[8ème J] Sochaux / Strasbourg : 0-0

[Bou]

Que veut dire SP sur les camions de pompiers sochaliens ???

-> Stéphane Paille

Ah sut, c'est pas trole... Trop tard c'est écrit, j'enfoie le post.

[Manu]

yoooooooooooooo

[paille]

et quel joueur...n' est ce pas!!!! sapeur pompier oui,car cette histoire a pris une tournure pas uniquement la faute aux sochaliens..

[EDES]

bah comme il n'y a pas vraiment eu de foot à  Bonal depuis le début du championnat faut bien qu'ils s'occupent

C'est qu'ils sont dans leurs petites chaussettes

[Manu]

Méfions nous quand même de ce match piége avec hantz qui a fait un stage cohésion pour le groupe...

[Phapha]

Mais pour le moment, j'ai l'impression que le Racing se méfie de tous ses matchs.

[Manu]

Frédéric Hantz « Je dois créer une dynamique ! »

Un début de saison très inquiétant en terme de points met le FC Sochaux en danger. Frédéric Hantz ne le nie pas qui demande de la solidarité et veut redynamiser le vestiaire sochalien.

Même si bien des éléments n'ont pas joué en sa faveur, le FC Sochaux, avec trois petits points, voit déjà  la sonnette d'alarme retentir après sept matches. Frédéric Hantz, désireux à  son arrivée de s'appuyer sur la dynamique de la saison dernière, sent l'obligation, désormais, d'imposer sa patte. Avec un recrutement bouclé et l'espoir de voir revenir quelques blessés, il avoue la nécessité d'enfin entamer une série positive dès le rendez-vous contre Strasbourg, le 15 septembre prochain.

Vous aviez parlé de bilan début septembre. La mini trêve est là . Qu'en pensez-vous ?

Le bilan est décevant par rapport au FC Sochaux et à  ses ambitions. À mon niveau, il me déçoit car je n'ai jamais connu un tel début de saison. Cependant, je ne suis pas surpris. On est en déficit de points, c'est évident, mais il y a eu trop de vent défavorable. Avec les blessures, durant la préparation, et notamment celle de Jérémie Bréchet. C'est un élément important dans le groupe et il a beaucoup manqué, sans compter les arrivées, les départs. Tout cela s'est terminé le 31 août à  minuit avec les arrivées de Pancrate et Vargas. L'été a été très difficile car il n'y a pas eu de visibilité suffisamment précise pour le groupe, pour ceux qui arrivaient, dont je fais partie. Nous n'avons jamais pu travailler correctement avec quinze jours de découverte du groupe pendant la préparation, et ensuite des matches tous les trois jours avec, notamment, un uppercut devant Le Mans après un bon début à  Paris. J'ajouterai le manque de réussite. J'ai lu dans les stats que nous étions l'équipe qui a le plus tiré au but en ce début de championnat et, pourtant, on se retrouve avec trois points. Il faut être lucide, cependant. Avec les matches que nous avons fournis, nous ne méritons pas d'être dans les dix premiers, ni dans les quinze. Le manque de chance ? Je n'y crois pas.

Quels enseignements tirez-vous de tout cela ?

«Je suis arrivé avec beaucoup d'humilité, dans un club qui avait marché la saison précédente. J'avais le souci d'accompagner cette dynamique, plutôt que d'en mettre une en place dans le vestiaire. Malheureusement, l'entraîneur et tous les gens qui travaillent dans le club bénéficient d'un contexte Et le contexte de l'intersaison n'était pas favorable du tout. Je ne pouvais pas m'y prendre autrement que d'observer, d'accompagner. On n'aurait pas compris que je mette des choses en place alors que ça marchait bien avant. Aujourd'hui, cependant, il faut se retrousser les manches. Je dois mettre la dynamique en place dans le vestiaire, même si ce sera difficile, vu, par exemple, qu'en deux semaines sans matches, je n'aurai pas beaucoup de monde pour travailler.»

On s'est trop regardés en chien de faïence

Vous allez partir en stage deux jours. Est-ce dans le but de créer cette dynamique ?

