[05/06] 24ème J: RCS / PSG : 1-1

L'actualité du Racing en championnat
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Le point qui n'arrange rien

Malgré son courage, une bonne entame et un Diané virevoltant, le Racing a dû se contenter d'un nouveau match nul, hier à  domicile, face au PSG (1-1). L'espoir de maintien s'amenuise encore.

Il n'y a pas à  lésiner sur le jugement du verre à  moitié plein ou à  moitié vide concernant le match nul ayant conclu, hier soir, la rencontre entre le Racing et le PSG. Il est à  moitié vide pour les Strasbourgeois, comme pour les Parisiens. Car si les hommes de Jacky Duguépéroux ont réduit d'une unité l'écart qui les sépare du premier non relégable (Troyes), ils restent toujours très éloignés d'une prochaine saison en L1 (9 points). Quant à  ceux de Lacombe, ils restent pour l'heure aux portes d'une éventuelle participation à  la Ligue des Champions. L'énorme différence d'ambition ne sauta néanmoins pas aux yeux lors de cette rencontre qui ne tarda pas à  se mettre en route. Et c'est grâce aux plus mal lotis qu'il n'y eut pas de round d'observation. Car si un premier centre de Pauleta fit passer le frisson sur les tribunes de la Meinau (3e), si une frappe d'Armand permit de chauffer Puydebois (4e), le premier assaut construit fit mouche. Et il fut l'oeuvre des Strasbourgeois. Diané s'appuyait sur Nemeth, côté droit. Le Slovaque centrait vers le cadet des Farnerud dont la remise était parfaite en direction de l'initiateur du mouvement. Et l'Ivoirien catapulta le cuir au fond des filets d'un tir sec, à  ras de terre (1-0, 13e). Le buteur du jour exprimait tout son mordant, en venant rechercher nombre de ballons aux abords de sa surface ou en se créant une somptueuse occasion de réaliser le doublé. Juste avant la pause, Diané s'en allait dans un festival époustouflant, passant en revue toute la défense du PSG. Mais son petit pointu envoyait mourir le ballon au ras du poteau. Du mauvais côté cette fois. Le plus embêtant, c'est que dans l'intervalle le talent à  l'état brut s'était exprimé dans le camp d'en face. Ce n'était pas celui de Rozehnal, maître des airs sur un corner (20e), juste après que Le Pen eut la triste occasion d'enrichir l'infirmerie strasbourgeoise (voir par ailleurs). Mais c'était encore sur coup de pied arrêté. Alexander Farnerud concédait un coup franc à  25 mètres de ses cages. Pauleta se jouait du mur formé d'une bonne douzaine de joueurs des deux équipes. Et le compteur but du Portugais (16) égalait celui de tout l'effectif strasbourgeois (1-1, 31e). L'ombre du doute s'insinuait dans la mécanique strasbourgeoise. Elle grandissait lors d'une absence de Puydebois, sur un long ballon aérien, qui contraignait Devaux à  dégager en catastrophe (45e). Elle prenait des proportions inquiétantes lorsque Pancrate signa son entrée d'un tir en coin, révélant encore la fébrilité du gardien strasbourgeois (54e), ou d'une autre tentative au ras du poteau (68e). Le PSG, dominateur au milieu de terrain, avait franchement pris les affaires en main. L'accumulation de corners mettait une arrière-garde strasbourgeoise incertaine en danger. Les passes en retrait approximatives n'arrangeaient rien. Il fallait encore des fulgurances de Diané pour espérer. Gmamdia n'en profitait pas sur une nouvelle série de dribbles inspiré du numéro 20 (54e). Le feu follet était encore contré par Armand, au 2e poteau (77e). Il butait sur l'arrière-garde parisienne, comme toute une équipe qui a d'ores et déjà  échoué dans son ambition de cumuler six points en deux rencontres à  domicile, avant Ajaccio samedi. Le sixième match nul de la saison à  domicile ruine un peu plus les chances d'un maintien de plus en plus improbable ce matin.

