La fameuse histoire de la cigarette avec lolo, ça a marché à 2 reprises...
Bon là j'ai toujours pas digéré cette cruelle défaite, alors on gagne point barre !

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C'est vrai qu'il sont en forme les salopiauds, mettons fin à cette série !lequipe.fr a écrit :Strasbourg n'est pas sur une période très efficace (2 points pris sur 4 possibles) mais est en passe de devenir l'équipe la plus spectaculaire de la L1. Le Racing a toujours marqué au moins un but lors de ses 6 derniers matches et en a encaissé un lors de ses 9 derniers. Il n'y a pas eu de soirée « tristoune » avec Strasbourg depuis le 3 décembre 2005 et un 0-0 devant Sochaux. Toulouse, avec 6 matches sans défaite, n'a actuellement que deux rivaux en L1 : Lyon (6) et Bordeaux (8 ).

Ca fait bizarre de revoir jouer nos jeunes en CFA ... Avec encore 5blessés on a quasiment plus besoin de faire appel à eux ... Comme quoi on a un effectif suffisant en quantitéSO a écrit :Dix-sept joueurs partent, ce vendredi après-midi, pour la mise au vert avant le match face à Toulouse, samedi soir au Stadium. Jacky Duguépéroux peut compter sur les retours de Szilard Nemeth, non qualifié en UEFA, Jean-Christophe Devaux, parti en début de semaine assisté aux obsèques de son père, et d'Arthur Boka, qui après avoir disputé la finale de la CAN avec la Côte d'Ivoire, a retrouvé les vestiaires strasbourgeois mardi. Par conséquent, beaucoup de jeunes joueurs sont avec le groupe CFA, ce samedi, pour affronter le FC Mulhouse au stade Jean-Nicolas Muller.
Le groupe:
Gurtner, Puydebois;
Abou, Boka, Deroff, Devaux, Kanté, Haggui;
Abdessadki, P. Farnerud, Lacour, Le Pen, Loué;
Diané, A. Farnerud, Gameiro, Nemeth.
Les absents: Keita (genou), Arrache (cuisse), Johansen (tendinite), Hosni (ischio), Cassard (oeil), Gmamdia (épaule), Bellaid, Carlier, Faty, Krebs, Schneider, Vergerolle (CFA).
 (en qualité je dis pas, c'est moins sur
 (en qualité je dis pas, c'est moins sur  )
 )
Merci d'avoir changé 3 fois l'heure de l'entrainement ...DNA a écrit :Arribagé, âme au Téfécé
Il est défenseur du Toulouse FC - prononcez Téfécé - et l'un des footballeurs les plus expérimentés de la Ligue 1. Il incarne des valeurs qui semblent désuètes, mais Dominique Arribagé est toujours là .
Il en a pris, des avions. Il en a parcouru, des kilomètres en bus. Il en a vu, des tribunes. Et il en a foulé des centaines de pelouses. Même celle de Geispolsheim lorsque le Téfécé était venu éliminer l'AS Gambsheim l'hiver dernier. Il y avait ouvert le score, d'un coup de tête, sa marque de fabrique. Cette année, il a encore profité de ses 187 centimètres pour l'imposer. Deux buts, l'un à Saint-Etienne, l'autre face à Nantes, sont venus relancer les Toulousains.
Il, c'est Dominique Arribagé. Il, ce sont 401 matches de championnat, dont 315 en Ligue 1, disputés depuis le 22 août 1992. On vous épargne les matches de coupe de France et de coupe de la Ligue.
« Je n'ai jamais vécu comme un moine. Je suis encore legamin qui rêvait d'être pro »
Dominique Arribagé, c'est tout ça et « bientôt 35 ans au compteur », sourit-il. « Ma longévité, je le sais, est rare. J'ai eu la chance d'échapper aux gros pépins physiques. Pourtant, j'ai profité de la vie. Je n'ai jamais vécu comme un moine. J'ai l'état d'esprit d'un débutant. Oui, je suis encore le gamin qui rêvait d'être footballeur professionnel. J'aime aller aux entraînements, j'aime encore souffrir par passion de ce ballon. »
Depuis près de deux saisons, il est rentré à la maison, à Toulouse, après un long crochet de six ans à Rennes. « Auparavant, j'avais déjà joué six ans à Toulouse, précise Dominique Arribagé. Je suis un fidèle. Quand je signe dans un club, je crois à son projet. Ça fait partie de mon éducation de croire aux choses, d'être patient. Aujourd'hui, le football a changé. Dès qu'un joueur s'assied sur le banc des remplaçants, il demande à son manager de lui trouver un autre club. Dans le milieu, c'est devenu comme ça, mais ce n'est pas comme ça que je suis. »
A Toulouse, avec les deux autres anciens que sont Christophe Revault et Stéphane Lièvre, il incarne la vieille garde du football français. « Quand on m'a proposé de revenir dans ma ville, je ne me suis pas posé mille questions, je suis rentré. C'est le choix du coeur », souffle-t-il
« Le footballeur est un assisté, un être qui n'arrête pas de se plaindre »
Et il est là pour remettre ses (forcément) jeunes coéquipiers d'équerre, leur éviter des gonflements intempestifs de chevilles ou de tour de tête. « Le footballeur est un assisté, un être qui n'arrête pas de se plaindre, explique Dominique Arribagé. Je suis là pour dire à ceux qui l'oublient que nous sommes des privilégiés, que nos malheurs sont ridicules. Je suis là aussi pour leur dire que le maillot qu'ils portent est important. Moi, je suis attaché à ce maillot toulousain comme j'ai été attaché à celui de Rennes. Ailleurs ce n'est pas forcément mieux. Ce sont des valeurs qui se perdent, mais que je tente, avec les vieux du groupe, de faire vivre. »
