[Ex] Marcos Dos Santos

[télésupporteur]

marcos n'est pas un meneur de jeu, c'est un avant-centre de soutien

[FM17]

c est quoi ça ?

[Tenor]

Ben un faux avant centre qui soutient l'avant centre

Il a belle allure sur le terrain, doté d'une bonne technique et au beau toucher, mais manque de vitesse d'exécution, s'il avait tout d'un joueur complet il ne serait pas chez nous car trop cher.
Faudrait en former un de cette trempe,..Damour pour demain ?

[Seb T.]

Du Canada Dry en quelque sorte, on appelle ce type de jouer un attaquant de soutien...

[télésupporteur]

un peu de sémantique
attaquant : en 1e ligne
soutien: en 2e ligne
un attaquant de soutien se trouve donc dans l'interligne
d'où l'importance de savoir lire entre les lignes

[enzy]

Et s'il joue en dehors de son interligne, il est puni

[FM17]

un peu de sémantique
attaquant : en 1e ligne
soutien: en 2e ligne
un attaquant de soutien se trouve donc dans l'interligne
d'où l'importance de savoir lire entre les lignes

un avant centre de soutien disais tu...et le numéro 6 c est un avant centre de soutien de l avant centre de soutien ?? c est de la sémantique également...
de toute facon, je reste sur ma position...tu lui enleves son jeu de tête, il ne reste rien...en L1 il sera completement dépassé par l intensité...Faut pour l année prochaine un véritable...ATTAQUANT de soutien ou un meneur de jeu...

[Seb T.]

Heureusement qu'il n'est que prêté...

[Pinon]

« Je n'oublierai jamais Ajaccio »

Le voyage du Racing à  Ajaccio, ce lundi (20h30), aura un goût de retrouvailles pour Marcos. L'attaquant brésilien arrivé cet été a, en effet, passé toute la saison dernière sous les couleurs de l'ACA où il avait inscrit 9 buts en 36 rencontres de L2. Son passage en Corse l'a marqué et lui a marqué Ajaccio.
Avant de revoir d'anciens coéquipiers et de refouler la pelouse du Stade François-Coty, Marcos évoque ses souvenirs.

- Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à  Ajaccio ?
- J'ai passé là -bas d'excellents moments. Je n'oublierai jamais que c'est l'AC Ajaccio qui m'a ouvert les portes du Championnat français. Rien que pour ça, je lui suis reconnaissant.

- Avez-vous gardé des contacts au sein du club ou avec d'anciens coéquipiers ?
- Oui, j'ai tissé beaucoup de liens d'amitiés là -bas. Nous avons vécu des choses très fortes durant toute la saison 2007-08 et cela rapproche. Nous nous appellons régulièrement.

« Ajaccio donne toujours tout »

- Quels conseils donnerez-vous à  vos coéquipiers strasbourgeois avant cette rencontre ?
- Le souci c'est qu'Ajaccio a procédé à  beaucoup de changements depuis que je suis parti. L'entraîneur n'est plus le même, c'est maintenant José Pasqualetti. Et puis, il y a eu aussi beaucoup de mouvements dans l'effectif. En tout cas, il n'est jamais évident de s'imposer là -bas. Les joueurs d'Ajaccio donnent toujours tout jusqu'au bout. Ils ne lâchent rien.

- A quelle ambiance vous attendez-vous ?
- C'est un terrain qui est petit, les tribunes sont proches de la pelouse. C'est chaud !

- Le Racing reste sur un point en deux matches. La coupure a-t-elle fait du bien ?
- Nous verrons lundi soir. Mais nous avons besoin de renouer avec la victoire. Nous n'allons pas à  Ajaccio avec l'idée de décrocher un nul. Non, nous souhaitons garder notre première place et, pour en être sûr, il nous faut les trois points.

[argueti]

Marcos ne fera pas de cadeau

Prêté au Racing cette saison, Marcos l'était à  Ajaccio la saison passée. Après une entame estivale en demi-teinte, l'attaquant brésilien qui appartient aux Young Boys de Berne éclaire le jeu strasbourgeois depuis un peu plus d'un mois. Il sera assurément précieux pour le déplacement de lundi, en Corse.