« De plus en plus compliqué »

Jacky Duguépéroux : « Au-delà  du résultat, je retiendrai que nous avons vu un bon match entre deux équipes qui ont tout fait pour prendre les trois points. Nous sommes tombés sur une bonne équipe du PSG, très difficile à  manoeuvrer. Je n'ai rien à  reprocher aux gars sur leur investissement dans ce match. Nous avons donné tout ce que nous avions. C'est l'essentiel en football. Je crois que les supporters neutres ont assisté à  un spectacle agréable. Le match nul me semble assez juste, même si j'aurais préféré gagner. Les joueurs savent se remobiliser malgré des événements contraires. Depuis la raclée contre Lyon, personne ne laisse tomber. Ce soir (hier), nous retournons à  l'hôtel et nous partirons au vert dès vendredi soir pour préparer Ajaccio, car nous continuons à  préparer les matches avec tout le sérieux requis. J'avais annoncé qu'il nous faudrait six points contre Paris et Ajaccio. Nous n'allons pas épiloguer sur ce nul. Ça va être très difficile, c'est sûr, mais ce n'est pas cuit. » Guy Lacombe (entraîneur du PSG) : « Il y avait la place pour prendre les trois points ce soir. On n'avait pas réussi à  en prendre lors de nos deux rencontres précédentes à  l'extérieur. Il y a donc du mieux sur le plan du résultat. Mais pas au niveau du contexte, parce que Strasbourg était bon à  prendre ce soir. On a manqué de confiance également, notamment en première mi-temps. On a procédé à  un rééquilibrage côté droit à  la pause et cela s'est révélé meilleur. Mais j'avais dit à  mes joueurs à  la mi-temps que nous devions remporter ce match. Je le pense encore. C'est dommage. En fin de partie, nous n'avons pas bien négocié certains coups. Mais je constate également sur le but que l'on encaisse qu'il y a un manque d'implication collective et individuelle en défense. » Yacine Abdessadki : « On a essayé de produire du jeu. Mais comme à  notre habitude, on n'arrive pas à  mettre le but d'avance ou à  le conserver. C'est très frustrant. Il faut très vite se relever. Il ne nous manque pas grand-chose. Les chances de maintien se restreignent. C'est embêtant pour tout le monde. Ça fait même peur. Avec la qualité dans notre jeu, on peut encore y croire. On n'a rien à  envier à  Paris. Il nous faut vite, vite réagir. On se pose des questions. Mais le sort est contre nous. »

Plus d'ombre que de lumière

Le nul d'hier soir obscurcit un peu plus l'horizon d'un Racing dont l'avenir en coulisses n'a jamais semblé aussi incertain.

Jacky Duguépéroux avait annoncé que son équipe devait prendre six points contre PSG et Ajaccio. Il sait déjà , depuis le nul d'hier soir face au PSG, que l'objectif ne sera pas tenu et que « la situation se complique encore un peu plus. » Pour ne rien arranger, alors que le club joue sa survie en Ligue 1 ces jours-ci sur le terrain, les coulisses sont une nouvelle fois agitées de sérieux remous dont la mise à  pied de Pierre Brochet, le directeur du marketing, pour dix jours n'est que la partie la plus visible. Comme toujours lorsque la presse se fait l'écho de secousses que, faut-il le rappeler, elle ne provoque pas, mais relate, les dirigeants du Racing ont démenti tous azimuts les supposées affabulations journalistiques sur le climat délétère qui enveloppe depuis quelque temps les bureaux de la Meinau. Le directeur du site et de la sécurité Serge Cayen, qui fut naguère un soutien sans faille de Marc Keller, mais qui, à  moins d'un an de la retraite, entend ne froisser personne et surtout pas la nouvelle direction, est monté au créneau sur le site internet du « Kop Ciel et Blanc », l'une des sections de supporters, pour assurer que « l'image reflétée n'était pas conforme à  la réalité » et que « l'ambiance reste sereine. » Dans la matinée, le président Philippe Ginestet a également convié la quarantaine de salariés à  une réunion de « crise ». Durant une demi-heure, il s'est évertué à  éteindre un feu dont il a été le principal pyromane en mettant Brochet à  pied et en intronisant Jean-Luc Herzog, son conseiller personnel chargé d'un audit dans les services et déjà  porteur de l'étiquette d'espion. Il a aussi tenu à  briser l'image de coupeur de têtes qu'il renvoie. Mais l'investisseur immobilier n'a pas démenti les coupes sombres qui ne manqueront pas d'intervenir dans tous les secteurs, des pros au centre de formation en passant par l'administratif, si le RCS descend en L 2. Il a néanmoins taxé d'exagéré le chiffre de dix salariés conservés en cas de relégation, sur le modèle de Nancy (et de son manager général Gérard Parentin auprès duquel il s'est renseigné) ou de Nice. Pas de quoi, cependant, lever les inquiétudes et les interrogations d'un personnel qui doit se dire ce matin que la presse est une fieffée farceuse de chercher des problèmes là  où il n'en existe pas. De fait, nous n'écrirons pas ici que Jean-Luc Herzog est déjà  surnommé « Leon » dans les bureaux quand un Bernard Gardon, premier manager de l'ère Mc Cormack, répondait à  l'époque au doux soubriquet de « nettoyeur ». Nous n'écrirons pas non plus qu'une rumeur courait hier dans les travées de la Meinau selon laquelle Philippe Ginestet aurait fait volte face et ne sanctionnerait pas Pierre Brochet au-delà  de sa mise à  pied. « Pas de commentaire », a d'ailleurs botté en touche le président du RCS, fidèle à  la tactique qu'il a adoptée depuis sa nomination : éluder les questions embarrassantes. Hier, la seule vérité qui vaille est donc sortie du terrain. Et le nul concédé par les Bleus de Jacky Duguépéroux face à  des Parisiens plutôt convaincants a encore réduit leur marge de manoeuvre. Jacky Duguépéroux dément toutefois une propagation des tensions des coulisses à  son effectif : « Quand je vois mes joueurs ne rien lâcher, alors qu'ils ont pris une claque à  Lyon-Duchère et concédé une défaite imméritée à  Lens, je reste convaincu que tout ce qui se passe autour ne touche pas l'équipe. » Elle finira par être touchée, au moins en fin de saison si la relégation se matérialise. Nombreux seront alors ceux qui abandonneront un navire en perdition.

