[Ex] Habib Bellaid

[Gotcha]

J'en ai marre de lui, qu'est ce qu'il nous coute en buts

[Phapha]

Non pour l'excuser, mais pour peut-être expliquer sa prestation en 2e période, il faut remarquer qu'il a pris un carton jaune en 1e période...

[NéRiK]

Juste pour dire aussi que je suis complètement d'accord avec Nérik sur le niveau réel de certains joueurs et qui n'ont pas la pointure de la D1 .
Restons honnête, Metz est venu 2 x à  la Meinau en l'espace de 4 semaines : 0-3 et 2-3...en étant bon dernier de la D1.......
vous pouvez en tirer une conclusion !!!!

Eh ouai j'ai raison, lol.

Nan mais sérieusement y a trop de joueurs dans cette équipe qui n'ont pas (encore) le niveau de la L1 pour être titulaire (Lacour, Bellaid, Johansen, Abdé, Gameiro...)

[Tenor]

Comme dit il lui faut un chien de garde juste à  coté de lui au cas ou il ferait une bévue.
C'était le cas samedi soir, le mec seul et c'est la panique à  bord. Sauve qui peut.

[Pinon]

Bellaïd : « Rarement si déçu »

Avant le déplacement de dimanche (18 h) à  Bordeaux, le défenseur international espoirs du RCS, Habib Bellaïd, revient sur la soirée agitée que son équipe et lui ont traversée samedi contre Metz (2-3).

Habib Bellaïd n'est pas du genre à  manier la langue de bois, ni à  fuir ses responsabilités devant les médias. Même après une défaite, l'international espoirs ne se dérobe jamais. Mais samedi à  la Meinau, après l'échec difficile à  digérer contre la lanterne rouge messine (2-3), il a, comme tous ses partenaires, déserté le traditionnel point presse d'après-match.
Hormis Jean-Marc Furlan, personne ne s'est en effet présenté en zone d'interviews. « Je ne sais pas qui la presse souhaitait entendre », dédramatise le défenseur bas-rhinois, pris de vitesse sur les trois buts messins et forcément dans ses petits souliers, « mais personnellement, je n'avais envie de parler à  personne, hormis à  ma femme. Dans le vestiaire, pas une mouche ne volait. Nous étions tous terriblement déçus. J'avais rarement vu ça. »
À sa sortie du stade, le Strasbourgeois n'en est pas moins allé à  la rencontre de la vingtaine de supporters en colère qui entendait dire son fait à  ses « favoris ». « J'ai vu une première fois qu'il y avait de l'excitation et j'ai préféré rebrousser chemin le temps que les choses se calment. Je ne sais pas trop ce qui s'est passé, rien de gravissime en tout cas. Je suis revenu quand la tension était retombée et j'ai pu discuter avec les supporters. Ils nous ont reproché d'avoir perdu un derby, en soulignant l'importance que les derbies revêtent pour eux. Je leur ai juste répondu : "Vous voulez qu'on gagne les derbies ou vous préférez qu'on se maintienne en L 1 ?" Les choses sont rentrées dans l'ordre. »
Une fois les esprits apaisés, l'international espoirs a directement regagné ses pénates. Mais il n'a pas réussi à  trouver le sommeil.

Des têtes plus parlantes que des discours

Pour tuer le temps, il s'est installé devant la télé : « J'ai passé une sale soirée. Mais je suis tombé sur l'émission de Jean-Luc Delarue, "Ça se discute" (Ndlr : dont le thème était « Comment affronter une maladie grave à  20 ans ? ») et en voyant tous ces jeunes montrer un courage exemplaire, faire preuve d'une volonté sans faille et donner une véritable leçon de vie, j'ai relativisé. Quand tu es confronté à  des destins aussi tragiques, tu te dis que tu as juste perdu un match de foot, rien d'autre. Que ta vie n'est pas en jeu, alors qu'elle l'est pour ces gens-là . Et, donc, que tu n'as pas le droit de t'apitoyer sur ton sort. »
Habib Bellaïd a ainsi tourné la page, prêt à  repartir au combat pour assurer le maintien du Racing en L 1. « Après la défaite contre Metz, je n'étais pas bien. Tout le monde était dans cet état d'esprit, totalement dépité. Avec le recul, je me dis que nous avons trop voulu attaquer. À 2-2 et à  11 contre 10, nous avons voulu forcer la décision alors qu'il aurait fallu se contenter d'un point. L'équipe était coupée en deux et nous nous sommes fait contrer par les Messins. Le coach (Jean-Marc Furlan) et le président (Philippe Ginestet) n'ont pas jugé utile de parler. Ils ont regardé nos têtes et ont compris : elles étaient plus parlantes que tous les discours. »