Pour synthétiser l'apport de Marcos dans le groupe strasbourgeois, Jean-Marc Furlan a volontiers vanté les origines brésiliennes de son attaquant. « En trois décennies dans le milieu, j'ai pu me rendre compte d'une mentalité exceptionnelle pour les joueurs en provenance de ce pays, explique l'entraîneur strasbourgeois. S'ils sont cinq fois champions du monde, c'est qu'ils sont au-dessus en termes de formation, d'éducation et de technique. Et avec Marcos, on retrouve ces caractéristiques. »

« C'est un chêne »

L'ambassadeur sud-américain en Alsace pour la saison 2008-2009 se distingue néanmoins de ses compatriotes. Ses contrôles sont plus élastiques que les normes en vigueur du côté de Rio ou de Sao Paulo, il s'impose souvent plus par sa puissance et son abnégation que par son brio et sa dextérité. En bref, Marcos, quelques allures de Lloyd Cole dans un minois assez craquant, n'entre pas dans les clichés de la patrie du carnaval, des plages de sable fin et de la capoera. « Il a effectivement cette capacité à  être un point d'ancrage, à  fixer sans faiblir sur le plan athlétique, poursuit Furlan sur le sujet. En fait, c'est un chêne. » L'arbre, planté en Alsace dès le mois de juin, a semblé bien meuble sur ses racines dans un premier temps, franchement quelconque au cours du mois d'août, en une période, et cela tombait bien, où le Racing n'avait finalement guère besoin de lui.

Ajaccio lui a ouvert les portes du championnat de France

Il en a été quitte pour trois passages sur le banc - face à  Montpellier, à  Dijon et à  Sedan. Mais depuis un mois, le joueur, prêté par Berne, se révèle franchement convaincant. « Quand je suis arrivé, je n'étais vraiment pas en forme, admet-il avec lucidité. Maintenant, j'espère vraiment retrouver mon top avant la fin de la saison pour que Strasbourg voit mon meilleur visage. »
Dans ses réponses, il y a déjà  une capacité d'adaptation éprouvée avec une maîtrise assez épatante de la langue française. Seuls " les coudepiéarriétés " s'apparentent à  un cauchemar linguistique dans sa bouche. La saison ajaccienne en 2007-2008 ou la précédente, pour un séjour suisse qui correspondait à  une découverte de l'Europe, l'ont conduit à  une réelle habileté dans la langue de Molière ou de Napoléon. Il ne renie d'ailleurs pas son année corse et son passage sur l'Ile de Beauté correspond « à  des bons moments. » « Je n'oublie pas que c'est le club qui m'a ouvert la porte du championnat de France, poursuit celui qui a scoré à  neuf reprises avec le maillot à  la tête de Maure dans le championnat de L 2. J'ai laissé beaucoup d'amis là -bas, mais pour ce lundi, il faudra tout donner pour décrocher les trois points. » Au-delà  des sentiments, il y a des impératifs sportifs. Embringué dans un rythme poussif - un point récolté sur les deux derniers matches -, le Racing a l'impératif de se remonter les manches. Et l'environnement n'invite guère à  l'optimisme débordant.

« On veut se maintenir en tête du classement »

« Ca va être difficile, sur un terrain petit, détaille le joueur, en connaissance de cause. L'équipe donne tout, jusqu'au bout. De notre côté, il faut se concentrer, bien défendre sur les "coudepiéarriétés", et se méfier des bons joueurs d'Ajaccio, notamment de Darbion qui va très vite et a une très belle frappe du gauche. » Sa connaissance acérée de l'effectif corse tend à  démontrer qu'il n'incarne pas l'oiseau de passage que le Racing a pu connaître dans un passé récent, sous les traits du Colombien Renteria. Marcos s'immerge totalement dans son environnement. « On ne va pas penser au nul parce que l'on veut se maintenir en tête du classement, conclut le Brésilien. La défaite de Lens (3-1 à  Tours), lundi, a montré qu'il n'y a pas de cadeau en L 2. » Et Marcos se gardera bien d'en faire à  ses anciens coéquipiers ajacciens.

François Namur