[06/07] 15ème J: Reims / Strasbourg : 2-0

[NéRiK]

Comment on a fait pour gagner un match avec Tum et Deroff

Pus pieds carrés que Tum, tu meurs. 2 fois il était en bonne position, il aurait pût tirer, mais nan il fait une passe alors qu'il était seul face au gardien. Que dire sur son poteau ou il prend la balle d'une facon bizarre alors qu'il suffisait d'un petit plat du pied.

Kantari à  gauche quelle catastrophe. Beaucoup de fautes, de maladresses. C'est vraiment pas son poste. Je comprends pas qu'on mette toujours pas Mosalem.

Sans oublier le magnifique arbitrage de ce soir. On va pas en reparler sinon il vont encore se mettre en greve.

Bon une claque de temps en temps ca fait du bien si on arrive a repartir sur de bonnes bases. Le probleme c'est que Caen a finalement gagné et que Reims devient un client potentiellement dangereux à  l'accession en L1.

Top: Cohade:D

Flop:Tum
Deroff
Kantari

[Dr Greenthumb]

Bon, ben niveau expérience et gestion des matchs, faudra repasser...


Cassard: 2arrêts, ne peut être directement incriminé sur les buts: match correct.
Khantari: je vois pas pkoi certains le critique: il est limité pke arrière gauche, c'est pas sa place, donc normal qu'il se fasse déborder par le joueur de couloir adverse. appliqué dans ses interventions.
Bellaid: L'avait on seulement prévenu qu'il y avait un match ce soir?
Strasser: A plutôt bien compensé les lacunes de son acolyte. Dommage seulement qu'en raison de son expérience il ne lui ait pas remonté les bretelles...
Deroff: honnête joueur de L2. Trop de lacunes dans les relances, le placement et les duels en 1 contre 1 pour en faire une base d'une équipe prétendante à  la L1
Lacour: match correct mais a un peu baissé le pied au fil des minutes.
Johansen: N'y arrive pas. Rentré pour organiser le jeu de l'équipe, il n' a pas réussi à  se situer sur le terrain. Peut être aussi pke Cohade et Lacour se sont moins astreints aux taches défensives après sa rentrée.
Cohade:De l'envie, du volume, et une volonté de s'impliquer dans le jeu certaine, mais s'est laissé aspirer en fin de partie comme une partie de l'équipe vers l'avant au détriment de ses taches défensives.
Abdessadki:Bonne implication dans le jeu et corners bien tiré. Mais dommage qu'il ne prenne pas ses responsabilités pour recadrer certains de ses joueurs quand il le faut (Bellaid, Mouloungui...)
Mouloungui:C'est bien sa tête va se dégonfler. S'est bcp dispersé. A cherché des solutions uniquement individuelles qui n'ont débouché sur rien.
Gameiro: A bcp bougé, s'est beaucoup battu, mais sevré de ballons et des choix qui n'ont pas porté leurs fruits. Complémentarité avec Thum à  revoir.
Thum:Se bat bcp. Mais des choix qui font rire (remise au point de pénalty de corner défensif qui sort en sortie de buts, etc...). Peu de complémentarité avec Gameiro et manque de conviction dans ce qu'il entreprend pour que son caractère soit réellement accepté par l'équipe.
Mathlouti:Mouloungui 2.

Au final, dommage qu'avec une équipe supérieure techniquement et physiquement, on ait pas l'éxpérience pour gérer ce match comme il le faut, mais bon, ce sont peut etre le genre d'étapes à  passer pour que ce groupe en acquiert...

[raphou96]

Reims 2 Racing 0
Stade Auguste-Delaune. - Mi-temps : 1-0. 6 768 spectateurs. Arbitre : M. Cailleux. Temps froid. Pelouse bosselée.

Avertissements : Tiéné (35e', tacle à  retardement sur Abdessadki ; 77e', antijeu) à  Reims ; Deroff (38e', simulation), Kantari (43e', jeu dangeureux sur N'Zigou), Bellaïd (68e', tacle par derrière sur Fauré), Strasser (82e', tacle appuié sur Féret) à  Strasbourg. Expulsion : Tiéné (77e', 2e avertissement).