Le Pen à  l'hôpital

Sorti sur une civière dès la 19e hier soir après un violent choc facial avec, semble-t-il, son coéquipier Jean-Christophe Devaux, le milieu gauche du Racing Ulrich Le Pen a, quelques instants plus tard, été évacué vers l'hôpital de Hautepierre. Le Breton a en effet perdu connaissance durant quatre minutes et le staff médical du club a préféré l'envoyer passer des examens complémentaires pour le rassurer. « Il restera en observation 24 heures par précaution », a indiqué Jacky Duguépéroux après la rencontre. Après Stéphane Cassard à  Lens, Ulrich Le Pen, qui souffre d'un traumatisme crânien, est le second Strasbourgeois évacué vers un établissement hospitalier en quatre jours.
DNA a écrit :Le point de non retour

Tenus en échec par Paris, hier à  la Meinau, en match décalé, les Strasbourgeois n'ont pas rempli leur contrat. La semaine la plus importante de la saison, qui s'achève samedi contre Ajaccio, est mal embouchée. La relégation, elle, est quasiment scellée.

« On en a plein le c.. ! » Voilà , en substance, le message concis affiché dans le quart de virage des Ultra Boys 90. Lassés par les péripéties sportives et le climat général qui pèse sur le club, les supporters alsaciens ont manifesté leur mécontentement. De manière démonstrative, puisque l'entrée des joueurs s'est faite sous une pluie de... papier hygiénique.
Quatre-vingt-dix minutes plus tard, la sortie des Strasbourgeois a été accompagnée d'une timide salve de sifflets. Non pas que les Bleus aient démérité face à  une équipe parisienne assurément prenable. Sur la pelouse, les Strasbourgeois ont mouillé le maillot. Encore heureux, soit dit en passant. Mais le résultat, une fois de plus, n'est pas à  la hauteur des espérances.
« Nous devons prendre six points cette semaine », avait annoncé Jacky Duguépéroux dès le retour douloureux de Lens. Aussi, Paris et Ajaccio, de passage dans la capitale alsacienne à  trois jours d'intervalle, devaient passer à  la moulinette. La condition sine qua non pour se relancer dans la course au maintien.
Dès la premier volet de cette double page, le contrat est devenu caduc. La faute à  un PSG qui, par la grâce de son artiste Pauleta, reste une équipe redoutable en toute circonstance. La faute, surtout, à  un Racing qui retombe inlassablement dans ses travers.

