DNA a écrit :Le plein, s'il vous plaît !
Retour à la case championnat, demain soir (20h30) à la Meinau, où le Racing doit continuer à rouler au super. Même si les Corses ont pris la moitié de leurs points en voyage.
Les gants de Stéphane Cassard et Nicolas Puydebois ont chauffé hier à l'entraînement. Sous l'oeil du staff strasbourgeois, la séance a été largement consacrée aux frappes lointaines et au travail devant le but. Une aubaine pour Kevin Gameiro. Certes, quelques tirs non cadrés lui valurent une série de « pompes » en représailles. « Il faut savoir prendre des risques », chambra Gameiro à l'adresse de JPP qui ne put s'empêcher de lâcher une moue admirative lorsque son attaquant décocha l'une ou l'autre frappe croisée estampillée « Patator ».
« J'ai l'impression que la machine est lancée »
« Il y a eu beaucoup de changements au Racing avec un nouvel entraîneur, un nouveau staff, de nouveaux joueurs. Mais là j'ai l'impression que la machine est lancée, témoigne Kevin Gameiro. On a tous appris à se connaître. Dans le jeu, mais aussi dans le vestiaire. Et ça devrait payer dans la seconde partie de championnat. » Mais avant la trêve, le Racing ne va pas verser dans la facilité : Bastia demain soir, le derby à Metz vendredi prochain puis le 22 décembre la venue d'Amiens qui avait fait chuter Strasbourg dès la 2e journée. Hier, mis à part Gargorov (reprise) et Vergerolle, qui a rechuté à Vesoul, Jean-Pierre Papin disposait de tout son effectif. « La concurrence joue à fond. Un entraîneur ne peut que s'en féliciter, rappelle-t-il. Mais il y a des choix à faire et surtout expliquer aux joueurs pourquoi ils seront sur le banc. » Le constat est surtout flagrant en milieu de terrain où les retours conjugués de Yacine Abdessadki et de Romain Gasmi provoquent un début d'embouteillage avec les autres habitués des lieux : le tandem siamois Lacour-Cohade, l'option Johansen qui a marqué des points à Vesoul et l'incontournable Mouloungui, meilleur buteur du club avec 5 buts.
« Le travail est en train de payer... »
« A domicile, il ne faut pas perdre de points. Face à Bastia, la victoire est impérative, insiste Gameiro. On est chez nous, quand même... Et si le Racing ne commet pas de bêtises, si chacun fait les efforts nécessaires, on sera récompensés en fin de saison. » Côté bastiais, le discours est plus nuancé. « C'est en allant puiser au fond de soi que l'on va chercher un résultat. Or de temps en temps, on subit trop les événements, souligne Bernard Casoni. J'ai l'impression que le travail est en train de payer, mais l'équilibre reste fragile. Notre victoire à Ajaccio nous a fait du bien. Mais maintenant Bastia doit s'inscrire dans la durée. » Ce sera sans doute sans Daniel Meslin qui ne devrait pas effectuer le déplacement en Alsace. Il ressent des douleurs à la hanche, mais surtout une envie d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte. Auteur de 6 buts en moins de 700 minutes de jeu, il n'est utilisé qu'avec parcimonie par Bernard Casoni. « Je ne suis au courant de rien, affirme l'entraîneur bastiais. Mais celui qui veut partir n'a qu'à venir me voir dans son bureau et ensuite faire ses valises ! » En fin de contrat au mois de juin prochain, Meslin pourrait même quitter la Corse durant le mercato. Sedan, Brest, le Racing mais surtout Metz ne seraient pas insensibles à ses talents de buteur...
Patrick Schwertz
[06/07] 18ème J: Strasbourg / Bastia : 1-1
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Quoton titulaire demainJean-Pierre Papin a communiqué un groupe de dix-sept joueurs, ce jeudi après-midi, en vue de la rencontre face à Bastia. L'entraîneur strasbourgeois enregistre le retour de blessure de Yacine Abdessadki, absent face à Brest et Vesoul. Pascal Johansen et Jeff Strasser, suspension purgée, font partie du groupe, également. Et si Romain Gasmi, Ahmed Kantari et Abou sont laissés à la disposition de la CFA, Quentin Othon, lui, fait sa première apparition sur une feuille de match. A 18 ans, vainqueur de la Coupe Gambardella 2006 avec le Racing, ce gaucher est appelé pour la première fois.
