[06/07] Le Fil Rouge

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raphou96
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Message par raphou96 »

Ou le match de la prise de la 1ère place, là  le derby serai excelent !!
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Keating
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Message par Keating »

On finit avec Metz à  la Meinau et Dijon chez eux, autant dire que ça va être chaud jusqu'au bout :?
anonix
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Message par anonix »

A mon avis ca sera le gros suspense jusqu'au bout !
Stan
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Message par Stan »

L'idéal serait d'avoir relégué Dijon au moins à  4 points avant la dernière journée, parce que si jamais c'était le match qui décidait de la montée entre les 2 clubs, j'imagine déjà  les Dijonnais créer la sensation, poussés par leur public.. :oops:

Mais bon, moi j'imagine les choses un peu autrement..

Metz et Caen s'échappent, Caen finit premier juste devant Metz.

Derrière eux, un gros fossé et Le Havre qui revient très fort nous batailler la 3ème place..
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Bleus azur, Bleus pâles

Le Racing est installé sur la troisième marche du podium de la Ligue 2. A mi-parcours, les Strasbourgeois sont donc dans les clous. Mais le chemin vers la remontée est encore long et parsemé d'embûches. Entre optimisme raisonné et inquiétude contenue, les coeurs balancent...

UN EFFECTIF COMPLET

Premier point positif du Racing version L 2, un effectif pléthorique. Fini le temps des noms ronflants et des starlettes improbables, place aux recrues qui mouillent le maillot, à  l'image de Cohade ou de Tum. A ces revanchards s'ajoute une dose de sagesse indispensable, avec quelques hommes d'expérience qui ont évolué en Ligue 1. Jeff Strasser, vrai patron de la défense, l'indispensable patte du capitaine Abdessadki, ou encore l'inusable Stéphane Cassard. Ne suffit plus qu'à  ajouter à  ce cocktail la touche jeunesse, plébiscitée par JPP. A l'image de Bellaïd, qui ne cesse de grandir, de l'inattendu Jean-Christophe Vergerolle et des attaquants en devenir, comme Mathlouthi ou Gameiro.

« LA HAINE DE LA DEFAITE »

Motiver ses troupes n'est pas chose facile. Jacky Duguépéroux en a fait la triste expérience l'an dernier, alors qu'un Racing a priori talentueux, mais sans âme, s'enfonçait dans les abîmes du classement de L 1. Jean-Pierre Papin, lui, veut faire du « mental » le principal atout. Il a su insuffler à  son équipe sa « haine de la défaite. » Jusqu'à  présent, le coach n'a pas été déçu par ses troupes. Même menés au score, même réduits à  10, les « guerriers » de JPP ne lâchent pas prise. Et ont réussi cette année quelques retournements de situations bienvenus, grappillant le point du match nul (Bastia, Niort) par-ci et une victoire inespérée (Libourne) par-là . Même quand la défaite se fait cruelle, le Racing y voit des raisons d'espérer. « Il faut apprendre de nos erreurs et se servir des défaites pour rebondir, il faut rester positif », expliquait Stéphane Cassard quelques minutes après la claque prise à  Metz (4-1). Des propos que JPP n'aurait pas renié. De quoi prouver, si besoin est, que le discours du coach passe bien.

MEINAU IMPRENABLE

Rendre à  la Meinau son caractère imprenable était l'un des objectifs annoncés par le staff du Racing. Pour l'instant, seuls trois couacs - nuls contre Bastia, Le Havre et Dijon - sont venus tempérer le plaisir d'un public strasbourgeois qui a redécouvert le goût de la victoire. Pour le reste, les Strasbourgeois ont tenu le rythme, empochant huit victoires pour onze matchs à  la Meinau. Seuls Metz et Caen font mieux. De quoi faire revenir les spectateurs, dont le nombre a oscillé entre 12 000 et 15 000 lors de chaque match à  domicile. Avec un record - provisoire - lors de la venue de Caen (16 173 spectateurs).

