
Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
Ben Kahlfallah mais suivis par des club de L1 et on a Fanchone à ce poste pour l'instant. 

Ils sont 11 sur le terrain, des milliers dans les gradins, tout le monde le sait bien, notre place est en L1. 
=>Play<=

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- Seb T.
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
Il ne joue pas à Chateauroux ???
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
J'crois pas... 

Ils sont 11 sur le terrain, des milliers dans les gradins, tout le monde le sait bien, notre place est en L1. 
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
on sait ce que vaut le titre conservatoire 

- argueti
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
C'est FM qui va être content !Rétrogradation confirmée pour Angers
La Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG), qui a statué lundi sur le cas de nombreux clubs professionnels avant la saison prochaine, a confirmé la rétrogadation d'Angers en National pour cause de «problème administratif et technique, ayant rapport à des contrats avec des sponsors qui n'ont pas été rédigés dans les normes». Même s'il a fini la saison à la dixième place du classement de Ligue 2, le club pourrait donc évoluer la saison prochaine à l'échelon inférieur, ce qui profiterait à Niort, qui serait dès lors repêché. A moins qu'une énième procédure soit entamée par les dirigeants angevins, ce qui reporterait à nouveau le décision.
Clermont fera par ailleurs l'objet d'un encadrement de la masse salariale alors Sedan va devoir attendre encore un peu, l'instance disciplinaire ayant mise sa décision en délibéré. Pour Auxerre, Caen, Le Havre et Sochaux en revanche, aucun problème. Leur budjet pour l'exercice à venir a été avalisé.
Les décisions :
Avis favorable au statut professionnel pour une saison et encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutations :
Clermont
Mise en délibéré :
Sedan
Pas de commentaires particuliers :
Auxerre, Caen, Dijon, Guingamp, Le Havre, Reims, Sochaux, Strasbourg, Troyes
Rétrogradation en championnat National :
Angers
L'histoire est en marche ...
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
yes...
mais j attends encore un peu....

Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
Ah ben moi aussi, je serais content pour Niort !
- Phapha
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
Raté pour Sedan, qui était mis en délibéré. Il y avait sûrement encore quelques bons joueurs à piquer...lfp.fr a écrit :Suite aux auditions de la semaine dernière, la Commission de Contrôle des Clubs Professionnels de la DNCG a pris le 3 juillet les décisions suivantes :
Pas de commentaires particuliers :
Monaco et Sedan


