
[06/07] 24ème J: Strasbourg / Tours : 2-1
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Je suis au taf, donc j'ai pas réussi à mettre l'image de la compo, mais à noter le replacement à gauche de Deroff (il sera capitaine), Ekobo prend place à droite, Johansen sur le coté droit et la rentrée de Tum au coté de Joao Paulo ...DNA a écrit :Avant d'attaquer la montagne
Le Racing en termine ce soir avec un calendrier favorable. Mais qui ne le sera vraiment que si les trois points de la victoire sont au bout. Car après pointent quatre déplacements à Châteauroux, Le Havre, Grenoble et Caen.
ABDESSADKI, LA TUILE ! - Yacine Abdessadki qui avait répondu présent à une convocation de la sélection marocaine doit s'en mordre les doigts. Et le Racing aussi. En effet, le capitaine strasbourgeois s'est claqué à la cuisse, mercredi face à la Tunisie (1-1) en amical. 48 heures après avoir joué en championnat à Guingamp. Il devrait passer une IRM pour en savoir plus sur la gravité de la déchirure, mais Abdessadki sera sans doute absent de quatre à six semaines.
FORFAITS EN CASCADE. - Jean-Pierre Papin a enregistré plusieurs forfaits, hier, avant l'entraînement qui s'est déroulé à huis-clos. C'est ainsi que le côté gauche de sa défense est désormais dégarni. Après Vergerolle ( genou), c'est au tour d'Abou (ischios-jambiers) d'être ménagé et forfait. Deroff pourrait ainsi pencher à gauche et Ekobo être titularisé côté droit.
Enfin, Camadini qui a ressenti une pointe à la cuisse a préféré ne pas prendre de risque inutile. Du coup, Johansen devrait être aligné d'entrée.
AVANT LA MONTAGNE. - Après Niort (1-0) et Guingamp (1-1), le Racing boucle son sprint face au peloton de queue en accueillant ce soir, le Tours FC, voiture-balai de la L2. « Je signerais volontiers pour 9 points, mais je me contenterais également de 7 », soulignait Jean-Pierre Papin avant cette trilogie. La victoire est donc indispensable, avant d'attaquer la montagne avec quatre déplacements à Châteauroux (trois victoires consécutives, série en cours), Le Havre, Grenoble et Caen et la réception de Créteil et d'Ajaccio.
A LA LOUCHE. - En compagnie de Philippe Ginestet, Egon Gindorf, l'ancien président du Racing et membre du Conseil d'administration, remet ça ! Sa traditionnelle soupe de pois cassés sera servie ce soir lors de Racing - Tours aux membres des associations de supporters. Avec une knack et boisson comprise.
LE GG FLINGUEUR. - Ghislain Gimbert est de retour sur le front de l'attaque tourangelle. Lui qui avait brillé en National (6 buts en 11 matches) a été stoppé en plein élan par une vilaine blessure à la cheville. Et cette saison, c'est une fracture de la clavicule qui le tint éloigné des terrains. Il sera sans doute aligné dès le départ ce soir face au Racing, le TFC ne jouant qu'avec une seule pointe. Attention, buteur !

edit argueti :

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DNA a écrit :Pas de blague, hein !
Le Racing clôt, ce soir à la Meinau, sa série contre les équipes du bas de tableau. Tours, lanterne rouge de Ligue 2 qui retrouve un peu d'éclat, ne peut constituer un obstacle pour un candidat à la montée. Peut-être même que le spectacle sera enfin au rendez-vous. Allez savoir.
Dix défaites, un nul, une victoire. Partant de là , tout est dit. Ou presque. Le bilan des Tourangeaux, cette saison à l'extérieur, relève de la gabegie. Celui que les compagnons du « vieux » Tony Vairelles affiche à domicile n'est guère plus reluisant.
Sorti des limbes du National l'été dernier, le « téfécé » d'Indre-et-Loire, budget riquiqui, nombreux soucis mais grosse envie, paraît donc bien parti pour retourner à la case départ.
L'esprit accaparé par d'autres soucis, le Racing n'a guère le loisir de se pencher sur le cas de la lanterne rouge. Ni de louer le charme un peu désuet de ce football des champs, ni de vanter le courage de ces besogneux qui s'accrochent avec la force du désespoir à l'espoir du maintien. Non, les Strasbourgeois ont assez à faire en scrutant le bout de leurs propres chaussures. Au sens propre comme au figuré.
Un début de crispation a parcouru les travées de la Meinau
Hier après-midi, un début de crispation a ainsi parcouru les travées de la Meinau. Avant de fouler la pelouse annexe, pour le dernier entraînement à huis-clos, les joueurs se sont réunis en conciliabule.
De leur propre chef, apparemment, ils ont décidé de ne plus répondre aux questions de la presse à la veille des rencontres. Même Jean-Pierre Papin n'a pas honoré son rendez-vous hebdomadaire, retenu, lui, par une autre réunion. Il est vrai que la pression médiatique autour de la Ligue 2 en général et du Racing en particulier est oppressante, pour ne pas dire suffocante. Passons...