Les buts : Féret (12e'), Fauré (68e')

REIMS : Liébus - Fontenette, Burle, Baldé, Giraudon - N'Zigou (Baleguhé 46e'), Tourenne (Chicaut 54e'), Ielsch, Tiéné - Féret, Fauré (cap.) (Comminges 80e'). Entraîneur : Thierry Froger.

RACING : Cassard - Deroff, Bellaïd, Strasser, Kantari (Johansen 66e') - Abdessadki (cap.), Lacour, Cohade, Mouloungui - Gameiro (Mathlouthi 73e'), Tum. Entraîneur : Jean-Pierre Papin.


12e' : à  la suite d'une perte de balle de Bellaïd devant sa surface, Reims provoque un coup-franc renvoyé par la défense. A la réception, côté droit, Tourenne place un centre travaillé dans le dos de la défense. Au deuxième poteau, Féret a le temps d'ajuster une reprise croisée du gauche, en demi-volée, qui ne laisse aucune chance à  Cassard.
37e' : corner, côté gauche, tiré par Abdessadki. La balle fuse devant le but de Liébus. Au 2e poteau, la reprise de Strasser est repoussée sur la ligne.
45e'+1 : sur un coup-franc concédé par Mouloungui, côté gauche, Tourenne dévisse son centre. Au deuxième poteau, Tum remet Reims en jeu d'une tête, plein axe. Fauré reprend et Bellaïd dévie la balle de la main, sans que l'arbitre n'accorde le penalty.
68e' : Fauré provoque une faute devant Bellaïd, à  la limite de la surface, côté gauche. Sur le coup-franc, Féret dépose la balle sur la tête du même Fauré, au 2e poteau, qui profite de la sortie ratée de Cassard pour doubler la mise.
75e' : contre de Cohade qui trouve Tum plein axe. L'extérieur du pied du Camerounais échoue sur le poteau gauche de Liébus.
78e' : double parade de Cassard sur deux frappes de Féret.

[raphou96]

Sans ressort

Face à  une équipe de Reims qui a rapidement ouvert le score, des Strasbourgeois fébriles n'ont pas su se révolter. Seul Cohade a tenu son rang.

CASSARD (). - Ne peut pas faire grand-chose sur l'ouverture du score rémoise. Rate ensuite sa sortie sur le deuxième but. Mais sauve son équipe du 3-0 d'une double parade face à  Féret (78e).
DEROFF (). - Sauve une balle chaude dès la 20e. Prend ensuite un carton un peu stupide pour simulation (38e). Pour le reste, il a fait ce qu'il a pu face au très vif Tiéné, avant de permuter à  gauche à  la sortie de Kantari.
BELLAID (). - Mis à  mal par la paire Fauré/Féret, fébrile en début de rencontre, il a perdu plus de balles qu'à  son habitude. Et a de la chance que M. Cailleux ne siffle pas sa main dans la surface juste avant la pause. Lui aussi logiquement averti.
STRASSER (). - Plus à  l'aise que ses coéquipiers de la défense, il a intercepté des balles qui auraient pu s'avérer dangereuses. Mais ses longues relances en direction de Mouloungui ont rarement été concluantes. Averti en toute fin de match.
KANTARI (). - Face à  la vivacité de N'Zigou, il a commis pas mal de fautes et a été logiquement averti. Et a perdu beaucoup trop de balles en relance. Remplacé par JOHANSEN (66e), qu'on a peu vu.
LACOUR (). - N'a pas beaucoup pesé sur le jeu, ni défensivement, ni offensivement. S'est repris en deuxième mi-temps mais peut beaucoup mieux faire et l'a déjà  prouvé.
COHADE (). - Son abattage énorme et sa combativité au milieu de terrain ont une nouvelle fois été appréciables face au manque d'inspiration de ses coéquipiers. Dommage qu'il perde un peu son calme en fin de première période.
ABDESSADKI (). - Un peu (trop) nerveux à  l'image de son équipe en fin de première mi-temps, le capitaine strasbourgeois n'a pas non plus eu son rendement habituel, même s'il a tenté d'accélérer le jeu en deuxième période. Est redescendu en défense à  l'entrée de Johansen.
MOULOUNGUI (). - Des accélérations qui font mal et un centre qui méritait meilleur sort (23e). A toutefois gâché de bons ballons, en cherchant trop la faute adverse. A ensuite nettement baissé de pied.
GAMEIRO (). - Une fois lancé, il est toujours aussi difficile à  arrêter. Mais le petit attaquant a raté les quelques occasions qu'il a eus et n'a pas su faire la différence. Remplacé par MATHLOUTHI (73e).
TUM (). - Travailleur infatigable, l'attaquant camerounais a pratiquement joué en 9 et demi, dos au but, tout au long de la partie. Rate l'inratable seul au but, quand il touche le poteau à  la 75e.

