télésupporteur a écrit :la faiblesse du milieu du racing
en reprenant par joueur
rodrigo: n'a jamais rien prouvé en L1, peut néanmoins s'imposer comme joueur du niveau L1
cohade: n' a rien prouvé en L1, et n'a pas le niveau
lacour : idem, peut néanmoins dépanner en ARD
johansen : n'arrive plus à retrouver son niveau précédent son départ à l'OM - semble être un joueur perdu pour le racing
abdessadki: n'a rien prouvé en L1, peut juste devenir un joueur moyen en L1
fanchone : statut de remplaçant avan,t le racing
mouloungui : n' a encvore rien prouvé en L1, je pense qu'ilpeut y réussir
j'attends la réponse de ceux qui pense que le racing à un effectif de 1e moitié de classement
tu peux continuer avec le reste de l'equipe, personne n'a prouvé quoi que ce soit en L1
un joueur qui a prouvé quelque chose en L1 n'a rien a faire aux racing
on a une equipe de coup mais sur la durée c'était sur qu'on allait pas tenir
comme nancy la saison dernière
le principal c'est de ne pas s'effondrer
Phapha a écrit :Le Racing aussi a besoin de se relancer, une victoire nette ferait du bien au moral. Je pense que c'est pour ça que JMF ne fait pas beaucoup tourner. On peut quand même lui faire confiance pour nous sortir une ou deux surprises de dernière minute.
Trop naif , trop faible , trop con (Abou )
Si l'adversaire vient pour jouer en 5/4/1 , on n'a qu'à faire pareil . . . . . . sinon on se fera toujours prendre en contre ! ! !
En dominant, nous ne trouverons jamais la faille . . . . . . . . . nous n'avons que les contres pour marquer des buts > comme en début de saison ! ! !
Furlan montre des faiblesses là
Parti comme c'est parti , on va sans doute rester !
Barwadel merci...
Telesupporter ne commence pas à chercher des excuses à Furlan...La L1 francaise est mauvaise...l effectif du Racing n a pas à rougir par rapport à ceux de Nancy, Le Mans ou VA...le Racing est 9è en jouant mal et en ne marquant pas beaucoup de buts...c est dire...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
Deux défaites à la Meinau en cinq jours. Tel est le bilan peu flatteur d'un Racing qui n'arrive plus à retrouver le niveau affiché en début de saison. Pas forcément rassurant alors que se profile déjà le derby face à Metz.
« En ce moment, on est moins bien. Il faudrait être aveugle pour ne pas le voir », lâche Pascal Camadini.
Le Corse, capitaine d'un soir face à Amiens, n'est pas réputé pour mâcher ses mots. Et encore moins se voiler la face. A l'issue de la défaite sans gloire en Coupe de la Ligue face à des Picards opportunistes, Camadini ne cherche pas à fuir ses responsabilités. Ni celle de son équipe.
« Si tu ne marques pas dans ces phases fortes, tu t'exposes à un contre »
« On a vu qu'on n'était pas dans un grand soir. On a eu des occasions en première mi-temps, mais si tu ne marques pas dans ces phases fortes, après tu t'exposes à un contre », résume le milieu de terrain.
Face à une équipe d'Amiens attentiste, avec sept joueurs à vocation purement défensive sur le terrain, le Racing n'a jamais trouvé la faille. Des offensives brouillonnes, une dernière passe qui n'arrive jamais... les Strasbourgeois n'ont jamais pu mettre le coup d'accélérateur qui aurait fait basculer la rencontre. Comme face au Mans.
« C'est toujours le même problème. Comme notre jeu est de garder la balle, les équipes en face ferment. Et si on ne marque pas les premiers, ça devient très difficile », répète Jean-Marc Furlan, qui refuse de jeter la pierre aux seuls attaquants, muets depuis cinq rencontres.
Kevin Gameiro, excentré côté gauche, s'est démené comme à son habitude. Quant à Alvaro Santos, pas vraiment à son avantage, Jean-Marc Furlan ne l'accable pas non plus. « Il a touché peu de ballons et n'a pas trouvé les intervalles, mais il a été peu sollicité. D'ailleurs c'est notre erreur. On est passé tout de suite par les côtés alors qu'il aurait fallu plus peser sur leur défense centrale », souligne le coach.
Quant aux autres titulaires d'un soir, ils n'ont pas non plus été spécialement tranchants. Abou, complètement à côté de ses crampons, a même systématiquement mis sa défense en danger dès qu'il touchait la balle. Et les quelques bons ballons offerts par Johansen, dans le jeu comme sur coups de pieds arrêtés, n'ont pas suffi pour mettre en danger l'impeccable Benvegnu.
« On était en surrégime, là on subit le contrecoup »
Au milieu du marasme ambiant, Jean-Marc Furlan se dit pourtant « serein ». « On a eu un mois d'août parfait, où tous les joueurs se sont montrés à la hauteur. On était en haut de la vague, mais on était en surrégime. Depuis quelques semaines, on est au creux de cette vague, on subit le contrecoup », analyse-t-il encore avant d'ajouter, « mais je suis satisfait de ce que j'ai vu pendant deux mois et je suis sûr qu'on va le revoir ».
Reste à savoir quand. Surtout que se profile déjà un déplacement périlleux à Saint-Symphorien, face à une équipe de Metz qui n'a jamais vraiment réussi au Racing.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
La vérité tiens simplement en ces quelques mots de JMF : "nous étions en surégime". C'est nous qui nous sommes simplement mis à rêver un peu trop. Les equipes que nous avons battu a domicile n'étaient simplement pas encore prêtes tandis que le racing avait lui, une poussée d'orgueil en début de championnat et une grosse envie de prouver sa valeur. Mais l'orgueil comme la condition s'emousse avec le temps...
Maintenant Auxerre est à trois victoires consécutives et Lens se rétablit doucement, Marseille lui aura encore un peu de mal a cause de la pression de ses supporters, mais il finiront vraissemblablement européens au terme de la saison.
Merci tout de même aux joueurs pour ce beau début de saison.