Pour ce match de la 18e journée, l'entraîneur du Racing s'attend à « un bon match de Ligue 2. Nous avons un statut à confirmer. Tant que l'on gagnera nos matches, nous resterons dans les trois, dit Jean-Pierre Papin. Bastia est un candidat à la montée même si cette équipe compte dix points de retard aujourd'hui. Mais elle va venir pour jouer, ce qui est intéressant. Il y a quelques individualités à surveiller. »
Le technicien du Racing a même annoncé l'objectif pour les trois derniers matches de championnat de 2006: « prendre neuf points ! »
Le groupe:
Cassard, Puydebois;
Bellaid, Deroff, Devaux, Ekobo, Strasser;
Abdessadki, Cohade, Johansen, Lacour, Mouloungui, Othon;
Gameiro, Mathlouthi, Rangelov, Tum.
Les absents: L. N'Diaye (convalescent), Gargorov (mollet), Schneiderlin (suspension), Vergerolle (reprise), Gurtner (reprise), Abou, De Gea, Gasmi, Kantari, Loué, Perbet (choix entraîneur).
 (en tout cas, c'est ce que j'espère ...)
 (en tout cas, c'est ce que j'espère ...)C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
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Ca serait sympa de le voir effectivement   A moins qu'on ait droit à  Strasser à  gauche, Devaux ayant été correct pour son retour .... Mais ça serait assez stupide avec sa vitesse de papi ... J'espère donc plutôt Othon effectivement
 A moins qu'on ait droit à  Strasser à  gauche, Devaux ayant été correct pour son retour .... Mais ça serait assez stupide avec sa vitesse de papi ... J'espère donc plutôt Othon effectivement   
 
On peut aussi imaginer Lacour à gauche, même s'il n'aime pas ça, histoire de refaire jouer Johansen avec Cohade, vu la réussite à Vesoul ...
			
			
									
									
						 A moins qu'on ait droit à  Strasser à  gauche, Devaux ayant été correct pour son retour .... Mais ça serait assez stupide avec sa vitesse de papi ... J'espère donc plutôt Othon effectivement
 A moins qu'on ait droit à  Strasser à  gauche, Devaux ayant été correct pour son retour .... Mais ça serait assez stupide avec sa vitesse de papi ... J'espère donc plutôt Othon effectivement   
 On peut aussi imaginer Lacour à gauche, même s'il n'aime pas ça, histoire de refaire jouer Johansen avec Cohade, vu la réussite à Vesoul ...
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 je me disais aussi qu'il y avait un stress quand j'ai posté le message
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DNA a écrit :Balcon ou tisons
Le Racing entame, ce soir contre Bastia, la dernière ligne droite de l'année civile. D'ici la Noël, les Strasbourgeois peuvent se ménager une petite place au chaud. Ou trimer dans la froidure. C'est selon.
Si ça se trouve, le Racing passera Noël au balcon. C'est du moins le souhait clairement formulé par Jean-Pierre Papin, homme à l'optimisme inaltérable. Encore largement épargné par les frimas de l'hiver, l'entraîneur strasbourgeois rêve de passer la fin d'année en bras de chemise, pectoraux en évidence, tout là haut, au sommet de la Ligue 2. « L'objectif pour les trois derniers matches de championnat, c'est de prendre les neuf points. » Voilà pour la déclaration d'intention, annoncée sans le moindre pli de cil, dans un sourire éclatant. JPP, on le sait, ne doute jamais. Même la perspective de défier Metz, leader jusque-là invaincu, ne l'effraie pas. Même pas peur, le père Papin. Le déplacement au-delà du col de Saverne, c'est l'actualité de la semaine prochaine. Là , présentement, il s'agit déjà de franchir « le cap de Bastia. » Enfin, plus exactement, le « cap Corse », comme le précise l'entraîneur alsacien dans une inspiration soudaine.
« Il faut croire qu'ils ont des failles »
Le problème, c'est que les insulaires n'aiment pas trop, de manière générale, les plaisanteries à leur endroit, encore moins que l'on empiète sur leurs plates-bandes. Dans ce cas précis, ils ont même une furieuse envie de culbuter le Racing en son antre. C'est qu'au soir de la quatrième journée, les hommes de Bernard Casoni étaient premiers. Malgré les avatars automnaux et la dépression de leurs actions sur le marché de la remontée, ils gardent une cote élevée. « Je m'attendais à les voir dans les cinq premiers, reconnaît Papin. Il faut croire qu'ils ont des failles. A nous de trouver les bonnes. »
« Si on gagne, ça aura le parfum de la Ligue 1 »
Plutôt emballant sur le papier, le Sporting peine à dégager une cohésion sur la durée. Capable du pire - 4-0 à Montpellier -, comme du meilleur - 4-2 à Libourne -, il avance à tâtons. Un état de fait dont le Racing doit impérativement profiter, lui qui pèche hors de la Meinau. Un parcours erratique à l'extérieur ne souffre aucune baisse de régime chez soi.
