FC Sochaux-Montbéliard

[lolo]

Ben j'aurais du mal à  comprendre qu'il n'en prenne pas alors que Strasbourg e a pris une (je n'ai d'ailleurs tj pas compris pq on avait pris une prune)

[Manu]

Personne ne parle du fait que l'équipe de France viendra jouer contre les Iles Féroés à  Sochaux en 2007 ?

un stade de 20 000 places eux et nous rien.

Euro 2008-Qualif.: Les Bleus à  Bonal ?

Pour ce qui serait le dernier match officiel de l'année pour la sélection et le quatrième matche de l'équipe de France lors des qualifications pour le Championnat d'Europe 2008 après avoir affronté la Géorgie le 2 septembre, l'Italie le 6 septembre et l'Ecosse le 7 octobre, les Bleus pourraient affronter les Iles Féroé au stade Bonal de Sochaux. Une information dévoilée vendredi par le quotidien L'Alsace qui ferait de ce match une grande première, les Tricolores ne s'étant à  ce jour jamais produit à  Sochaux.

[Manu]

Planète Sochaux hacké !!!

Le : 18-03-2006 à  22:13
De : DAVID

Le forum de PS a été victime d'un nouveau hacking en début de soirée : un hacker s'est emparé de mon identité d'admin afin de prendre en main le forum...

Un grand merci à  Astek qui a réussi a reprendre les affaires en main ! Le forum est actuellement fermé compte tenu des évènements de la semaine.

Une décision sera prise rapidement pour le forum et sa migration

Merci de votre compréhension...

[Manu]

je me demande si les supporters Sochaliens n ont pas attendu leur joueurs avec quelques mots hier soir à  l aéroport...

j ai cru entendre ça sur notre radio car demande de renfort...

[argueti]

Le FC Sochaux s'enlise ...

Inexistant durant plus d'une heure, le FC Sochaux, malgré une réaction en fin de match, n'a pu éviter une 4e défaite de rang hier soir à  Lens (2-1). Un nul aurait représenté un grand pas pour le maintien en L1.

On ne change pas une équipe qui gagne. Le proverbe est éprouvé, utilisé à  toutes les sauces. Mais l'inverse est-il aussi judicieux ? Dominique Bijotat semble le penser. L'entraîneur sochalien, voyant son équipe ballottée aux quatre vents depuis quelques semaines, a opté pour la nouveauté. En titularisant Potillon au milieu d'une défense à  cinq têtes et Erding sur le front offensif, le coach sochalien comptait bien suturer, hier soir à  Lens, la plaie laissant s'écouler toute l'avance sur les relégables. Malheureusement, ce nouveau stratagème n'a pas vraiment porté ses fruits. Pourtant, le FCSM avait dressé ce qu'il pensait être une véritable muraille devant les buts de Richert. Certes, jamais les Jaune et Bleu ne parvenaient à  entrer dans la surface de réparation nordiste, mais la carapace avait au moins le mérite de calmer les ardeurs adverses. Enfin, ce scénario ne durait pas bien longtemps. À peine vingt minutes en fait. Une faute de N'Daw offrait en effet un coup franc, côté droit, aux Lensois. Demont le bottait et déposait le cuir sur le crâne de Keita, qui l'expédiait à  son tour dans la lucarne sochalienne (1-0, 21e). L'illusion comique était terminée. Dès lors, les lacunes du FCSM s'étalaient au grand jour. Sur attaques placées, jamais les Doubistes ne déstabilisaient leurs adversaires d'un iota. Derrière, c'était la débandade. Richert devait déjà  sauver les meubles en sortant dans les pieds de Cousin (32e), puis en effectuant une belle claquette sur un coup franc signé Demont (34e). Au bon souvenir de Frau Livré à  lui-même, le portier de cette équipe à  la dérive ne pouvait cependant tenir plus longtemps. A la 36e, Cousin s'exilait côté gauche puis prenait son temps pour centrer. Pierre-Alain Frau, profitant d'une arrière-garde paralysée, pouvait prendre son café et placer un coup de tête encore victorieux (2-0). A la mi-temps, la messe semblait déjà  dite, même si le temple du football nordiste criait sa joie plus fort que jamais. Les hommes de Dominique Bijotat, eux, n'avaient guère l'envie de pousser la chansonnette. Ils venaient de livrer l'une des mi-temps les plus indigentes de leur saison.

