[07/08] Bilan à mi-parcours

[silex57]

Il te taquinait ! Mais tu as bien raison c'est fou comme dans les journaux ou sites web on retrouve comme fautes. Et j'ai l'impression que c'est de pire en pire.

[Sam.]

Ben c'est surtout que la touche F7 permet quand même de corriger pas mal de fautes pour un journaliste...

Sam.

[Goose]

N'empêche sur le site Yacine est francais

[silex57]

Et pour ça la touche F7 ne peut rien

[Phapha]

Bien d'accord.

Tout de même :

au-delà 
footballistique
Eurosport
ce sont des journalistes
ça

La poutre dans l'oeil ne fait pas trop mal ?

ok ok, donc on va dire 10€ par post me concernant et je vais faire encore un effort d'écriture. Je t'envoie la note??
Dois-je aussi t'expliquer la différence entre un post sur un forum (que je n'avais pas forcément relu) et un article paru sur un site tel qu'eurosport.fr ?

Désolé, c'était plus fort que moi. Bien sûr qu'on n'est pas obligé d'écrire sans fautes sur un forum (j'en fais aussi). Là  c'est juste que ton post dénonçait les fautes de français. Simple question de crédibilité. C'était un peu trop énorme.
Désolé si tu l'as mal pris, ce n'était pas mon intention.

[télésupporteur]

Pour la defense ils ont bon, c'est deja pas mal

la fiche club et le logo semblent correctes

[argueti]

Strasbourg entre éclat et discrétion

La Racing a passé la majeure partie de la première moitié de saison dans le haut du tableau de Ligue 1 avant de chuter au classement à  la suite d'une série noire. Sa 14e place actuelle reflète ses difficultés à  jouer de régularité et à  prendre des points face aux meilleures équipes de l'Hexagone.

"On va d'abord essayer d'obtenir le maintien le plus vite possible, afin de jouer libéré mais, quoiqu'il arrive, la saison s'annonce difficile." Ces propos emplis d'humilité émanaient de Grégory Paisley quelques semaines avant la reprise du championnat de France. Presque six mois plus tard, le RC Strasbourg arbore un sourire mitigé. Il a connu deux courtes périodes fastes qui lui ont permis de fréquenter le haut du tableau durant la majeure partie de la première moitié de la saison. Mais depuis le début du mois de novembre, la belle mécanique alsacienne semble s'être enrayée. Comme si la victoire du PSG à  la Meinau (1-2) avait porté un coup fatal au collectif de Jean-Marc Furlan.

Lors des six matchs depuis cette défaite, les attaquants strasbourgeois n'ont réussi à  faire trembler les filets que d'une seule équipe : Rennes (3-0). Les mauvaises langues pourraient pointer la mauvaise passe de la formation bretonne, qui se trouvait prise dans une série de six défaites consécutives souvent lourdes, pour expliquer ce succès alsacien. Mais plus que la nature de l'adversaire du soir, cette victoire semble illustrer la réalité de la première partie de saison du RCS. La formation de Jean-Marc Furlan est joueuse, mais ne parvient bien souvent pas à  concrétiser au tableau d'affichage cette volonté d'aller de l'avant. "C'est extrêmement frustrant d'être compétent dans plein de domaines et de ne pas concrétiser cela" expliquait l'ancien entraîneur de Troyes après la défaite à  Caen (0-2). En revanche, dès lors que Strasbourg parvient à  prendre la mesure de la défense adverse, les buts tendent à  s'accumuler.

En difficultés face aux gros

En 19 journées, Strasbourg est resté muet devant le but adverse à  onze reprises. En revanche, sur les huit rencontres qui ont vu le RCS marquer au moins une fois, le club alsacien a inscrit trois buts lors de quatre d'entre elles. Seuls Lyon (sept) et Valenciennes (six) ont fait mieux avant la trêve hivernale. Le potentiel offensif du club alsacien est ainsi bien présent, malgré une moyenne de moins d'un but inscrit par sortie. Reste à  gagner en régularité et à  s'affirmer contre les gros du championnat. Car depuis le début de saison, Strasbourg n'a grappillé que quatre points, sur les 30 mis en jeu, face à  des équipes du haut de tableau, à  chaque fois en décrochant le nul. Et n'a inscrit qu'un seul but face à  ces formations. C'était le 20 octobre dernier à  l'occasion de la réception de Bordeaux (1-1).

En revanche, le constat est inverse face aux clubs de bas de tableau. Les Strasbourgeois ont décroché 20 points sur 27 possibles et n'ont concédé qu'une seule défaite, celle face au Paris Saint-Germain début novembre. Impossible dès lors de viser beaucoup plus haut que la 14e place actuelle pour les joueurs de Jean-Marc Furlan. Mais cela ne les affecte aucunement. "Si on nous avait dit qu'on aurait 24 points à  la trêve, on aurait signé tout de suite" souligne le défenseur Habib Bellaid. La moitié du chemin, voire un peu plus, jusqu'au maintien est déjà  effectuée.