un mec limité que les dirigeants de Metz ont eu raison de remercier...eux au moins, ils sont plutôt dans une meilleure dynamique que la nôtre pour préparer la saison prochaine...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
Le centre d'entraînement du PSG a été la cible de dégradations de la part d'une vingtaine de supporteurs parisiens cette nuit.
«(Paul) Le Guen dégage, dirigeants démission, allez tous vous faire enc..., une équipe à Paris, si on descend on vous descend, le Paris Saint-Germain c'est nous». Ce sont les inscriptions que l'on pouvait lire sur les murs du camp des Loges, le centre d'entraînement du Paris-Saint-Germain, dans les Yvelines, dimanche matin.
Une vingtaine de supporteurs mécontents est à l'origine de ces dégradations après la défaite de leur club à Caen samedi soir. Le PSG se retrouve à la 19e place du classement et est plus que jamais menacé d'une relégation en Ligue 2.
La Porsche de l'arrière gauche et vice-capitaine Sylvain Armand, qui était garée sur le parking, a par ailleurs été détériorée. Les rétroviseurs et les feux ont été cassés, comme les pare-brises avant et arrière, des bouteilles de bières ont été projetées sur la voiture ainsi que des barrières en métal. La salle de presse du camp des Loges a également été taguée (»Enc... dégagez»), comme une des estafettes conduisant les joueurs des vestiaires au terrain (»Dégagez»).
Alain Cayzac, le président du PSG (18e de Ligue 1 et en position de relégable), a remis sa démission au club, qui a été acceptée, a-t-on appris lundi de source proche du club.
Dimanche après-midi, une réunion tripartite regroupant Alain Cayzac, Sébastien Bazin (l'actionnaire majoritaire) et l'entraîneur Paul Le Guen s'était tenue au Parc des Princes, sans que le club ne communique sur son contenu.
Elle intervenait au lendemain d'une cinglante défaite subie à Caen (3-0), maintenant le PSG dans la zone rouge, à trois points du premier non relégable (Lens). Il ne reste que quatre matches au club de la capitale pour éviter une descente en Ligue 2.
Dans la nuit de samedi à dimanche, des supporteurs parisiens avaient exprimé leur colère et leur inquiétude en taguant menaces et injures à l'égard de la direction du club sur les murs du centre d'entraînement du Camp des Loges, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), et à proximité du Parc des Princes.