LIMITES DANS LE JEU

« Vaillant à  défaut d'être brillant. » En une phrase, Philippe Ginestet résume assez bien la situation. Malgré le pécule appréciable amassé depuis fin juillet - 37 points sur les 60 mis en jeu -, le Racing n'affiche pas la sérénité qui sied à  un candidat déclaré à  la montée. Souvent à  la limite de la rupture, rarement en mesure de contenir un adversaire de bout en bout, jamais à  l'abri d'une mauvaise surprise, les Strasbourgeois semblent perpétuellement jouer avec le feu. Leur fonds de commerce, à  savoir le jeu, n'est pas assez riche pour intimer le respect. L'absence d'un véritable bâtisseur y est certainement pour beaucoup. L'arrivée récente de Pascal Camadini, homme d'expérience aux qualités techniques reconnues, pourrait en partie pallier ces carences. En outre, le Racing ne dispose pas d'un buteur patenté. Aux côtés de Tum, indispensable travailleur, personne ne s'est dégagé. Le manque de réalisme offensif est compensé par la réussite sur coups de pied arrêtés - quand même la moitié des 26 buts inscrits. Toujours est-il qu'il ne faudra pas se tromper lors du mercato d'hiver. Le renfort, M'Bodji ou un autre, devra trouver le chemin des filets.

LE DISCOURS ET LA METHODE

Si le discours de Jean-Pierre Papin se veut clair, concis et teinté d'optimisme, sa méthode est plus difficile à  cerner. La gestion difficile du cas Johansen, la mise à  l'écart d'Abou, les choix tactiques parfois surprenants en début de saison et un recrutement pas forcément pertinent - des dix nouveaux arrivés de l'été, seuls Cohade, Strasser et Tum sont titulaires -, viennent rappeler que le Ballon d'Or débute sur le banc des pros. Un statut de néophyte qui ne le perturbe pas. JPP ne doute jamais. De rien. Son credo, c'est « rigueur, travail, solidarité. » Les résultats plaident en sa faveur, les critiques sur le fond étant jusqu'à  présent nulles et non advenues. Mais la ligne directrice est parfois floue. Entre spontanéité et impulsivité, sérénité et agitation, la frontière est ténue. En cas de mauvaise série, le temps pourrait vite tourner au vilain...

LE CALENDRIER

Le plus dur est à  venir, et ça n'est pas rien de le dire. Dans les cinq prochains mois, le Racing sera attendu au tournant. Les déplacements chez tous les adversaires directs - Metz mis à  part - constituent autant de tournants à  aborder avec un maximum de confiance (voire notre infographie). Piètres voyageurs - deux victoires, quatre nuls, trois défaites, soit seulement la neuvième équipe à  l'extérieur -, les hommes de Papin devront indubitablement muscler leur jeu hors de la Meinau, où ils devront en découdre à  dix reprises. En contrepartie, les huit rencontres à  domicile verront défiler des formations plus modestes. Mieux vaut, en tout cas, se constituer un petit matelas avant le sprint final. Car les trois dernières journées risquent fort de ne pas être de tout repos.

Ba.Sch. et Séb.K.
;)
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Le compte est bon

Si le jeu ne l'a pas toujours été, le bilan comptable du RCS à  la trêve de Noël est largement positif. Analyse d'un redressement après le traumatisme de la relégation.

Jean-Pierre Papin l'avait annoncé à  son arrivée fin juin : il voulait que le groupe vive, respire la bonne humeur et retrouve une joie de jouer selon lui un peu perdue la saison passée, au fil d'une année poissarde conclue par la relégation. Il a - en partie - atteint son objectif. Avec des préceptes peu orthodoxes, parfois observés avec une certaine circonspection hors de son groupe, voire en son sein même, JPP s'efforce d'inculquer à  ses hommes son inaltérable optimisme. Conforté par un bilan comptable qui plaide largement en sa faveur, il apparaît comme le plus convaincu des adeptes de la méthode Coué qu'on ait vu passer à  la Meinau ces dernières années. Laquelle méthode - on le sait bien - n'a en football pour seule limite que les résultats.

