
[Ex] Éric Mouloungui
- argueti
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DNA a écrit :Mouloungui revit
Porté disparu deux ans durant, Eric Mouloungui est réapparu ces derniers temps sous le maillot du Racing. A vingt-deux ans, l'ex-grand espoir gabonais entend saisir la perche tendue par Jean-Pierre Papin. Une ultime chance de réhabilitation pour cet attaquant aux semelles de vent.
Il est né un premier avril, à Port-Gentil. Une journée placée sous le sceau de la facétie. Dans le cas d'Eric Mouloungui, cet attribut pèse lourdement. A l'évocation de son nom, un sourire sarcastique parcourt généralement le visage des suiveurs du Racing. Parfois, même, les quolibets fusent.
On ne peut pas dire qu'il soit verni, le grand Mouloungui. Arrivé à Strasbourg en octobre 2002, le Gabonais était pourtant précédé d'une réputation flatteuse et promis à un avenir doré.
« Lui, c'est le futur du Racing », disait à l'époque Ivan Hasek. Peu enclin à verser dans le compliment gratuit, l'actuel entraîneur de Saint-Etienne lance les yeux fermés le gamin de dix-huit ans dans le grand bain de la Ligue 1, un jour de janvier, à Sedan.
Son pied gauche doit alors illuminer le championnat. Sa pointe de vitesse et sa puissance sont censées désarçonner les défenses les plus aguerries. Bref, ce grand échalas à la tonsure changeante au gré des semaines et des envies est présenté comme un futur grand.
Arrivé au relais du technicien tchèque, Antoine Kombouaré entretient cette illusion l'espace d'une saison. Cette fois, Mouloungui marque des buts - trois en championnat -, s'installe même en seconde partie de saison dans l'équipe type et contribue au maintien des Bleus en Ligue 1.
« J'ai longtemps réfléchi. Je me suis dit que c'est la vie »
L'histoire est belle, l'ascension fulgurante. Trop, peut-être, pour s'inscrire dans la durée. D'un coup d'un seul, son horizon s'obscurcit. Victime d'une pubalgie, Mouloungui entame une longue traversée du désert. De rechutes impromptues en espoirs déçus, il connaît deux saisons quasiment blanches.
« C'est dur à accepter, parce que dans mon comportement de pro, je n'avais rien à me reprocher, analyse-t-il rétrospectivement. Durant cette période, j'ai longtemps réfléchi. Je me suis dit que c'est la vie. Mon malheur n'était finalement pas si grave que ça, quand on regarde ce qui se passe ailleurs dans le monde. »
Un brin philosophe, ou tout du moins fataliste, Mouloungui traverse candidement les turpitudes de la vie. Alors que l'équipe de Duguépéroux est en déliquescence, lui tente de relancer sa carrière du côté de Gueugnon. Son prêt - de janvier à juin 2006 - est un échec. Les blessures, encore et toujours, contrarient ses desseins.
Revenu en Alsace au début de l'été, le garçon n'entre pas vraiment dans les plans de Papin. Encore sous contrat jusqu'en 2008, le Gabonais est même prêt à s'exiler à Odense, sur les rivages de la mer du Nord et de la mer Baltique, juste pour jouer. Enfin...
« Je ne regrette pas d'être resté, sourit celui qui est réapparu le mois dernier sous le maillot bleu, inscrivant d'entrée un but à Châteauroux en Coupe de la Ligue (2-4). Papin m'a fait comprendre qu'il ne tenait qu'à moi de le convaincre. Pour l'instant, je suis déjà content de pouvoir courir sans gêne et de rejouer. »
« Dans la vie, il y a des hauts et des bas. Le bonheur viendra »
Trois bribes de matches plus tard - Tours, Châteauroux et Créteil -, l'attaquant au style élégant est revenu au point de départ. Ses fulgurances au coeur des défenses sont porteuses d'espoir. Son manque de réalisme devant le but laisse toujours dubitatif.
Quatre ans se sont écoulés entre-temps. Eric Mouloungui dit avoir mûri. Dans l'épreuve, il dit s'être renforcé. A Auxerre, demain soir, le Gabonais voudra prouver que son retour au premier plan n'est pas qu'un simple feu de paille.
« J'ai peut-être perdu des années, mais pas mon potentiel, dit-il. Vous savez, je crois au bon Dieu. Dans la vie, il y a des hauts et des bas. Le bonheur viendra. »
Un jour, peut-être, le Gabonais ne sera plus considéré comme un éternel espoir, dont la simple évocation du nom laisse apparaître un sourire narquois.

- Bou
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Très bon match de Mouloungui contre Auxerre!
Je pense qu'il peut vraiment éclater cette saison, ce sera la bonne!
Quelle vivacité, quelle technique!
Et combien de coups francs ou de corners obtenus grâce à lui?!!!
Le meilleur strasbourgeois de la soirée pour moi!
Son association avec Gameiro fera des étincelles!

Je pense qu'il peut vraiment éclater cette saison, ce sera la bonne!

Quelle vivacité, quelle technique!


Et combien de coups francs ou de corners obtenus grâce à lui?!!!
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Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie...
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Ben disons que là il joue milieu gauche, il peut pas être au four et au moulin!
Dès qu'il touchait la balle il posaity beaucoup de difficulté aux auxerrois, notamment à Sagna qui n'est pas le premier venu!

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- NéRiK
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Il s'est fait siffler par le public auxerrois parce qu'il a provoqué un maximum de fautes et qu'1 ou 2 auxerrois ont été avertis par sa faute...
Lui n'a jamais fait de fautes, il a tardé à se relever suite à une énième charge et c'est parti en sifflets...
Ensuite 2 auxerrois font faute sur lui en même temps (Pedretti et un autre) et Pedretti lui donne encore un petit coup en passant, devant l'arbitre en plus (lamentable soit dit en passant, il devait mettre plus de jaunes aux auxerrois...) Mouloungui s'est énervé et encore à terre a manifesté un geste d'énervement (coup de pied en direction de Pédretti mais sans le toucher du tout!) Pedretti se roule par terre à la Fiorèse et moulou prend un carton totalement injuste qui devait revenir à Pédretti(quelle fiote! il pas de face ce mec)...
Et vu la misère qu'il leur a mis sur le couloir gauche, il n'en fallait pas plus pour provoquer une bronca...
Bref c'est totalement injuste...

Lui n'a jamais fait de fautes, il a tardé à se relever suite à une énième charge et c'est parti en sifflets...
Ensuite 2 auxerrois font faute sur lui en même temps (Pedretti et un autre) et Pedretti lui donne encore un petit coup en passant, devant l'arbitre en plus (lamentable soit dit en passant, il devait mettre plus de jaunes aux auxerrois...) Mouloungui s'est énervé et encore à terre a manifesté un geste d'énervement (coup de pied en direction de Pédretti mais sans le toucher du tout!) Pedretti se roule par terre à la Fiorèse et moulou prend un carton totalement injuste qui devait revenir à Pédretti(quelle fiote! il pas de face ce mec)...
Et vu la misère qu'il leur a mis sur le couloir gauche, il n'en fallait pas plus pour provoquer une bronca...

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