 sinon je sens bien l'ambiance se dégrader ...
 sinon je sens bien l'ambiance se dégrader ...[06/07] 12ème J: Strasbourg / Caen : 3-2
- silex57
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Franck Dumas sera privé, ce dimanche face au Racing, de son capitaine, Nicolas Seube. Le défenseur latéral du Stade Malherbe de Caen a été touché lundi lors du match face à Montpellier (0-0). Il doit déclarer forfait pour le déplacement en Alsace.
Depuis le début du championnat, Nicolas Seube avait été aligné à dix reprises par l'entraîneur caennais. Ce sera donc la deuxième rencontre qu'il loupera.
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- argueti
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DNA a écrit :A l'affût de la bonne affaire
Face au dernier invaincu du championnat de Ligue 2, le Racing a l'occasion de marquer les esprits en même temps que son territoire. Et de viser une place sur le podium.
« Quand on est à 5 mètres du but, il faut marquer », lance Papin. A l'intérieur de la surface, tous les attaquants du Racing, y compris Yacine Abdessadki, tentent de mettre au supplice Nicolas Puydebois sur des centres de JPP. Un exercice de fin d'entraînement qu'il faudra répéter à balles réelles dimanche face à Caen, dernière équipe invaincue de ce championnat. « Ce sera un rendez-vous tout aussi important que celui de Grenoble, rappelle Yacine Abdessadki. Mais la préparation a été la même que pour n'importe quel match avec peut-être un peu plus de rigueur et de discipline que d'habitude. »
« L'idéal serait de débloquer la situation assez vite »
Meilleure attaque de Ligue 2 à l'extérieur (11 buts en 5 matches, soit cinq de plus que dans son jardin de d'Ornano), le Stade Malherbe peut compter sur son brelan d'as (Compan, 4 buts, Mazure et Samson, 2) pour brouiller les cartes en déplacement. « L'idéal serait de répéter le scénario de Grenoble et de débloquer la situation assez vite, espère le capitaine strasbourgeois. Car on sait que le Racing est solide défensivement. A ce moment là , les espaces vont se libérer et on pourra peut-être en profiter pour se mettre à l'abri. » Ce Racing-Caen, sommet de cette 12e journée, risque en effet d'être fermé à double tour. De la à penser que la rencontre peut basculer sur un détail, un exploit individuel ou un coup du sort... Ou bien sur un coup de pied arrêté, comme cela arrive désormais de plus en plus souvent. Et si tout le monde ne possède pas un Juninho en rayon, c'est forcément un paramètre dont il faut tenir compte. A ce titre, le retour d'Emil Gargorov, très à l'aise dans cet exercice, peut être un joker intéressant pour Jean-Pierre Papin.
« Une victoire nous aiderait à franchir un cap »
« Il ne faut surtout pas perdre contre Caen, poursuit Yacine Abdessadki. Même un match nul nous permettrait de rester à l'affût, d'être toujours au contact du groupe de tête. Mais c'est vrai qu'une victoire aiderait le Racing à franchir un cap, à marquer notre territoire à la Meinau et de revenir à hauteur d'un concurrent direct pour la montée. Donc de frapper un premier grand coup dans ce championnat. » Dans le camp caennais, l'objectif sera évidemment de conserver son invincibilité et de maintenir les Strasbourgeois à distance. Contrarié par le 0-0 concédé à domicile lundi face à Montpellier, mais surtout irrité par l'arbitrage d'Eric Poulat qui a oublié deux penalties pour un croc-en-jambe et un tirage de maillot sur Lilian Compan, Franck Dumas ne décolérait pas. « Cet arbitrage me fait peur, insiste l'entraîneur du Stade Malherbe. En L1, au moindre accrochage, on siffle penalty et en L2, rien ! Mais le plus dur à avaler, c'est que M. Poulat nous a traités par dessus la jambe, alors que nous on a bossé toute la semaine pour être prêt le jour J. C'est d'autant plus regrettable que j'ai vu beaucoup d'envie et de gnac chez mon équipe. »
« Il ne s'agit pas d'une contre-performance, mais d'un contretemps »
Des qualités de coeur dans l'effort, le jeu et la récupération que Dumas tente depuis deux ans d'inculquer à ses joueurs et qui constitueront encore les atouts de l'équipe normande dimanche à la Meinau. Et comme le collectif caennais (seuls Mazure, de retour au bercail, et Proment en remplacement de Zubar sont arrivés à l'intersaison) est bien en place, on mesure la complexité de la tâche qui attend le Racing après-demain. « Il ne s'agit pas d'une contre-performance, mais d'un contretemps », dit malicieusement Franck Dumas en évoquant le match nul concédé devant Montpellier. Et si le stade Malherbe était à contre-courant dimanche ?
Patrick Schwertz
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selons les DNA de ce jour :
 
 
par contre pour une fois les remplacants ne sont pas très offensifs !!
seul Mathlouti est un attaquant pour un milieu et un défenseur qui peut également jouer au milieu.
avec un Gameiro titulaire ?
			
