[05/06] 29ème J: Rennes / RCS : 2-1

[lolo]

Metz me fout les boules. Imaginons qu'on descende et que eux restent en L2.

Ben tu peux t'y préparer, c'est clair et net ...

...et que eux restent en L2...?

[Keating]

oui, enfin, qu'ils restent en L1, c'est ce qu'il voulait dire ...

[Pinon]

On peut aussi féliciter Hosni pour le beau cadeau qu'il donne à  Kallstrom
Kanté a au moins eu le mérite de marquer

[NéRiK]

oui, enfin, qu'ils restent en L1, c'est ce qu'il voulait dire ...

Oui.

[télésupporteur]

match vu à  la télé
carton rouge à  JD qui se permet de critiquer abdessadki devant un journaliste
de plus il a montré ses limites devant le cas monterrubio
lacour étant à  la rue dès le début du match, qu'a-t'il fait : rien
il n' a même pas essayer une permutation lacour-abdessadki ( qui n'aurait pas été pire )
pourquoi l'équipe balance tous ses ballons devant en sautant systématiquement pontus, c'est du travail à  l'entraînement
si le racing se sauve, ce sera grâce aux joueurs, et pas grâce à  JD
mon top
le pen dans la lignée de ses derniers matches
devaux : solide derrière
loué bon match, malgré son tir au canard
mon flop
diané absent en 1e mi-temps, n'a rien réussi en 2e, même pas de mettre en évidence ses qualités de coureur à  pied
lacour à  la rue
abdessadki semble payer le contre-coup de ses matches rapprochés de reprise, trop de passes ratées
les autres
puydebois : sans son erreur sur le deuxième but, il aurait figuré dans le top
kanté : bon match et beau but
abou : bon offensivement, laisse à  désirer défensivement
pontus : a vu les ballons passer au-dessus de sa tête, a bien exploité les rares ballons
nemeth : bonne utilisation des trop rares ballons, devra attendre un entraîneur plus compétent
alex : très bonne entrée dans le match ( seule nouvelle satisfaction )

[Gotcha]

je rêve ou télésupporter a émis un compliment envers Alex ?

ce jour est à  marquer d'une croix !

[Stan]

X

Voila qui est fait..

( J'avoue que j'ai été stupéfait moi aussi )

[argueti]

La course à  l'échalote

Le match nul décroché contre le cours du jeu par Auxerre hier soir à  Troyes (1-1) permet au Racing de ne pas être à  nouveau distancé. A cinq points désormais de Troyes et à  neuf journées de la fin, ils n'ont en tout cas plus le moindre joker à  griller.

Devant leurs télés, Jacky Duguépéroux et ses joueurs ont dû essuyer quelques sueurs froides hier soir pendant Troyes - Auxerre. A la 11e' par exemple, quand Dallet, seul face au but vide, a vu sa reprise de la tête heurter le poteau.
Ou à  la 25e' quand Faye, seul à  deux mètres du but, a raté la balle. A la 55e' surtout quand Cool s'est fendu d'un double arrêt extraordinaire sur une reprise à  bout portant de Faye et une autre de Dallet.
C'est que désormais, comme leurs collègues ajacciens et messins, les Strasbourgeois sont condamnés à  vivre au rythme de l'ESTAC. A guetter le moindre signe de faiblesse. A craindre ses moments d'euphorie aussi.
Alors, à  la 55e', Dugué et les siens ont donc tremblé. Car sans l'exploit de Cool, Troyes, qui avait ouvert le score peu avant la mi-temps, enfonçait sans doute définitivement les hommes de Santini.
Tout aussi sûrement qu'ils auraient enfoncé les espoirs de ceux de Duguépéroux qui auraient alors à  nouveau compté sept points de retard sur le premier relégable. Un débours rédhibitoire à  neuf journées de la fin.
Au lieu de ça, Kahlenberg a eu la bonne idée d'égaliser et les siens de ne pas craquer. D'où finalement ce sentiment de moindre mal après un week-end qui aurait pu être autrement dévastateur.

