[Ex] Alexander Vencel

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Merwan
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Message par Merwan »

L'homme de la vallée a écrit :Je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà  signalé mais je viens de lire dans un bouquin chez moi qu'en 1969, la coupe des coupes a été gagnée par le Slovan Bratislava contre le Real Madrid (3-2)... avec un dénommé Vencel dans les cages !

C'était son père :?:
J'ai déjà  lu que son père était lui aussi international et qu'il avait joué une coupe du monde ou coupe d'europe ;)
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silex57
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Message par silex57 »

Ben dis donc t'as de sacrées lectures toi !
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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Merwan
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Message par Merwan »

Un truc genre le "joueur du siécle" au racing au début des années 2000 ;)
Faudrait que je cherche dans mon petit tas de journaux, souvenirs du racing à  l'occase ;)
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Pinon
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Message par Pinon »

SO a écrit :Suite de la série qui part à  la découverte des membres du staff technique. Après Sébastien Migné et Ferhat Khirat, place à  Alex Vencel qui avait laissé l'image d'un gardien et d'un homme appréciés. Revenu au Racing l'été dernier pour occuper la fonction d'entraîneur des gardiens, il prend sa mission très à  cÅ“ur et veut, à  son niveau, participer à  la remontée du RCS en L1.
Heureux de travailler avec Cassard, Gurtner et Puydebois, le Slovaque de 39 ans nous explique sa méthode de travail et sa philosophie.

- Depuis votre retour au Racing, quels sont les changements que vous avez pu remarquer au sein du Club ?
- Il y a eu beaucoup de changements. Les vestiaires ont changé, notamment. J'avais pu constater l'évolution du Club mais en tant qu'adversaire. Grâce à  ce retour, j'ai pu retrouver quelques personnes de l'encadrement, comme les kinés, les docs, Didier Félix et certaines personnes de l'administration.

- Pourquoi ce retour à  Strasbourg ?
- Ce que j'avais dit lors de ma signature c'est que si j'avais reçu la même proposition d'un autre Club, je n'aurais pas quitté Le Havre. Mais le Racing est spécial pour moi. J'étais bien au Havre mais il y avait ici, en plus, un challenge sportif excitant. Le fait de travailler avec les pros, alors qu'au HAC j'étais avec les 18 ans et le CFA a pesé dans la balance aussi.

« L'entraîneur me laisse une liberté totale »

- En quoi consiste votre rôle au sein du Racing, cette saison ?
- Je suis entraîneur des gardiens. C'est-à -dire que je m'occupe de l'élaboration des séances des gardiens et des points à  travailler dans la semaine. Je donne aussi un coup de main à  Jean-Pierre Papin et Sébastien Migné au besoin. Mais l'entraîneur me laisse une liberté totale de gérer les entraînements des trois gardiens de l'équipe et c'est très intéressant.

- Quels sont les axes de travail ? Comment les déterminez-vous ?
- Déjà , gardien de but est un poste spécifique. On s'adapte aux séances des pros mais j'ai aussi mes idées du travail à  réaliser chaque semaine. En fonction de ce qu'on a pu voir lors du match du week-end, on va plutôt travailler les centres, ou s'adapter à  la blessure d'un des gardiens ou encore faire en fonction des pelouses moins bonnes à  certaines périodes de l'année. Et puis, travailler avec Régis Gurtner, qui est encore en formation, est totalement différent du travail à  réaliser avec Stéphane Cassard.

« Faire que les travaux soient utiles et ludiques »

- Il y a beaucoup de variantes dans vos exercices, justement.
- Oui, j'utilise beaucoup de choses que j'ai appris avec Michel Ettore, Philippe Sence ou avec mes entraîneurs en Slovaquie. J'ai essayé de tirer le meilleur de chacun et de l'adapter à  ma façon. J'essaie de faire en sorte que les travaux soient utiles mais aussi ludiques. Et puis, je cherche, j'essaie. Des fois, j'imagine des exercices le soir et je les mets en pratique le lendemain matin. Ca marche ou pas mais voilà , il faut essayer de bouleverser un peu les habitudes.

