pour l'instant on dirait que les 7 premiers sont encore en lice, après un décrochage semble se produire
[06/07] Championnat de Ligue 2
- D520
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après la prochaine journée on devrais voir quelles sont les équipes concernées par la montée.
pour l'instant on dirait que les 7 premiers sont encore en lice, après un décrochage semble se produire
			
			
													pour l'instant on dirait que les 7 premiers sont encore en lice, après un décrochage semble se produire
					Modifié en dernier par D520 le 15 oct. 2006 9:59, modifié 1 fois.
									
			
									
						- NéRiK
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Tout à fait, ca ce fait attendre. Incroyable quand même leur rythme. Si on avait perdu, on aurait déjà été bien dans la *****. Faut vraiment lacher aucun point!!enzy a écrit :Aucun faux pas des "gros" hier soir, c'est vraiment chaud pour la montée...
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
						- silex57
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1.  Metz  26 +11
2. Caen 22 +9
3. Châteauroux 22 +6
4. Grenoble 21 +6
5. Le Havre 20 +9
6. Strasbourg 20 +8
7. Reims 20 +7
8. Dijon 16 -3
Un écart s'est déjà creusé entre le 7e et le 8e, tout comme un autre s'est creusé entre Metz et les poursuivants derrière ; pour moi que le 7e soit à 2 points du 2e (certes celui-ci à un match en moins), ça prouve deux choses :
- de un on est pour l'instant dans le bon wagon et avons toutes nos chances ;
- de deux si on faiblit un temps soit peu le groupe de tête va nous faire décrocher et il sera alors très dur de remonter la pente
 
En gros on a une échappée d'équipes qui ont l'air de se valoir à peu prêt et qui commencent à s'éloigner de la 8e place ; néanmoins seules 3 de ces 7 clubs monteront, tout reste donc vraiment ouvert ... vivement le match contre Caen qu'on y voit encore un peu plus clair
			
			
									