Il est vrai que la journée n'a pas démarré sous les meilleurs auspices. Yacine Abdessadki, qui a disputé mercredi soir - soit 48 heures après Guingamp - une rencontre amicale à Rabat avec la sélection marocaine, face à la Tunisie, est rentré blessé.
Un claquage à la cuisse devrait tenir le capitaine strasbourgeois éloigné des terrains six semaines, au bas mot. De quoi vous crisper un entraîneur qui compte sur tout son monde pour aborder sereinement les échéances importantissimes des prochaines semaines.
Mais avant de songer à demain, encore faut-il remplir la mission du jour. Et encore avec un minimum de talent, histoire de faire oublier à un public alsacien doucement chafouin les fades prestations domestiques vues contre Bastia, Amiens ou Niort ces deux derniers mois.
Voilà peut-être le principal motif de fâcherie. Ces Bleus-là n'accepteraient que mal la critique, fut-elle fondée au regard de la qualité de jeu produite. Sans le clamer haut et fort, ils espéraient au moins que ce match, le dernier d'une série de quatre face à des mal-classés, permette d'asseoir leur place sur le podium. Depuis lundi et le nul concédé - ou plutôt arraché - à Guingamp (1-1), c'est tout le contraire qui s'est produit.
« Personne ne nous attend, on ne peut que surprendre »
Le Havre, dont le moteur semble être alimenté en kérosène, a pris son envol. Pour la première fois depuis fin octobre, les hommes de Papin ont vu les Normands leur filer sous le nez.
Et même si la tendance peut être inversée en cas de victoire ce soir et d'un faux-pas havrais dans le match au sommet à Caen, la marge de manoeuvre sera fatalement mince.
Dans ce contexte un brin tendu, Tours tâchera de jouer crânement sa chance. Dans le registre de « personne ne nous attend, on ne peut que surprendre », Albert Falette et les siens rêvent de poursuivre leur début de série positive entamée à Ajaccio (0-1) et alimentée contre Grenoble (1-1).
Des intentions strasbourgeoises, on ne saura rien. Si les Bleus ont décidé de garder tout leur influx nerveux pour briller sur le terrain, personne ne s'en plaindra. Tout est dit.
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L'Alsace a écrit :La soupe à la grimace
Un Jean-Pierre Papin qui boycotte la presse, des joueurs à qui on laisse le « libre » choix d'en faire autant : le RCS a préparé hier d'une bien curieuse façon la réception de la lanterne rouge, Tours, ce soir (20 h) à la Meinau.
Le responsable du site internet du Racing, Thomas Azan, est arrivé l'air embêté. Alors que la traditionnelle conférence que consacre généreusement Jean-Pierre Papin à la presse une fois par semaine était prévue à 15 h 15 hier, celui qui s'occupe de faciliter les relations entre l'effectif et les journalistes est venu prévenir ces derniers que le coach était retenu par une réunion et aurait un peu de retard. Puis à quelques minutes de l'entraînement à huis clos, programmé à 16 h, il leur a fait savoir que l'ancien Ballon d'Or ne pourrait pas passer. Pour la première fois en fait depuis le début de saison. Plutôt inhabituel. Les joueurs n'ont pas non plus souhaité se rendre en salle de presse où certains d'entre eux avaient été demandés. « De leur propre initiative, ils ont décidé de ne plus s'adresser à la presse jusqu'à nouvel ordre, hormis lors des conférences d'après-match », a tenté de convaincre Thomas Azan. En vain, évidemment. Une façon de dédouaner l'entraîneur, à l'origine de ce coup de sang, avec l'appui de son adjoint, Sébastien Migné, qui s'occupe non seulement de la préparation physique, mais sait aussi, bien tapi dans l'ombre, tirer quelques ficelles. La vérité est toute simple. Et il n'est pas question d'utiliser ici les feintes de corps de JPP hier pour chercher à la masquer. Il faut savoir assumer ses décisions et ses responsabilités. En un mot comme en cent, JPP n'a que très modérément goûté les commentaires qui ont suivi le match nul poussif et heureux à Guingamp lundi (1-1). Lors d'une réunion avant l'entraînement, il a informé les joueurs qu'il ne parlerait plus à la presse, en les laissant « libres » de leur choix. Dans cette ambiance propice à l'ouverture d'esprit, tout le monde a suivi sur la voie d'un boycott que l'on n'avait plus vu du côté de la Meinau depuis un certain Claude Le Roy. Glorieuse filiation.