S'il a plus de 400 matches de haut niveau dans les jambes, le Toulousain a un palmarès vierge de tout titre. « C'est comme ça. J'ai vécu plus de galères que de réussites sportives, dit-il avant de sourire. On ne peut pas tous jouer à Lyon. Mais, malgré ces galères, je pense que j'ai pris plus de plaisir que le mec qui est le 30e choix à Barcelone. »
Sauf ce jour de septembre 1997, sûrement, où il avait été montré du doigt et soupçonné d'avoir commis le péché de dopage. Il avait été contrôlé positif aux anabolisants comme Vincent Guérin, Antoine Sibierski et Cyril Pouget. Au bout de longs mois de procédure, après avoir été suspendu, blanchi puis à nouveau suspendu pour six mois, Dominique Arribagé avait été absous par le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF). Là aussi, il était allé au bout de son combat.
Le coup de la double licence
Ainsi va Dominique Arribagé, footballeur professionnel depuis près de quatorze années et qui fera sa dernière tournée des stades la saison prochaine. « J'ai encore un an de contrat », respire le Toulousain. Après, il sera temps de penser à une reconversion. « Beaucoup craignent ce moment, tombent de haut. Moi, non. Mes seules certitudes sont que j'intégrerai le Téfécé et que je ne serai pas entraîneur... »
Ainsi ira Dominique Arribagé, footballeur professionnel depuis tant de temps alors qu'il aurait pu ne jamais le devenir. « Je suis vraiment parti de rien, éclate-t-il de rire. Quand j'avais neuf ans, je rêvais de devenir pro. Je jouais à Colommiers, dans la banlieue toulousaine. Et puis, à 14 ans, on m'a fait comprendre que je n'avais pas le niveau. Cinq ans plus tard, je jouais dans le même club en division d'honneur. Puis je suis parti pour Muret, en division 3 nationale. Et là ... »
Et là , Dominique Arribagé, licencié en informatique, sera repéré et gagnera une autre licence : celle de footballeur professionnel à Toulouse. Il avait 21 ans.
De Lovech à Toulouse
Rentré dès mercredi soir de Lovech, où il a pris une option sur les huitièmes de finale de la Coupe de l'UEFA (0-2), le Racing se projette sur le match de championnat, demain soir à Toulouse.
REPRISES. - L'infirmerie strasbourgeoise commence doucement à se vider. Arrache et Bellaïd devraient ainsi renouer avec la compétition, samedi en CFA pour le derby alsacien contre le FCM. L'attaquant est absent des terrains depuis décembre en raison d'une déchirure et d'une rechute. La défenseur manque à l'appel depuis début janvier et une entorse contractée à Monaco.
Hier matin, Johansen (talon d'Achille) et Hosni (ischio-jambiers) ont recommencé à trottiner. Le Colmarien pourrait reprendre l'entraînement la semaine prochaine. La date de rentrée de l'Egyptien n'est pas encore fixée. Gmamdia, Cassard et Keita devront encore s'armer de patience.
LES JEUNES EN CFA. - Assis sur le banc de Lovech, mercredi après-midi, les jeunes pousses du Racing redescendront ce samedi en CFA. Carlier, Vergerolle, Schneider et Faty viennent renforcer les rangs de l'équipe de François Keller. Gaëtan Krebs, qui dispute ce matin le dernier entraînement avec les pros, devrait également les rejoindre. Gameiro, étincelant en Bulgarie sur le front de l'attaque, et Régis Gurtner, la doublure de Puydebois, seront eux du voyage en Haute-Garonne.
RETOURS. - Trois Strasbourgeois réintègrent en contrepartie le groupe victorieux en Bulgarie. Devaux, parti en début de semaine assister aux obsèques de son père, Boka, rentré mardi de la CAN, et Nemeth, non qualifié en Coupe de l'UEFA, sont de retour, certainement sur le banc.
TROIS FORFAITS. - Trois joueurs toulousains sont d'ores et déjà forfaits pour la venue de Strasbourg. Revault, le gardien, s'est blessé voilà deux semaines contre Nantes. Sirieix, le milieu de terrain, s'est fracturé le péroné dimanche dernier à Marseille. Sa saison est terminée. Quant au défenseur Congré (déchirure), il est à l'infirmerie depuis de longues semaines.
En revanche, Erick Mombaerts récupère quatre joueurs par rapport au match nul ramené du Vélodrome (0-0). Aubey, Taïder, Mansaré et Emana peuvent prétendre à une place de titulaire. En particulier Mansaré, qui est pressenti pour remplacer Sirieix poste pour poste. L'entraîneur toulousain a en tout cas l'embarras du choix.
FANS. - Les supporters strasbourgeois ont de la suite dans les idées. La vingtaine d'UB 90 partis mardi en Bulgarie - dont l'un d'entre eux dès dimanche en train! - ont à peine le temps de rentrer qu'il leur faudra déjà penser au match de Toulouse. Samedi, au petit matin, c'est départ en bus. Ah! la passion...
AUJOURD'HUI. - Entraînement à 9h30 et départ pour Toulouse dans l'après-midi.


faudra avoir retenu les leçons de l'aller ...lequipe a écrit :Mansaré et Santos d'attaque
Pour la réception de Strasbourg samedi, Toulouse pourra compter sur une attaque au complet. Fodé Mansaré, remis de sa grippe, revient dans le groupe d'Erick Monbaerts. Victime d'une légère entorse à la cheville dimanche à Marseille (0-0), le Tunisien Santos est également sur les rangs pour débuter la rencontre. En phase de reprise Lucien Aubey (cuisse) et Nabil Taïder (mollet) sont toujours ménagés par précaution.
