Jean-Marc Furlan

[NéRiK]

Le plus drole c'est qu'il trouve toujours une excuse bidon. Apres la raclée face à  Metz ou c'était soit disant qu'un "match de coupe" il nous sort l'excuse des jambes lourdes. La prochaine fois ce sera la faute du jardinier?

[Phapha]

Encore une fois, c'est le discours officiel. S'il dit devant les micros : "le groupe a montré ses lacunes individuelles et collectives aujourd'hui", rien de tel pour plomber le moral et mettre une sale ambiance, et finir la saison à  moins de 40 points...

[NéRiK]

Ben pourquoi pas. Si j'étais coach je remettrais bien certains joueurs à  leurs place.

Vous avez vu la gueulante qu'à  poussé Antonetti sur Balmont ? Je pense qu'à  l'avenir il fera moins le con et écoutera tout suite son coach.

[Phapha]

Après tout pourquoi pas...
Mais l'exemple d'Antonetti me semble mauvais, c'est quelqu'un qui en général protège au maximum ses joueurs en public (le coup de Balmont ce n'était pas censé être filmé). Un peu comme JMF, qui dans une interview il me semble a dit un jour : "avec moi, on lave son linge sale en famille."
Plutôt comme Puel, qui disait devant les micros : "on est mauvais, certains vont devoir se remettre vite en question..."

[fan_racing]

Encore une fois, c'est le discours officiel. S'il dit devant les micros : "le groupe a montré ses lacunes individuelles et collectives aujourd'hui", rien de tel pour plomber le moral et mettre une sale ambiance, et finir la saison à  moins de 40 points...

Exactement. Furlan ne descendra jamais ses joueurs en public, et encore moins devant la presse.

[Jeter]

sans vouloir tirer sur l'amulance ,
il a interet a taper du poing sur la table ,

il manque toujours 10 points pour le maintien ,

c'est le seul entraineur de L1 , chaque fois qu'il donne une interview ,
j'ai tendance a m'endormir !!!!!
JMF c'es mon Lexomil !!!!!

[Gotcha]

entre le discours aux médias, et ce qui se passe dans un vestiaire, il y a un monde

Quand un joueur joue contre son ancien club, souvent il sort de grosses prestations .... c'est pourquoi il a du préférer titulariser Santos

[argueti]

Les quatre vérités

Pour la première fois depuis le début de saison, les Strasbourgeois se sont livrés à  une sévère explication de texte samedi à  la mi-temps. Sans effet.

Sur le terrain, la révolte n'a pas sauté aux yeux. En deuxième mi-temps, les Bleus n'ont pas semblé plus inspirés que lors de la première face à  des Sochaliens jamais bousculés. Il y a trois semaines, lors de la débâcle en 16es de Coupe de France contre Metz (0-3), l'entraîneur strasbourgeois avait piqué une grosse colère. Cette fois, ni lui, ni le président Philippe Ginestet ne sont intervenus. Conscients d'être passés à  travers lors des 45 minutes initiales, les Bleus ont eux-mêmes pris l'initiative de se dire leurs quatre vérités au repos. En des termes pas toujours amènes. Sans doute pour provoquer un salvateur électrochoc qui n'est jamais venu. Pour la première fois, Rodrigo et les autres ont évoqué une inéluctable relégation en L 2 s'ils ne redressaient pas la barre au plus vite. Les mots, piquants, n'ont pourtant pas été suivis d'effet durant le second acte. Comme si souvent cette saison, les Strasbourgeois auraient pu jouer jusqu'au bout de la nuit sans marquer. Ainsi ont-ils quitté la Meinau sans avoir trouvé le chemin des filets adverses pour la 17e fois en 29 matches officiels 2007-2008. Un constat d'autant plus accablant que l'ensemble des cadres accuse un vilain coup de fatigue. D'aucuns ne cachent pas s'interroger sur une condition physique qu'ils jugent incertaine, un manque de ressort et une étrange sensation de jambes lourdes. Ce dossier devrait être évoqué avec le staff lors de la reprise aujourd'hui.

Des individualités déficientes

Collectivement, les Bleus sont à  la peine. Individuellement aussi. Depuis sa blessure et ses soucis d'ordre personnel, Yacine Abdessadki n'est plus que l'ombre du joueur déterminant qu'il a si souvent été sous le maillot bleu (6 buts, 4 passes décisives en L 1 en 2005-2006, 3 buts, 7 passes en L 2 l'an passé). L'international marocain traverse l'une des périodes les plus noires de sa carrière. Même le métronome Guillaume Lacour sort des deux plus pénibles rencontres qu'il ait disputées depuis son arrivée en Alsace en 2001. Enrhumé par le Lorientais Yann Jouffre l'autre samedi, il a encore pris l'air avant-hier face à  Nicolas Maurice-Belay. La suspension de Rodrigo pourrait lui permettre de récupérer au Mans un rôle dans l'entrejeu qui lui sied mieux, Pierre Ducrocq suppléant Grégory Paisley dans l'axe défensif et le Hongrois Zoltan Szelesi retrouvant une chance au poste de latéral droit. Les « victimes » de ce coup de barre sont légion. Rodrigo, impressionnant en début de saison, est lui aussi moins tranchant. Cohade n'en finit pas avec ses soucis d'adducteurs. Alvaro Santos continue de cultiver un incompréhensible paradoxe : d'un réalisme phénoménal à  chaque entrée en cours de partie, il est souvent transparent lorsqu'il est titulaire (le match de Rennes, au cours duquel il a inscrit deux buts et délivré une passe décisive, est l'exception qui confirme la règle). Brillant lors de ses précédentes sorties, Jacob Mulenga a été invisible samedi. De quoi expliquer l'inconstance dont fait preuve l'entité Racing depuis plusieurs semaines. Jean-Marc Furlan risque encore de passer quelques nuits agitées à  chercher le remède.

[Tenor]

Le rôle de l'entraineur est bien connu. Face à  la meute de journalistes qui font leur métier il est normal que l'entraineur communique avec la presse en utilisant des mots bien pesés. Le coté méchant passe à  travers un entretien collectif et individuel avec les joueurs loin des caméras et des micros. La révolte des joueurs passe par là  et uniquement par là .
Mettez-y encore une pincée du Président et vous retrouvez un état d'esprit nouveau sur le terrain.
Les joueurs qui n'adhèrent pas au projet du club s'éliminent par eux-même...sauf ceux qui se voient déjà  jouer ailleurs, reconnaissons-le par le temps qui court, ils ne sont plus nombreux au racing.

[Gotcha]

Notre entraineur ne s'appelle pas Mourinho, et notre club n'est que Strasbourg...

alors certes sur certains matchs il se plante dans ses choix (cf sochaux)
mais à  la différence de Dugué/JPP, il se remet en questions, parvient à  se rendre compte que ses choix étaient loupés, et n'hésite pas à  en faire d'autres. C'est ptête facile à  dire apres une victoire, mais c'est comme ça que je le perçois.

Cela dit, on peut lui reprocher son manque de réaction pendant un match pour faire tourner les événements en notre faveur ... Je dirai que c'est son style : à  partir du moment où il accorde sa confiance sur un match à  11 joueurs, il leur garde sa confiance pour tout ce match, quitte à  tirer les enseignements qu'il faut par après.