La rentrée des « cadres », contraints ou laissés au repos samedi dernier en Coupe de France - Cassard, Bellaïd, Deroff, Abdessadki, Cohade, Gameiro et Tum -, permet au Racing d'avancer sous son plus beau jour. Malmené par Libourne et Brest, ces dernières semaines, il aspire à un peu plus de sérénité. De son balcon, Jean-Pierre Papin espère humer le doux air de la Ligue 1. « Si on gagne, ça en aura le parfum, conclut-il. Pour l'instant, ça n'est qu'un match de L 2. » La réalité est certainement là . Entre balcon et tisons, l'hiver sera chaud ou ne le sera pas.
Gare aux anciens
Bastia n'arrive pas à sortir du ventre mou et n'a jamais brillé face aux leaders de L 2, même si l'équipe corse s'est déjà imposée trois fois hors de ses bases.
CAMADINI DE RETOUR.- Pascal Camadini, 34 ans, retrouve ce soir un stade de la Meinau où il a évolué durant 6 ans sous les couleurs ciel et blanc. Le milieu de terrain rejoue depuis deux ans à Bastia, son club formateur. Le numéro 10 corse, qui a laissé de bons souvenirs aux supporters strasbourgeois, a marqué un seul but cette saison, à domicile face à Brest.
HISTORIQUES. - Les deux attaquants « historiques » de Bastia reviennent en forme. Frédéric Née, 31 ans, et Pierre-Yves André, 32 ans et capitaine emblématique, retrouvent leurs marques, après un début de saison émaillé par les blessures.
Frédéric Née, dont c'est la 8e saison en Corse, a souvent été remplaçant depuis le début de la saison. Il a néanmoins marqué les esprits en inscrivant le but de la victoire lors du derby corse, à Ajaccio. Pierre-Yves André, 7e saison au club, a marqué deux buts, face à Niort et face à Libourne.
ABSENTS. - Le meilleur buteur bastiais, Christophe Meslin, a déjà scoré 6 fois cette saison. Agé de 29 ans, l'attaquant a été l'auteur de deux doublés cette saison, à Libourne et à Tours. En perspective du mercato d'hiver, il serait convoité par Sedan, Brest et... Strasbourg. Victime d'une blessure à la hanche, il ne fait pas partie du groupe de Bernard Casoni.
Autre absent côté corse, le défenseur Arnaud Maire, suspendu après son expulsion en Coupe de France face à Chambéry (DHR).
CONFRONTATION. - Le dernier Racing - Bastia disputé à la Meinau remonte à la saison 2004/2005, en L 1. Les Corses, qui comptaient notamment dans leurs rangs Karembeu, Chimbonda et André, s'étaient inclinés 2 à 0 (buts de Niang et A. Farnerud).
Souvenir plus douloureux, lors de l'année de la descente en 2000/2001, le Racing de Leroy s'était incliné 4-1 à domicile, avec deux doublés signés Née et André.
PREMIÈRE. - Quentin Othon, 18 ans, fait sa première apparition dans le groupe pro du Racing. Sélectionné en équipe de France des - de 19 ans, vainqueur de la Gambardella, le minot doit son arrivée dans le groupe pro à la blessure de Vergerolle... et au fait qu'il est l'un des seuls gauchers disponibles à pouvoir jouer arrière latéral ou milieu défensif.
Sébastien Keller
L'Alsace a écrit :« Passer le cap corse »
Derrière la boutade de son entraîneur Jean-Pierre Papin, le Racing cache une farouche volonté de vaincre Bastia ce soir (20 h 30) à la Meinau et de rejeter le Sporting à 13 points.