									
						2. Caen 22 +9
3. Châteauroux 22 +6
4. Grenoble 21 +6
5. Le Havre 20 +9
6. Strasbourg 20 +8
7. Reims 20 +7
8. Dijon 16 -3
Un écart s'est déjà creusé entre le 7e et le 8e, tout comme un autre s'est creusé entre Metz et les poursuivants derrière ; pour moi que le 7e soit à 2 points du 2e (certes celui-ci à un match en moins), ça prouve deux choses :
- de un on est pour l'instant dans le bon wagon et avons toutes nos chances ;
- de deux si on faiblit un temps soit peu le groupe de tête va nous faire décrocher et il sera alors très dur de remonter la pente
En gros on a une échappée d'équipes qui ont l'air de se valoir à peu prêt et qui commencent à s'éloigner de la 8e place ; néanmoins seules 3 de ces 7 clubs monteront, tout reste donc vraiment ouvert ... vivement le match contre Caen qu'on y voit encore un peu plus clair
- argueti
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DNA a écrit :Du monde au portillon
De Metz, paisible leader, à Reims, intraitable à domicile, ils sont sept à se tenir dans un mouchoir de poche. Aujourd'hui, ce sont six points qui les séparent. La lutte pour la montée sera certainement acharnée jusqu'au bout.
Metz (1er avec 26 points)
FORME. - C'était le point d'interrogation de l'été. Remodelé dans ses grandes largeurs - treize arrivées, seize départs -, l'effectif lorrain allait-il retrouver ses esprits après une année traumatisante marquée par une relégation ?
Non seulement Francis de Taddeo est parvenu à redonner une âme aux Grenats, mais en plus il n'a pas perdu de temps. Metz est dans le coup depuis le début. Hormis une défaite à Reims, lors de la troisième journée, aucun accroc n'est à déplorer. Depuis maintenant quatre journées, les Mosellans sont en tête de la Ligue 2.
STYLE. - La défense, tel est le credo de Francis de Taddeo. Pas de fioritures ni de grandes envolées, la sobriété est de mise. Contre Libourne-St-Seurin, par exemple, l'entraîneur a lancé un septième défenseur en jeu après l'ouverture du score messine. C'était pourtant à Saint-Symphorien... Quoi qu'il en soit, Metz a remporté ses cinq matches à domicile et reste l'équipe qui a encaissé le moins de buts (5)... Le Racing éprouvera la méthode le 8 décembre en Moselle.
Caen (2e avec 22 points)
FORME. - Les Caennais n'ont rien lâché. Sur la continuité de son ébouriffante fin de saison, qui l'a vu échouer à la quatrième place, le Stade Malherbe marche au super. Seule équipe encore invaincue, elle dégage une sérénité et une maîtrise à toute épreuve. Ce soir, avec la réception de Montpellier, la troupe de Patrick Parizon a l'occasion de revenir à une longueur de Metz. Plus que jamais, elle confirme son statut de grand favori.
STYLE. - Les spectateurs normands peuvent être heureux. Devant leurs yeux évolue certainement l'équipe la plus talentueuse de la Ligue 2. Tous les cadres sont restés, Zubar (Marseille) mis à part. Mais comme Mazure et Proment sont venus en renfort, l'effectif s'est encore bonifié. Ça joue juste, propre et vite vers l'avant. Le Racing s'y frottera dimanche prochain (16h). Et ça s'annonce terriblement compliqué.
Châteauroux (3e avec 22 points)
FORME. - La Berrichonne étonne. Montés sur le podium à la faveur de la défaite de Grenoble à la Meinau, Teddy Bertin et ses compagnons sont à considérer comme des outsiders sérieux. Ce n'est pas exactement l'image laissée lors de leur déplacement à Meinau, où ils avaient sombré corps et âme (2-0), pour ce qui constitue leur seul faux pas à l'extérieur. Car les quatre autres déplacements se sont soldés par autant de victoires...
STYLE. - Un jeu de contre, voilà la caractéristique des Castelroussins. Grâce à la clairvoyance de Vandenbossche et la vitesse du petit strasbourgeois, El Jadeyaoui, l'équipe est plus à l'aise quand elle laisse à l'adversaire le soin de faire le jeu. Même si la défense constitue son talon d'Achille - elle a encaissé autant de buts (13) que Caen et Metz réunis -, la tactique s'avère payante.
Grenoble (4e avec 21 points)
FORME. - En s'inclinant vendredi à la Meinau, les Isérois quittent le podium. Un coup d'arrêt dans une progression plutôt linéaire jusque-là . Un moindre mal, selon Yvon Pouliquen, qui préfère travailler dans la tranquillité, voire la confidentialité. De toute façon, les patrons japonais n'ont pas planifié de monter cette année.
STYLE. - Grenoble, petit budget de la Ligue 2, compte sur des joueurs affamés et revanchards, à l'image d'un Cyril Chapuis porté disparu ces trois dernières années. Pouliquen prône un jeu offensif qui atteint son plein régime à domicile. Hors de ses bases, ça devient déjà plus délicat.
Le Havre (5e avec 20 points)
FORME. - Le HAC s'est pris une bonne claque d'entrée - à domicile contre Amiens (1-3) - et n'a, depuis, plus déjoué. La troupe de Thierry Uvenard suit depuis une courbe de progression constante. A la faveur d'un calendrier plutôt clément dans les prochains temps, elle peut espérer accrocher à court terme le podium.
STYLE. - Avec Traoré et Lesage sur le front de l'attaque, le jeu havrais ne peut être qu'explosif. Gueugnon, l'autre jour, en a pris plein la vue (6-1). Comme son fonds de jeu semble dense, le HAC peut voir loin. Seul problème, une défense qui n'affiche pas les meilleurs gages de sécurité.
Strasbourg (6e avec 20 points)
FORME. - Au sortir de deux matches nuls, le Racing a renoué avec la victoire, vendredi contre Grenoble (1-0). Un minimum syndical qui l'autorise à passer une semaine studieuse et tranquille avant la venue de Caen, dimanche prochain.
STYLE. - Devant le duo de récupérateurs Cohade - Lacour, incontestable point fort, la formation de Papin se cherche encore. Capable du pire comme du meilleur, elle ne dégage pas toujours un visage serein. D'autant qu'elle peine à marquer dans le jeu. Le groupe est jeune, donc perfectible.
Reims (7e avec 20 points)
FORME. - Auteur de son meilleur début de saison depuis sa remontée en Ligue 2, voilà trois ans, le Stade de Reims est en quelque sorte l'invité surprise de ce groupe de tête. Une réussite que les hommes de Thierry Froger doivent à leur parcours à Auguste-Delaune, avec six victoires en autant d'apparitions. A l'extérieur, en revanche, le bilan est famélique. Deux points pris - à Niort et à Châteauroux - sur quinze possibles, voilà qui a de quoi limiter les ambitions.
STYLE. - Reims n'abdique jamais. Mené au score, vendredi contre Tours, Cédric Fauré et les siens sont revenus à la force du mollet, arrachant la victoire au bout du temps additionnel. La combativité, voilà l'atout rémois. Le mardi 7 novembre, c'est le Racing qui s'y collera.
Sébastien Keller
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