[06/07] 19ème J: Metz / Strasbourg : 4-1
- argueti
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DNA a écrit :Appel à la sagesse
Le football français est à nouveau pris en otage par la violence. Du coup, le déplacement sensible à Metz de quelque 600 supporters alsaciens, vendredi, est placé sous haute surveillance. Au Racing, dirigeants et supporters se mobilisent pour limiter les risques.
D'un coup d'un seul, l'actualité est redevenue nauséabonde et brûlante. Partie de Paris, voilà deux semaines, l'onde de violence se répand bien au-delà de la Porte de Saint-Cloud. Là où un garçon, Julien Quenemer, a trouvé la mort, tué par un policier après la rencontre PSG - Hapoël Tel-Aviv. Jeudi soir, à Nancy, des hooligans néerlandais ont mis la ville et le stade sens dessus dessous. Le lendemain, c'est le Racing qui a « hérité » des résidus de bêtise, une vingtaine de crânes rasés du Feyenord Rotterdam venant prêter main forte à la petite frange d'excités alsaciens (lire nos dernières éditions).
« La rencontre la plus sensible de l'année »
C'est dans ce contexte alarmiste que les Strasbourgeois se déplacent vendredi à Metz. « C'est un derby très chaud, certainement la rencontre la plus sensible de l'année pour nous », confirme Serge Cayen, responsable de la sécurité au Racing. J'en appelle à la sagesse de tous. » Voilà deux ans, c'est plutôt l'énervement et la haine qui avaient dicté la conduite du peuple bleu. Le court déplacement en Moselle avait tourné au vilain. Bagarres, à l'arrivée au stade, avec les forces de l'ordre, dégradations en tout genre, slogans fascistes et fumigènes lancés dans les tribunes adverses avaient jeté l'opprobre sur l'ensemble des supporters alsaciens, les Ultras Boys 90 en particulier. « On s'en était défendu à l'époque, rappelle Cédric, dit « Kenny », le vice-président de l'active association. Ces agissements étaient l'oeuvre de quelques "indépendants" qui n'ont rien à voir avec notre mouvement. C'est toujours tentant de faire l'amalgame entre supporters et casseurs dans ces cas-là . » Serge Cayen ne dit pas autre chose, lui qui a instauré un vrai rapport de confiance avec les responsables des associations strasbourgeoises. « Les débordements sont de nature exceptionnelle et ne concernent que peu d'individus, souligne-t-il. Les leçons ont été retenues. On a voulu responsabiliser les intéressés. Ils sont plus regardants sur les intentions des gens qu'ils emmènent dans leurs bus. »
« On ne fait que déplacer et amplifier le problème en dehors des stades »
Si le déplacement de la grande majorité des supporters sera organisé donc encadré, rien n'empêche les "indépendants" de rallier Metz par leur propre moyen et d'échapper ainsi aux contrôles strasbourgeois. Responsable du carré réservé aux visiteurs - le « parcage » messin peut accueillir 600 personnes -, le Racing en interdira l'accès à « ceux qui se sont mal comportés par le passé », ainsi qu'aux personnes en « état d'ébriété ». Ce matin, Serge Cayen est attendu en Préfecture de Metz pour peaufiner les derniers détails. Si l'Etat a enfin décidé d'utiliser l'arsenal juridique censé dissuader les fauteurs de trouble, personne ne peut garantir une soirée sans heurts. « Dans une enceinte de spectacle où se réunissent plus de 15 000 personnes, on n'est jamais à l'abri d'un geste idiot », conclut Cayen. Car, comme le rappelle « Kenny », ce n'est pas la juxtaposition de mesures coercitives qui va éradiquer la violence. « En s'inspirant des modèles répressifs anglais ou hollandais, on ne fait que déplacer et amplifier le problème en dehors des stades, dit-il. Les mouvements se politisent et se radicalisent. » Il est vrai que le racisme et la bêtise humaine dépassent, et de loin, le cadre du foot. Tout cela n'est pas très rassurant...
Sébastien Keller
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ça va être sympa le match, parce que ça c'est la tactique de metz, alors si les deux font pareil ça va être bien chiant ....Goose a écrit :Non si on en prend un on risque de se rebeller. A vrai dire Metz et une équipe qui joue pas trop au ballon on bétonne derriere et on envoi nos attaquant en contre? Jpense qu'on peux y faire un résultat
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.

						
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DNA a écrit :Aux ambitions retrouvées
Tranquille leader de Ligue 2, le FC Metz renaît aux ambitions. Sans bruit ni effets de manche, le club lorrain travaille dans la sérénité à retrouver l'élite du football français. Visite guidée de la maison grenat, à deux jours du derby contre le Racing.
