Quelle bande de cons... (là , je ne parle pas de la Ligue, hein...)
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Alléché par un classement favorable et une manière qui commence à faire doucement le tour de la planète football, le public strasbourgeois ne manifeste pas d'impatience, malgré les difficultés récurrentes de son équipe à domicile. Ainsi, pour la cinquième fois en sept rencontres à domicile, la barre des 20000 spectateurs a-t-elle été franchie avant-hier. La moyenne de 22000 entrées (21966 exactement) met clairement en lumière la corrélation entre le jeu produit et la fréquentation populaire. Elle dément la théorie répandue selon laquelle les affluences sont directement liées aux résultats.
Avec 26397 spectateurs contre l'OM, 20030 contre Auxerre, 24468 face à Lens, 20260 devant Lorient, 17971 contre Le Mans, 18865 face à Bordeaux et 25770 devant Paris, le Strasbourg version Furlan attire les foules. Il n'a pourtant plus gagné chez lui depuis quatre matches et présente dans son antre un bilan simplement équilibré (2 victoires, 3 nuls, 2 défaites).
D'ailleurs, si l'entraîneur général du RCS fait de la séduction du public l'une de ses priorités absolues et de la victoire le plus sûr moyen d'y parvenir, il attend que son équipe ne soit pas jugée que sur le plan arithmétique. « Nous n'avons plus gagné depuis deux mois et demi à la Meinau, c'est vrai (Ndlr : 2-1 le 25 août contre Lens). Mais à mes yeux, si le public s'identifie à une équipe qui donne tout, c'est l'essentiel. »
En d'autres temps, d'autres circonstances aussi, l'enceinte strasbourgeoise aurait grogné contre Paris. Elle n'a au contraire pas cessé de prodiguer ses encouragements et a salué au coup de sifflet final la débauche d'énergie d'un Alvaro Santos tout près de l'égalisation sur le gong et de ses coéquipiers. « Malgré la défaite, les gens ont applaudi », relève un Ferhat Khirat « agréablement surpris. » Et le coordinateur sportif de se réjouir : « Ça prouve, à mes yeux, que le club est sur la bonne voie. »
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
L'Alsace a écrit :
Elle n'a au contraire pas cessé de prodiguer ses encouragements et a salué au coup de sifflet final la débauche d'énergie d'un Alvaro Santos tout près de l'égalisation sur le gong
Surtout des applaudissements, et ca c'est classe. La plupart des gens étaient content du match. Il y a de quoi, hormis les 15 pemières minutes, on avait ensuite un séduisant Racing.
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
Pour moi c'est la premiere fois qu'apres une defaite la moitié du stade a appaudi les jouers, j'en faisait parti car j'ai vu l'envie, la hargne et surtout du spectacle. Si les joueurs ont tout donnée moi je ne les critiquerait pas et je les soutiendrais quoi qu'il arrive .... la au moins ont a vu qu'il etait decu et ne sont pas sorti du terrain avec beaucoup de regret!