Dagano, et l'espoir renaît

Forcément, les murs des vestiaires tremblaient pendant le repos. Mais la secousse ne se propageait pas encore jusqu'au rectangle vert. Si N'Daw montait d'un cran pour garnir le milieu de terrain, la mainmise était toujours lensoise. Frau tenait à  le rappeler en envoyant une frappe limpide du gauche à  quelques centimètres du poteau (46e). La déferlante n'était pas terminée. Afolabi, comme un symbole de la fébrilité défensive sochalienne, se faisait chiper la balle dans les pieds par Dindane. Heureusement, l'Ivoirien, seul face à  Richert, manquait le cadre et le KO définitif (57e). Demont n'était pas plus en réussite quand sa volée de 25 m passait à  droite des cages doubistes (63e). Cependant, les faits étaient là  : le RCL ne laissait même pas quelques miettes à  son invité du soir. L'arrivée de Dagano sur la fraîche, en lieu et place de Mézague, semblait alors constituer l'ultime espoir du FCSM. Et, contre toute attente, Sochaux se réveillait ! Sur une action plutôt anodine, le même Dagano, après avoir pris le dessus sur Coulibaly, s'essayait à  une frappe croisée qu'Ilan, bien placé au point de penalty, prolongeait au fond des filets (2-1, 72e). D'un coup d'un seul, la peur changeait de camp. Weldon apportait à  son tour sa fraîcheur, et les Doubistes retrouvaient quelques couleurs. Sous une pluie battante, ils tentaient enfin des choses. Le coup franc d'Ilan ratait même de peu la cible (87e). Toutefois, le chronomètre délivrait rapidement son terrible verdict. Rappelait aux Jaune et Bleu qu'ils étaient sortis trop tard de leur torpeur pour espérer autre chose qu'une quatrième défaite consécutive…

[argueti]

Sochaux : silence, on coule !

Battu à  Lens, le FC Sochaux s'enfonce au classement sans qu'une franche réaction ne soit constatée. Le match contre Ajaccio, samedi, sera décisif.

Il est 1 h 30 du matin, ce dimanche, quand les Sochaliens descendent de l'avion les ayant ramenés de Lens. Tous rentrent en silence dans leurs voitures et quittent le petit aérodrome de Courcelles. Alors qu'ils s'apprêtent à  sortir du parking, une vingtaine de supporters les prend à  partie. Avinés pour certains, excités comme jamais pour d'autres, ils hurlent à  tue-tête d'ironiques « Merci Sochaux » et autres « Mouillez le maillot ! », laissant les Sochaliens pantois et surtout pressés de franchir le barrage. Or, si ce comité d'accueil plutôt musclé n'a débouché sur aucun incident, il ne manque pas d'interpeller au moment où l'équipe doubiste connaît l'une de ses plus mauvaises passes depuis bientôt dix ans. Le sursaut d'orgueil constaté lors des vingt dernières minutes de jeu, samedi soir à  Bollaert, peine en effet à  masquer les carences actuelles d'un FCSM en chute libre. Des joueurs fatigués pour les uns, tout simplement trop justes pour les autres, une cohésion d'ensemble pratiquement inexistante, une capacité de réaction quasi-nulle malgré la situation mathématique inquiétante : toutes les caractéristiques d'un relégué en puissance. Dominique Bijotat a bien tenté de déclencher l'alerte générale il y a plusieurs semaines. Mais l'appel n'a pas été entendu : « Lens l'a emporté sans faire un grand match. Aujourd'hui, c'est presque suffisant contre nous parce qu'on a des défaillances individuelles terribles, souffle-t-il. J'en veux un peu à  mes joueurs dans l'investissement et la réponse technique sur le terrain. On met en place certaines choses mais on ne peut pas lutter en Ligue 1 si on est incapable de faire un contrôle, une passe à  dix mètres ou quoi que ce soit. On voudrait résumer notre mauvaise passe à  une affaire de tête, moi je pense que c'est quand même une affaire de pieds. Certains pieds sont en train de trembler très fortement. Bien sûr, ça ne touche pas tout le monde, mais on ne peut pas se permettre de jouer à  sept ou huit ». Les Sochaliens seront-ils capables de se prendre en main pour sauver leur place parmi l'élite ? Les chiffres pourraient apaiser l'angoisse en mettant en avant les six points d'avance (et le match en retard contre Bordeaux) que le FCSM possède sur Strasbourg, premier relégable. « J'aurais aimé dire autre chose, mais c'est vrai que le match contre Ajaccio sera le plus important de la saison », estime Dominique Bijotat. Face aux Corses, samedi soir, l'équipe doubiste sera livrée à  elle-même. Seule face à  son public, ses doutes et son destin.

