[07/08] 34ème J: Strasbourg / Lyon : 1-2
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Tenor
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
Il est vrai que ça souffle fort à la campagne
lol:

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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
Je ne doute pas que le Racing fera un bon match, peut-être même l'un des ses meilleurs cette année... Mais ça n'empêchera pas l'OL d'ouvrir le score... Après ça les maladresses s'accumuleront, les Lyonnais en mettront un 2ème et comme d'hab ce sera la débandade, il n'y aura plus que Cassard pour faire de la résistance 
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Manu
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
Bon je n'aurais pas résisté longtemps et je serais présent pour le dernier dernier dernier espoir du Racing...Manu a écrit :Si jamais je viens quelqu'un aurait un abonnement ou billet en populaire à me filer pour un pote qui vient à la maison ?
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Tenor
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
Tu te fatigues pour rien, arrête de jouer ce match à l'avance et garde ton énergie pour demain soir. Kopf hochMais ça n'empêchera pas l'OL d'ouvrir le score... Après ça les maladresses s'accumuleront, les Lyonnais en mettront un 2ème et comme d'hab ce sera la débandade, il n'y aura plus que Cassard pour faire de la résistance
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
J'ai trouvé ça sur le site de l'OL... Pas très encourageant...
Cela fait 8 matchs de rang que le Racing Club de Strasbourg n'a pas inscrit le moindre but à l'OL. Le dernier buteur ? Ulrich Le Pen à Gerland le 1/12/2003 à la 23ème minute de jeu (défaite 2 à 1). Soit 787 minutes de silence !
En terme de points pris, cela frise l'indigence. Les Strasbourgeois ont enregistré leurs derniers points en championnat lors de la saison 1999/2000 : un nul 0 à 0 à Gerland et un succès 4 à 2 à la Meinau.
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
Propos recueillis par LAURENT DUYCK
De Sports.fr
A cinq journées du terme de la saison, le Racing Club de Strasbourg lutte toujours, en compagnie du PSG, Lens et Toulouse, pour le maintien. Après un bon début de saison, les Alsaciens ont plongé au classement, chute matérialisée par une série de six défaites consécutives. Et le plus dur commence pour Stéphane Cassard et ses coéquipiers qui accueillent, samedi lors de la 34e journée, Lyon, première étape d'un calendrier terrible jusque la fin de la saison. Pour autant, le gardien strasbourgeois veut croire au maintien.
Stéphane, dans quel état d'esprit est le groupe après cette mauvaise série ?
On veut casser cette spirale de défaites. Quelle que soit la manière, on se doit de renverser cette série par un nul ou une victoire. Il ne nous reste plus que cinq matches pour réussir. A nous de garder cet état d'esprit qu'on a montré face à Paris et Valenciennes, deux matches où il y a eu de bonnes choses. Il faut maintenant que l'on réussisse à changer le cours des événements dans un match. Si on ne lâche pas, on les fera changer en notre faveur. Les vents sont contraires en ce moment mais la solution nous appartient.
Cette lutte pour le maintien est-elle difficile à vivre ?
Le maintien a toujours été l'objectif de Strasbourg et de tout l'effectif. On aurait préféré l'atteindre le plus tôt possible. Même avec toutes ces défaites, l'objectif reste le même. On va devoir aller le chercher plus tard dans la saison que prévu mais ça ne change rien pour nous. Le plus important, encore une fois, reste de briser cette spirale négative.
Qu'est-ce qui manque aujourd'hui à cette équipe de Strasbourg pour ne plus perdre ?
Ça se joue dans les zones de réparation, que ce soit défensive ou offensive. C'est vrai qu'on souffre surtout d'un point de vue offensif en ce moment. On n'arrive pas à marquer, que ce soient nos attaquants, nos milieux de terrain et même nos défenseurs car on pourrait très bien débloquer la situation sur coups de pied arrêtés. Il faut que l'on soit plus rigoureux et plus déterminés dans tout ce que l'on fait dans ces zones de vérité.
"La prise de conscience est générale"
Votre tâche n'est pas facilitée par votre calendrier difficile...
Quels que soient les matches, il faudra les jouer. Que ce soient Lyon, Rennes ou Nancy, tous les adversaires qui arrivent, on devra les jouer. Ça ne change rien. Même avec quelques points de plus, il aurait fallu les rencontrer. Il ne faut pas se focaliser sur l'adversaire. On doit se concentrer sur ce que l'on doit faire, sur notre jeu et tout donner pour ne pas avoir de regrets après les matches. Si l'adversaire est plus fort que nous, c'est différent.
Est-ce le bon moment pour accueillir les Lyonnais sachant qu'ils ont joué cette semaine en Coupe de France mais qu'ils doivent récupérer les points perdus la semaine dernière à domicile contre Rennes ?