Une volonté farouche

À grand renfort d'humour potache, quitte à  franchir parfois les frontières de la bienséance (avec la désormais légendaire « Coupe du couillon », organisée chaque semaine à  l'entraînement, et dont le trophée, remis solennellement en fin de séance, a fait sortir quelques yeux de leurs orbites — sans mauvais jeu de mots), Papin estime être « l'entraîneur que j'aurais aimé avoir », comme il le déclarait sans fausse modestie il y a quelques semaines devant la presse. En clair, il entretient sciemment une proximité avec ses hommes, en restant, quelque part, le - grand - joueur qu'il a été. Mais cette ouverture d'esprit portée en étendard a son revers : une volonté farouche d'être suivi dans son message et son mode de gestion, version « Je ne veux voir qu'une tête dans les rangs. » En clair, tout va très bien, Madame la Marquise, tant que le discours de ses joueurs reste policé. Un concept difficilement attaquable au demeurant, mais que le technicien Papin ne s'est pas toujours appliqué à  lui-même.
Ainsi a-t-il d'abord soupçonné Jean-Christophe Devaux (six ans et demi au club, buteur héros de la finale de la Coupe de la Ligue 2005) et Emil Gargorov, longtemps blessés, « de se croire au Racing comme au club Med ». Quelque temps plus tard, conscient sans doute d'avoir froissé certaines susceptibilités, il s'en est tiré par une pirouette en commentant le retour en grâce et en forme d'un Devaux stupéfait de s'être découvert, par presse interposée, amateur de farniente, alors qu'il pestait à  l'époque de ne même pas pouvoir poser le pied par terre à  cause d'une vilaine talonnade. « C'était pour piquer son amour-propre », a désamorcé le Ballon d'Or 1991 avec son éternel sourire candide. Ainsi a-t-il aussi mis à  l'index l'Egyptien Abou pour déficit d'intégration et… cramponnage inadapté. À Brest le 20 novembre (1-1), le latéral gauche avait été remplacé à  la mi-temps et essuyé l'ire publique de son entraîneur. « Quand je vois un joueur évoluer sur un terrain glissant avec des crampons moulés, je ne peux pas être d'accord. C'est une faute professionnelle », s'était emporté celui-ci. Ce jour-là , la moitié de l'équipe évoluait pourtant avec des moulés à  lamelles.

àŠtre utile ou jouer les utilités

On ne reviendra évidemment pas ici sur le cas de Pascal Johansen lâchant comme un aveu dans notre édition de vendredi : « Les sourires de façade et l'hypocrisie, ce n'est pas trop mon style. » Le Colmarien se prépare à  faire ses bagages vers une autre destination, lassé de jouer les utilités. Une expression qui colle parfaitement au statut d'une bonne moitié de l'effectif, l'autre étant forcément ravie d'être indéboulonnable ou presque dans un système où le « turnover » se limite aux seules blessures, maladies et suspensions. Comme un groupe largement renouvelé à  l'intersaison, « coach JPP » est encore en apprentissage dans le milieu pro. Son enthousiasme, sa fraîcheur et ses blagues potaches se doublent parfois du côté sombre de la farce : une maladresse sans malice. Mais après 20 journées, les faits sont là  et parlent pour lui. Malgré un fort ralentissement en novembre, le « train Racing », comme dirait le président Philippe Ginestet, est sur la bonne voie, remis dans le sens de la marche après son déraillement de la saison dernière. Et son conducteur n'y est évidemment pas étranger.

Un pécule pour voyager loin ?

Le RCS aborde la deuxième moitié de saison à  la 3e place - la dernière à  valider un ticket pour la L 1 - avec quatre points d'avance sur ses poursuivants. Un capital précieux avant de se déplacer 10 fois lors des 18 dernières journées. Bilan à  la trêve, point par point.