- argueti
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
Pas de DNCG mais presque
L'opposition frontale de plusieurs clubs à l'instauration d'une DNCG européenne ne fait pas reculer Michel Platini. Le président de l'UEFA a clairement laissé entendre, jeudi sur RTL, qu'il engagerait une action visant à obtenir des clubs engagés en Ligue des champions et Coupe de l'UEFA une bonne conduite économique, sous peine de sanctions à moyen terme.
Il a donné quelques unes des pistes qu'il développera le 9 mars devant le conseil stratégique de l'UEFA, cette instance qu'il a créée et qui réunit les familles du football. Une philosophie : «Ne pas donner plus d'argent que ce que tu n'as. A partir de là , tout est ouvert et à discuter, mais c'est la base de la philosophie de l'UEFA : donner l'argent que nous avons. Concernant la définition d'un pourcentage de masse salariale, ou d'autres choses que je peux pas évoquer, je vais en parler d'abord avec les clubs.»
Michel Platini ne parle pas de la création d'une DNCG européenne mais en est-on très loin lorsqu'il évoque «une commission qui regarderait les comptes et dirait: ''ça, ça va, ça, ça ne va pas, eux sont en déficit, eux on peut travailler avec eux''» ? La sanction prendrait la forme d'une suspension de compétition européenne, à moyen terme. L'UEFA donnerait «deux ou trois aux clubs pour qu'ils régularisent leurs contrats.» Platini s'interdit, comme il l'avait déjà dit dans L'Equipe, de «s'immiscer dans les affaires des ligues françaises, italiennes, anglaises, etc.» mais a l'intention de faire avancer ce dossier «pour donner une meilleure image économique du football.»
La fronde des clubs, Michel Platini dit ne pas la craindre, alors que beaucoup des grandes formations européennes ont actuellement des déficits abyssaux «Les présidents me disent : ''J'en ai marre marre de donner de ma poche 5, 10, 15, 20, 30 millions d'euros après chaque compétition''.»
L'histoire est en marche ...
- argueti
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Re: Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)
DNA a écrit :Coincé dans l'ascenseur
La Ligue de Football Professionnel (LFP) a révélé l'état des comptes des clubs de L 1 et L 2 pour la saison dernière. Le Racing, relégué au terme de celle-ci, a fait face à une cruelle logique.
Bien sûr, la réalité des chiffres, notamment en ce qui concerne les finances, n'apparaît pas comme un critère absolu de résultats. Liverpool, par exemple, a récemment fait la nique au Real Madrid en Ligue des champions. Pourtant, le club castillan est considéré par les cabinets spécialisés comme le plus riche du monde. A l'échelle hexagonale, Rodez (National) avait logiquement battu le PSG en Coupe de France, avant de s'attaquer hier soir à Rennes.
Dans une catégorie inférieure à celle de Caen
Mais sur la longueur d'un championnat, la puissance économique tend à s'imposer. Certes, la logique est ponctuellement battue en brèche par une catastrophe industrielle. Les « Sang et Or » lensois ne présentaient pas le profil du parfait relégué en juin dernier. Mais les « Ciel et Blanc » strasbourgeois avaient le profil de l'emploi. Ce ne sont pas de vagues impressions subjectives qui inspirent un tel verdict. C'est le rapport d'activité du foot professionnel français pour la saison 2007-08, rendu public par la LFP et, plus particulièrement, par son gendarme économique, la DNCG (Direction Nationale de Contrôle de Gestion, via la Commission de Contrôle des Clubs Professionnels). Promu, le club alsacien y apparaît logiquement comme l'un des parents pauvres de l'élite. Mais, dans le détail, on remarquera que moult caractéristiques noircissent un peu le trait du condamné. Ainsi, dans leurs commentaires initiales, les membres de la DNCG notent un travers du foot français. « Sans préjuger du caractère récurrent ou pas des plus-values sur mutation, les chiffres de déficit du résultat des opérations hors mutation pour l'exercice 2007-2008 incitent à réfléchir au modèle de rentabilité du football et aux risques qu'il implique les années où les plus-values escomptés ne se réalisent pas. » Le Racing, dans les comptes présentés, se révèle parfaitement dans la ligne de conduite. Sans le produit de ses transferts, il aurait réalisé un déficit proche de 5 millions d'euros. Il s'est donc agi de vendre les « bijoux de famille » pour édulcorer la douloureuse transition sportive post-descente. Dans le fond, il n'y a rien d'exceptionnel dans le processus. Metz a été contraint d'y recourir, Lens s'est visiblement démultiplié dans l'inventivité budgétaire pour rassurer le gendarme du foot pro français. Ce qui s'avère autrement plus contrariant est le standing alsacien en L 1, à l'entame de la saison. Avec son budget alors inférieur à 30,5 millions d'euros, le Racing a retrouvé l'élite en guenilles à l'été 2007. Il fait partie des cinq clubs les moins argentés, en compagnie de Valenciennes, Metz, Lorient et Le Mans. Il se situe loin d'une splendeur relevée dans un passé récent ou lointain. Il se place même dans une catégorie inférieure à celle d'un autre promu, Caen, qui n'avait, a priori, pas de quoi susciter la jalousie. Et pourtant, cette faiblesse criante a des répercussions sur l'ensemble des lignes de revenus. Le Racing, comme ses camarades du dernier wagon, touche moins de droits audiovisuels, se révèle moins efficace sur les marchés publicitaires, fait moins de recette aux guichets.
Une masse salariale de 12,7 millions d'euros
Doté de moyens inférieurs de 30 % aux clubs de la catégorie 3 (Caen, Auxerre, Nice, Sochaux et Toulouse) et même de 80 % en comparaison à ceux du niveau 1 (Bordeaux, Lyon, Marseille, le PSG et... Lens), le Racing a évidemment moins d'argent à dépenser pour son équipe. Si on peut constater que sa dépendance aux droits TV reste raisonnable, il n'est en mesure de constituer qu'une masse salariale de 12,7 millions d'euros, 1/6e de celle de l'Olympique lyonnais, la moitié de l'auxerroise. En la matière, cela lui assure le bonnet d'âne de la Ligue 1. Si ça peut lui mettre du baume au coeur, depuis deux ans, les promus appartiennent systématiquement au niveau 1 de la Ligue 2 dont le Racing fait naturellement partie. Trop gringalet parmi l'élite, trop costaud pour son antichambre, le Racing apparaît dans l'obligation de se situer dans le foot pro français pour ne pas devenir un habitué invétéré de l'ascenseur.
L'histoire est en marche ...