Je ne sais pas s'il y a un bon moment. On doit, quoiqu'il en soit, se concentrer sur nous-mêmes. On sait que Lyon reste Lyon même s'ils paraissent un peu plus en difficulté en ce moment. Mais on ne fera aucun complexe par rapport à cette équipe.
Jean-Marc Furlan, votre entraîneur, rappelait jeudi que chacun au sein du club avait un comportement exemplaire et était concerné par cette lutte pour le maintien. Ressentez-vous la même chose ?
Oui. Nous sommes tous conscients de traverser une passe difficile mais nous sommes aussi déterminés pour atteindre notre objectif. La prise de conscience est générale. On se doit de tout mettre en oeuvre et surtout de ne pas avoir de regrets après les matches.
Comment évaluez-vous vos chances de maintien ?
Ça passera par deux victoires au minimum. Et puis, ça dépendra des résultats des poursuivants également. Quand on a trois ou quatre adversaires, on est forcément attiré à l'idée de regarder leurs résultats en fin de match. C'est naturel et humain.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
DNA de ce jour :
Du trépas à la vie ?
Histoire de préserver ses espoirs de maintien en élite, le Racing doit réaliser un improbable exploit, dans une Meinau à guichets fermés (*) : importuner l'ogre lyonnais et enrayer la sinistre série de défaites. Comment ? Personne ne le sait, pas même Jean-Marc Furlan.
Ça aurait dû être une chouette fête. Le Racing, assuré ou presque du maintien, aurait pu se parer de ses plus beaux atours et parader dans une Meinau joyeuse et indulgente. Que les Strasbourgeois eussent pris au final trois ou quatre « pions », comme souvent ces dernières années - cinq défaites domestiques de rang contre Lyon, dont quand même deux cinglants 0-4 -, voilà qui aurait à peine altéré l'humeur jouasse du public alsacien. Quelques ricanements taquins, l'un ou l'autre commentaire acerbe ou désabusé, tout au plus, puis tout ce petit monde serait tranquillement rentré chez lui.
L'avenir proche se dessine logiquement en Ligue 2
Disciplinée et respectueuse, la foule se serait inclinée devant l'indicible force du sextuple champion de France et la dépouille de son club chéri, en marmonnant que l'année prochaine, ce serait peut-être mieux. Ou moins humiliant, c'est selon. Las, rien ne laisse supposer, aujourd'hui, que les retrouvailles puissent être programmées de si tôt. Car l'avenir proche des Bleus se dessine logiquement en Ligue 2, à mille lieues des affiches de gala, des arabesques de Benzema, de l'ambiance des grands soirs et d'un stade plein jusqu'aux cintres. Pour n'avoir pas su prendre le moindre point contre Sochaux, Metz, Lille et Monaco, adversaires qui se sont succédé à la Meinau, ni pu se montrer plus inspiré loin de chez lui, le Racing s'est fourré dans de bien vilains draps. Il a, pêle-mêle, perdu sa confiance et son efficacité, s'est accessoirement mis le public à dos - les « Furlan démission » avaient plombé la soirée cauchemardesque contre l'ASM (0-2) - pour finalement se laisser happer par un tourbillon infernal de défaites qui court sur six journées. La septième lui semble promise ce soir. Dans un contexte a priori plus indifférent que bienveillant -« on sait bien que seuls 5 000 supporteurs nous soutiendront et que les 25 000 autres viendront pour voir gagner Lyon », regrette le coach -, on voit mal ce qui pourrait contrarier les desseins des hommes d'Alain Perrin. D'autant que les Gones sont en « état d'alerte », après deux contre-performances en championnat et une qualification poussive acquise en quarts de finale de la Coupe de France contre Metz (1-0). L'OL, privé de Toulalan, « joue quasiment le titre sur ce match », aux dires de l'entraîneur rhodanien, crispé de voir le dauphin bordelais émarger à seulement quatre points. Furlan, infatigable chantre du positivisme, veut, lui, croire que son équipe « se révélera dans l'adversité. » Le Girondin mise sur « la créativité et la légèreté dans les jambes, en prenant du plaisir à faire un beau match sans penser à l'enjeu ou au nom de l'adversaire. » Mieux vaut, en effet, que Rodrigo et les siens jouent aux amnésiques et affichent une touche d'insouciance au moment de fouler la pelouse. Il devront déjà oublier la douloureuse gifle de l'aller (5-0) essuyée dans des circonstances défavorables, en raison de l'une ou l'autre décision arbitrale contestée. Evacuer, aussi, l'implacable réalité des chiffres. Ceux qui viennent insidieusement rappeler que Lyon compte près de deux fois plus de points que le Racing (68 contre 35) et a marqué plus du double des buts alsaciens (66 contre 29) cette saison. Dire que le seul Karim Benzema a expédié la balle au fond des filets autant de fois - dix-sept - que Renteria, Alvaro Santos et Gameiro réunis n'est pas non plus fait pour remonter le moral des attaquants, désespérément muets depuis cinq journées. Sommairement, Furlan a posé l'équation à trois inconnues qui peut éviter aux siens d'aller au devant d'une grosse déconvenue : « S'approcher du zéro faute en défense, être tous à 120%, retrouver la compétence et la spontanéité sur le plan offensif. » Soit autant de domaines dans lesquels le Racing flanche invariablement semaine après semaine. Lyon ou pas, les Strasbourgeois sont pourtant dans l'obligation « d'enrayer la spirale, comme le dit Greg Paisley, parce que la situation devient très limite » à désormais cinq journées du verdict. Si Lens et le PSG ont le bon goût de ne pas laisser le Racing seul dans son pétrin, pas sûr que leur esprit philanthropique perdure à l'approche du poteau d'exécution.