Avec 10 victoires, 7 nuls et 3 défaites, le Racing a donc quitté 2006 sur un bilan comptable largement bénéficiaire, même si sa différence de buts (+ 9, la 4e de L 2, loin des + 21 de Metz et + 20 de Caen) tend à  prouver qu'il n'a jamais vraiment survolé son sujet. Ainsi n'a-t-il pas remporté un seul succès par trois buts d'écart ou plus, alors qu'il a volé en éclats à  Metz (1-4). Mais sa 3e place (5e attaque avec 27 buts inscrits, 4e défense avec 17 encaissés) et, surtout, ses quatre points d'avance sur des Havrais quatrièmes lui offrent néanmoins « un joker » appréciable, comme le soulignait Jean-Pierre Papin jeudi dernier au soir du succès sur Amiens (1-0). Reste à  espérer qu'ils lui permettront aussi de voyager loin. Car JPP et sa troupe se déplaceront à  10 reprises sur les 18 dernières journées, avec quelques expéditions gratinées au menu : Châteauroux, Le Havre, Grenoble, Caen et Dijon. Les trois dernières étapes 2006-2007 (à  Bastia, contre Metz et à  Dijon) s'annoncent particulièrement escarpées. Surtout lorsque l'on sait que le programme des Dijonnais (comme celui d'Amiens) ne recèle plus que 8 déplacements (pour 10 réceptions) et celui de Châteauroux, 9. Ce constat, sans être inquiétant, appelle toutefois une certaine vigilance. D'autant que si le RCS est intraitable à  domicile ou presque (3e avec 8 victoires, 3 nuls, ­ 6eattaque avec 17 buts, 3e défense avec 5 concédés), son comportement hors de ses bases est plus erratique. Il n'y pointe qu'au 9e rang, avec 10 points pris sur 27 (2 v, 4 n et 3 d), n'y possède que la 10e attaque (9 buts inscrits), mais s'y appuie sur la 4e défense (12 buts encaissés) pour un goal-average de — 3. « La grosse différence, c'est que nos adversaires vont devoir nous battre alors que nous aurons seulement besoin de ne pas perdre », clame un JPP toujours optimiste à  l'évocation de cet ardu cycle retour. Avec une certaine justesse, convenons-en.

LES JOUEURS

Jean-Pierre Papin a utilisé 28 joueurs lors de cette première partie de saison en L 2. En vingt journées, seuls 9 ont passé le cap des 900 minutes de jeu, soit l'exacte moitié des 1800 disputées (compte non tenu du temps additionnel). À cela, plusieurs explications : les longues blessures de certains (Devaux, Gameiro, Vergerolle, Kantari et Johansen, même si ce dernier est, depuis, régulièrement mis à  l'écart) ; l'arrivée tardive d'un Camadini appelé à  s'ancrer dans le onze de départ ; certains soucis à  quelques postes ciblés, comme celui de latéral gauche, entre le départ de Boka, la blessure de Vergerolle, l'intermède jugé insuffisant de Kantari et la mise à  l'écart d'Abou, « borduré » par Papin pour déficit d'implication dans la vie du groupe ; enfin, la propension de JPP à  s'appuyer, contre vents et marées, sur un inaltérable noyau dur.
Un seul Strasbourgeois a disputé l'intégralité des 20 rencontres : le gardien Stéphane Cassard, impeccable et indétrônable. Le détail : Cassard (20 matches, 1800 minutes), Tum (20, 1572), Abdessadki (19, 1692), Deroff (19, 1670), Cohade (18, 1616), Lacour (18, 1589), Bellaïd (16, 1359), Mouloungui 15 (1069), Rangelov (14, 573), Strasser (13, 1160), Mathlouthi (12, 336), Ekobo (11, 831), Johansen (11, 534), Gasmi (10, 513), Gameiro (10, 496), Vergerolle (7, 623), Perbet (7, 375), Kantari (6, 426), Boka (5, 423), Devaux (4, 310), Abou (3, 208), Loué (3, 117), De Géa (3, 103), Othon (2, 107), Gargorov (2, 74), Schneiderlin (2, 63), Camadini (1, 90), Locatelli (1, 1). À noter que trois joueurs sous contrat professionnel n'ont pas évolué en L 2 cette saison : le gardien remplaçant Nicolas Puydebois (Ndlr : toutefois aligné trois fois en Coupe de la Ligue à  Châteauroux et en Coupe de France à  Vesoul et contre Ostwald), le troisième portier Régis Gurtner et le milieu Leyti N'Diaye, prêté par l'OM pour une saison, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou avant le début de saison et qui pourrait recevoir le feu vert du professeur Jaeger le 17 janvier. Sans parler de Haikel Gmamdia, prêté à  Al-Ahly (Arabie saoudite), et Abel Mphela (transféré à  Supersport United, à  Pretoria), jamais appelés lorsqu'ils portaient encore le maillot strasbourgeois, jusque mi-septembre pour le premier, fin novembre pour le second.