[argueti]

Ilan, ce séducteur

Joueur talentueux et personnalité attachante, le numéro neuf sochalien, le Brésilien Ilan, espère contribuer à  sceller définitivement le maintien doubiste en Ligue 1, demain soir devant Strasbourg (20 h).

Dur à  croire et pourtant, même au Brésil parfois, le ballon rond peut se dégonfler devant la percée de l'amour. « Mon père était footballeur professionnel. Mais il aurait dû partir au Mexique. Il a refusé et choisi d'épouser ma mère. » Le FC Sochaux ne peut que s'en réjouir. De cette union naquit le petit Ilan Araujo Dall'igna qui, aujourd'hui du haut de ses vingt-cinq printemps, a installé son football chatoyant et talentueux sur la pelouse de Bonal. « Je me suis attaché à  ce club. J'y ai été très bien accueilli, m'y suis fait des amis. » Voir encore Ilan la saison prochaine sous le maillot jaune et bleu ne relève donc pas seulement de l'utopie. « Tout est possible. Je n'écarte pas la possibilité. Je partirai si le club et moi trouvons notre compte, sinon je resterai ».

« Les gens n'ont pas conscience de ce qu'ils ont »

Voilà  qui réchauffera les coeurs à  la veille de ce pseudo derby contre le Racing-Club de Strasbourg. Logique, Ilan a tout du séducteur. Le talent et l'aisance naturels balle aux pieds, et l'envergure au dehors où sa personnalité et son intelligence n'ont pas échappé à  ceux qui le côtoient régulièrement. Outre le fait d'avoir rapidement su s'exprimer dans la langue de Molière, le Brésilien n'a pas manqué d'observer cette France qui l'entoure et le nouveau monde dans lequel il évolue. « Avant je connaissais Paris, Lyon, Saint-Etienne où j'étais allé deux-trois jours, sans plus. Avec l'habitude on s'adapte au mode de vie mais j'avoue que j'ai été extrêmement surpris de voir qu'entre midi et quatorze heures tout est fermé partout. Tu ne peux rien faire. » (rires) Ilan n'est pas non plus resté insensible en voyant défiler les grévistes dans les rues ces derniers jours. « J'en ai encore parlé hier. Cela m'a choqué. Je viens d'un pays pauvre, sans moyen et cela n'arrive jamais. Si c'était le cas, en deux minutes, les policiers auraient déjà  tout arrêté. Je crois que les gens ici n'ont pas conscience de ce qu'ils ont. Enfin, c'est ma vision… La France est un très grand pays, où il y a tout, où il n'y a pas besoin d'aller chercher ailleurs ce qu'on veut, pas besoin de s'ouvrir, d'apprendre les langues pour essayer de partir un jour… J'ai eu une enfance heureuse au Brésil mais il existe tellement d'écart entre les riches et les pauvres dans mon pays. J'aimerais changer tellement de choses mais je n'en ai pas le pouvoir. Un seul homme pour 250 millions d'habitants, c'est insuffisant. Ceux qui vont faire du tourisme au Brésil ne peuvent pas sentir ces choses-là . Il faut y vivre deux ou trois mois avant de le percevoir. » Son pays, Ilan ne l'oublie surtout pas. Mais comme bon nombre de footballeurs, il a bien senti l'obligation d'émigrer vers d'autres cieux pour exploiter son talent. « Le football brésilien n'est pas très organisé. Cela n'est pas comparable avec l'Europe et la France. Au Brésil, on forme les joueurs et ils partent. En Europe, tu gagnes mieux ta vie mais c'est surtout le business tout autour avec la télévision, une possibilité d'être plus connu qui te pousse à  venir. » En revanche, si le plaisir existe sur les terrains de l'Hexagone, le footballeur brésilien doit s'adapter à  d'autres principes. « S'adapter, c'est l'important. Le plus important. Techniquement, tu t'exprimes mieux au Brésil et surtout l'état d'esprit est différent. Ici, on ne joue pas forcément pour marquer mais pour ne pas prendre de but. Chez nous, on va marquer, jouer pour marquer, pour éviter les buts mais en prenant des risques. La mentalité n'est pas la même. »