Sa maison est là , sise le long du canal, tout au bout d'un chemin à peine carrossable. C'est un petit immeuble gris, un peu tristounet, que les hautes baies vitrées peinent à égailler. Le seul trait de couleur est grenat. Sur la façade, le blason du FC Metz - un dragon et la croix de Lorraine - signifie au visiteur qu'il ne s'est pas égaré du côté d'un bureau anonyme des forges industrielles. Tous les matins, Charles Molinari, dit Carlo, en franchit les portes d'un pas alerte. Le petit bonhomme à la bouille ronde est ici chez lui. « Bonjour Monsieur le président. » Au siège social, il n'est pas un employé qui manque à ses devoirs les plus élémentaires. Ce matin, un couple de retraité demande à prendre la pose aux côtés de celui qui incarne à lui seul l'image du club mosellan.
« Je dirige une grande PMI de 129 salariés »
Carlo Molinari, c'est un monument. Arrivé aux affaires du FC Metz en 1967, il se considère « presque comme un patriarche. » Hormis une courte période de bisbille avec la mairie, qui l'a vu prendre du recul cinq ans durant, celui qui va sur ses 74 ans a toujours contribué au développement du club mosellan, comme d'autres veillent sur leurs enfants. « Quand je suis arrivé, il y avait 35 salariés dans l'association, sourit Molinari. Aujourd'hui, je dirige une grande PMI qui emploie 129 salariés à temps plein. » A force de rigueur, de compétence et de passion, mais aussi « de sagesse, celle que j'a pu acquérir au contact de grands personnages comme Jean Sadoul, Fernand Sastre ou Jacques Georges », le président est parvenu à inscrire son club dans le paysage de l'élite française. Modèle de stabilité, s'il en est, le FC Metz compte à son actif trente-cinq saisons au plus haut niveau. De quoi vous asseoir une réputation. Ces dernières années, pourtant, le vent a commencé à tourner. Dans l'ombre envahissante du voisin nancéien, les Grenats ont doucement piqué du nez.
« Cette deuxième régression m'a plus touché »
La relégation, au printemps 2002 - avec Gilbert Gress appelé à la rescousse -, constitue une première anicroche dans un parcours jusque-là rectiligne. Cet « accident de parcours », selon Molinari, dû à une « insuffisance sportive » est vite gommé puisque l'équipe remonte dans la foulée. En fin de saison dernière, Metz reprend place dans le mauvais wagon, aux côtés du Racing et d'Ajaccio. « Cette deuxième régression m'a plus touché, concède le président. Là , c'est un énorme gâchis. La mentalité était mauvaise, les joueurs ne se sont jamais intégrés. Notre image de stabilité a été écornée. » Engagé dans une nécessaire période de récession budgétaire, le président accorde, comme souvent, sa confiance aux hommes du sérail. Joël Muller, entraîneur « historique » de la maison grenat, n'est pas parvenu à maintenir l'équipe. Qu'à cela ne tienne, il est promu directeur sportif, poste jusque-là inexistant. « Nous sortions d'une saison particulièrement pénible, où nous avons été relégables de la première à la dernière journée, raconte Muller, dont le bureau est à l'opposé de celui du président. Globalement, ces dernières années, on s'était un peu endormi et on vivait au jour le jour. Il a fallu tirer le bilan de nos erreurs et repenser un projet d'avenir. » Au quotidien, la tâche est confiée à Francis De Taddeo. Novice sur le banc pro, celui qui a fait ses classes au centre de formation messin prend les rênes d'une équipe en pleine reconstruction. Pas moins de seize départs, contre treize arrivées, animent le mercato estival. A l'heure des déclarations d'intentions, Metz se montre prudent. Contrairement au Racing, où Philippe Ginestet annonce la couleur : la remontée, rien que la remontée.
« On défend bien. Alors, lâchement, je continue »
Six mois plus tard, les Lorrains caracolent en tête de la Ligue 2. Neuf points les séparent de Strasbourg, onze de Dijon, équipe placée juste en-dessous de la ligne de promotion. Un gouffre. Dans le bureau spartiate de l'entraîneur, sous les tribunes de Saint-Symphorien, la même prudence, mâtinée d'une excessive dose d'humilité, est de mise. De cette incroyable réussite - treize victoires, dont 8 sur 8 à domicile -, De Taddeo, grand gaillard à la tignasse grisonnante, se garde bien de livrer le secret. Quitte à se montrer sibyllin ou à noyer le poisson à renfort d'ironie. Essayons quand même. La vocation défensive de l'équipe, peut-être ? « Vous avez certainement raison, sourit-il. Dans le football, ce qui est bien, c'est que tout le monde a raison. On défend bien, oui. Alors, lâchement, je continue. » La richesse de l'effectif qui, avec 45 garçons à l'entraînement, constitue un record à ce niveau ? « Il y a des avantages et des inconvénients. C'est le même dilemme entre avoir une belle femme et une femme qui fait bien l'amour. » Bien, bien...