« Nous sommes simplement tombés sur plus forts »

A Rennes, les Strasbourgeois sont ainsi totalement passés à  côté de leur sujet. Et, à  un moment donné, pas loin de la talmouse, de la grosse claque même ce qui ne leur était plus arrivé depuis longtemps.
Les Bretons menaient alors 2-0 grâce à  deux grossières erreurs défensives du Racing et déferlaient en vagues quasi-ininterrompues. Sans guère provoquer de réaction. Et c'est ça, justement, qui inquiète.
« Moi, je ne suis pas inquiet, contredit Cédric Kanté auteur d'une involontaire passe décisive pour Briand et d'un but rédempteur à  dix minutes de la fin. Nous sommes simplement tombés sur plus forts que nous. Nous n'étions pas au mieux et nous avons fait avec nos moyens du jour ».
Même son de cloche chez Pontus Farnerud, le plus consistant en milieu de terrain avec Le Pen, pour qui « il ne faut pas baisser la tête. On n'était pas au top, ça arrive. Il y a des jours comme ça où vous passez à  côté, mais il n'y a pas à  paniquer ».

Avec un match de retard, Metz peut encore y croire

A condition de l'emporter dimanche face au Mans corrigé par Lille (4-0), donc en quête de rachat. Pour y parvenir, il faudra évidemment montrer un tout autre visage que celui affiché route de Lorient.
Invaincus depuis six rencontres, dont quatre de championnat, les Strasbourgeois n'ont été que l'ombre de la formation conquérante vue la semaine précédente face à  Troyes. Sans ressort, sans créativité. Un gros coup d'arrêt ou un simple passage à  vide ? On sera vite fixé.
Ce qui reste, c'est qu'aujourd'hui les positions se sont resserrées en queue de tableau. Encore les mieux placés la semaine dernière pour coiffer les Troyens sur le fil, les Strasbourgeois ont vu les Messins, à  la faveur de leur victoire sur Monaco, revenir dans la course. Avec un match de retard demain (face à  Nancy), les hommes de Muller sont encore en mesure de créer la surprise. Une vraie course à  l'échalote.
Au moins, ce rendez-vous raté aura-t-il perturbé l'émissaire du FC Bâle venu observer la rencontre avant le 8e de finale aller programmé jeudi soir au stade Saint-Jacques.
Il n'aura déjà  pas reconnu les joueurs puisque sur les 11 qui ont débuté la partie à  Rennes... 7 (Puydebois, Boka, Abou, Loué, Le Pen, Nemeth) n'étaient pas sur la pelouse en Suisse au moment du coup d'envoi. Pas plus que le comportement de l'équipe venue le 20 octobre damer le pion du multiple champion helvétique en jouant vite et en profitant du moindre espace.
Aujourd'hui, il en est sans doute à  se demander quel Racing il affrontera jeudi. Il n'est pas le seul.

Racing : un moindre mal

Battu samedi à  Rennes après six matches sans défaite (2-1), le RCS n'a perdu qu'un point sur Troyes, premier non-relégable, tenu en échec chez lui hier par Auxerre (1-1). Il a neuf journées pour combler cinq longueurs de retard.

Jean-Christophe Devaux avait annoncé la couleur dès samedi avant de quitter le stade de la Route de Lorient à  Rennes : « Nous allons suivre avec intérêt le résultat de Troyes - Auxerre ce dimanche. » Hier midi, alors que le Racing venait d'atterrir en Alsace après avoir passé la nuit dans la capitale bretonne, Jacky Duguépéroux avouait sans mal attendre avec un brin d'anxiété le derby bourguignon, tout en corrigeant aussitôt. « La victoire de Metz sur Monaco, qui permet aux Lorrains de revenir juste derrière nous avant leur derby en retard contre Nancy à  Saint-Symphorien mardi, ne nous met pas davantage de pression. La pression, elle doit venir de nous-mêmes. Nous ne pouvons compter que sur nous, nous le savons. À Rennes, nous nous sommes vus trop beaux. Après dix bonnes minutes, nous avons oublié de faire les efforts ensemble. Cet échec est un bon coup de semonce. J'avais calculé que nous prendrions un point en Bretagne. Ce point perdu sera moins grave si les Troyens ne gagnent pas chez eux contre Auxerre. Mais il est clair que le résultat peut changer beaucoup de choses. »

