[Ex] Zoltan Szelesi
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									Arrivé cet été de l'Energie Cottbus, le défenseur latéral droit international hongrois de Strasbourg, Zoltan Szelesi, ne sait pas de la Ligue 1 ou du championnat allemand lequel est le meilleur.
Seul Hongrois à évoluer en L1 cette saison, Zoltan Szelesi est arrivé l'été dernier d'Allemagne où il a passé trois saisons à l'Energie Cottbus. Interrogé par les DNA sur la suprématie d'un championnat par rapport à l'autre, le latéral droit international peine à se prononcer : « Je ne peux pas dire lequel des deux championnats est meilleur, mais en tous cas, c'est très différent, analyse le Hongrois, en Allemagne c'est une bataille physique. En France il y a plus d'espaces, le jeu est beaucoup plus tactique » déclare Szelesi, qui ne renoncerait pour rien au monde à la sélection. « C'est ce qu'il y a de plus important pour un joueur. Et cette année, j'ai vraiment eu de la chance, j'ai joué contre le Champion d'Europe (Grèce) et le Champion du monde (Italie). Et face à des grands joueurs comme Del Piero, tu apprends à chaque instant du match. »
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DNA a écrit :Un Magyar dans le couloir
Arrivé à la toute fin de l'été, le latéral droit du Racing Zoltan Szelesi découvre la Ligue 1, après trois saisons passées en Bundesliga, à l'Energie Cottbus. Impressions.
« Je me sens bien au Racing », lance d'emblée Zoltan Szelesi, dans un anglais parfait. Le latéral droit ne parle pas encore couramment la langue de Molière. Mais après quelques mois en Alsace, il comprend déjà quelques mots essentiels : « à droite, à gauche, devant, derrière, attention... », énumère-t-il en rigolant.
Arrivé en toute fin du mercato pour occuper le poste d'arrière droit, le défenseur a discrètement pris ses marques au sein de la défense strasbourgeoise, où il a été titulaire à 8 reprises.« J'ai encore joué un match cet été avec Cottbus, en Coupe. Puis les dirigeants de Strasbourg m'ont proposé un contrat. Comme le championnat français est réputé et que je savais que le Racing était un bon club, je n'ai pas hésité », explique Szelesi, seul Hongrois à évoluer en L 1.
Tout commence à Ujpest, dans la banlieue de Budapest. Comme d'autres apprentis footballeurs de l'Est, Szelesi rêve avant tout de Bundesliga. Il est finalement repéré par Cottbus lors d'une rencontre Allemagne - Hongrie, en 2004.
« En Allemagne, c'est une bataille physique, en France le jeu est beaucoup plus tactique »
Après trois ans de bons et loyaux services en Bundesliga, Szelesi s'est lancé cette saison « un nouveau challenge » en venant en France. « Je ne peux pas dire lequel des deux championnats est meilleur, mais en tous cas, c'est très différent, analyse le Hongrois, en Allemagne c'est une bataille physique. En France il y a plus d'espaces, le jeu est beaucoup plus tactique ».
Essentiellement cantonné à un rôle purement défensif à Cottbus - « on jouait le plus souvent le 0-0 » - Zoltan Szelesi doit désormais apprendre à apporter un plus offensivement. Ce qui est loin de lui déplaire. « Ici, c'est du vrai foot, il faut défendre mais il faut aussi tout donner en attaque, ajoute-t-il, ce n'est pas nouveau pour moi, car en équipe de Hongrie on joue un peu comme ça ».
Cette équipe nationale, où il évolue depuis tout petit, Szelesi ne voudrait la lâcher pour rien au monde. « C'est ce qu'il y a de plus important pour un joueur. Et cette année, j'ai vraiment eu de la chance, j'ai joué contre le Champion d'Europe (Grèce) et le Champion du monde (Italie). Et face à des grands joueurs comme Del Piero, tu apprends à chaque instant du match », souligne-t-il.
« Cette année, tout peut arriver »
Quant au début de saison plutôt encourageant du Racing, il ne s'en étonne pas vraiment. « Cette année en L 1, tout peut arriver. Nous on perd lourdement à Lyon, ensuite on gagne 3-0 face à Rennes, détaille le Hongrois. Et pour les autres équipes c'est la même chose. Regarde le PSG et Marseille... ce sont des grandes équipes et elles jouent le maintien ».
Et dans ce championnat de L 1 un peu fou, où voit-il le Racing en fin de saison ? « Toujours en Ligue 1. Et si on finit aux alentours de la 10e place, ce serait vraiment bien », tranche Zoltan Szelesi.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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