[raphou96]

Revenu sur terre
Hier soir, le Racing est tombé de haut. Invaincus depuis début août, soit une série de douze matches, les hommes de Papin ont logiquement cédé sur la pelouse de Reims. En panne d'inspiration, ils glissent au troisième rang de la Ligue 2, avec plus qu'un point d'avance sur leur premier poursuivant, Dijon.

Il est des soirs, comme ça, où rien ne va. La moindre ébauche d'occasions, la plus petite inspiration, sont inlassablement vouées à  l'échec. La chance est fuyante. Les erreurs, elles, prennent tout de suite des proportions alarmantes.
Le Racing a connu hier l'un de ces grands moments de solitude, où l'énervement et le fatalisme deviennent d'encombrants compagnons d'infortune. Un peu comme à  Amiens, début août, là  où il avait concédé sa première et seule défaite (1-0) jusque-là .
Dans la froidure d'Auguste-Delaune, les Strasbourgeois sont restés figés dans la médiocrité. Non pas qu'il aient été moins bons qu'à  Gueugnon, d'où ils avaient ramené une victoire heureuse (1-0). Ni qu'ils aient affiché moins d'envie que vendredi dernier pour la venue d'Istres (2-0).


« On a été trop attentiste. C'est un coup d'arrêt »


Face à  une équipe de Reims appliquée, joueuse et débordante d'envie, malgré l'absence de trois titulaires, leur prestation n'a tout simplement pas suffi. « Je n'ai rien à  reprocher à  mes joueurs, commente laconiquement Jean-Pierre Papin. On est tombé sur un client costaud. Ce que je regrette, c'est notre nombre d'occasions. On en a eu un paquet, mais on n'a pas su en mettre une au fond. »
A l'image de Mouloungui, qui s'est engagé dans des dribbles audacieux sans en voir le bout, d'un Gameiro malheureux comme une pierre dans le dernier geste, ou de Tum en manque de lucidité, les attaquants sont complètement passés à  côté de leur sujet. Il est vrai que le but de Féret, dès la 12e', a d'emblée douché leurs velléités.
« On a été trop attentiste en première période, reconnaît Guillaume Lacour, pris avec ses compagnons dans la nasse rémoise. Nous avions tous à  coeur de rester invaincus et de repousser l'un de nos concurrents directs. C'est un coup d'arrêt. Mais il faut retenir que nous n'avons pas lâché. »


« Une série s'achève, on a tous envie d'en entamer une nouvelle »


A la reprise, le Racing est animé de meilleures intentions. Facilité par la sortie rapide de Carl Tourenne, le métronome de cette équipe rémoise, le pressing alsacien devient plus intense. Mais le désordre et le manque de lucidité dans le dernier geste s'avèrent toujours aussi rédhibitoires.
Le Racing vient de laisser passer sa chance. Le second but, oeuvre de Fauré, s'inscrit dans la logique de cette soirée à  l'issue forcément négative. Ce matin, le Racing est redescendu sur terre après sa série de quatre victoires consécutives. Troisième, derrière les intouchables Messins et les Caennais qui leur passent sous le nez, il garde une petite marge de manoeuvre sur ses poursuivants.
Vendredi, pour la venue de Libourne, il s'agira de repartir de l'avant. « Une série s'achève, on a tous envie d'en entamer une nouvelle dès vendredi », conclut Lacour. A la Meinau, les soirées ont été jusque-là  plutôt douces...

[raphou96]

Si on fait le même boulot en même temps ca va pas aller

[argueti]

[argueti]

Le réalisme était rémois

Piégé par un Stade de Reims décidément intraitable à  domicile (2-0), le Racing a concédé hier à  Auguste Delaune sa première défaite depuis le 3 août. La fin de sa série d'invincibilité (12 matches) le fait reculer sur la 3e marche du podium, un point seulement devant Dijon.