Les rivaux du RCS à  l'extérieur

C'était hier midi. En soirée, les Strasbourgeois ont dû trembler, du moins ceux qui ont disséqué l'évolution de ce Troyes - Auxerre. Notamment quand, en fin de première période (39e), Georges Ba a ouvert le score pour les Aubois. Pendant une vingtaine de minutes, les Strasbourgeois ont été virtuellement repoussés à  sept longueurs de Gharib Amzine et ses partenaires, perdant provisoirement tout le bénéfice de leur succès sur l'ESTAC l'autre dimanche (2-0). « J'ai suivi le match par intermittence », raconte le gardien Nicolas Puydebois. « Quand j'ai vu que Troyes menait 1-0, j'ai pris un coup au moral. Mais l'égalisation auxerroise signée Kahlenberg à  l'heure de jeu m'a redonné le sourire. Les Troyens auraient pu l'emporter. Ils ne l'ont pas fait. Tant mieux pour nous. Troyes n'a pas un calendrier facile (Ndlr : déplacement à  Lens, réception de Bordeaux, voyage à  Rennes et accueil de Lyon lors des quatre prochains matches), alors que le nôtre semble plus abordable (contre Le Mans, à  Saint-Etienne, devant Lille et à  Nice). C'est l'occasion de refaire tout ou partie de notre retard. Peut-être cette défaite à  Rennes sera-t-elle salutaire. Bien sûr que nous sommes déçus de notre prestation, surtout que nous n'avions plus perdu depuis un bon moment. Nous avons constaté que si nous n'étions pas à  100 %, ça nous coûtait cher. Sur notre production, même le nul aurait été illogique. Rennes méritait sa victoire. Mais on peut espérer que cet échec va nous remettre d'aplomb. Après la débâcle contre Lyon à  la Meinau en début d'année (0-4), nous avions su réagir. Souhaitons qu'il en soit de nouveau ainsi. » Voilà  en tout cas les Bleus débarrassés du poids d'une angoissante attente de 24 heures. « Dès la fin de notre match à  Rennes, nous avons commencé à  penser à  Troyes - Auxerre », ne cache pas Amara Diané, « à  l'hôtel, dans l'avion du retour et tout l'après-midi, nous n'avons pas cessé d'y songer. Ce nul est un grand soulagement. Notre week-end aurait pu se terminer beaucoup plus mal. » On n'ira pas jusqu'à  prétendre qu'il s'est fini sur une bonne note. D'autant que Metz peut très bien, demain contre Nancy, abandonner la 19e place aux Strasbourgeois. Mais le week-end prochain, Guillaume Lacour et les autres auront à  leur tour l'avantage de connaître le résultat de leurs rivaux. Quand ils accueilleront Le Mans dimanche (18 h) à  la Meinau, ils sauront ce qu'auront fait Troyes, Metz et Ajaccio lors de leurs très périlleuses expéditions de la veille à  Lens, Lyon et Rennes. Les Manceaux, que leur série d'invincibilité de six matches (4 victoires, 2 nuls et 14 points sur 18) avait propulsés de la 12e à  la 5e place, ont sérieusement réduit la voilure depuis deux rencontres, sanctionnées par autant d'échecs (0-1 contre Saint-Etienne à  Léon-Bollée et 0-4 samedi à  Lille). De là  à  penser qu'après avoir limité la casse ce week-end, le Racing pourrait profiter de la 30e journée pour revenir sur le porte-bagages d'Aubois sans victoire depuis huit journées (3 nuls, 5 défaites et 3 points sur 24), il y a tout de même une marge. Nul besoin d'insister sur ce point de toute façon : depuis hier soir, Jacky Duguépéroux et ses hommes ont sûrement déjà  fait le calcul. Pour l'heure, ils ont une autre priorité : un 8e de finale aller de Coupe UEFA jeudi (20 h 15) à  Bâle.

Pontus Farnerud : « Nous sommes passés à  côté »

Cédric Kanté a tout résumé. Avant-hier, à  la sortie du stade de la Route de Lorient, le défenseur franco-malien du Racing a lâché cette phrase lucide et pleine de bon sens. « C'est la première fois depuis longtemps que nous perdons un match en toute logique. » Allusion évidemment non voilée aux déplacements injustement infructueux à  Nantes (4-3), Bordeaux (2-1) et Lens (2-1).