« Quand on voit plus loin ça fait peur »

La confrontation d'hier offre ainsi un condensé plutôt fidèle de toute la saison alsacienne. L'ouverture rapide du score, oeuvre de Diané, aurait dû libérer les hommes de Duguépéroux. Au contraire, ils commencent à  reculer et à  prêter le flanc aux piques parisiennes. Le Pen n'est déjà  plus sur le terrain pour apporter le danger. Sonné à  la suite d'un choc avec Devaux, le gaucher est évacué sur une civière, traumatisme crânien à  la clé...
L'égalisation de Pauleta, le coup de mou subi dans la foulée et la deuxième période insignifiante sont dans la logique des choses. Le Racing n'a tout simplement pas les armes pour espérer mieux. Le dernier quart d'heure, un brin plus emballant, n'y changera rien.
Strasbourg a le profil idéal du condamné. « C'est frustrant parce qu'on a tout donné, dit Yacine Abdessadki. On n'a rien à  envier à  Paris. Mais la victoire nous fuit. Quand on voit un peu plus loin, ça fait peur. »

La réalité est cruelle, mais elle n'abuse personne

Ce qui est affolant, c'est que le Racing n'a remporté que deux misérables victoires en vingt-cinq sorties. Qu'il est toujours largué et n'a que peu d'espoir, lors des treize dernières journées, ne serait-ce que de se rapprocher de Troyes, premier non relégable. C'est donc fichu. Point barre.
« Non, ça n'est pas cuit, tente Duguépéroux. L'espoir s'amenuise, c'est vrai. Moi, ce que je vois, c'est une grande solidarité entre les joueurs. Je n'ai rien à  leur reprocher. Personne ne va se démobiliser. »
Son discours a beau fluctuer et s'adapter aux situations, l'entraîneur est rattrapé par la réalité. Celle-ci est peut-être cruelle, mais elle n'abuse personne.

Insaisissable Diané

Volontaires et récompensés par un but de Diané dès la 13e', les Strasbourgeois ont vite perdu le fil de l'histoire, subissant l'égalisation de Pauleta dès la 31e'. Le Racing, au sein duquel manquait la touche technique, s'est ensuite dépensé de manière assez désordonnée, sans jamais parvenir à  pousser à  la faute des Parisiens qui se contentaient volontiers du match nul.

PUYDEBOIS () : son retour aux affaires ne s'est pas opéré dans la sérénité samedi dernier à  Lens. Et sa première mi-temps fut hésitante. Peu réactif sur le but de Pauleta, il se laissa encore surprendre - sans conséquence - par un long rebond avant la pause. S'est bien repris en 2e période.
DEROFF () : vigilant, il s'est acquitté sans fioritures de sa mission défensive, qui s'est sérieusement corsée après l'entrée en jeu de Pancrate, lequel gesticula beaucoup dans sa zone.
DEVAUX () : abstraction faite d'une ou deux hésitations, le capitaine du Racing a su se faire respecter et tenir Pauleta en respect.
KANTE () : jamais pris en défaut, il a multiplié les interventions propres et nettes. Très sécurisant, même quand Pauleta rôdait dans ses parages.
ABOU () : volontiers offensif, et même combatif, il est monté d'un cran après la sortie de Nemeth, pesant alors davantage sur les débats.
LOUE () : bien que relevant tout juste d'une gastro-entérite, le milieu défensif ivoirien s'est trouvé aligné d'emblée. Très rude dans ses interventions, il s'est appliqué à  relancer proprement avant de fatiguer. Remplacé par HAGGUI (73e').
DIANE () : un but (son 3e en Ligue 1) inscrit dès la 13e' l'a mis en confiance. Ses accélérations ont déstabilisé le PSG à  plusieurs reprises, notamment à  la 45e', sur un raid fantastique. A, hélas, manqué de spontanéité à  la 77e' sur la meilleure occasion du Racing en 2e période.
ABDESSADKI () : de la hargne, des courses, mais autant d'efforts assez vains en fin de compte.
A. FARNERUD () : de l'activité, beaucoup d'activité, malheureusement peu productive. Dans quelques bons coups néanmoins, comme cette remise pour Diané, à  l'origine du but strasbourgeois. A commis plusieurs fautes trop visibles, dont celle ayant provoqué le coup franc réussi par Pauleta à  la 31e'.
LE PEN (non noté) : sonné après avoir reçu le ballon en pleine tête sur une frappe de Rodriguez, il est sorti sur une civière dès la 19e'. Conduit à  l'hôpital, où il devait rester 24 heures en observation, son état n'inspirait toutefois pas d'inquiétude particulière. Remplacé par GMAMDIA (). Tout juste rentré de la CAN, l'attaquant tunisien ne s'est guère montré sur le flanc gauche.
NEMETH () : son manque de rythme est patent. A fait quelques efforts sans jamais se montrer dangereux. Il va lui falloir du temps pour atteindre le niveau attendu. Le problème, c'est qu'au Racing, le temps est compté. Remplacé par VERGEROLLE (68e'), très appliqué.
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Message par fl0w »