« Toute série est faite pour s'arrêter », disait lundi Stéphane Cassard en évoquant l'invincibilité du Stade de Reims à  domicile. Il ne croyait pas si bien dire. Mais malheureusement pour le gardien du Racing et ses coéquipiers, c'est leur propre série d'invincibilité qui est arrivée à  son terme hier soir au stade Auguste-Delaune. Face à  des Champenois désormais riches d'un capital impressionnant chez eux (7 victoires, 1 nul, 22 points sur 24), les hommes de Jean-Pierre Papin sont tombés pour la première fois en 13 journées. Une défaite d'autant plus dure à  avaler que Reims leur a davantage donné une leçon de réalisme que de football. « Ce sera un vrai test. » Tous les Strasbourgeois étaient d'accord en début de semaine avant de se déplacer à  Reims. Ils en eurent très vite confirmation, même s'ils allumèrent la première mèche dès la 6e. La demi-volée du gauche d'Abdessadki à  l'entrée des 16 m obligea Liébus à  se coucher et à  écarter le danger d'une main gauche de fer. Mais pendant une grosse vingtaine de minutes, les coéquipiers de Yacine Abdessadki se firent bouger. Cette bonne période rémoise déboucha sur une ouverture du score plutôt logique. Un ballon piqué de Tourenne prit la défense alsacienne à  revers et Julien Féret écrasa sa volée juste ce qu'il fallait pour que le rebond propulse le ballon dans le coin opposé d'un Cassard impuissant (12e). Dans un match sans grands espaces, les Bleus reprirent peu à  peu leurs esprits. Abdessadki arriva ainsi un poil trop tard sur un centre au cordeau de Mouloungui (23e). Puis sur un corner du capitaine strasbourgeois, Strasser, seul à  3 mètres du but, fut contré in extremis par le pied de Burle (37e). Le RCS frisa pourtant la correctionnelle dans les arrêts de jeu de la première période quand Tum remit inexplicablement plein axe un coup franc de Tourenne qui filait en sortie de but. L'aile de pigeon de Fauré atterrit sur la main de Bellaïd. M. Cailleux ne broncha pas (45e+1). Sans doute vexé d'être ainsi menés, les hommes de Jean-Pierre Papin s'arrogèrent après la pause la maîtrise du ballon et des opérations. Gameiro, qui avait profité d'atermoiements dans la défense rémoise, se heurta à  Liébus (49e). Un coup franc détourné de Bellaïd plongea juste derrière la transversale (54e). Et une frappe de Gameiro encore, qui prenait la direction des filets, fut contrée par le postérieur de Giraudon (67e). Reims, étouffé, respirait difficilement. Mais au coeur de la domination alsacienne, un coup franc lui permit d'aspirer une énorme bouffée d'oxygène. Le buteur Féret se mua en passeur pour son comparse Fauré qui, de la tête, inscrivit son 7e but de la saison et assomma le RCS contre le cours du jeu (67e).

Tum sur le poteau

Tum eut l'occasion de remettre les siens en selle, mais, seul aux 9 m après un centre de Cohade, plaça son extérieur du droit sur le poteau gauche de Liébus (75e). Même l'expulsion stupide de Tiéné, qui écopa d'un second carton jaune pour avoir cherché à  gagner du temps, ne permit pas aux Alsaciens de se relever de ce «knock down ». Au contraire, Reims, plus que jamais en embuscade, fut tout près de les clouer au pilori sur deux tentatives consécutives de Féret que Cassard repoussa avec autorité (78e). À l'arrivée, un premier échec depuis le 3 août dont les conséquences sont palpables : le RCS perd un rang au classement (3e) et 3 points sur le 4e, Dijon désormais, dont le souffle lui parcourt l'échine.