L'histoire retiendra que le jeune Quentin Othon, joueur polyvalent de l'équipe réserve, capitaine des 18 ans l'an passé et international des moins de 19, est apparu pour la première fois sur une feuille de match professionnel ce vendredi 1e r décembre à la Meinau. Pas franchement ravi du rendement de ses latéraux gauches, Jean-Pierre Papin a en effet choisi de donner sa chance ce soir — sur le banc dans un premier temps — à celui que Jacky Duguépéroux était allé recruter du côté de Compiègne, quand Othon y croisait la route de Rudy Carlier et Kevin Gameiro, tous deux aussi originaires du coin. « C'est un bon petit joueur pour l'avenir », dit JPP de son jeune (18 ans) joueur de poche qui traverse sa – déjà – quatrième saison au RCS. Natif du « 93 » (le 27 mars 1988 à Montreuil-sous-Bois), Q. Othon est évidemment ravi de la confiance de l'ex-Ballon d'Or, même s'il n'ignore pas que ce n'est qu'un premier pas. « À l'époque, quand j'ai choisi Strasbourg alors que j'étais très sollicité, j'avais vraiment aimé le discours des dirigeants, en particulier celui tenu à mes parents. » Au-delà de l'anecdote, l'histoire pourrait aussi retenir qu'en ce 1e r décembre, le Racing a définitivement éliminé de la course à l'accession un Sporting bastiais présenté en début de saison comme l'un des épouvantails de la L 2. « Je suis surpris de retrouver les Corses 10 points derrière nous. Je m'attendais à ce qu'ils soient dans les cinq premiers, en embuscade comme nous l'avons nous-mêmes longtemps été », confie Papin qui retrouvera sur le banc d'en face son ex-coéquipier de l'OM, Bernard Casoni, partenaire de quelques parties de tarot endiablées lors des déplacements à l'époque olympienne. « Nous devrions assister à un bon match de L 2. Aura-t-il le parfum de la L 1 ? Seulement si nous le gagnons (sourire). On dit qu'il faut être deux pour faire un bon match. Jusqu'ici, nous avons souvent été seuls, face à des adversaires qui pensaient plus à fermer qu'à gagner. Bastia, qu'on présentait comme un candidat sérieux, doit, s'il veut le rester, venir s'imposer chez nous. Pour cela, les Corses vont devoir jouer. Mais pour moi, l'objectif est clair : prendre neuf points avant Noël, ce qui signifie gagner aussi à Metz dans une semaine et contre Amiens juste avant la trêve (Ndlr : ce premier match retour, initialement programmé le vendredi 22 décembre, a été avancé au jeudi 21 à 20 h 30 à la Meinau et sera retransmis sur Eurosport). Mais Bastia est une équipe très dangereuse. » Avec, notamment, un duo offensif Frédéric Née – Pierre-Yves André chevronné qui rappelle un bien vilain souvenir du côté de la Meinau. Le 9 septembre 2000, les insulaires, menés par leur infernal duo d'attaquants (un doublé chacun), étaient venus rosser le RCS de Claude Le Roy, débarqué deux mois plus tard (4-1).
« En L 2, tu te fous d'être brillant »
« Strasbourg n'est peut-être pas le meilleur endroit pour se relancer », juge six ans plus tard le plus Alsacien des Corses, Pascal Camadini, ancien de la maison bleue de 1999 à 2005, « J'ai vu jouer le Racing deux ou trois fois. C'est costaud, difficile à bouger. Pas toujours très brillant. Mais en L 2, tu te fous d'être brillant. Seuls les résultats comptent. » Le Bastiais est bien placé pour le savoir, puisque son équipe, première avec 10 points après quatre journées, n'en a engrangé que 13 lors des 13 suivantes. Après avoir bu la tasse à Reims (défaite 2-0), ramé contre Libourne (2-1 à la 95e) et failli rester à quai à Brest (1-1), le RCS espère, lui, reprendre son rythme de croisière et continuer à voguer vers les eaux calmes de la L 1. Gare toutefois : le cap corse n'est jamais facile à doubler.
Confiance à Johansen
Ils ne seront que quatre. Quatre présents ce soir dans le onze titulaire qui figuraient déjà dans l'équipe de départ samedi à Vesoul. Si Mouloungui, Strasser et Lacour, hommes de base de Jean-Pierre Papin, font sans surprise le lien, le maintien de Pascal Johansen constitue un petit événement. Le Colmarien, auteur d'un but et deux passes décisives en Haute Saône et grand artisan de la qualification pour le 8e tour de Coupe de France (3-1), « mérite de continuer », selon JPP. « Pascal a agréablement surpris à Vesoul et un Pascal en forme est un vrai joueur de L 1. » Pour son retour de blessure après une absence de deux matches, le capitaine Yacine Abdessadki reculera donc sur le flanc droit de la défense, Yves Deroff, laissé au repos à Vesoul, coulissant sur le flanc gauche. Les latéraux habituels de ce couloir gauche, Abou et Ahmed Kantari, sont laissés à disposition du groupe CFA qui reçoit Epinal demain (16 h), tout comme Perbet, Loué, De Géa, Gasmi (« qui a besoin de temps de jeu », dit Papin) et Rangelov, 17e ce soir s'il n'y a pas de pépin de dernière minute. Pour relancer Tum, Gameiro, Cassard, Bellaïd, Deroff, Cohade et Abdessadki, l'entraîneur strasbourgeois a dû faire des choix. Dont certains très délicats. « Ça m'a posé problème de sortir Jean-Christophe Devaux de l'équipe, car il m'avait bien plu à Brest et a fait son job à Vesoul. Mais Habib (Bellaïd) a, à mon sens, davantage le type de jeu pour contrer André. » A Bastia, la suspension d'Arnaud Maire permettra à Florent Laville, absent deux mois après une opération des cervicales, de revenir directement dans l'axe de la défense. Eric Marester, Frédéric Mendy et Florent Ghisolfi retrouvent leur place.
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