Kanté : « Un ton en dessous »

Samedi en effet, les Bleus ont, comme le relève Pontus Farnerud, l'un des rares à  surnager dans la tempête bretonne, « un peu replongé », ballottés par une formation rennaise à  qui ses trois succès consécutifs (4-1 contre Lens et à  Lyon, puis 2-1 donc face à  Strasbourg) autorisent quelque ambition. Surtout avant de recevoir Ajaccio (ce week-end), d'aller à  Metz et d'accueillir Troyes avant la fin mars. Avec Nice, Rennes est l'un des arbitres de la fin de saison entre les quatre qui luttent pour le maintien. Pour le premier de ses rendez-vous avec le quatuor, il a un peu plus mis hors-jeu un Racing en deçà  de son niveau récent. « Quand c'est comme ça, il n'y a pas grand-chose à  faire », constate Kanté, « Nous avons fait avec nos moyens du jour. Il faut espérer qu'ils seront supérieurs dimanche contre Le Mans. Les Rennais ont exercé une grosse domination technique et tactique. Nous avons été un ton en dessous et eux, un niveau au-dessus. Notre seul regret, c'est d'avoir encaissé deux buts casquettes. Nous aurions préféré prendre des buts dans le jeu – car Rennes s'est procuré beaucoup d'occasions – plutôt que de leur en donner deux. Quelque part, compte tenu de la physionomie de la partie, les erreurs sont presque anecdotiques. Il nous faut surtout nous reconcentrer sur le jeu et l'état d'esprit avant les prochaines échéances. » Anecdotiques, les « cagades » strasbourgeoises avant-hier ? Pas tant que ça. Car à  0-0, la bévue de Hosni, certes à  peine entré en jeu et sans doute pas encore dans le bain, a coûté très cher (63e). En tardant à  dégager un ballon sans danger, l'Egyptien, contré par Kallstrà¶m qui a aussitôt déballé le cadeau et ficelé la défaite alsacienne, a précipité la chute du RCS. « Le premier but leur a fait mal », souligne le meneur rennais Yoann Gourcuff, « et nous avons senti que si nous en mettions un second très vite, les Strasbourgeois ne s'en remettraient pas. C'est ce qui s'est passé. »

« Un premier but assez stupide »

Quatre minutes après l'ouverture du score, une double erreur de jugement de Nicolas Puydebois d'abord, Cédric Kanté ensuite, a offert à  Jimmy Briand, déjà  décisif à  l'aller, le but du K.-O. « C'est un coup d'arrêt, il ne faut pas se le cacher », reconnaît Pontus Farnerud, « Nous sommes passés à  côté et je ne sais pas pourquoi. Malgré tout, à  0-0, ça restait faisable. Mais nous avons encaissé un but assez stupide. Et il faut admettre que la victoire de Rennes est méritée. Après six matches sans défaite, nous avions tous envie de bien faire. Mais nous n'avons pas su entretenir cette dynamique. Nous n'étions pas au top et face à  une équipe comme Rennes, surtout chez elle, ça ne pardonne pas. Cet échec nous fait mal, les choses se compliquent, mais il ne faut pas baisser la tête. Il reste 27 points à  prendre et nous devons nous arracher, dès dimanche face au Mans. Je ne suis pas trop inquiet. J'espère juste que cette contre-performance ne se reproduira pas. Dans notre position, deux défaites d'affilée sont proscrites. » Le Suédois aurait pu ajouter que deux matches sans victoire le sont aussi.