« Nous n'aurions pas dû perdre »

Jean-Pierre Papin : « Je n'ai rien à  reprocher aux joueurs, sinon leur manque d'efficacité. C'est désolant, à  l'extérieur, de se procurer autant d'occasions franches, huit ou neuf, sans marquer un but. C'est ce qui m'attriste le plus. Mais ça n'enlève rien à  la victoire de Reims. Notre série d'invincibilité s'arrête, mais nous n'avions pas la prétention de gagner tous les matches. Simplement, nous n'aurions pas dû perdre celui-là . Nous avons pris une claque. Espérons qu'elle soit salutaire. Les défaites permettent souvent de remettre les pieds sur terre à  tout le monde. Elles sont faites pour ça. »

« C'est toujours pénible de s'incliner quand on n'a pas été ridicule dans le jeu. »

Hervé Tum : « Les Rémois se sont simplement montrés plus réalistes que nous. Ils ont su concrétiser leurs rares occasions. Mais nous portons le poids de cette défaite, car de notre côté, nous n'avons pas su marquer quand nous le pouvions. Dans le jeu, nous avons montré de belles choses, mais nous avons gâché beaucoup trop d'occases, moi le premier. Nous étions dans une spirale positive. Ce soir (hier), nous sommes tombés sur une équipe qui a su saisir sa chance et met ainsi un terme à  notre série d'invincibilité. Dans les vestiaires, tout le monde était triste d'avoir perdu après un tel match, particulièrement chez un rival dans la course à  l'accession. C'est toujours pénible de s'incliner quand on n'a pas été ridicule dans le jeu. »

De notre envoyé spécial Stéphane Godin

[Gotcha]

Et ben moi, tum, je vais le mettre dans le top.

oui, car je l'ai trouvé assez bon, une grande présence, énormément d'appels de balle, qu'est ce qu'il s'est battu !!! Alors oui, il n'a pas été en réussite sur son occaze, oui il a du déchêt, mais je trouve qu'il a fait un match 20 fois meilleur que celui de gameiro !!

je préfère voir un joueur qui se bat et qui en veut mais qui rate qu'un gameiro qui touche 3 ballons dans le match pour les vendanger également !!!

Flop :
: Deroff, évidemment, il nous coûte le premier but (encore à  3 metres de son défenseur), et le match, car à  1-0 l'équipe a commencé à  s'énerver et à  s'affoler, et à  balancer vers l'avant. A la mi temps, le match était plié pour moi.
: Gameiro
Lacour, que d'erreurs !

j'ai pas trouvé cohade très bon, ni abdé et mouloungui a toujours eu 2 gars sur le dos dès qu'il touchait un ballon

Bellaid a perdu presque tous ses duels, et niveau relance c'était vraiment pas terrible....

Top :
-
Tum
-

d'ailleurs, ça m'énerve un peu tout ce que j'ai entendu apres le match à  la radio, ainsi que ce que je lis sur divers forums .... Tum est entrain de devenir la cible de toutes les critiques, genre "si on ne gagne pas, c'est à  cause de tum", les gens se focalisent tellement sur ce joueur qu'ils oublient de voir qu'à  côté tous les autres autour de lui ont été pitoyables. Ca me rappelle exactement ce qu'il s'est passé avec Pagis, "celui qui a fait couler le racing"

[Its_me]

quand j'entends "le Racing a eu une floppée d'actions"... J'en vois deux, ou à  la rigueur trois, çà  s'arrête là ... Autant dire la Berezina...

Alors de mémoire :
- la "frappe" sur le poteau de Tum
- le centre devant le but de Mouloungui en tout début de match où personne ne peut al pousser dedans (étrange choix car au dernier match il était au même endroit quand il a frappé et marqué son but)
- la frappe de Mouloungui alors que le but était vide
- le contre de Tum où il remet la balle au centre pour Mouloungui qui est accroché
- la frappe de Tum à  l'entrée de la surface ... assez molle pour rouler jusqu'au gardien
- le "tir" de Strasser sur corner alors qu'il est à  2m du but, il la fout à  côté (bon ils s'y attendait pas ok)
- le controle dans la surface de Tum où il décide de remettre la balle à  Mouloungui qui shoot dans le vent
- le face à  face perdu par Gameiro alors qu'il entre sur le côté droit de la surface
- la frappe de Abdessadki qui fait plein de rebonds en tout début de match où le gardien détourne en corner
- la frappe de Gameiro à  l'entrée de la surface plein axe qui passe entre les deux défenseurs centraux mais qui est contrée par une de leur mains
- une tête de Mouloungui sur corner qui passe juste à  côté du poteau droit du gardien adverse

Avec ça on n'est pas fichu d'en mettre au moins un.