encore profité de la règle de l'alternance chère à Jacky Duguépéroux contre Nancy l'autre samedi en Coupe de France, avant de rejouer en Ligue 1 mercredi dernier à Monaco. « Une idée qui me trottait en tête », justifiera « Dugué » à Louis II, « Stéphane ne méritait pas de rester éternellement au placard. » L'un des piliers du redressement 2004-2005 en est donc sorti. Depuis, le Racing n'a plus perdu (succès contre Nancy 4-0 et Metz 2-1, entrecoupés d'un nul à Monaco 1-1) « Revenir dans l'équipe et engranger des résultats positifs dans la foulée, c'est toujours bien », avoue-t-il, lui qui confirme avoir souffert de son éviction : « J'ai toujours eu conscience que deux ou trois buts étaient pour moi. Mais un joueur qui se fait sortir de l'équipe ne peut pas être content. Le contraire serait anormal. Après, il faut savoir accepter, évacuer la déception et se remettre au boulot pour revenir plus fort. Entre la L 1, la Coupe de France et la Coupe de l'UEFA, je savais que j'aurais l'occasion de jouer. Je me suis préparé pour. Je n'ai jamais eu envie de tout lâcher, même si j'ai vécu douloureusement ma mise à l'écart, notamment par rapport à l'investissement personnel que j'avais consenti depuis un an et demi dans le groupe. Le tout est de faire en sorte que la période de gamberge soit la plus courte possible. »
« Nous ne nous posons plus de questions »
En le réinstallant dans ses cages, Jacky Duguépéroux lui a témoigné une marque de confiance importante. « Après les quelques actions sur lesquelles j'ai été moins performant, le coach a pris la décision de m'enlever », rappelle le Franc-Comtois, « Pendant un an, j'ai évolué à un niveau assez élevé et tout le monde est devenu plus exigeant envers moi, à commencer par moi-même. Ce retour est une belle marque de confiance, oui. » En même temps que Cassard retrouvait ses bases dans les 16 m, le Racing retrouvait les siennes, défensivement notamment. « Sur nos trois derniers matches, il y a eu une prise de conscience collective. Le coach nous a replacés plus bas. Nous avons joué plus regroupés, mais ça ne nous a pas empêchés d'être efficaces. Ne pas avoir gagné d'entrée en début de saison nous a plombés. Nous avons ensuite tellement voulu remporter cette première victoire que nous avons parfois pris des risques inconsidérés, perdu en lucidité et que nous n'avons pas su gérer certains moments clefs. Aujourd'hui, nous n'en sommes plus à nous poser des questions. Nous avons l'impression d'avoir perdu pas mal de temps et nous avons tous envie de le rattraper et de foncer. La victoire contre Metz est, de ce point de vue, capitale. Elle achève de nous redonner espoir, tout en mettant la pression sur les autres. Aujourd'hui, Sochaux (17e et premier non-relégable) doit penser que Strasbourg n'est pas mort. Mais le chemin est encore long et passe par une confirmation à Bordeaux samedi. Les Girondins sont très solides (Ndlr : meilleure défense de L 1 avec 11 buts encaissés en 22 journées) et conduits par un coach très rigoureux (le Brésilien Ricardo, ancien défenseur du PSG). Ils gagnent souvent par un but d'écart. À nous de nous présenter en bloc comme nous le faisons depuis quelque temps. Sur ce match, mais aussi sur le long terme, c'est notre meilleur atout pour nous en sortir. »
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désolé