Boycotter la presse n'a jamais aidé à mieux jouer
Il y a quelques mois, les Bleus avaient déjà envisagé de se réfugier dans le mutisme médiatique. Mais certains d'entre eux et Papin lui-même les en avaient dissuadés. Cette fois, personne n'a osé sortir du rang quand JPP a mis tout le monde au garde-à -vous. Hier, pas un Strasbourgeois n'a parlé du match de ce soir. Pourquoi la presse n'en ferait-elle pas autant dans ces colonnes ? Au matin d'une rencontre importante pour l'avenir du club, on se retrouve ainsi à disserter sur un comportement autoritariste dont on peut légitimement craindre la dérive. Surtout si la mission sportive assignée à l'ancien international devait tourner au vinaigre…
À peine descendu du podium, le Racing se replie sur lui-même. Soit. Mais le passé a toujours prouvé que le meilleur moyen de clouer le bec à ses – supposés — détracteurs n'est jamais de se taire, mais de leur apporter la seule réponse qui vaille : celle du terrain. Rejeter sur les médias la responsabilité de ses propres errements n'a jamais non plus aidé à mieux jouer au ballon, ni à trouver un fonds de jeu que beaucoup cherchent encore. A commencer par les supporters qui attendent le rendez-vous contre Tours avec une bonne dose d'espoir, mais aussi un soupçon d'angoisse. Des supporters à qui le président Philippe Ginestet, marchant sur les traces de son prédécesseur Egon Gindorf, a décidé d'offrir ce soir la fameuse « soupe à Egon. » Le problème, c'est qu'en cas de contre-performance en soirée, certains risquent fort de s'étrangler avec leurs knacks et leur soupe de pois cassés. Et d'autres, de goûter à la soupe à la grimace. La presse n'y sera pour rien.
Suspendus : Manganne et K. Kanté.
Absents : Camadini (cuisse), Abdessadki (cuisse), Abou (ischiojambiers), Vergerolle (genou), Gargorov (reprise), Gameiro (reprise), Kantari, Gurtner, Schneiderlin (choix de l'entraîneur) ; à Tours, Raimbault (blessure), Pedemonte, Tavares, Ba, Stephan, Baradji, Boutal, Diop (choix de l'entraîneur).
Trois forfaits de plus
C'est la mauvaise surprise d'hier. Pascal Camadini, qui a ressenti mercredi à l'entraînement une douleur à l'ischiojambier droit et souffre d'une lésion, Abou, victime, lui, d'une contracture à l'ischio gauche à Guingamp lundi, et Yacine Abdessadki, rentré de sélection marocaine avec un claquage à ce même muscle, sont forfait pour la rencontre de ce soir. Leur indisponibilité s'ajoute à celle de Jean-Christophe Vergerolle (en délicatesse avec un genou) et Kevin Gameiro (qui devrait reprendre en début de semaine prochaine). Abdessadki, qui a joué mercredi à Rabat les 25 dernières minutes du match amical du Maroc contre la Tunisie (1-1), pourrait être absent de six semaines à deux mois. Il a rechuté sur la blessure qui l'avait déjà privé du début 2007. Pour ce rendez-vous contre Tours, Jean-Pierre Papin a retenu 18 joueurs, parmi lesquels Leyti N'Diaye, prêté cette saison par l'OM et de retour pour la première fois depuis sa rupture des ligaments croisés du genou avant même le début de saison. Muré dans son silence, l'entraîneur strasbourgeois n'a évidemment rien dévoilé de ses intentions.
Podium en vue ?
Après le « psychodrame » du point presse d'hier, on en oublierait presque l'essentiel. Le programme de la 24e journée de L 2 offre en effet aux Strasbourgeois l'occasion de remonter sur le podium, une semaine après l'avoir quitté, et de repartir de l'avant. Si tant est que l'on puisse s'exprimer ainsi sachant qu'ils sont invaincus depuis quatre matches (2 victoires, 2 nuls) et viennent de prendre 8 points sur 12. Le hic, c'est que depuis deux mois, Le Havre (16 points sur 18 en 6 journées) avance à la vitesse d'un TGV dont toute l'Alsace espère, pour « son » RCS, qu'il arrivera dans l'Est avant son lancement officiel en juin. Ce soir, les Havrais pourraient toutefois lâcher du lest lors du périlleux derby choc de Normandie chez le voisin Caen. Dans le même temps, le Racing, qui a tremblé ces trois derniers matches contre des équipes du bas de tableau — à Montpellier (0-0), contre Niort (1-0) et à Guingamp (1-1) -, tentera de ne pas frissonner face à un Tours FC toujours lanterne rouge, mais en regain de forme. Battu lors de ses 9 premiers déplacements, le TFC reste sur trois résultats encourageants hors de chez lui : nul à Brest (1-1), défaite 4-3 à Créteil et première victoire à l'extérieur à Ajaccio (1-0). Mieux, il vient d'engranger quatre points lors des deux dernières journées, entre son succès en Corse et son nul à domicile contre Grenoble (1-1). « Avant d'accueillir Gueugnon la semaine prochaine, un résultat positif à Strasbourg serait du bonus », observe le Tourangeau et ex-Racingman Vincent Doukantie. « A Ajaccio et contre Grenoble, nous avons pris les quatre points dont nous avions un besoin impératif. Les Strasbourgeois sont bien plus dans l'obligation de gagner que nous. Nous venons en Alsace sereins, avec l'envie de jouer, de nous libérer et avec la conviction que si nous parvenons à faire douter le Racing, le temps jouera pour nous. »
Stéphane Godin
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