télésupporteur a écrit :farnerud, confirmera l'année prochaine que c'est un bon joueur ...de L2
c est un bon joueur qui ne jouera plus à  strasbourg oui!
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Keating
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Message par Keating »

lequipe a écrit :N.PUYDEBOIS 4.5
Y.DEROFF 5.5
J.DEVAUX 5.5
C.KANTE 5.5
A.ABOU MOSLEM 6
U.LE PEN
H.GMAMDIA (18e)
Y.ABDESSADKI 5.5
A.FARNERUD 5
E.LOUE 5
S.NEMETH 4.5
A.DIANE 6,5
Hi hi, ils n'ont pas osé noter gmom :lol:
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Message par fl0w »

enzy a écrit :Gmandia, il a été fidèle à  lui même c'est à  dire nul à  chier.
Je pense que c'est le joueur le plus faible de L1.
;)

correct! je confirme
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Message par fl0w »

Gotcha a écrit :Faty sur le banc,
attend c est normal ça, quand tu as un LOUé GNOLEBA je trouve...

il y a aucune comparaison possible entre ces deux joueurs,

l un te fait des supers relances, tantôt courtes, tantôt longues, et joue toujours juste,

l autre s enmèle tout les temps les pinceaux et relance relativement mal...

:?
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Message par fl0w »

j étais au match et bien placé cette fois, grâce à  IT'S ME ;) merci encore.

que dire de ce match, j en ai vu juste 2 ou 3 des matchs de championnat cette saison, mais j ai comme l impression de les avoir TOUS vu... lol. alors que non! (respect à  ceux qui les ont tous vu, pour leur abnégation à  revenir à  chaque fois :) )

la chose qui m a le plus frappé, c est quand même les "spectateurs"... je sais pas si ils viennent au stade pour ENCOURAGER le racing, ou plutôt pour les voir perdre et insulter 11 gars en les traitant comme du bétail en se lachant de leur semaine de travail... frenchement c est honteux... :cry:
je crois qu on arrivera mieux avec 3.000 abonnés "fans" que 11.000 dont 60% de personnes qui ne comprennent absolument rien au foot...

et oui c est mon avis.
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Message par Psychogene »

@fl0w: alors là  tu te trompes clairement de cible :roll: Demande-toi simplement qui est censé entrainer le public, qui lance les chants, qui tape sur les tambours, etc... C'est à  eux, et à  eux seuls qu'on doit l'ambiance déplorable de hier soir.
Je le répète: autant les dix premières minutes je peux comprendre, autant après le but de Diané, et encore en 2ième mi-temps là  je saisis pas à  quoi ils ont joué... :roll:
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Gotcha
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Message par Gotcha »

fl0w a écrit : attend c est normal ça, quand tu as un LOUé GNOLEBA je trouve...

il y a aucune comparaison possible entre ces deux joueurs,

l un te fait des supers relances, tantôt courtes, tantôt longues, et joue toujours juste,

l autre s enmèle tout les temps les pinceaux et relance relativement mal...

:?
relis ce que j'ai écrit, j'ai pas du tout dit ca ... Je ne disais pas du tout que Faty devait être titulaire, bien au contraire, je dis que dans la composition du band, hagui et Faty faisaient double emploi et qu'il aurait été bien plus judicieux de mettre un milieu offensif sur le banc à  la place de Faty.
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Message par fl0w »

Psychogene je ne parle pas de la faute du KOP ou que que ce soit,

d ailleurs ce n est pas le KOP qui est repesonsable de la CRéTINERIE de beaucoup de spectateurs...

le KOP n a rien à  voir. tous les autres matchs il y a le KOP qui chante, mais certains spectateurs sont toujours autant d'un faible niveau mental.
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Message par fl0w »

Gotcha a écrit :relis ce que j'ai écrit, j'ai pas du tout dit ca ... Je ne disais pas du tout que Faty devait être titulaire, bien au contraire, je dis que dans la composition du band, hagui et Faty faisaient double emploi et qu'il aurait été bien plus judicieux de mettre un milieu offensif sur le banc à  la place de Faty.
ok ok j avais pas tout saisi, ok
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