L'Alsace a écrit :Pfertzel tient le Milan en échec
Une nouvelle fois titularisé par Arigoni, le Thannois Marc Pfertzel a pu disputer l'intégralité de la rencontre qui opposait son équipe de Livourne au prestigieux Milan AC. Sur son côté gauche, où il a notamment croisé le Brésilien Kaka, Pfertzel s'est montre irréprochable. Tout comme ses coéquipiers, d'ailleurs, qui ont bien failli l'emporter lors d'une seconde période largement dominée (0-0). Adnane n'est pas rentré. L'attaquant mulhousien du Stade Brestois Youssef Adnane faisait bien partie du groupe pro qui accueillait samedi Créteil pour le compte de la 9e journée de Ligue 2. Mais il a dû se contenter de voir toute la rencontre depuis le banc des remplaçants. Brest s'est imposé 4-1. Bischoff et le Werder s'imposent. La réserve du Werder accueillait ce week-end Osnabrà¼ck dans le cadre de la Regionalliga. S'il n'a pas marqué, le Colmarien Amaury Bischoff a pris part à toute la rencontre et a contribué au net succès des siens (3-1).
Terrible comment je me fiche du Calcio depuis le scandale de l'arbitrage.
Ce championnat m'intéresse de moins en moins. Je préfère la Liga ou la Première League.
Epargné jusqu'alors par le scandale des matches truqués et déclaré champion d'Italie en lieu et place de la Juventus Turin, l'Inter de Milan va-t-il être à son tour inquiété ? Selon la presse italienne de vendredi, le patron du club, Massimo Moratti, sera interrogé la semaine prochaine par les enquêteurs de la Fédération italienne sur le rôle du club lombard dans l'affaire qui secoue le Calcio.
Vingt-cinq personnes ont été arrêtées dans le volet de l'affaire concernant les écoutes illégales, dont d'anciens responsables des systèmes de sécurité de Telecom Italia et de Pirelli, premier parraineur du club nerazzurro.Toutes sont soupçonnées d'avoir placé illégalement sur écoute des centaines de personnalités, dont l'arbitre Massimo De Santis, considéré comme l'un des principaux complices de l'ex-directeur de la Juventus Turin Luciano Moggi dans le scandale des matches truqués.
Des liaisons téléphoniques de la Juventus Turin auraient également été placées sous surveillance et les enquêteurs auraient trouvé une facture à en-tête de l'Inter Milan au siège d'une société liée à l'officine privée qui menait les écoutes illégales, selon les journaux italiens. En outre, l'un des personnages clef dans le scandale des écoutes illégales, Giuliano Tavaroli, a déclaré lors de ses premiers interrogatoires qu'il informait de ses activités Carlo Buora, à la fois administrateur-délégué de Telecom Italia et vice-président du club nerazzurro.
Giuliano Tavaroli, le principal suspect dans le scandale des écoutes illégales en Italie, a accusé l'Inter Milan de l'avoir mandaté pour espionner l'arbitre Massimo De Santis, condamné depuis dans le scandale du Calcio. L'ancien responsable des systèmes de sécurité chez Telecom Italia, accusé d'avoir été à la tête d'une centrale d'écoutes téléphoniques clandestines, aurait reçu ce mandat fin 2002-début 2003, soit trois ans et demi avant que le scandale des matches truqués n'éclate en Italie.
«L'opération a été commanditée par l'équipe dirigeante de l'Inter Milan et elle a en partie été menée par Tavaroli», a déclaré dans la presse italienne son avocat, Massimo Dinoia. L'opération aurait consisté à prendre l'arbitre en filature et à contrôler ses opérations financières, a-t-il ajouté. L'Inter ne devrait toutefois pas être sanctionnable.
Massimo De Santis a été condamné à quatre ans de suspension cet été dans le scandale des matches truqués du Calcio. Il est considéré comme l'un des principaux complices du «grand ordonnateur» des matches truqués, l'ex-directeur de la Juventus Turin Luciano Moggi. Le patron de l'Inter Milan, Massimo Moratti, doit être auditionné mardi mais a déjà nié toute implication de son équipe dans une quelconque opération de surveillance.
Ca risque de faire mal encore une fois ... direction la série B ?