- Comment l'entraîneur des gardiens gère-t-il la concurrence entre « ses » gardiens ?
- Déjà , il faut dire que nous avons deux très bons gardiens de but. Il n'y a pas mieux en Ligue 2 et, en Ligue 1, les deux s'en sortiraient très bien. Cette concurrence demande beaucoup de gestion et de psychologie. Mais mon rôle a un côté paradoxal. Je dois faire bosser Stéphane Cassard pour qu'il reste titulaire le plus longtemps possible et, en même temps, faire en sorte que Nicolas Puydebois devienne titulaire… C'est très compliqué mais c'est mon rôle. Régis Gurtner, lui, est là  pour apprendre et il nous accompagne parfaitement. En tout cas, il règne un climat sain entre les trois garçons et cela favorise beaucoup la qualité du travail.

« Une relation basée sur l'échange »


- Peut-on dire que vous et les trois gardiens formez une équipe dans l'équipe ?
- Je pense que les gardiens sont intégrés dans l'équipe mais c'est vrai que nous sommes un peu à  part. Cela vient de la spécificité du poste et de notre fonctionnement. Mais le fait de travailler à  quatre et d'avoir la liberté que nous avons comme un privilège.

- Avez-vous aussi un rôle de conseil auprès des gardiens du Racing ?
- Oui, même avec Stéphane qui est plus expérimenté que les autres. Mais, ma position est plutôt de proposer que d'imposer. Je leur dis que, dans telle situation, moi j'avais fait ça mais je ne leur demande jamais de faire la même chose. C'est à  eux de voir si cela leur convient ou pas. C'est une relation basée sur l'échange et non sur le commandement.

- Durant le match et après les matches, quelle est votre attitude avec vos gardiens ?
- Durant le match, je note tout. Les arrêts, les dégagements, les prises de balle, etc. Ensuite, je mets ça à  disposition des garçons. Là  aussi, je propose mais je n'impose pas. Je donne mon impression, on en discute. C'est très instructif car les sensations du joueur sur la pelouse ne sont pas les mêmes que celle de l'entraîneur sur le banc de touche.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo

Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais

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Guinshoo
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Message par Guinshoo »

franchement cette itw confirme c que je pense de cet homme.il represente le foot que j'aime,simple sans grosse tete un mec qui pese la chance d'avoir la vie qu'il a.
il n'y a pas de femmes inaccessibles,simplement des verres de vodka trop petits...
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Message par Stan »

Idem, j'adore.. ;)
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Message par Kindskopf67 »

Grand homme, grand gardien, grandes valeurs morales....
Je pense qu'il est apprécié de tous, une chance pour nous de l'avoir dans le staff... :D
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :« La pression sur leurs épaules »

Alex Vencel porte un regard éclairé sur le « sommet » de cette Ligue 2. Vendredi soir, le Racing a tout à  gagner en Normandie. D'où l'intérêt de se déplacer serein. Un message que le Slovaque s'évertue à  transmettre aux siens.

A quoi ça sert, qu'il se décarcasse, pour en arriver là  ? Cette question, Pierre Ducrocq a dû longuement se la poser dans les vestiaires de Grenoble. L'expérimenté défenseur havrais, auteur d'une glissade dans le bourbier isérois, tout au bout du temps additionnel, a involontairement contribué au bonheur des Strasbourgeois. Lundi soir, le HAC a donc perdu (2-1). Ça ne lui était plus arrivé depuis le 17 novembre et un revers à  Dijon. Entre-temps, les hommes de Thierry Uvenard avaient amassé 20 points sur 24 possibles, délogeant à  deux reprises le Racing du podium. Après ce coup d'arrêt, ils pointent à  trois longueurs de leur prochain adversaire, qui se présentera vendredi soir à  Jules-Deschaseaux.

« Pas injuste »

Alex Vencel, l'entraîneur des gardiens alsaciens, n'a pas manqué une miette de ce que Uvenard qualifie amèrement de « parodie de football. » Lui qui a passé six ans en Normandie, avant de rallier la Meinau cet été, comprend la frustration de son ancien club. « Sans la présence de la télé, ce match n'aurait jamais été joué, reconnaît le Slovaque. Maintenant, je ne parlerais pas d'issue injuste. Le Havre a quand même été dominé en seconde période. Disons que le nul aurait été plus logique. » S'il ne le clame pas haut et fort, Vencel sait que cette défaite change en partie la donne. « Au pire, on rentrera vendredi du Havre à  égalité de points avec eux, au mieux, on en aura six d'avance », synthétise-t-il. Ce qui lui fait dire que « la pression est sur leurs épaules », parce qu'ils seront « dans l'obligation de gagner. » Une contrainte qui peut vite se retourner contre soi en cas d'opposition coriace. Vencel, justement, compte mettre à  profit sa parfaite connaissance de l'adversaire pour instiller le doute dans les esprits normands. Car si les Havrais font peur à  la plupart des équipes, ils ne l'impressionnent pas plus que ça.