			
									
									
						donc ce n'est pas demain que nous verrons jouer GargarovL'équipe de départ pourrait être la suivante : Cassard - Deroff, Bellaïd, Strasser, Vergerolle - Abdessadki, Lacour, Cohade, Mouloungui - Gameiro, Tum. Remplaçants : Puydebois, Ekobo, Johansen, Schneiderlin, Mathlouthi.
Rangelov, 17e hommes, palliera un forfait de dernière minute. Quant à Gargorov, il est encore jugé trop « court » après sa longue période d'indisponibilité.
 
 par contre pour une fois les remplacants ne sont pas très offensifs !!
seul Mathlouti est un attaquant pour un milieu et un défenseur qui peut également jouer au milieu.
avec un Gameiro titulaire ?
- argueti
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L'Alsace a écrit :« Caen est le favori »
C'est le « big match » de la 12e journée de L 2. Entre des Strasbourgeois invaincus depuis 9 rencontres et des Caennais invaincus tout court, le choc de ce dimanche (16 h) à la Meinau s'annonce chaud.
Jean-Pierre Papin n'y va pas par quatre chemins : « Nous allons rencontrer LE favori du championnat. » Le décor est planté : entre un Racing en embuscade à la 6e place (20 points) avant la 12e journée et un Stade Malherbe de Caen qui pointe dans le trio de tête depuis la 2e, l'affiche vaudra le détour demain (16 h) à la Meinau. Car plus que les Strasbourgeois qui peinent à trouver la bonne carburation avec un effectif remanié à 50 %, les Caennais justifient pleinement leur statut de favoris dans la course à la montée en L 1. Depuis deux ans, les hommes de Franck Dumas, intronisé en cours de saison 2004-2005 quand tout semblait perdu, collectionnent pourtant les coups durs : une relégation en L 2 fin 2004-2005 avec un capital respectable de 42 points (un de moins que Nantes), une défaite en finale de Coupe de la Ligue le 30 avril 2005 contre un certain Racing Strasbourg (2-1) et une remontée ratée au printemps à la différence de buts (+21 contre +23 à Lorient). La faute à une défaite à Brest (2-1) lors de la 37e journée, alors que les Normands avaient battu les Lorientais à deux reprises durant la saison. Rageant. Dumas et sa troupe ont donc décidé de remettre l'ouvrage sur le métier. Sans rien changer ou presque à l'intersaison. Là où le Racing, qui a rejoint le SMC au purgatoire de la L 2, a décidé de faire table rase du passé, le Stade Malherbe a gardé son ossature. Tout juste a-t-il rappelé au bercail son buteur, Sébastien Mazure, qui s'était un peu égaré lors de son intermède à Saint-Etienne en 2005-2006, et engagé le capitaine messin Grégory Proment pour compenser le transfert de Ronald Zubar à Marseille.
Une défaite en 27 matches
Le résultat ne s'est pas fait attendre : la troupe de Dumas, qui avait fini la saison passée en trombe, mais trop tard (Ndlr : elle était encore dernière ex aequo après 9 journées), reste la seule équipe invaincue après 11 rencontres. Sa série est impressionnante : sur ses 27 derniers matches de championnat, elle n'en a perdu qu'un (contre 18 victoires et 8 nuls). La trop fameuse défaite à Brest évoquée ci-dessus. Sans les décisions plutôt contestables de l'arbitre international Eric Poulat lundi contre Montpellier (0-0), Caen aurait même été, au soir de la 11e journée, coleader avec Metz. « C'était tellement gros que tout le monde a vu le tirage de maillot de Ngambi (Ndlr : le Camerounais de Montpellier, ancien… Strasbourgeois) sur Compan, excepté M. Poulat », râle l'international espoirs du SMC, Yoann Gouffran, qui, blessé, a suivi le match des tribunes et sera de retour demain dans le onze caennais. « Ngambi aurait dû être expulsé et nous, bénéficier d'un penalty. Ce n'était plus du tout la même chose. Au lieu de ça, le déplacement à Strasbourg s'apparente à un petit tournant. Jusqu'ici, nous avions creusé un écart avec nos poursuivants. Mais en cas de première défaite, pas mal d'équipes, dont le Racing, pourraient revenir à notre niveau. Il y aurait embouteillage. Nous allons en Alsace pour essayer de rattraper les deux points perdus face aux Montpelliérains. »
- Maneo
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