LES BUTEURS

C'est le point noir de ce début de saison. La preuve : le meilleur réalisateur du Racing est le milieu de terrain Renaud Cohade : 6 buts, tous sur penalties). Avec son but en Coupe de la Ligue à  Châteauroux, son doublé en Coupe de France à  Vesoul et ses cinq buts en L 2, Eric Mouloungui mène le bal avec 8 buts toutes compétitions confondues, devant Hervé Tum (7, 4 en L 2 et son triplé en Coupe de France contre Ostwald) et, donc, Cohade. Le classement en L 2 : Cohade 6, Mouloungui 5, Tum 4, Boka et Rangelov 2, Strasser, Ekobo, Abdessadki, Johansen, Gasmi, Gameiro, Perbet 1. Coupe de la Ligue : Rangelov 2, Locatelli, Mouloungui 1. Coupe de France : Tum 3, Mouloungui, Johansen 2, Perbet, Gameiro 1.

LES PASSEURS

Avec cinq passes décisives en championnat, Yacine Abdessadki est de loin le meilleur passeur du RCS. Pascal Johansen en cumule cinq lui aussi, mais uniquement sur les deux matches de Coupe de France, à  Vesoul et contre Ostwald. Le classement en L 2 : Abdessadki 5, Boka, Gasmi, Lacour, Gameiro, Rangelov, Tum, Mathlouthi, Mouloungui et Camadini 1. Coupe de la Ligue : Gargorov 1. Coupe de France : Johansen 5, Ekobo, Gameiro et Mouloungui 1.

LES EXCLUS

Deux Strasbourgeois ont été expulsés cette saison : Habib Bellaïd contre Bastia et Yves Deroff à  Metz, tous deux début décembre. Au total, les Bleus ont récolté 39 avertissements en 20 rencontres. Deroff et Bellaïd en sont d'ailleurs les principaux collectionneurs (7 pour le premier, 6 pour le second), devant Abdessadki (4), Gasmi, Johansen, Lacour, Strasser (3), Cassard (2), Cohade, Ekobo, Kantari, Mathlouthi, Rangelov, Schneiderlin, Vergerolle et Camadini (1).

Stéphane Godin
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Message par L'homme de la vallée »

Janvier va être crucial.

On rencontre les reléguables et on a un calendrier favorable.
Il faudra prendre 12/13 points dans les 5 premiers matchs pour essayer de distancer les poursuivants. :!: :!: :!:

Après on aura un mois de mars terrible (déplacement à  Caen, au Havre et à  Grenoble, aie, aie...) et c'est pas la-bas qu'on gagnera si on se fait à  la prestation de St Symphorien. :!:

Si l'attaque ne marque pas assez au bout de 3 matchs il faut recruter mais laissons leur chances à  Rangelov, Mathlouthi & Cie.

Et ça risque effectivement de se jouer à  Dijon pour la montée :?
- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
Psychogene
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Message par Psychogene »

L'homme de la vallée a écrit : Et ça risque effectivement de se jouer à  Dijon pour la montée :?
Perso je nous vois bien nous mettre à  l'abris face à  Metz à  domicile une semaine plus tôt, dans un stade plein... 8)
Matthieu
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