« Tout sur Lesage et Traoré »

« On connaît leur façon de jouer, ajoute-t-il. Ils cherchent constamment Lesage et Traoré sur des ballons longs, comme lundi à  Grenoble ou contre Ajaccio (4-1) sur le premier et le troisième buts. Si on parvient à  bloquer les deux attaquants, il va falloir qu'ils trouvent autre chose. »
La réussite de l'entreprise alsacienne dépendra de la capacité à  « trouver le bon compromis entre le fait de jouer bas ou haut. » Soit entre la tentation de laisser venir, quitte à  prendre le risque de subir, et l'inévitable exposition au contre « assassin », l'équilibre ne sera pas évident à  établir... Le Slovaque, en tout cas, ne compte pas sur un début de démobilisation liée à  la fatigue et à  l'amertume de la défaite en Isère. « C'est un match au sommet, ils seront prêts et ne ménageront pas leurs efforts, prévient-il. Samedi matin, ils seront morts, mais pas vendredi... »

Deuxième vendredi soir ?

Bref, Vencel s'attend à  une âpre empoignade, d'autant que son ex-équipe sait désormais « se montrer constante. » Le retour au bercail de Jérémy Hénin (ex-Sedan) cet hiver, l'implication « discrète mais efficace » du milieu Aït Ben-Idir ou encore l'éclosion du jeune gardien Steve Mandanda participent à  cette montée en puissance. « Il ne faut pas s'en faire une montagne, de ce déplacement, conclut-il. Même si le Havre se montre supérieur à  nous, comme Reims ou Metz, tout ne sera pas perdu. Si ça se trouve, on sera deuxième (*) vendredi soir. Ça peut changer pas mal de choses... » Le sourire en coin, Alex Vencel a bien sa petite idée en tête. Puisse-t-il ne pas se décarcasser pour rien.

Séb.K.

(*) Caen, qui a deux points d'avance sur le Racing, ne joue que lundi à  Tours
L'Alsace a écrit :Vencel rêve du grand écart

Portier du RCS de 1994 à  2000, puis Havrais de 2000 à  2006, le Slovaque, revenu l'été dernier à  Strasbourg pour y entraîner les gardiens, est ravi d'aller au Havre vendredi… avec trois points d'avance.

Tout l'effectif strasbourgeois ou presque a gardé le nez rivé sur sa télé lundi soir. Jusqu'au bout. Il le fallait d'ailleurs pour assister à  l'incroyable dénouement de l'ultime match de la 26e journée de L 2, Grenoble - Le Havre (2-1). Les Normands menaient depuis la 14e grâce à  Medaci. Ils ont tout perdu sur la fin, en à  peine plus de cinq minutes, rejoints d'abord sur un but de Pelé (85e), puis crucifié sur un autre de Giroud dans les arrêts de jeu (92e). Ce succès in extremis des hommes d'Yvon Pouliquen offre au Racing, 3e, trois points d'avance sur Le Havre avant son déplacement à  Deschaseaux ce vendredi (20 h 30). Un « joker » qu'Alexander Vencel, entraîneur des gardiens strasbourgeois qui connaît bien les deux clubs, apprécie.

Alex, on se trompe ou vous avez déjà  appelé votre ami Yvon Pouliquen (Ndlr : le coach de Grenoble qui a passé dix ans au Racing de 1991 à  2001) pour le remercier ?

(Il rit) Je l'ai fait dès lundi, sitôt la victoire de Grenoble sur Le Havre, mais je suis tombé sur sa messagerie. Forcément, nous sommes très contents.