« Une croisade pour retrouver une crédibilité sportive »
Tout au plus, on apprendra que l'homme se montre terriblement exigeant avec des garçons engagés « dans la croisade pour retrouver une crédibilité sportive. » De son premier métier - barman -, il a appris « l'oecuménisme » et une « grande capacité à souffrir. » Sur le terrain annexe, les Messins en terminent avec leur séance d'entraînements. Sébastien Bassong et Papiss Cissé chambrent Julien Cardy, parti dans une série de « jongle ». Joël Muller est passé en coup de vent. Le président Molinari, lui, a été retardé par un rendez-vous chez l'ophtalmologue. Ce matin, « Monsieur le président » retrouvera sa maison, sise le long du canal. Là où les grandes ambitions, même inavouées, prennent corps.
« Des choses à prouver »
Promu directeur sportif, Joël Muller est à l'origine du recrutement « intelligent » du FC Metz. Ou comment réaliser des miracles avec des bouts de ficelle...
- Votre équipe survole aujourd'hui la Ligue 2, au sortir d'une saison traumatisante ponctuée par une relégation. Comment expliquer cette renaissance ?
- Nous avons su tirer les leçons de nos erreurs. Je ne parle pas uniquement de la saison écoulée, mais de ces dernières années. Il a fallu revenir à la base, redessiner un plan d'avenir en donnant la priorité à l'aspect sportif. Ça passe par une remontée rapide en Ligue 1. Même si le championnat est encore long, on est engagé sur la bonne voie.
- Pourtant, avec tous les mouvements durant l'intersaison, une telle réussite ne paraissait pas évidente...
- Il a fallu rebâtir une équipe suffisamment talentueuse et revancharde pour relever le défi. La mission confiée à Francis (De Taddeo) n'était pas simple. On partait un peu à l'aventure. Après une saison ratée, en particulier à cause de la mentalité, l'aspect humain nous a paru prépondérant. Notre recrutement a été basé là -dessus. Prenez Diop, qui est passé au Racing voilà quelques années. Il a le vécu de la L 2. Delhommeau, lui, était en difficulté sportive à Nantes. François, qui n'était pas parvenu à s'imposer chez nous, est arrivé à maturité à Grenoble. Notre capitaine, Marichez, était 3e gardien l'an dernier. Et puis il y a ceux qui, comme Obraniak, Béria ou Gueye, ont connu la déception de la descente. Enfin, il y a le groupe de jeunes, à l'image de N'Diaye ou de Bassong, qui se sont aguerris au contact de la L 2.
- Que représente le match de vendredi contre le Racing ?
- Ça pourrait être une belle rencontre de première division... Dans notre situation, affronter le Racing constitue un bon test. Au terme du cycle aller, on peut conforter notre avance sur le quatrième. Ce serait idéal pour ne pas laisser de prise au doute. On s'attend à un match délicat, un derby serré et engagé avec tout le plaisir que ça comporte. Je retrouverai avec plaisir un garçon comme Jeff Strasser, que j'avais lancé à l'époque et qu'on a essayé d'attirer cet été. Sans succès !
Sébastien Keller
- argueti
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Belle ambiance en ce momentL'Alsace a écrit :Et si c'était physique ?
Le coup de moins bien du RCS depuis un mois serait-il lié à la très lourde charge de travail physique qu'impose Jean-Pierre Papin à ses troupes ? Hier, pour la première fois, les joueurs se sont posé la question tout haut.