« Dans la même galère depuis onze mois »
« Nous sommes dans la même galère depuis onze mois, poursuit le défenseur central, qui a vécu pareille fin de saison du côté du Havre, avec une issue malheureuse. Nous sommes sur un pied d'égalité. Notre état d'esprit est positif, on ne s'est jamais liquéfiés. Si on retrouve l'efficacité du début de saison, ça pourra faire la différence. » La différence contre Lyon ? Bah ! allez donc. Le fait est que le Racing chancelle au bord du précipice, que le réalisme, le beau jeu et les victoires sont des souvenirs évanescents. On aimerait tant abonder dans le sens de Furlan. Croire que cette belle affiche ne sera pas la dernière avant longtemps. On aimerait tant.
Sébastien Keller
(*) Il reste encore quelque 300 billets en vente, aujourd'hui (10h-18h) aux guichets de la Meinau.
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
DNA:
Chaud derrière !
Lyon, en déplacementà Strasbourg, ce soir, a l'occasion de distancer son suivant, Bordeaux, en danger demain chez un Toulouse revigoré. De son côté, le Paris SG, 18e, risque gros à Caen pendant que ses concurrents pour le maintien jouent à domicile pour la 34e journée de Ligue 1. Si Strasbourg ne part pas favori contre Lyon, Toulouse (16e) et Lens (17e), qui reçoit Sochaux, pourraient distancer le PSG. Marseille, contre Lille, et Nancy, contre Le Mans, poursuivent leur duel à distance pour la troisième place, qualificative pour le troisième tour préliminaire de la Ligue des champions. Quid des clubs luttant, au côté du Racing (voir page SPO 1) pour le maintien ? Lens (17e) - Sochaux (13e) : Incapable de s'imposer en L1 depuis le 10 février, Lens reçoit le Sochaux de son ex-entraîneur, Francis Gillot. Un redoutable spécialiste des déplacements qui reste sur quatre succès à l'extérieur ! Pour éviter la relégation, Lens, où apparaissent quelques dissensions entre le duo technique Jean-Pierre Papin-Daniel Leclercq, peut s'inspirer de la remontée de son adversaire. Auxerre (15e) - Metz (20e) : L'AJA n'a gagné qu'un seul de ses sept derniers matches et reste menacée avec ses 5 petits points d'avance sur le Paris SG, premier relégable. La réception de Metz, déjà condamné à la redescente, est l'occasion de distancer les trois derniers. Caen (12e) - Paris SG (18e) : Toujours relégable, le PSG a grand besoin d'une victoire en Normandie. Paul Le Guen devrait aligner son équipe-type, après avoir reposé presque tous ses titulaires contre Carquefou en Coupe de France (1-0).
Edition du Sam 19
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
DNA
Les joueurs
Mouloungui ou Gameiro ?
« J'ai envie de faire confiance aux hommes qui ont animé le début de saison », indiquait hier Jean-Marc Furlan. Mouloungui, placé sur la sellette la veille, conserverait ainsi sa place de titulaire sur le flanc gauche, Fanchone occupant le couloir opposé. Johansen retrouvera un rôle de meneur de jeu, derrière Renteria. Ce qui aurait pour conséquence de repousser Gameiro sur le banc.
Fred ou Govou ?
En l'absence de Toulalan, blessé, Perrin placera Bodmer en sentinelle devant une défense classique au sein de laquelle Grosso, un temps incertain, tiendra sa place. En attaque, l'entraîneur compte sur Benzema et Keita mais hésite encore entre Govou et Fred pour le dernier poste offensif. Si l'international français est choisi, il occupera le couloir gauche alors que Benzema évoluera dans l'axe. Le meilleur buteur de L 1 ripera sur le côté si Fred est amené à débuter.
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Manu
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Re: [34ème j] RCS / Lyon - 19/04/2008 à 20h00
« on sait bien que seuls 5 000 supporteurs nous soutiendront et que les 25 000 autres viendront pour voir gagner Lyon », regrette le coach
Il changera d'avis quand on aura mis le deuxième but et que la Ola continuera son 10 ème tour

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