si elle dit..elle en prend une..donc pas de soucis...julio-césar a écrit :hoo que va dire la femme à FM75![]()

Quand tu degages Dhorasoo, Mbami et que tu mets contre Lens (une equipe physiquement tres forte) 2 mecs de 19 ans en milieux defensifs alors que tu fous Cissé arriere droit...julio-césar a écrit :Pff quel bande de branleurs le PSG
C'est la crise ! Paris - Marseille meme combat ... eternelL'Equipe a écrit :Cayzac : «Pas question de changer»
Sous les sifflets du Parc des Princes, le Paris-SG a concédé sa quatrième défaite à domicile (0-2) face à Bordeaux sur des buts de Wendel (28e) et Laslandes (85e). Avec 16 points après 14 journées, le club parisien réalise le plus mauvais début de saison de son histoire. Alain Cayzac admet une «crise de confiance» mais le président du Paris-SG rejette d'avance l'idée de donner satisfaction aux «Lacombe, démission» entendus une nouvelle fois dans les travées du Parc. Le véhicule de l'entraîneur parisien a été pris à partie par une quinzaine de supporters à la sortie du stade.
« Alain Cayzac, quel est votre sentiment au soir de ce nouveau revers du Paris-SG à domicile ?
Si je vous disais que je suis satisfait, vous voudriez m'enfermer. Non, je suis très déçu. Je vis le moment le plus difficile depuis ma nomination à la tête du club. Je suis d'autant plus déçu qu'il y avait ce soir le quinzième anniversaire des Supras d'Auteuil. Au Parc des Princes, nous ne sommes plus dans notre jardin, l'équipe a du mal à s'y exprimer. Plus que la qualité du jeu, c'est l'inconstance des joueurs qui m'inquiète le plus. Dès que Bordeaux a marqué, ils ont joué la peur au ventre. Ce n'est pas la première fois cette saison que nous sommes incapables de réagir après avoir pris un but. Il y a une vraie crise de confiance.
Une crise de confiance ou une crise tout court ? Le Paris-SG réalise la plus mauvaise entame de son histoire...
Appelez cela comme vous voulez. Notre premier tiers de saison est plus que moyen. Mais je dis tout de suite qu'il n'est pas question de changer d'entraîneur. Je déteste le concept de bouc-émissaire. Je préfère m'inspirer des exemples de clubs qui ont maintenu leur confiance à leur entraîneur et qui s'en sont sortis. Je comprends la déception des supporters. Mais je ne connais pas d'entraîneur du PSG dont le public n'ait pas demandé la tête à un moment ou à un autre. La responsabilité est collective et c'est ensemble que nous en sortirons.
Comment ?
Quand on prend un coup sur la carafe comme ce soir, il faut repartir au combat. Dès dimanche, je vais parler aux joueurs et à l'entraîneur. Mon boulot va consister à évacuer le stress et à mobiliser les énergies. Je suis persuadé qu'on peut y arriver. Notre contre-performance de ce soir est rattrapable. Nous avons la chance de rejouer très vite, dès jeudi en Coupe d'Europe et dimanche prochain contre Nantes. On va pouvoir évaluer la capacité de réaction des hommes. C'est dans ces moments là que l'on voit les costauds.
La solution passera-t-elle aussi par le mercato ?
On peut envisager des décisions. Mais on ne va pas tout chambouler. Ce n'est ni souhaitable ni possible. Mais au vu de la deuxième mi-temps, je constate un déficit de performance. »
FM75 a écrit : Putain en management la règle de base est : Un patron aspire le stress et insuffle de l énergie...et par conséquent on a toujours l équipe à l image du patron...TOUJOURS !
Pour se faire virer ouiL'Equipe a écrit :Lacombe : «Sur la bonne voie»
Guy Lacombe, l'entraîneur du Paris-SG, 13e du Championnat et auteur du plus mauvais début de saison de son histoire, s'est dit «ravi» de la confiance de son président, Alain Cayzac. «Démissionner ne résoudrait pas le problème. Je suis ravi que le président me maintienne sa confiance. Je faisais tout et je ferai tout pour être à la hauteur et relever le challenge que l'on me propose. Ce n'est pas quand on est dans la difficulté que l'on peut laisser tout le monde. On est au pied du mur, j'espère que l'on va relever la tête. Moi, je me battrai jusqu'au bout.»
Son équipe, une nouvelle fois battue par Bordeaux (0-2), ne semble pas l'inquiéter outre mesure. «Au début, on a fait un beau match, et puis le doute s'est installé quand on nous a refusé le but de Rozehnal. Après, on prend un but évitable. La confiance nous a manqué et l'environnement ne nous a pas été favorable. Il ne faut pas tirer sur les joueurs, il n'y a pas mort d'hommes. Franchement, depuis le début de la saison, on n'est pas vernis».
Il a enfin tenu à répondre au public, qui n'a cessé de demander sa démission. «Le public a le droit de se manifester. Moi, je fais mon métier du mieux que je peux. Il y a eu des périodes fastes à Paris, avec moi à la tête de cette équipe. Je ne vais pas lâcher maintenant quand c'est difficile. J'ai l'habitude de me battre et je vais mettre en oeuvre tout mon potentiel pour relancer cette équipe. C'est une période difficile mais on ne va pas tout balayer. On est sur la bonne voie.»