Bâle tenu en échec

Leader incontesté du championnat suisse, avec 48 points en 22 journées, le FC Bâle, qui possède sept longueurs d'avance sur son dauphin, le FC Zurich, a été freiné samedi à  Thoune (1-1). Les Bâlois, qui avaient ouvert le score dès la 7e par le Brésilien Eduardo (ancien de Toulouse), ont été rejoints après deux minutes d'arrêts de jeu sur un but de Gelson. Les hommes de Christian Gross, qui n'ont concédé que deux défaites cette saison (3-0 lors de la 2e journée à  Thoune justement, puis 3-2 à  Neuchâtel face au Xamax le 7 décembre), détiennent un formidable record d'invincibilité depuis l'autre week-end : ils n'ont plus perdu au Parc Saint-Jacques en championnat depuis le 1e r décembre 2002. Soit une série d'invincibilité de 53 matches à  domicile, établi à  l'occasion du succès sur Yverdon (2-1). À Thoune, la formation bâloise s'est présentée sans Alexandre Querroz, Cesar Carignano, Murat Yakin, Scott Chipperfield, le Français Djamel Mensah, Damir Dzombic et Riccardo Meili, tous blessés. Jeudi au Sankt Jakob Park, elle ne pourra pas disposer non plus de sa recrue du mercato, l'international japonais Koji Nakata, non-qualifié pour une Coupe UEFA qu'il a déjà  disputée cette saison avec l'Olympique de Marseille. En revanche, son autre renfort hivernal, le massif défenseur suédois Daniel Majstorovic (1,90 m, 88 kg), auteur de l'égalisation décisive à  Monaco en 16e retour (1-1, après un succès 1-0 en Suisse), sera bien présent. Deux arrivées, deux départs à  Bâle. Cet hiver, le FCB a donc enrôlé Nakata et Majstorovic, mais s'est en contrepartie séparé de son capitaine Patrick Mà¼ller, parti à  Lyon, et son attaquant argentin Julio Hernan Rossi, transféré à  Nantes. Delgado, ce buteur. En quelques mois, le FC Bâle a perdu ses deux goleadors argentins : Christian Gimenez (meilleur buteur du championnat suisse l'an passé avec 27 buts), vendu l'été passé à  l'OM où il ne s'est toujours pas adapté, et Rossi. Mais il peut s'appuyer sur un autre Argentin, le milieu Mathias Emilio Delgado, actuel second buteur de D 1 suisse avec 12 buts et qui a déjà  frappé cinq fois en Coupe UEFA. Derrière lui, les meilleurs buteurs bâlois en championnat sont Mladen Petric (7), David Degen, l'Australien Mile Sterjovski (ex-Lille) et Eduardo (5). Duguépéroux se méfie. Depuis la victoire du RCS au Parc Saint-Jacques pour le premier match de la phase de poules UEFA (2-0 le 20 octobre), les données ne sont plus les mêmes selon Jacky Duguépéroux. L'entraîneur strasbourgeois est allé en personne superviser le champion de Suisse lors de son match à  domicile contre Schaffhausen il y a deux semaines (1-1) et a délégué un émissaire à  Bâle - Yverdon (2-1) il y a huit jours. « Quand on voit comment nous venons d'aborder notre déplacement à  Rennes après une série de six matches sans défaite, on se dit que notre victoire à  Bâle à  l'automne peut nous entraîner dans un piège. Croire que ça va être facile serait une grave erreur. Depuis, Bâle n'a plus la même équipe. Nous non plus. Les Suisses vont être animés d'un gros esprit de revanche et autrement plus motivés que lors de ce premier match au cours duquel ils ne s'attendaient pas à  ce qui leur est arrivé. » Nemeth discret et mal servi. Pour sa deuxième titularisation (après Paris), Szilard Nemeth, buteur mercredi contre les Bleus au Stade de France, n'a pas été gâté avant-hier à  Rennes. L'attaquant international slovaque, qui ne jouera pas à  Bâle jeudi (Ndlr : lui non plus n'est pas qualifié pour une Coupe UEFA qu'il a déjà  jouée avec Middlesbrough), a vainement attendu les ballons qu'il réclamait dans la profondeur et a vu passer au-dessus de sa tête ceux qu'il demandait dans les pieds. On l'a même vu manifester une pointe de découragement sur un énième ballon donné à  contretemps, quelques instants avant son remplacement par Alexander Farnerud à  la 70e. « C'est vrai qu'il a été discret », admet « Dugué », « mais la faute ne lui en incombe pas totalement. Nous l'avons très mal utilisé, en balançant loin devant lorsqu'il voulait jouer en pivot ou en oubliant de le servir quand il appelait la balle dans la course. Globalement, nous avons été mauvais dans l'utilisation du ballon. Et pas seulement dans la construction offensive. Dans la remontée depuis les bases aussi. »

[Louis-Marie]

Rennes à  gagné ... c'est le seul point positif de ce match pour nous ... Et encore, on peut vous remercier pour les deux buts "offerts". Je rejoints l'entraineur rennais, quand il dit, que vous n'occupez pas la place que vous devriez !! Je pense que Rennes, n'a pas été si supérieur comme certains disent, mais sans doute, a-t-il été plus réaliste. Pour ma part, je pense que vopus n'exploitez pas assez Nemeth !! Pour moi ce joueur ne sera vraiment efficasse que si vous jouez pour lui, un peu comme Frei !! Balancez dans la boîte, et lui se charge du reste .... Courage amis strasbourgeois, rien n'est perdu !!! (à  part ce match )

[dinky]

Ouais bof, on a gagné mais bon, vous inquiétez pas trop on va battre ajaccio samedi et troyes bientôt, par contre méfiez vous de Metz, ils m'ont l'air d'etre bien repartis.
a l'année prochaine