Jean-Marc Furlan

[télésupporteur]

JMF et domenech = même combat
je suis content que chacun ait été maintenu
message transmis pour casser le pessimisme ambiant

[enzy]

JMF et domenech = même combat

JMF et Domenech = même résultats

[télésupporteur]

à  l'avenir aussi

[giloute]

Les deux on les apellera des PPH (passeront pas hivers)

[supppourtjs]

Et encore je te trouve optimiste.

[giloute]

Je ne dois pas ètre trop dure avec FUFU sinon il y a le MODO qui me met un

[fan_racing]

Le modo, un carton rouge direct, donc bannissement illico ? Franchement, on a eu quelques rares boulets ici, dont des plus ou moins insolents, ils ont même pas tous été bannis, nos modos c'est quand même pas des monstres ! Surtout que toi, à  part incendier Furlan, tu n'as rien fait de mal !

[télésupporteur]

Les deux on les appellera des PPH (passeront pas hivers)

tu as raison, ils ne passeront pas tous les hivers, mais le prochain au moins

[silex57]

JMF et domenech = même combat

JMF et Domenech = même résultats

Je veux bien que JMF nous emmène à  l'équivalent d'une finale de Coupe du Monde

[Keating]

'entraîneur du RCS Jean-Marc Furlan est convaincu que son équipe a perdu gros avec le départ de certains joueurs. Pour compenser, il mise sur une symbiose qu'il juge nettement meilleure que l'an passé.

Il est sorti du stage de neuf jours à  Amphion-les-Bains pleinement rassuré sur la mentalité de ses troupes. « Par rapport à  2007, c'est le jour et la nuit. Cette fois, la mentalité m'a plu. L'investissement des garçons a été total, leur cohésion aussi. Tout le monde a travaillé dans l'esprit. Même un garçon comme Abou, dont l'attitude avait déplu à  tout le monde lors d'un stage 2007 très compliqué, a travaillé comme jamais. Pour réussir en Ligue 2, il est capital que les joueurs se défoncent, qu'ils soient en même temps très ambitieux et prêts à  combattre. Humbles aussi. Nous restons sur onze défaites, un terrible échec dont nous voulons effacer l'humiliation. A Amphion, il y a eu une symbiose et une passerelle entre les générations qui n'existaient pas l'an passé.»
Après avoir évacué pendant les vacances la frustration de la relégation, Jean-Marc Furlan est donc de nouveau tourné vers un avenir aux contours certes encore incertains. Malgré les huit buts passés avant-hier à  une sélection régionale hétérogène (8-0), le technicien bas-rhinois, qui vient d'attaquer la 2e de ses trois années de contrat, dresse un état des lieux lucide : « Sans Rodrigo, Dos Santos, Gameiro, Bellaïd, Schneiderlin, Abdessadki et Johansen, nous avons régressé techniquement. Mais je suis satisfait des joueurs qui, contre la sélection comme en stage, ont fait preuve d'allant. Personnellement, je ne suis ni enthousiaste, ni pessimiste. Juste réaliste. Nous allons évaluer notre progression de jour en jour. »

Depuis quelques semaines, celui qui refuse dorénavant l'étiquette d'entraîneur général dont on l'avait affublé à  son arrivée il y a un an assiste à  des départs qu'il sait incontournables. « Je ne suis qu'un salarié du club, un exécutant, comme la plupart des entraîneurs de L 1 et L 2, comme l'a si bien décrit Alain Perrin dans sa récente interview à  « L'Equipe ». Ici, le club a besoin de ressources financières et l'essentiel est qu'il s'y retrouve. Il a dû se séparer de trois grands espoirs (Gameiro, Bellaïd, Schneiderlin) et ce sera forcément un handicap. J'aimerais que les départs s'arrêtent là . S'il y en avait d'autres, ça changerait les objectifs.

Ainsi va donc la vie de ce Racing en gestation, avec son lot d'incertitudes, sportives et financières. Son lot d'espoirs aussi, pas encore rattrapés par la réalité de la compétition, que Jean-Marc Furlan résume ainsi : « Le président bordelais Jean-Louis Triaud a l'habitude de dire : « Nous n'avons pas d'objectifs, mais nous sommes les plus ambitieux de France. » A Strasbourg, toutes les couches du club doivent s'imprégner de ça. »