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je dis que Lens va gagner à Caen et je joue N....FM75 a écrit :Lens va gagner à Caen et les normands vont tres mal finir la saison....silex57 a écrit :Au vu du calendrier des autres équipes dans notre zone
Monaco - Lille
Lyon - Sochaux
Bordeaux - Metz
Rennes - Auxerre
Nancy - Toulouse
Caen - Lens
Faut gagner et creuser l'écart sur Toulouse, Sochaux, Lens qui vont sans doute perdre !
Caen va s écrouler et va difficilement se maintenir....
S'ils enchainent plusieurs matchs comme celui de Marseille et celui ci, ça sera effectivent difficile ... 
Confondre le Racing avec le TFC, pitié, tout mais pas ça.Goose a écrit :Il es tunisien Santos?But de Santos ! Débordement de Lacour côté droit, qui remet en retrait pour Santos arrivé en trombe. Le Tunisien propulse le ballon dans les filets du pauvre Viviani.
(vu sur le live de l'équipe)
DNA a écrit :Il fait grand vert
A la faveur de son succès décroché face à un adversaire direct dans la lutte pour le maintien, sans apparaître en surrégime, le Racing a un peu plus entretenu l'espoir d'une saison réussie.
Comme les jeunes pousses du club ont eu le bon goût de pimenter le week-end du Racing d'une sucrerie supplémentaire en décrochant leur qualification pour les 16e de finale de la coupe Gambardella, on peut se laisser aller à anticiper un avenir passablement souriant du côté de la Meinau. Si elle ne manquera pas d'être escarpée, la route d'un futur strasbourgeois réjouissant semble dégagée ce matin.
Une ASSE surréaliste
Jean-Marc Furlan et sa bande ne sont pas les seuls responsables de la présente situation favorable alors que l'on vient de dépasser les deux tiers de l'aventure 2007-2008 en Ligue 1. Ils ont incontestablement eu le bon goût de prendre une part active dans la grande embardée stéphanoise, qui pourrait s'achever dans le fossé.
En se montrant sans cesse volontaires, à défaut de toujours être réalistes, Fanchone, Mulenga et les autres ont forgé une victoire qui ne souffre pas l'ombre d'une contestation, si ce n'est dans l'esprit de Laurent Roussey, embrumé par des coulisses pleines de clans et de divisions. « Beaucoup de décisions de l'arbitre ont été défavorables à l'ASSE », a notamment indiqué le coach d'en face au coeur d'un discours parfois surréaliste.
A la question de savoir si ses joueurs l'avaient lâché samedi, le technicien des Verts a également eu cette réponse surprenante en répondant : « Ecoutez, on verra demain. » Et de s'en prendre par la suite à quelque obscur manager général ou d'autres personnages réjouis de la défaite des siens à la Meinau.
Dix titres de champion au palmarès ne préservent visiblement pas du ridicule, vingt-deux millions d'euros investis sur le marché des transferts à l'été 2007 ou de brillantes individualités tel Bafetimbi Gomis, à la conclusion de la grosse occasion des visiteurs à l'heure de jeu ce week-end, non plus.
Et le Racing peut donc tracer sa route en s'appuyant sur une série de quatre matches sans défaite qui correspondent à 8 points dans sa besace, avec l'impression d'en avoir encore sous la pédale et l'assurance que, dans le dos de sa 11e place, il y a assurément des clubs plus mal lotis que lui. « On a été plus agressif que lors du match de coupe de France, peut apprécier Renaud Cohade qui a réussi le premier penalty qui lui a été donné de tirer depuis plus d'un an et un voyage sur les terres du Gazélec d'Ajaccio en... coupe de France en janvier 2006. On est sur une bonne série. On va tenter de la poursuivre à Lorient. »
« Moins de 100 matches en L1 pour la moitié des titulaires »
Il y avait logiquement la banane du sourire sur les visages strasbourgeois ce samedi, il y avait aussi dans les bouches le désir de ne pas s'arrêter en si bon chemin. « On passe le cap des 30 points et c'est un moment très important pour le Racing, a apprécié Furlan. En plus, je ne pense pas que nous avons tous les joueurs au maximum de leur forme. Se retrouver 11e, c'est un soulagement. Ça peut jouer sur la confiance des joueurs. » Certains ont visiblement fait le plein en la matière ces derniers jours et c'est bienvenu pour un secteur offensif, assurément le plus incertain depuis le début de saison.
Mulenga en était convaincu la semaine dernière et il y a réussi. En concluant la marque samedi, il a ouvert son compteur but en Ligue 1 et le pari tenté par l'entraîneur strasbourgeois de le titulariser pour la première fois à domicile à son retour de la CAN apparaît gagnant puisque le Zambien a également provoqué le penalty crucial. « Avec Alvaro Santos, on va se rendre compte également que l'on peut compter sur un élément déterminant dans la saison et leader dans le groupe », a tenu à ajouter le manager général strasbourgeois sur son dossier offensif.