«C'est un stage de cohésion, hors football, histoire que l'on ne se tape pas la tête contre les murs, qu'on oublie un peu les résultats, les erreurs commises etc. On écrit une aventure humaine, c'est donc mieux de bien se connaître. On s'est trop regardés en chien de faïence. Nous ne pourrons effectuer un travail tactique que quand tous les joueurs seront là , la semaine prochaine.La défense qui a joué à  Caen est en quasi totalité absente. On ne peut pas travailler défensivement cette semaine. On est dans un enchaînement d'événements pas favorables.»

Manque-t-il donc quelque chose à  ce point dans le vestiaire sochalien ?

«C'est évident. Il ne faut pas se mentir. On ne se comprend pas totalement. C'est à  moi, à  mon staff, de chercher à  savoir ce qui va permettre aux joueurs d'être mieux. Mais bon, maintenant, nous avons passé le 31 août. Il n'est plus question de départ, d'arrivée, on est dans le même bateau, on doit y aller ensemble. À Caen, le groupe a fait preuve d'une très grande générosité et j'en ai encore tiré des enseignements.»

Dans le domaine de la volonté, lors des trois derniers matches, l'équipe n'a pas failli, n'a pas démissionné. Mais le passé l'a montré, si les points ne viennent pas…

«On aurait très bien pu partir en brioche à  Caen, s'effilocher au fil du match, vus les événements, et prendre une correction. Cela n'a pas été le cas. On sent qu'on avance mais la frustration de ne pas avoir décroché une victoire existe. Il faudrait simplement du temps pour pouvoir travailler. Mais je me répète...»

Personne n'est à  l'abri

Dans quel domaine aimeriez-vous que cela avance sérieusement sur le terrain ? Au niveau de la défense, la base, non ?

«Bien sûr. Nous sommes trop vite mis en danger. Et je ne parle pas des occasions manquées. Ça, c'est individuel, cela vient plus de l'agressivité du joueur, de cette envie de faire trembler les filets. C'est plus dur d'intervenir là -dessus pour un entraîneur. En revanche, sur le plan défensif, il y a matière sauf que j'ai tous les attaquants sous la main et pas les défenseurs en ce moment. Et puis, il nous manque un équilibre d'équipe lié aux nombreux changements de composition, au fait que des joueurs n'évoluent pas à  leur place. Tout cela influe sur les automatismes, provoque des erreurs de placement etc.»

àŠtes-vous optimistes pour l'avenir ?

«Avec le début de saison que l'on fait, le risque que ça lâche peut arriver très vite. Simplement, il faut arriver à  se convaincre que même au-delà  du match contre Strasbourg (le 15 septembre), au-delà  de résultats bruts, c'est une dynamique qui va se mettre en place et qui va faire que la réussite va s'enchaîner du bon côté. Dans des conditions extrêmement difficiles, on a vu du mieux dans les intentions, dans le comportement depuis Valenciennes. Il faut affronter les situations, pas les fuir. Des joueurs de ce niveau ont la capacité de prendre des responsabilités. Mais à  un moment il faut les prendre. On a une défense actuelle, par exemple, où chacun a besoin, l'un de l'autre. Quand il y a un garçon charismatique qui d'emblée prend les situations en mains, c'est plus facile. Si on enchaînait dix matches avec la défense qui a joué à  Caen, on aurait une stabilité. C'est clair, sur la série de cinq matches qui arrive, on doit rebasculer positivement. Il y a plusieurs clubs en difficultés, aujourd'hui, comme Lens, Auxerre, Sochaux. Ceux qui ne feront pas preuve de solidarité, plongeront. Et personne n'est à  l'abri de ça.

[paille]

désolé mais j' ai mis les choses au point sur le site ciel et blanc car il y a un a..... qui a osé dire qu' on avait parlé des chambres à  gaz,je ne posterai plus sur le site,çà  va trop loin,ici c' est plus sympa.
Qu' on se chambre oui pas de soucis mais qu' on ose sortir des choses comme çà  c' est honteux,que sur planete,ils aient dit çà ,je ne sais pas mais non sur notre site,çà  devient n' importe quoi.

[lolo]

Qu' on se chambre ...

Alors, à  gaz ou pas? Putain, j'ai du mal à  suivre, moi...

[paille]

désolé,mais j' ai du mal à  blaguer sur le sujet,c' est trop grave.