Depuis des semaines, les couloirs de la Meinau bruissaient de quelques échos. Et il a suffi de quelques résultats en dents de scie (5 points sur les 4 derniers matches) pour que lesdits échos s'amplifient. Hier midi en point presse, Jeff Strasser et Hervé Tum, les deux anciens Messins de l'effectif strasbourgeois, ont, sans verser démesurément dans la polémique, fait part de leurs interrogations à une presse qui les avait invités à s'exprimer sur leur passé « grenat ». Jean-Pierre Papin ne s'en cache pas : il lie intimement les résultats à l'irréprochable condition physique de son groupe. Héritage, sans doute, de sa période au Milan AC. C'est précisément à une avant-saison à la Milanaise que Claude Le Roy avait, à l'été 2000, convié ses hommes sur les hauteurs de Munster. À l'époque, les Racingmen n'avaient cessé de crapahuter en montagne. Résultat : ils avaient attaqué la saison, celle qui devait les conduire en Ligue 2, avec neuf blessés. Depuis un moment déjà , certains de leurs successeurs bougonnaient, en aparté, sur la charge de travail que leur impose le coach. D'aucuns y voyaient même une relation de cause à effet avec leurs entames de match poussives. « S'il nous faut souvent une demi-heure pour trouver le rythme, c'est que nos jambes sont lourdes au coup d'envoi », glissait l'un d'eux voici trois bons mois. Hier, sans vouloir s'étendre, Hervé Tum a tout de même embrayé sur le même thème. « On pourrait peut-être bosser moins physiquement. Ça nous donnerait plus de jus lorsque nous abordons les matches. »
« A Strasbourg, nous n'avons pas le loisir de souffler »
C'est bien connu : les – bons – résultats tuent d'ordinaire les revendications dans l'oeuf, puisqu'ils légitiment la méthode. Une méthode qui consiste notamment à programmer une heure de fractionné (des séries de sprint) au lendemain d'un match contre Châteauroux que les joueurs ont fini sur les rotules. Ou qui impose de longues séances de plus de deux heures 48 h après une rencontre et avant une autre, alors que le surlendemain de match est d'habitude jour de repos. « On ne retrouve pas depuis quelques matches l'équipe du début de saison. Nous avons de gros problèmes en début de match », reprend Tum, agacé, comme les attaquants, de concentrer les critiques. « Les attaquants en sont la cible. Ils ne marquent pas. C'est pénible pour nous. Je suis moi-même frustré de mon bilan (4 buts en 18 journées). Mais sont-ils mis dans les meilleures conditions ? » Jeff Strasser tient, sans concertation, sensiblement le même discours que son coéquipier. « Nous sommes début décembre. Peut-être avons-nous besoin de souffler un peu après quatre mois de compétition. Malheureusement, à Strasbourg, nous n'en avons pas vraiment le loisir. » L'international luxembourgeois, qui en a vu d'autres, n'est pas du genre à se défiler lorsqu'il faut défendre ses opinions, même lorsqu'elles touchent à la tactique. « Au Racing, on presse très haut. Du coup, avec des lignes rapprochées, les espaces pour nos attaquants sont réduits. Je n'en ai pas vu pour eux ces dernières rencontres. Sans compter qu'à défendre très haut face à des attaquants rapides, on s'expose. Ce sera le cas si nous évoluons ainsi à Metz contre Babacar Gueye (10 buts) et Papiss Cissé (8 buts). En tant que joueur, on a le droit de donner son avis. Après, on ne discute pas du concept. C'est de la responsabilité du coach. » Même s'il n'en a pas fait état hier, le Luxembourgeois est allé voir Jean-Pierre Papin voici une dizaine de jours pour lui demander d'alléger le travail foncier. Il s'est vu opposer une fin de non-recevoir polie, mais ferme. JPP n'ignore cependant pas que si les bons résultats aident toujours à faire passer certaines pilules, une série moins faste peut vite leur donner un goût amer et les coincer en travers du gosier de ses ouailles. C'est un paramètre dont il va devoir tenir compte avant les deux derniers matches 2006 de L2 – à Metz vendredi et contre Amiens le 21 décembre à la Meinau – qui s'annoncent comme autant de tournants en cet automne moins clément pour les Bleus que la météo.
Devaux ménagé
Jean-Christophe Devaux, victime d'une légère tension à l'adducteur, a prématurément quitté l'entraînement hier matin. Simple mesure de précaution, semble-t-il. Sa participation au déplacement de vendredi (20 h 30) à Metz, où il remplacera dans l'axe de la défense Habib Bellaïd, suspendu après son expulsion contre Bastia, n'est pas remise en cause. Pour la 2e journée consécutive, Eric Mouloungui, en délicatesse avec un mollet, s'est, lui, contenté d'un programme allégé. Il devrait recommencer à courir ce matin et réintégrer le groupe jeudi après-midi.
Stéphane Godin

- urotsukidogi
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Je susi convaincu que ce n'est pas la charge de travail mais plus l'organisation de jeu qui est à  remettre en cause.
Au niveau ambiance, les joueurs parlent et évoquent les difficultés et ben si ça peut faire marcher mieux l'équipe pourquoi pas.
Maintenant, le racing n'est pas meilleur après les trêves internationales, alors, la fatigue....
			
			
									
									Au niveau ambiance, les joueurs parlent et évoquent les difficultés et ben si ça peut faire marcher mieux l'équipe pourquoi pas.
Maintenant, le racing n'est pas meilleur après les trêves internationales, alors, la fatigue....
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Nico
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Plutôt ouaiurotsukidogi a écrit :Je susi convaincu que ce n'est pas la charge de travail mais plus l'organisation de jeu qui est à remettre en cause.
Et si la charge serait tellement on aurait surement encore plus de bléssés, vu que cette saison c'est encore raisonnable par rapport à d'autres
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