Avec Gameiro et Mouloungui largement perfectibles et Renteria à l'infirmerie, le Racing ne semble ni dépourvu, ni dépendant de l'efficacité d'un ou deux joueurs dont la carrière en est encore aux premiers balbutiements.
« On se retrouve avec une équipe dont la moitié des titulaires ont moins de 100 matches de Ligue 1 », a pu proclamer Jean-Marc Furlan comme pour envisager une vision de son groupe à long terme. Pour franchir le palier sur lequel l'ASSE semble scotchée, il s'agira de le préserver d'un éventuel éclatement. Mais ça, c'est une autre histoire. Et on peut se contenter de celle d'aujourd'hui qui est plutôt jolie.
François Namur
L'Alsace a écrit :Entre deux eaux
Grâce à son huitième succès de la saison avant-hier à la Meinau contre Saint-Etienne (3-0), le RCS s'est rapproché de la première moitié du classement de L 1. Mais sa marge sur la zone rouge, limitée à cinq points, ne lui autorise aucun relâchement.
Tous les statisticiens, auxquels Jean-Marc Furlan fait souvent référence (« parce que les chiffres démontent à eux seuls une argumentation si elle n'est pas étayée par du solide », se plaît-il à rappeler), vous le diront : avec 32 points en 24 journées, le Racing est très largement en avance sur le tableau de marche idéal d'un candidat au maintien.
Sa 11e place pourrait sembler confortable. Elle l'est plus en tout cas que le classement d'une AS Saint-Etienne qui a donné samedi soir après son échec une image assez détestable. À tout le moins antinomique des valeurs de solidarité qu'est censé véhiculer le football, sport collectif par excellence. Entre un coach, Laurent Roussey, qui déclarait que « cette défaite va sûrement faire plaisir à certaines personnes au club », et un patron de la cellule recrutement, Omar Da Fonseca, qui se disait « triste » d'entendre des propos pareils, la dissonance était flagrante, limite pathétique. Le second est régulièrement taxé de réclamer la peau du premier. Ambiance, ambiance.
Mais cette bouillabaisse à la sauce verte ne date pas d'hier et est évidemment le cadet des soucis à Strasbourg. En battant samedi les Stéphanois moins nettement que ne l'indique le score, les Bleus ont signé la bonne opération de cette 24e journée. Trois buts marqués, trois points récoltés, trois rangs gagnés : ils ont une nouvelle fois administré la preuve par trois de leur capacité à rebondir après une contre-performance. Pareillement étrillés le vendredi 1er février à la Meinau par Metz en 16es de Coupe de France (0-3), Rodrigo et les autres ont remis les gaz. « Une belle victoire face à un adversaire direct », se félicite Renaud Cohade, exécuteur des hautes Å“uvres sur le premier penalty accordé cette saison au RCS. « Nous avions besoin de ça. Nous avons su nous montrer réalistes. Mais nous savions aussi qu'en gagnant, nous resterions sous la menace. »
« Je maintiens que j'ai confiance en ce groupe »
Une menace toujours réelle, même si le 24e round de ce long combat vers le maintien a permis au RCS de faire passer sa marge sur le premier relégable de 3 à 5 points. L'aptitude de Rodrigo et les autres à se relever après une claque a encore fait merveille. Depuis le début de saison, les exemples sont légion. Et ils semblent accréditer la thèse, après quelques moments de doute, que ce Racing-là est bâti pour surmonter les grains successifs. Ces grains qui enrayent parfois une machine et peuvent conduire à la L 2 plus vite qu'on ne le pense. Jean-Marc Furlan avoue d'ailleurs être « rassuré par la capacité mentale et intellectuelle des joueurs à réagir. J'ai souvent dit que j'avais confiance en ce groupe. Je le maintiens. Cette fois encore, nous avons su négocier favorablement un tournant après une défaite contre Metz qui ne nous avait pas fait plaisir du tout. De fait, on gagne en assurance. »
Après avoir jeté aux orties la prestation des siens en Coupe de France, l'entraîneur strasbourgeois a cette fois offert quelques lauriers. L'attaque, souvent montrée du doigt pour son inconstance (1), vient d'inscrire sept buts lors de ses trois dernières rencontres de L 1 et réapparaît parmi les 10 meilleures de la division. Une bonne nouvelle à l'orée des trois derniers mois de compétition. Quand on a un but à atteindre (le maintien), il est toujours préférable d'en marquer.
(1) Depuis le début de saison, le RCS a disputé 27 matches officiels. Il en a bouclé 15 sans faire trembler les filets adverses.
rodrigo, a tout fait, mais c'est le joueur qui cache la faiblesse du milieu du racing dos santos continue sa montée en puissance cassard, nous a fait du cassard gameiro
à polir