« Quand la tête ne va pas, rien ne va »

Des buts, Ilan en a marqué cette saison. Neuf dont deux penaltys et surtout tous du pied droit. « Ce n'est pas un hasard. Je me décale souvent sur ce pied-là  » dit-il tout en s'interrogeant pour savoir s'il n'a pas marqué une fois du gauche. « Pas grave » consent-il, le plus important restant de mettre cette boule de cuir au fond des filets. De ceux de Stéphane Cassard, demain soir, par exemple. « Il y a danger à  croire que nous sommes sauvés. Jouons avec le même esprit qu'à  Rennes, sans relâchement », fait-il entendre, persuadé, convaincu que le problème doubiste demeure bien l'état d'esprit. « Nous avons des moyens, mais la tête n'a pas toujours suivi cette saison. Et quand la tête ne va pas, rien ne va. C'est aussi un problème de la jeunesse. Un match perdu et la confiance s'effrite. Ce n'est pas anormal. Il n'y a que l'expérience qui apporte ça, la pression, l'habitude. » Et Ilan sait de quoi il parle. « Si j'ai progressé depuis mon arrivée à  Sochaux, c'est bien dans ce domaine ; je suis plus fort dans ma tête. Dans la façon d'appréhender les matches mais surtout d'être plus serein en toutes circonstances sur le terrain. » Les Strasbourgeois sont prévenus. Un Ilan serein peut en dévoiler un autre, buteur, qui court après sa dixième réalisation de la saison.

[argueti]

Sochaux : Bijotat, c'est fini !

Le FCSM n'a rien officialisé hier au sortir du conseil d'administration à  Paris. Mais un fait semble acquis : Dominique Bijotat n'ira pas au bout de son contrat.

Perrin tête de liste

Jean-Claude Plessis et son équipe travaillent désormais à  l'arrivée du nouvel entraîneur et de certains joueurs, dont le Lorientais Karim Ziani, convoité par plusieurs clubs mais attiré par le FCSM. Pourquoi ? Pour avoir fait sa formation à … Troyes, ce milieu de 23 ans connaît bien Alain Perrin, qui a mené Troyes en Ligue 1 pour se faire un nom dans le football français. D'où une étroite relation avec cette piste qui mène à  l'ex coach de l'OM, d'Al-Ain aux Emirats Arabes et de Portsmouth. Trois clubs où il n'a pu aller au bout de ses contrats pour diverses raisons, le dernier l'ayant remercié en cours d'exercice le 24 novembre 2005. Alain Perrin parait le mieux placé pour succéder à  Dominique Bijotat mais attise la convoitise de Saint-Etienne et de Toulouse. Le FCSM va devoir aller vite, le baisser de rideau de la saison ayant accéléré le jeu des chaises musicales. De nombreux clubs ont laissé leur banc libre, ou chancelants, comme à  Auxerre notamment.

[silex57]

A priori Plessis rêve de Perrin, comme quoi y'en a qu'on de drôles de rêves ...

[NéRiK]

C'est quand même mieux que Bijotat.