si ce soir vers 23 h c'est pareil je signe de suite !!!
 
  
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Bien d'accord. Les milieux offensifs dans un match comme ça doivent redescendre beaucoup plus que d'habitude pour boucher les couloirs. Quitte à y laisser des forces pour les phases d'attaque.silex57 a écrit :On peut pas oublier que avant ce match on avait la troisième défense du championnat ! Ce match est raté et c'est sans doute pas la seule faute de la défense, les 4 de derrière on été bien seuls pendant les 25 dernières minutes ...

L'Alsace a écrit :Une défense d'attaque ?
Alors que le compartiment offensif strasbourgeois n'a inscrit qu'un but lors des quatre dernières journées, la défense en a, dans le même temps, encaissé dix. Les Bleus ne veulent y voir qu'un phénomène passager.
« C'est chiant. Ça fait mal au c... Pardon pour l'expression.» Avec un langage fleuri qui n'est de loin pas sa seule façon de s'exprimer, Grégory Paisley n'y va pas par quatre chemins. Le défenseur central du Racing et ses partenaires ont du mal à digérer la gifle 5-0 reçue à Lyon dimanche. Entre le non-match à Monaco (3-0) et la déroute à Gerland, ils viennent d'encaisser huit buts en deux déplacements. « Avant d'aller à Lyon, nous avions encore la troisième défense de L 1 (9e aujourd'hui) », rappelle Stéphane Cassard à qui ce classement tenait à cÅ“ur.
En ajoutant la défaite contre le PSG (1-2) et le nul (0-0) face à Valenciennes à la Meinau, le gardien bas-rhinois est allé chercher dix fois le ballon au fond de ses filets lors des quatre dernières journées, contre huit lors des douze précédentes. Le remodelage récent de la défense (Bellaïd forfait contre VA et Szelesi sur le banc à Lyon, tous deux remplacés par Ducrocq dans l'axe, puis sur le côté droit) constitue-t-il un début d'explication ? « A mon sens, non », tranche Paisley qui a joué durant une saison et demie à Rennes, visiteur de la Meinau ce samedi (20 h). « Avec Manu (Dos Santos), Habib, qui n'a manqué que face à Valenciennes (Ndlr : le RCS n'a pas encaissé de but ce jour-là ), Steph et moi, plus Rodrigo et Cohade devant nous, ce sont six des sept joueurs du bloc défensif qui ne bougent pas. Un changement n'influe pas. »
Le Parisien voit ailleurs les raisons de la délicate passe strasbourgeoise. « Je le disais déjà en début de saison lorsque la défense recevait des louanges: bien défendre, c'est un souci collectif. Ça passe par des efforts à faire et à répéter. Et ça commence devant. Sur les 6 ou 7 premiers matches de la saison, un promu a tellement peur de prendre des roustes qu'il est obligé d'être attentif. Parfois, ça tient à peu de choses. Après notre nul contre Marseille (0-0) et notre défaite à Nice (1-0), il n'y aurait pas eu à crier au scandale si nous avions été menés au score après 20 minutes contre Auxerre. Ce n'aurait plus du tout été la même saison. Au lieu de ça, nous gagnons 3-0. Compte tenu du statut du club et d'une présaison pas terrible, j'ai été plus surpris par notre bon début de saison que par notre mauvaise passe actuelle. Nous savions que nous en connaîtrions une, comme toutes les équipes d'ailleurs dans ce championnat très homogène. Aujourd'hui, c'est plus compliqué pour nous, mais il ne faut pas s'alarmer.»
« Nous ne sommes pas promus pour rien »
Stéphane Cassard dresse sensiblement le même constat: « Dès qu'il y a un peu moins de détermination et de fraîcheur mentale, l'effet se fait sentir. En début de saison, tout le monde était à bloc. En prendre 5 à Lyon, c'est embêtant. Ça altère notre crédit. Mais ce n'est pas inquiétant. Ça fait partie d'une saison où il y a de bonnes et de mauvaises périodes. Nous ne sommes pas promus pour rien. Contre VA, j'ai senti notre envie de défendre notre but tous ensemble. C'est cette envie que nous devrons manifester contre Rennes. »
Comme son partenaire, Greg Paisley ne cède pas lui non plus à la panique. « On va pouvoir juger la capacité de réaction du groupe. Je n'ai pas d'inquiétude particulière là -dessus. La qualité intrinsèque est là . Nous devons retrouver l'état d'esprit de guerriers que nous avions en début de saison. Ça se passe plus dans la tronche que dans les jambes. »