[silex57]

Pour tuer le temps, il s'est installé devant la télé : « J'ai passé une sale soirée. Mais je suis tombé sur l'émission de Jean-Luc Delarue, "Ça se discute" (Ndlr : dont le thème était « Comment affronter une maladie grave à  20 ans ? ») et en voyant tous ces jeunes montrer un courage exemplaire, faire preuve d'une volonté sans faille et donner une véritable leçon de vie, j'ai relativisé. Quand tu es confronté à  des destins aussi tragiques, tu te dis que tu as juste perdu un match de foot, rien d'autre. Que ta vie n'est pas en jeu, alors qu'elle l'est pour ces gens-là . Et, donc, que tu n'as pas le droit de t'apitoyer sur ton sort. »

Qu'est ce que c'est vrai ça ! Emission que je regarde rarement mais qui sur ce coup là  m'a scotché. Bon faut dire que je suis plutôt concerné par le sujet ...

[Pinon]

« Pas à  notre place »

Pour le dernier rendez-vous de la saison à  la Meinau, ce samedi soir (20h45) face à  Caen, le Racing va jouer sa toute dernière chance de maintien. Selon Habib Bellaid, il reste encore 20% de chances d'atteindre cet objectif, à  deux journées de la fin. La mission semble compliquée mais le défenseur veut y croire. Condition première, dit-il, gagner contre le Stade Malherbe.

- A combien estimez-vous les chances de maintien du Racing, à  deux journées de la fin du Championnat ?
- Selon moi, il nous reste 20% de chances de nous maintenir. En fait, tout va dépendre du match de samedi. Dans notre malheur, et après nos neuf défaites d'affilée, nous ne sommes ni totalement détachés ni mathématiquement relégué. On peut le voir comme un signe du destin. Mais, si nous ne gagnons pas samedi, nous y serons. Il faudra donc tout lâcher pour ne pas avoir de regret ensuite.

- Ce sera le dernier match de la saison à  la Meinau. Est-ce une motivation supplémentaire pour remporter les trois points ?
- Nous avons conscience de l'importance du rendez-vous de samedi soir. C'est vrai que cette saison, nous avons peut-être plus brillé à  l'extérieur qu'à  la Meinau. Samedi, nous aurons besoin d'avoir le stade derrière nous. Il sera important que l'on ait le soutien du public pour jouer à  fond notre dernière carte.

- Comment le groupe vit-il la série de neuf défaites ?
- Ca ne fait jamais plaisir, c'est certain. Il y a du dégoût et du dépit. Il faudra prendre des points ce week-end pour ne pas rester dans les annales du foot français. Aujourd'hui, je pense sincèrement que nous ne sommes pas à  notre vraie place. Si nous nous retrouvons relégables, c'est qu'à  un moment nous n'avons sans doute pas fait les efforts nécessaires pour assurer le maintien. Franchement, ça fait mal au coeur d'en être arrivé là , aujourd'hui. Cela fait six ans que je suis au Racing, j'ai connu beaucouo de choses, des montées, des descentes, des victoires en Coupe. Aussi cette situation est dure à  vivre.

[Tenor]

Aujourd'hui, je pense sincèrement que nous ne sommes pas à  notre vraie place. Si nous nous retrouvons relégables, c'est qu'à  un moment nous n'avons sans doute pas fait les efforts nécessaires pour assurer le maintien. Franchement, ça fait mal au coeur d'en être arrivé là , aujourd'hui.

Il est aussi mal venu celui-là . Il a fait quoi pour nous sortir de là  ?
En lisant çà  j'ai envie d'en distribuer
Même plus des cailloux dans la tête, des rochers

[fan_racing]

Il est aussi mal venu celui-là . Il a fait quoi pour nous sortir de là  ?

Tout à  fait, certain ferait mieux de s'écraser un peu !! A les entendre c'est vraiment l'aveu d'impuissance par excellence : "Nous avons vu arriver et nous savions ce à  quoi ça aboutirait, mais nous n'avons rien fait".

Le genre de déclarations de Bellaïd, seuls Cassard ou Cohade pourraient se les permettre pour que la pilule passe chez les supporters. Et eux curieusement, ne se le permettent pas.

[Sam.]

Marrant, moi j'aime bien ce genre de declarations, je prefere ca a un le groupe vit bien, on prend les matchs les un apres les autres sans se poser de questions et a partir de la tout est possible.

en gros il dit on a deconne et on peut s'en prendre qu'a nous-meme, une fois de plus une grande maturite pour un gars de 22 ans.

Sam.