Contre Tours, en renversant la vapeur sur la fin (2-1) et en profitant de l'égalisation de Caen au Havre (1-1), vous aviez repris aux Havrais 5 points en 5 minutes. Cette fois, vous en avez gagné 3 en à  peine plus. Le sort vous sourit vraiment en ce moment…

On ne va pas s'en plaindre, mais cette saison, Le Havre a lui aussi connu pas mal de réussite (1). Il est important d'aller là -bas vendredi avec trois points d'avance. Même en cas de défaite, nous resterions à  sa hauteur. Tout est ouvert. Après ce match, l'écart entre les deux clubs sera de 0, 3 ou 6 points. Si nous sommes bons, nous pouvons nous offrir une avance intéressante. La défaite du Havre à  Grenoble ne change rien : ce sommet sera très difficile.

Avant ce revers en Isère, le HAC restait sur 8 matches sans défaite (6 victoires, 2 nuls) et semblait inarrêtable…

(Il coupe) Nous sommes aussi sur une bonne série (4 victoires, 3 nuls) et je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas rivaliser avec les Havrais chez eux. Il est plus facile d'y aller avec trois points d'avance, même si ce n'est pas ce qui va guider le résultat. Si nous ne gagnons pas, ou même si nous perdons, ce ne sera pas la fin du monde. Ce match à  l'extérieur est bien plus excitant à  jouer que certains à  la Meinau contre des adversaires mal classés.

« Je signe pour que les deux montent »

Vous avez passé six ans au Havre (cinq comme gardien, un comme entraîneur au centre de formation). En quoi le HAC a-t-il changé ?

Ces dernières années, il était capable du meilleur comme du pire. L'an passé notamment, l'équipe a souvent mené 1-0, conduit le match à  sa guise et terminé… sur un nul. Finir 7e avec une paire d'attaquants, Jean-Michel Lesage (16 buts) - Kandia Traoré (14 buts), qui plante 30 buts, vous trouvez ça normal ? Cette saison, les deux sont sur les mêmes bases (Ndlr : 14 buts pour le premier, 13 pour le second), mais l'équipe est dans le coup. Les Havrais ont gommé certains de leurs défauts. Le retour de Jérémy Hénin, revenu de Sedan, a stabilisé la défense.

Gardez-vous des contacts avec votre ancien club ?

Avec Jérémy, que je n'ai jamais perdu de vue, même quand il était à  Sedan, Olivier Blondel, le gardien remplaçant, le directeur du centre de formation aussi. On se chambre un peu, mais j'espère qu'on va tous faire le nécessaire pour que les deux clubs montent. La lutte se résume désormais aux quatre premiers. Seul Amiens peut éventuellement revenir. Mais les Amiénois ont 8 pts de retard sur nous à  12 journées de la fin. Entre les quatre, ça va se jouer à  peu de choses. Si, aujourd'hui, on me disait que Le Havre et le Racing vont monter, je signerais tout de suite. Mais si un seul doit être promu, je choisis évidemment Strasbourg.

C'est la première fois que vous retournez à  Deschaseaux. Vous attendez-vous à  un accueil spécial de la part du public ?

Honnêtement, non. Parce que j'avais arrêté ma carrière un an avant de quitter Le Havre et que je n'y retourne pas comme joueur. Ce n'est pas pareil.

(1) Les Normands ont arraché le nul à  Châteauroux à  la 93e (2-2), gagné à  Guingamp à  la 93e aussi (2-1), battu Reims à  la 90e (1-0), puis Châteauroux à  la 92e (1-0), avant de s'imposer à  Créteil à  la 81e (1-0). À l'inverse, ils ont été rejoints par Metz à  la 88e (1-1), puis battus à  Grenoble avant-hier dans les circonstances que l'on sait.

Recueilli par Stéphane Godin
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FM17
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Message par FM17 »

Bon anniversaire Alex..40 ans !
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Pinon
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Message par Pinon »

DNA a écrit :POUR ALEX. - Vendredi soir, Papin a tenu à  dédier la victoire des Strasbourgeois à  Alex Vencel, qui ne pouvait rêver d'un plus beau cadeau le jour de son quarantième anniversaire. « Il est d'autant plus content que Thierry Uvenard l'a invectivé dans la presse locale, poursuit JPP. Pourtant, pour se fâcher avec Alex, une crème d'homme, il faut y aller... »
En fait, l'entraîneur havrais, également en froid avec JPP, avait commenté des propos tenus par l'entraîneur des gardiens dans nos colonnes. En les interprétant à  sa manière.
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